- Nathan Shelby
Combattant d'élite
Argent : 220
Expérience : 50
Région d'origine : Nerova
Âge : 25
Avatar : Oikawa Tooru
Ta dernière escapade à Ilmerny ne remontait pas à il y a très longtemps. Durant ce passage vers les terres gelées du sud, tu avais pu faire une étrange découverte, quelque chose de surprenant et qui, sur l’instant, ne t’avait pas sauté aux yeux. Peut-être était-ce parce que tu n’avais pas encore atteint ces chapitres dans tes manuels de médecine pokémon, ou peut-être était-ce parce que tu étais trop occupé à réparer les bêtises de Noya et à échapper à un Donphan enragé ? Peu importe la raison, le fait était qu’un éclair de génie t’avait traversé sous la forme d’un flash, t’intimant de remettre les voiles du l’île de glace.
En effet, durant ton précédent voyage, tu avais vu Noya, un pokémon de type feu capable de générer de la chaleur à souhait et donc relativement peu enclin à tomber malade dans des conditions de froid plus ou moins extrême, attraper froid. Si la chose t’avait plus fait rire sur l’instant, elle t’étonnait aujourd’hui. Te surprenait, même. D’autant plus que, en y repensant bien, ton singe de feu n’avait pas été un cas isolé. Tu avais pu voir ci et là quelques pokémons plus qu’habitués à ce climat particulier de la région être frappé par des sévices similaires à ceux d’un rhume pour vous autres, humains.
La raison de cette épidémie ? Tu n’en avais pas la moindre idée et c’était justement le principal objectif de votre expédition. Pour tirer au clair cette histoire et lever le voile sur ce mystère qui te tracassait, tu avais réuni une fine équipe. Plutôt l’équipe la plus facile à réunir, puisque composée des deux personnes qui se laissaient le plus facilement embarquer dans tes péripéties, toutefois, tu préférais te dire que vous étiez, sans contestation possible, une fine équipe. Ça sonnait mieux et plus flatteur.
River avait été convoqué du fait de ses connaissances générales en matière de pokémons. Mine de rien, la nouvelle venue au sein de la famille Shelby était une chercheuse avérée et un cerveau fonctionnel (à l’inverse du tien) ne serait clairement pas de trop pour cette enquête. Alors oui, tu te préparais d’ores et déjà à subir ses plaintes et à devoir répondre de ta soudaine demande car l’ex-Collingwood était avant tout une princesse. Malheureusement, princesse et basses températures ne faisaient que trop rarement bon ménage. C’était là que t’étais fait malin ! Qui de mieux pour apaiser ta femme qu’Isara ? Ta meilleure amie tempérait parfaitement avec le caractère de la scientifique, plus douce et plus résignée à être prise dans le courant de tes frasques. Elle était l’élément parfait et manquait à ce groupe de choc. Puis, impossible de négliger le fait que la Davies gardait de côté des qualités de journalismes insoupçonnées. Travail d’analyse et d’enquête, logique efficace et soutien indéfectible, vraiment, la jeune femme s’avérait être aussi essentielle à cette troupe qu’à ta vie.
Contrairement à la fois dernière, tu t’étais correctement équipé cette fois. Un manteau coupe-froid, des gants, un bonnet en réserve pour préserver tes petites oreilles : le grand attirail, quoi. Sans grande surprise, Noya et Noah ouvrait votre marche, le premier motivé par la moindre énigme, le second, plus sérieux, se prêtant au jeu et se laissant entrainer par la vague d’improvisations que vous étiez Noya et toi.
« Doooonc ! Je récapitule. Quelque chose affecte les pokémons du coin, on doit trouver quoi. River, c’est peut-être un virus ou je ne sais quoi d’autre d’agressif, ça pourra être utile de le recenser pour tes recherches et toi Isara… ça te donnera de quoi faire un article à envoyer à un journal local ou national ? C’est peut-être le début de ta grande carrière ! La dernière fois… eh… » Tu scrutas légèrement la zone, tentant de te remémorer vers où vous vous étiez aventuré précédemment. « Par-là ! On devrait y trouver quelques pokémons touchés. »
Mine de rien, tu faisais preuve d’un entrain évident et surtout, d’un sérieux relativement rare. Était-ce parce que cela touchait à ton domaine d’étude ? Ou parce que tu souhaitais faire bonne impression près des deux beautés t’accompagnant ? Allez savoir.
En effet, durant ton précédent voyage, tu avais vu Noya, un pokémon de type feu capable de générer de la chaleur à souhait et donc relativement peu enclin à tomber malade dans des conditions de froid plus ou moins extrême, attraper froid. Si la chose t’avait plus fait rire sur l’instant, elle t’étonnait aujourd’hui. Te surprenait, même. D’autant plus que, en y repensant bien, ton singe de feu n’avait pas été un cas isolé. Tu avais pu voir ci et là quelques pokémons plus qu’habitués à ce climat particulier de la région être frappé par des sévices similaires à ceux d’un rhume pour vous autres, humains.
La raison de cette épidémie ? Tu n’en avais pas la moindre idée et c’était justement le principal objectif de votre expédition. Pour tirer au clair cette histoire et lever le voile sur ce mystère qui te tracassait, tu avais réuni une fine équipe. Plutôt l’équipe la plus facile à réunir, puisque composée des deux personnes qui se laissaient le plus facilement embarquer dans tes péripéties, toutefois, tu préférais te dire que vous étiez, sans contestation possible, une fine équipe. Ça sonnait mieux et plus flatteur.
River avait été convoqué du fait de ses connaissances générales en matière de pokémons. Mine de rien, la nouvelle venue au sein de la famille Shelby était une chercheuse avérée et un cerveau fonctionnel (à l’inverse du tien) ne serait clairement pas de trop pour cette enquête. Alors oui, tu te préparais d’ores et déjà à subir ses plaintes et à devoir répondre de ta soudaine demande car l’ex-Collingwood était avant tout une princesse. Malheureusement, princesse et basses températures ne faisaient que trop rarement bon ménage. C’était là que t’étais fait malin ! Qui de mieux pour apaiser ta femme qu’Isara ? Ta meilleure amie tempérait parfaitement avec le caractère de la scientifique, plus douce et plus résignée à être prise dans le courant de tes frasques. Elle était l’élément parfait et manquait à ce groupe de choc. Puis, impossible de négliger le fait que la Davies gardait de côté des qualités de journalismes insoupçonnées. Travail d’analyse et d’enquête, logique efficace et soutien indéfectible, vraiment, la jeune femme s’avérait être aussi essentielle à cette troupe qu’à ta vie.
Contrairement à la fois dernière, tu t’étais correctement équipé cette fois. Un manteau coupe-froid, des gants, un bonnet en réserve pour préserver tes petites oreilles : le grand attirail, quoi. Sans grande surprise, Noya et Noah ouvrait votre marche, le premier motivé par la moindre énigme, le second, plus sérieux, se prêtant au jeu et se laissant entrainer par la vague d’improvisations que vous étiez Noya et toi.
« Doooonc ! Je récapitule. Quelque chose affecte les pokémons du coin, on doit trouver quoi. River, c’est peut-être un virus ou je ne sais quoi d’autre d’agressif, ça pourra être utile de le recenser pour tes recherches et toi Isara… ça te donnera de quoi faire un article à envoyer à un journal local ou national ? C’est peut-être le début de ta grande carrière ! La dernière fois… eh… » Tu scrutas légèrement la zone, tentant de te remémorer vers où vous vous étiez aventuré précédemment. « Par-là ! On devrait y trouver quelques pokémons touchés. »
Mine de rien, tu faisais preuve d’un entrain évident et surtout, d’un sérieux relativement rare. Était-ce parce que cela touchait à ton domaine d’étude ? Ou parce que tu souhaitais faire bonne impression près des deux beautés t’accompagnant ? Allez savoir.
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by Lyxiae
- Isara Davies
Dresseur
Argent : 185
Expérience : 110
Région d'origine : nérova
Âge : vingt-quatre ans
Avatar : tohsaka rin (fate)
Te demander ce que tu fais au nord serait probablement un exercice fort inutile puisque tu ne saurais pas donner une réponse exacte. T’as une tonne de boulot à faire à Caelum et tu t’es tout de même retrouvée à des kilomètres de là, frissonnant malgré un épais manteau sur tes épaules. Puis, la réponse se trouve d’elle-même lorsqu’on regarde les deux personnes que tu accompagnes. As-tu déjà réussi à refuser quoi que ce soit aux deux personnes les plus importantes de ta vie ? Non, définitivement pas. Il ne faut donc pas s’étonner plus que ça devant l’évidence. Bon, il y a aussi la raison de leur présence qui justifie la tienne : ces Pokémons affectés par une maladie inconnue. Difficile à croire que des Marcacrins, pourtant bien plus adaptés pour le froid que n’importe quel dresseur, pourrait attraper un rhume - ou l’équivalent Pokémon. Il y a donc un mystère à résoudre, ce qui en soit suffit à attiser ta curiosité. La différence, c’est que tu te serais normalement arrêtée au fait que tu n’as aucune compétence qui pourrait aider ces Pokémons et que là… bah tu fais partie de l’expédition visiblement.
Tu replaces le bonnet sur ta tête cherchant à protéger ta coiffure en même temps que tes oreilles. T’es définitivement pas faite pour ce genre de température et tu regrettes un peu de ne pas avoir un compagnon de type feu à tes côtés pour te réchauffer comme Noya peut le faire avec Nathan. Enfin, ce n’est pas la fin du monde, t’as investi dans un bon manteau dépensant du même coup de l’argent que tu n’étais pas certaine d’avoir avec le prochain déménagement pour offrir une cour à ton Cabriolaine. Tu chasses cette pensée de ton esprit pour resserrer l’écharpe autour de ton cou et continuer la route. Si vous pouvez aider les Pokémons de la zone, ta dépense sera complètement justifiée. Ouais, autant voir les choses ainsi, ça ne te fera certainement pas de mal. Tu continues d’avances, ton regard se perdant sur les étendues enneigées.
Tu relèves la tête de la route lorsque Nathan prend la parole. Tu l’écoutes avec attention, plus ou moins surprise de le voir sérieux dans une telle situation qui appelait un tel comportement. En revanche, t’es un peu plus surprise lorsqu’il évoque la possibilité de publier un article dans un journal. C’était effectivement quelque chose qui t’intéressait, mais tu doutes avoir les bons contacts - ou même les capacités - pour le faire directement. Enfin, tu n’es pas non plus fermée à l’idée, t’aimerais bien que ce soit le début d’une grande carrière après tout, t’es juste… prudente. Ouais disons ça comme ça. « Bonne idée, je verrai selon l’ampleur de ce que l’on trouve. » De toute façon, la priorité dans cette histoire n’est définitivement pas de te lancer dans une carrière journalistique. Ce serait plaisant, mais le plus important reste de trouver la cause et d’avertir les autorités compétentes de vos trouvailles. Tu pourras t’occuper de la seconde partie de votre tâche, ayant les contacts nécessaires pour le faire, mais pour ce qui est d’identifier la cause, autant laisser ça à River et Nathan.
Ce dernier vous indique d’ailleurs l’endroit où commencer. C’est un bon début, au moins vous n’auriez pas à vagabonder dans la toundra trop longtemps. Pressant légèrement le pas pour te mettre à la hauteur de Nathan, tu lui demandes : « T’es venu ici récemment ? » Avant de lancer un petit regard vers River, curieuse de savoir si elle aussi avait été de la partie. Ça n’importe pas vraiment, mais si ça se trouve, les deux ont une connaissance préalable de ce qui se passe. « Tu as vu des Pokémons affectés ? D’ailleurs on sait si ça se limite aux Marcacrins ou s’ils sont juste les premiers à avoir été touchés ? » Tu poses les questions qui te viennent en tête, cherchant à comprendre ou au moins à les lancer sur une piste quelconque. Ce sera sans doute ta plus grande utilité au début, mais bon, autant commencer quelque part. « Je pense qu’il y a du mouvement par là. » Tu regrettes de ne pas avoir Odin à tes côtés, lui qui a davantage l’oeil que toi pour ce genre de chose, mais lui comme Medea ne sont pas vraiment adaptés pour la froideur de la région. Alors tu te fis à tes yeux et tu crois voir des traces et des petites boules de poils brunâtres au loin.
Tu replaces le bonnet sur ta tête cherchant à protéger ta coiffure en même temps que tes oreilles. T’es définitivement pas faite pour ce genre de température et tu regrettes un peu de ne pas avoir un compagnon de type feu à tes côtés pour te réchauffer comme Noya peut le faire avec Nathan. Enfin, ce n’est pas la fin du monde, t’as investi dans un bon manteau dépensant du même coup de l’argent que tu n’étais pas certaine d’avoir avec le prochain déménagement pour offrir une cour à ton Cabriolaine. Tu chasses cette pensée de ton esprit pour resserrer l’écharpe autour de ton cou et continuer la route. Si vous pouvez aider les Pokémons de la zone, ta dépense sera complètement justifiée. Ouais, autant voir les choses ainsi, ça ne te fera certainement pas de mal. Tu continues d’avances, ton regard se perdant sur les étendues enneigées.
Tu relèves la tête de la route lorsque Nathan prend la parole. Tu l’écoutes avec attention, plus ou moins surprise de le voir sérieux dans une telle situation qui appelait un tel comportement. En revanche, t’es un peu plus surprise lorsqu’il évoque la possibilité de publier un article dans un journal. C’était effectivement quelque chose qui t’intéressait, mais tu doutes avoir les bons contacts - ou même les capacités - pour le faire directement. Enfin, tu n’es pas non plus fermée à l’idée, t’aimerais bien que ce soit le début d’une grande carrière après tout, t’es juste… prudente. Ouais disons ça comme ça. « Bonne idée, je verrai selon l’ampleur de ce que l’on trouve. » De toute façon, la priorité dans cette histoire n’est définitivement pas de te lancer dans une carrière journalistique. Ce serait plaisant, mais le plus important reste de trouver la cause et d’avertir les autorités compétentes de vos trouvailles. Tu pourras t’occuper de la seconde partie de votre tâche, ayant les contacts nécessaires pour le faire, mais pour ce qui est d’identifier la cause, autant laisser ça à River et Nathan.
Ce dernier vous indique d’ailleurs l’endroit où commencer. C’est un bon début, au moins vous n’auriez pas à vagabonder dans la toundra trop longtemps. Pressant légèrement le pas pour te mettre à la hauteur de Nathan, tu lui demandes : « T’es venu ici récemment ? » Avant de lancer un petit regard vers River, curieuse de savoir si elle aussi avait été de la partie. Ça n’importe pas vraiment, mais si ça se trouve, les deux ont une connaissance préalable de ce qui se passe. « Tu as vu des Pokémons affectés ? D’ailleurs on sait si ça se limite aux Marcacrins ou s’ils sont juste les premiers à avoir été touchés ? » Tu poses les questions qui te viennent en tête, cherchant à comprendre ou au moins à les lancer sur une piste quelconque. Ce sera sans doute ta plus grande utilité au début, mais bon, autant commencer quelque part. « Je pense qu’il y a du mouvement par là. » Tu regrettes de ne pas avoir Odin à tes côtés, lui qui a davantage l’oeil que toi pour ce genre de chose, mais lui comme Medea ne sont pas vraiment adaptés pour la froideur de la région. Alors tu te fis à tes yeux et tu crois voir des traces et des petites boules de poils brunâtres au loin.
texte
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
Argent : 330
Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
La goutte au nez
River & Nathan & Isara
Il n’y avait rien que tu pouvais refuser à Nathan, et ce, même si cela t’amenait dans des situations désagréables que tu aurais préféré éviter. Parce que tu te trouvais désormais là où il faisait trop froid, dans le sud de Nérova sur ces montagnes recouvertes de neige. Un lourd manteau sur tes épaules, ce dernier descendant jusqu’à tes cuisses, tu avais une écharpe pour protéger ton cou et un bonnet sur ta tête, recouvrant ainsi ta sombre chevelure qui tombait sur tes épaules. Puis il y avait ces hautes bottes qui, heureusement pour toi (et tous ceux présents pour cette expédition), avaient des semelles plates. C’était sans doute mieux que les hauts talons dont tu avais l’habitude.
- Il fait froid. T’fais chier, Shelby.
Tu commençais déjà à râler, accusant ton homme de votre malheur et ce, en sachant pertinemment que, au final, tu étais contente qu’il t’en ait parlé et d’être ici. Après tout, toi qui portais un intérêt tout particulier aux pokémons et la façon dont ils évoluaient dans différents environnement, le fait que certains soient malades pouvait vouloir dire qu’il y avait un virus dans les environs. Bon, tu aurais sans doute préféré que les pokémons soient en bonne santé, mais, si ça pouvait avancer tes recherches, tu n’étais pas contre non plus.
- Noya est tombé malade, de ce que j’ai remarqué lorsqu’ils sont rentrés de leur dernière escapade dans les environs.
Une façon comme une autre de dire que tu n’avais pas été à ses côtés.
- À première vue, je suspecte un virus qui s’est propagé dans les environs et qui n’a sans doute rien à voir avec le froid. Après tout, ils sont habitués à cet environnement puis je vois mal Noya attraper froid.
Et puis, croire que le froid pouvait affecter les pokémons c’était s’imaginer qu’ils fonctionnaient de la même façon que les humains et ça, tu n’en étais pas certaine. Après tout, s’il était dit que les humains tombaient plus souvent malades lorsqu’il faisait froid, c’était surtout que le froid était en mesure de ralentir à peu près tout dans votre corps, vous rendant ainsi plus vulnérable, le système immunitaire étant moins fonctionnel. Mais est-ce que les pokémons étaient dotés d’un système immunitaire ? Et puis, cette température n’était sans doute pas froide pour eux. Que de questions auxquelles tu n’avais actuellement pas de réponses.
- Il faudrait d’abord répertorier les symptômes. Nathan, tu te souviens de comment est-ce que Noya se sentait ?
Une idée de départ tandis que tu prenais la direction désignée par Isara. Bien vu par elle, quelques pas plus loin et ne contrebas d’un amas de neige se trouvait des Marcacrins ainsi que quelques Cochignons. Sans doute qu’un ou des Mammochons n’étaient pas bien loin.
- Ne les brusquer pas, vous ne voudriez pas mettre en colère une maman.
L’instinct maternel semblait tout aussi présent, voir plus présent, chez certains pokémons, notamment ceux vivant en communauté.
- Il fait froid. T’fais chier, Shelby.
Tu commençais déjà à râler, accusant ton homme de votre malheur et ce, en sachant pertinemment que, au final, tu étais contente qu’il t’en ait parlé et d’être ici. Après tout, toi qui portais un intérêt tout particulier aux pokémons et la façon dont ils évoluaient dans différents environnement, le fait que certains soient malades pouvait vouloir dire qu’il y avait un virus dans les environs. Bon, tu aurais sans doute préféré que les pokémons soient en bonne santé, mais, si ça pouvait avancer tes recherches, tu n’étais pas contre non plus.
- Noya est tombé malade, de ce que j’ai remarqué lorsqu’ils sont rentrés de leur dernière escapade dans les environs.
Une façon comme une autre de dire que tu n’avais pas été à ses côtés.
- À première vue, je suspecte un virus qui s’est propagé dans les environs et qui n’a sans doute rien à voir avec le froid. Après tout, ils sont habitués à cet environnement puis je vois mal Noya attraper froid.
Et puis, croire que le froid pouvait affecter les pokémons c’était s’imaginer qu’ils fonctionnaient de la même façon que les humains et ça, tu n’en étais pas certaine. Après tout, s’il était dit que les humains tombaient plus souvent malades lorsqu’il faisait froid, c’était surtout que le froid était en mesure de ralentir à peu près tout dans votre corps, vous rendant ainsi plus vulnérable, le système immunitaire étant moins fonctionnel. Mais est-ce que les pokémons étaient dotés d’un système immunitaire ? Et puis, cette température n’était sans doute pas froide pour eux. Que de questions auxquelles tu n’avais actuellement pas de réponses.
- Il faudrait d’abord répertorier les symptômes. Nathan, tu te souviens de comment est-ce que Noya se sentait ?
Une idée de départ tandis que tu prenais la direction désignée par Isara. Bien vu par elle, quelques pas plus loin et ne contrebas d’un amas de neige se trouvait des Marcacrins ainsi que quelques Cochignons. Sans doute qu’un ou des Mammochons n’étaient pas bien loin.
- Ne les brusquer pas, vous ne voudriez pas mettre en colère une maman.
L’instinct maternel semblait tout aussi présent, voir plus présent, chez certains pokémons, notamment ceux vivant en communauté.
HRP :
Lyxiae
- Nathan Shelby
Combattant d'élite
Argent : 220
Expérience : 50
Région d'origine : Nerova
Âge : 25
Avatar : Oikawa Tooru
« Tu t’insultes toute seule débile, c’est toi la Shelby, maintenant. »
Bon, tu demeurais le Shelby originel, évidemment, mais tu n’avais pas trouvé meilleur moyen de te sortir des railleries de ta belle. Pourtant, tu commençais à la connaître mieux que toi-même et tu savais que derrière ces simagrées, elle cachait un enthousiasme certain à participer à cette expédition. Alors oui, le froid n’avait rien de très confortable et vos tenues de combat antigel ne faisaient pas de vous des stars de la mode, mais vous étiez tous les trois ensembles et tu ne pouvais t’imaginer meilleure équipe que celle-ci.
« Yep. » Une réponse simple suivi d’un hochement de tête pour acquiescer à la question que te posait la Davies. En effet, tu avais arpenté ces terres il y avait de ça quelques semaines. Et si le laps de temps entre tes deux visites paraissait être relativement restreint, un détail te sautait aux yeux ou, en tout cas, ne trompait pas tes sens. « Mais, en peu de temps les températures semblent avoir considérablement chutées. Peut-être qu’on est dans une période de températures instables ? La météo du coin à l’air d’être capricieuse. » Un détail qui avait d’ailleurs son importance. Si Noya était tombé malade dans des conditions plus favorables que celles-ci, étais-tu certain qu’il puisse résister alors que le climat était encore plus éprouvant ? « Comme River l’a dit, Noya est tombé malade. » Tes yeux vinrent se poser sur le singe qui, pour l’instant, demeurait celui qu’il avait l’habitude d’être. Énergique et enjoué, il n’affichait pas les mêmes faiblesses que la dernière fois et ça, c’était plutôt bon signe. « Ça ressemblait vraiment à un coup de froid. Il avait le nez qui coulait et à voir comment il agissait, peut-être quelques engourdissements, mais de rien de plus. »
Parce qu’évidemment, tu te gardais de dire que Noya avait eu bien assez de forces pour échapper à une maman Donphan enragée qui vous avait poursuivi jusqu’à Ilmerny. Parfois, il fallait préserver une dose de mystères au sein d’un couple. Continuant d’avancer alors qu’Isara semblait avoir repérer quelque chose, tu repris, l’air toujours un peu pensif et analytique. « Il n’a pas dû être exposé assez longtemps la dernière fois, c’est pour ça qu’il n’a pas été plus affecté que ça. Mais oui, j’ai pensé au virus aussi. Quelque chose qui affaiblirait leurs défenses à un point tel que, même les pokémons les plus adaptés finiraient par tomber malades ? » C’était sans doute l’hypothèse la plus plausible, celle d’un corps étranger venant détruire les systèmes immunitaires des pokémons atteints. « Ça ne doit affecter que les pokémons. Noya est tombé malade plus vite et moi, même sans être particulièrement bien couvert, je m’en suis sorti indemne. Mais… » T’essayas tant bien que mal de recoller tous les morceaux, de ne rien oublier… « Il y a quand même de fortes chances que le froid joue son rôle. Ça ressemblait clairement à un rhume pour pokémon. Espérons juste que ça s’arrête là et que ça ne va pas plus loin… »
Parce qu’en effet, si les créatures sauvages étaient atteintes de fièvres sévères, de douleurs musculaires et autres symptômes plus graves, tout ça, sans avoir accès à des soins rapides… Cela allait vite devenir compliqué à gérer.
Enfin, pour l’heure, vous alliez vous contenter d’observer. Du haut de votre petite colline de neige, vous aviez l’occasion de voir défiler un troupeau de Marcacrins accompagnés de leurs ainés. L’occasion était parfaite pour éventuellement quelques cas touchés par le supposé virus, mais évidemment, tout était trop beau pour qu’un événement Nathanesque ne vienne pas pimenter la chose.
Sans trop savoir comment, tu venais de perdre l’équilibre vers l’avant, dévalant la pente en glissant sur le ventre et ce, sans pouvoir faire autre chose que ralentir légèrement ta chute. Ne pas les brusquer ? Il ne restait plus qu’à espérer que les mamans ne prennent pas ta chute comment une agression territoriale…
Bon, tu demeurais le Shelby originel, évidemment, mais tu n’avais pas trouvé meilleur moyen de te sortir des railleries de ta belle. Pourtant, tu commençais à la connaître mieux que toi-même et tu savais que derrière ces simagrées, elle cachait un enthousiasme certain à participer à cette expédition. Alors oui, le froid n’avait rien de très confortable et vos tenues de combat antigel ne faisaient pas de vous des stars de la mode, mais vous étiez tous les trois ensembles et tu ne pouvais t’imaginer meilleure équipe que celle-ci.
« Yep. » Une réponse simple suivi d’un hochement de tête pour acquiescer à la question que te posait la Davies. En effet, tu avais arpenté ces terres il y avait de ça quelques semaines. Et si le laps de temps entre tes deux visites paraissait être relativement restreint, un détail te sautait aux yeux ou, en tout cas, ne trompait pas tes sens. « Mais, en peu de temps les températures semblent avoir considérablement chutées. Peut-être qu’on est dans une période de températures instables ? La météo du coin à l’air d’être capricieuse. » Un détail qui avait d’ailleurs son importance. Si Noya était tombé malade dans des conditions plus favorables que celles-ci, étais-tu certain qu’il puisse résister alors que le climat était encore plus éprouvant ? « Comme River l’a dit, Noya est tombé malade. » Tes yeux vinrent se poser sur le singe qui, pour l’instant, demeurait celui qu’il avait l’habitude d’être. Énergique et enjoué, il n’affichait pas les mêmes faiblesses que la dernière fois et ça, c’était plutôt bon signe. « Ça ressemblait vraiment à un coup de froid. Il avait le nez qui coulait et à voir comment il agissait, peut-être quelques engourdissements, mais de rien de plus. »
Parce qu’évidemment, tu te gardais de dire que Noya avait eu bien assez de forces pour échapper à une maman Donphan enragée qui vous avait poursuivi jusqu’à Ilmerny. Parfois, il fallait préserver une dose de mystères au sein d’un couple. Continuant d’avancer alors qu’Isara semblait avoir repérer quelque chose, tu repris, l’air toujours un peu pensif et analytique. « Il n’a pas dû être exposé assez longtemps la dernière fois, c’est pour ça qu’il n’a pas été plus affecté que ça. Mais oui, j’ai pensé au virus aussi. Quelque chose qui affaiblirait leurs défenses à un point tel que, même les pokémons les plus adaptés finiraient par tomber malades ? » C’était sans doute l’hypothèse la plus plausible, celle d’un corps étranger venant détruire les systèmes immunitaires des pokémons atteints. « Ça ne doit affecter que les pokémons. Noya est tombé malade plus vite et moi, même sans être particulièrement bien couvert, je m’en suis sorti indemne. Mais… » T’essayas tant bien que mal de recoller tous les morceaux, de ne rien oublier… « Il y a quand même de fortes chances que le froid joue son rôle. Ça ressemblait clairement à un rhume pour pokémon. Espérons juste que ça s’arrête là et que ça ne va pas plus loin… »
Parce qu’en effet, si les créatures sauvages étaient atteintes de fièvres sévères, de douleurs musculaires et autres symptômes plus graves, tout ça, sans avoir accès à des soins rapides… Cela allait vite devenir compliqué à gérer.
Enfin, pour l’heure, vous alliez vous contenter d’observer. Du haut de votre petite colline de neige, vous aviez l’occasion de voir défiler un troupeau de Marcacrins accompagnés de leurs ainés. L’occasion était parfaite pour éventuellement quelques cas touchés par le supposé virus, mais évidemment, tout était trop beau pour qu’un événement Nathanesque ne vienne pas pimenter la chose.
Sans trop savoir comment, tu venais de perdre l’équilibre vers l’avant, dévalant la pente en glissant sur le ventre et ce, sans pouvoir faire autre chose que ralentir légèrement ta chute. Ne pas les brusquer ? Il ne restait plus qu’à espérer que les mamans ne prennent pas ta chute comment une agression territoriale…
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by Lyxiae
- Isara Davies
Dresseur
Argent : 185
Expérience : 110
Région d'origine : nérova
Âge : vingt-quatre ans
Avatar : tohsaka rin (fate)
Que le froid rende River irritable ne t’étonne guère, mais tu t’efforces de ne pas t’y attarder surtout vue la réaction de Nathan qui reste fidèle à lui-même. Tu ne veux pas attiser le feu qu’il peut très bien avoir entre des deux amis pour des broutilles. De toute façon, à l’exception de Nathan qui est protégé par la chaleur de son Pokémon. Ce dernier ne semble toutefois pas immunisé contre tous les dangers de la région considérant ce que tes compagnons d’expéditions t’indiquent. Tu t’inquiètes un bref instant alors que Nathan parle de la température capricieuse et River d’un possible virus. Quelque chose qui aurait infecté autant le petit singe de feu que les Pokémons de la région peut-être ? Tu te demandes si c’est seulement possible considérant la différence de biologie entre tous ces Pokémons, mais tu supposes que River et Nathan pourraient en expliquer la réalité. C’est à se demander ce que tu fais là, vraiment. « Un coup de froid qui affecte même les Pokémons qui ne devraient pas l’être, ne devrions-nous pas garder nos Pokémons en sécurité. » Enfin, si ça se trouve Noya a développé quelques anticorps en la matière. Pour ta part, tu ne préfères pas prendre la chance, supposant que ni Odin, ni Medea ne seraient bien utiles pour votre situation ou votre enquête.
Continuant votre chemin, t’écoutes avec attention la suite des pensées de Nathan. « Il s’est remis rapidement de ce qui l’affectait ? » Avoir une idée de la temporalité pour un Pokémon qui n’a pas été longtemps mis en contact avec le virus pourrait peut-être vous aider à mieux comprendre le fonctionnement ou ce que ça implique pour les autres. Tu ne t’attends pourtant pas ce qu’il ajoute par la suite, ne pouvant t’empêcher de rouler des yeux. Ce n’est certainement pas l’idée du siècle que de parler de se promener de la région sans être bien couvert. T’espères seulement que River ne relèvera pas ce détail. Pour lui apporter un coup de main, tu t’attardes plutôt sur la suite de ses paroles rebondissant sur les possibilité de ce qui vous attend : « Si c’est un virus, ils doivent avoir été plus sévèrement touchés. » Ta façon de dire que tu doutes que ce serait aussi simple qu’un rhume. « Vous pensez que ça se propage uniquement dans l’air où il y aurait une autre source ? » Sans doute est-il trop tôt pour le dire, mais ça pourrait vous mettre sur une piste que de suivre leurs instincts.
Même si tu supposes que pour l’instant la priorité serait d’observer les Marcacrins et leurs parents. « Autant y aller doucement. » À défaut de savoir quoi faire de cette histoire tu peux tempérer les éventuelles ardeurs de tes compagnons (enfin surtout Nathan). Il semblerait toutefois que tu t’y prends trop tard puisque la malchance décide d’intervenir. Tu le regardes, interdite, alors que la gravité et la glace ne l’entraine en bas de la pente. « J’imagine qu’il fallait s’attendre à quelque chose du genre. » Non sans un petit rire alors que tu jettes un regard vers River. « À croire que c’est à nous de s’assurer qu’il ne lui arrive rien. » Tu ne voudrais pas les agresser davantage les pauvres créatures après l’arrivée de Nathan, mais un peu de tampon entre ton exubérant amie et les Pokémons ne feraient pas de mal, surtout si les choses devaient mal tourner. « Vous voyez des signes semblables aux symptômes de Noya ? » Tu parles d’une voix douces, cherchant la position la plus douce pour ne pas paraitre comme une menace pour les Pokémons sauvages.
Continuant votre chemin, t’écoutes avec attention la suite des pensées de Nathan. « Il s’est remis rapidement de ce qui l’affectait ? » Avoir une idée de la temporalité pour un Pokémon qui n’a pas été longtemps mis en contact avec le virus pourrait peut-être vous aider à mieux comprendre le fonctionnement ou ce que ça implique pour les autres. Tu ne t’attends pourtant pas ce qu’il ajoute par la suite, ne pouvant t’empêcher de rouler des yeux. Ce n’est certainement pas l’idée du siècle que de parler de se promener de la région sans être bien couvert. T’espères seulement que River ne relèvera pas ce détail. Pour lui apporter un coup de main, tu t’attardes plutôt sur la suite de ses paroles rebondissant sur les possibilité de ce qui vous attend : « Si c’est un virus, ils doivent avoir été plus sévèrement touchés. » Ta façon de dire que tu doutes que ce serait aussi simple qu’un rhume. « Vous pensez que ça se propage uniquement dans l’air où il y aurait une autre source ? » Sans doute est-il trop tôt pour le dire, mais ça pourrait vous mettre sur une piste que de suivre leurs instincts.
Même si tu supposes que pour l’instant la priorité serait d’observer les Marcacrins et leurs parents. « Autant y aller doucement. » À défaut de savoir quoi faire de cette histoire tu peux tempérer les éventuelles ardeurs de tes compagnons (enfin surtout Nathan). Il semblerait toutefois que tu t’y prends trop tard puisque la malchance décide d’intervenir. Tu le regardes, interdite, alors que la gravité et la glace ne l’entraine en bas de la pente. « J’imagine qu’il fallait s’attendre à quelque chose du genre. » Non sans un petit rire alors que tu jettes un regard vers River. « À croire que c’est à nous de s’assurer qu’il ne lui arrive rien. » Tu ne voudrais pas les agresser davantage les pauvres créatures après l’arrivée de Nathan, mais un peu de tampon entre ton exubérant amie et les Pokémons ne feraient pas de mal, surtout si les choses devaient mal tourner. « Vous voyez des signes semblables aux symptômes de Noya ? » Tu parles d’une voix douces, cherchant la position la plus douce pour ne pas paraitre comme une menace pour les Pokémons sauvages.
texte
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
Argent : 330
Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
La goutte au nez
River & Nathan & Isara
Tu réfléchis, écoutant les paroles prononcées par l’homme qui partageait ta vie avant de porter ton regard vers l’horizon. Tu restais sceptique, n’étant pas certaine que le froid ait joué là-dessus. Après tout, le froid se contentait bien souvent d’affaiblir le système immunitaire, or, pour ceux-ci habitués à de telles températures… Une recherche rapide t’avait confirmé qu’il ne faisait pas plus froid maintenant que quelques semaines plus tôt, tout semblant assez stable. Alors, que pouvait bien avoir causé cette maladie dont semblait victime les pokémons des environs ?
Tu t’avanças, traînant un peu des pieds dans la neige, appréciant toujours aussi peu ce froid qui fouettait ton visage, venant mordre le peu de peau que tu avais d’exposer.
- Noya a été malade quelques jours, si ma mémoire est bonne.
Mais Nathan serait sûrement celui le plus à même de répondre à cette question. Malgré les risques de maladie possible, tu te décidas tout de même de sortir un pokémon, peut-être que cela rendrait les choses un peu plus faciles, ne serait-ce que le contact avec ceux que vous comptiez évaluer. C’est donc ton Luxio qui se retrouva à tes côtés, sautillant dans la neige, curieux de son environnement. Le choix n’était pas anodin, les Marcacrins et leurs évolutions étant immunisés aux attaques du pokémon électrique, peut-être que cela vous éviterait qu’ils se méfient trop.
Et alors que tu leur suggérais de vous avancer lentement pour ne pas brusquer les pokémons, Nathan se retrouva à chuter, bien digne de lui-même, dévalant une pente et l’amenant immédiatement auprès des pokémons.
Bien évidemment.
Tu soupiras avant de descendre assez rapidement, faisant signe à Isara de te suivre, ton Luxio sur les talons, ce dernier s’essayant même à quelques roulades. À croire qu’il ne s’agisssait que d’un jeu pour lui, ce qui t’amusait autant que ça pouvait t’exaspérer.
- Une entrée toute en délicatesse.
Commentaire destiné au jeune homme à qui tu tendis une main pour l’aider à se relever. Heureusement pour vous, les pokémons ne semblaient pas hostiles à votre présence, même que très peu d’entre eux semblait se soucier de vous. Chose qui n’était pas normale, les Mammochon pouvant se montrer très protecteurs de leur descendance. Était-ce faute de la maladie, de ce supposé rhume qu’ils avaient, qui les amenait à être plus amorphe ? Si tel était le cas, mieux valait sans doute agir rapidement, car aussi larges étaient-ils, ils n’en restaient pas moins des cibles vulnérables, à l’heure actuelle.
- Nathan, comment est-ce qu’on les évalue ? On peut le faire sur place ou il faudrait voir pour en ramener avec nous ?
Des questions adressées à ton mari, celui qui était sûrement le plus à même de répondre à cette question. Car, s’il n’avait toujours pas sa licence, tu étais la première à savoir que, pour une fois, il se montrait sérieux vis-à-vis de quelque chose.
- Quant à la façon dont le virus se propage… N’y a-t-il pas de l’eau, près d’ici ?
Les chutes glacées. À savoir si le virus se propageait dans l’air ou s’il y avait quelque chose à observer du côté de l’eau.
Tu t’avanças, traînant un peu des pieds dans la neige, appréciant toujours aussi peu ce froid qui fouettait ton visage, venant mordre le peu de peau que tu avais d’exposer.
- Noya a été malade quelques jours, si ma mémoire est bonne.
Mais Nathan serait sûrement celui le plus à même de répondre à cette question. Malgré les risques de maladie possible, tu te décidas tout de même de sortir un pokémon, peut-être que cela rendrait les choses un peu plus faciles, ne serait-ce que le contact avec ceux que vous comptiez évaluer. C’est donc ton Luxio qui se retrouva à tes côtés, sautillant dans la neige, curieux de son environnement. Le choix n’était pas anodin, les Marcacrins et leurs évolutions étant immunisés aux attaques du pokémon électrique, peut-être que cela vous éviterait qu’ils se méfient trop.
Et alors que tu leur suggérais de vous avancer lentement pour ne pas brusquer les pokémons, Nathan se retrouva à chuter, bien digne de lui-même, dévalant une pente et l’amenant immédiatement auprès des pokémons.
Bien évidemment.
Tu soupiras avant de descendre assez rapidement, faisant signe à Isara de te suivre, ton Luxio sur les talons, ce dernier s’essayant même à quelques roulades. À croire qu’il ne s’agisssait que d’un jeu pour lui, ce qui t’amusait autant que ça pouvait t’exaspérer.
- Une entrée toute en délicatesse.
Commentaire destiné au jeune homme à qui tu tendis une main pour l’aider à se relever. Heureusement pour vous, les pokémons ne semblaient pas hostiles à votre présence, même que très peu d’entre eux semblait se soucier de vous. Chose qui n’était pas normale, les Mammochon pouvant se montrer très protecteurs de leur descendance. Était-ce faute de la maladie, de ce supposé rhume qu’ils avaient, qui les amenait à être plus amorphe ? Si tel était le cas, mieux valait sans doute agir rapidement, car aussi larges étaient-ils, ils n’en restaient pas moins des cibles vulnérables, à l’heure actuelle.
- Nathan, comment est-ce qu’on les évalue ? On peut le faire sur place ou il faudrait voir pour en ramener avec nous ?
Des questions adressées à ton mari, celui qui était sûrement le plus à même de répondre à cette question. Car, s’il n’avait toujours pas sa licence, tu étais la première à savoir que, pour une fois, il se montrait sérieux vis-à-vis de quelque chose.
- Quant à la façon dont le virus se propage… N’y a-t-il pas de l’eau, près d’ici ?
Les chutes glacées. À savoir si le virus se propageait dans l’air ou s’il y avait quelque chose à observer du côté de l’eau.
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Lyxiae
- Nathan Shelby
Combattant d'élite
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Âge : 25
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« Je pense que ça devrait aller pour Noya, il devrait y être plus résistant maintenant. » En effet, le Noya qui était tombé malade quelques temps plus tôt revêtait encore la forme d’un Ouisticram bien moins ardent que le Chimpenfeu qu’il est récemment devenu. Toutefois, la remarque d’Isara faisait sens, si des pokémons habitués aux températures glaciales tombaient eux-mêmes malades, alors tu ne pouvais pas raisonnablement penser que ton partenaire puisse y résister. En revanche, le singe enflammé avait déjà eu à affronter la maladie et son corps avait très certainement fait ses œuvres en s’adaptant à ce qui avait franchi ses défenses immunitaires déjà une fois.
La réalité demeurait tout de même floue. Noya avait effectivement été atteint de quelques symptômes des jours durant, cependant, rien de comparable aux maux des pokémons locaux. Peut-être était-ce lié au fait qu’il n’avait été que très peu exposé ? Peut-être s’en était-il allé au bon moment ? Ou peut-être que, depuis le début, cela n’avait été qu’un coup de malchance et que ton pokémon s’était fait avoir par un mauvais rhume. Aussi résistant pouvait-il être au froid, il n’en était pas immunisé, tout était donc possible. « Quelques jours, oui. Mais les symptômes sont vite devenus de l’ordre du détail. Je pense qu’il n’a pas eu le temps d’être sérieusement affecté. »
Des paroles bien sages pour quelqu’un qui, pour ne rien changer à ce qui se faisait habituellement, venait de dégringoler de son amas de neige. Le problème étant qu’à t’approcher de la sorte, certes sans le vouloir, près d’un troupeau de Mammochon, tu prenais véritablement de gros risques. L’espèce était connue pour sa territorialité et ses actes protecteurs vis-à-vis des leurs, après tout. Néanmoins, étrangement, tu ne fus pas si mal accueilli. Pas accueilli du tout, même. Quelque chose clochait, impossible d’en douter une seconde de plus.
Rapidement rejoint par tes deux comparses, tu te redressas, curieux, tentant d’analyser le comportement du troupeau. « Il faudrait s’approcher. » Mais c’était là tenter une chance qui était déjà insolente. Une entrée tonitruante à laquelle les mammouths de glace ne répondaient pas, c’était déjà une sacrée veine. Tenter davantage relevait du suicide. « Ça va être difficile d’en ramener un sans le capturer. Il faudrait que je puisse en ausculter un. Quelqu’un se sent de faire de la diplomatie pokémon ? » Disons que tu préférais peut-être faire la douceur féminine pour cette fois, on commençait à connaître ta tendance à attirer la malchance…
Noya demeurait présent pour désamorcer tout début de crise, de toute façon. Un protecteur idéal, qui, pourtant, s’avérait lui aussi être ignoré par les locaux. Comme si la menace qu’il pouvait représenter était dérisoire. Étrange.
« J’y pensais aussi, mais Noya n’a pas bu la dernière fois, du coup ça réduit les chances. Après… J’sais pas, peut-être que ça passe par la neige aussi ? Après tout, c’est de l’eau, d’une certaine façon. » Puis soudain, l’éclair de génie. L’illumination.
« Attendez ! Noya s’était retrouvé fatigué avec la maladie. S’il n’a été que faiblement touché et que le symptôme est quand même apparu, ça veut dire que ça doit être pire pour ceux plus sévèrement touchés. Peut-être qu’ils ne réagissent pas parce qu’ils n’en ont pas la force ? Ils utilisent le peu d’énergie qu’ils ont pour rentrer se réfugier ? » Si tel était le cas, alors vous alliez vous lancer dans un jeu de piste avec le troupeau pour rejoindre leur abri sauvage. Peut-être que de là-bas, vous alliez pouvoir obtenir des réponses à vos questions.
La réalité demeurait tout de même floue. Noya avait effectivement été atteint de quelques symptômes des jours durant, cependant, rien de comparable aux maux des pokémons locaux. Peut-être était-ce lié au fait qu’il n’avait été que très peu exposé ? Peut-être s’en était-il allé au bon moment ? Ou peut-être que, depuis le début, cela n’avait été qu’un coup de malchance et que ton pokémon s’était fait avoir par un mauvais rhume. Aussi résistant pouvait-il être au froid, il n’en était pas immunisé, tout était donc possible. « Quelques jours, oui. Mais les symptômes sont vite devenus de l’ordre du détail. Je pense qu’il n’a pas eu le temps d’être sérieusement affecté. »
Des paroles bien sages pour quelqu’un qui, pour ne rien changer à ce qui se faisait habituellement, venait de dégringoler de son amas de neige. Le problème étant qu’à t’approcher de la sorte, certes sans le vouloir, près d’un troupeau de Mammochon, tu prenais véritablement de gros risques. L’espèce était connue pour sa territorialité et ses actes protecteurs vis-à-vis des leurs, après tout. Néanmoins, étrangement, tu ne fus pas si mal accueilli. Pas accueilli du tout, même. Quelque chose clochait, impossible d’en douter une seconde de plus.
Rapidement rejoint par tes deux comparses, tu te redressas, curieux, tentant d’analyser le comportement du troupeau. « Il faudrait s’approcher. » Mais c’était là tenter une chance qui était déjà insolente. Une entrée tonitruante à laquelle les mammouths de glace ne répondaient pas, c’était déjà une sacrée veine. Tenter davantage relevait du suicide. « Ça va être difficile d’en ramener un sans le capturer. Il faudrait que je puisse en ausculter un. Quelqu’un se sent de faire de la diplomatie pokémon ? » Disons que tu préférais peut-être faire la douceur féminine pour cette fois, on commençait à connaître ta tendance à attirer la malchance…
Noya demeurait présent pour désamorcer tout début de crise, de toute façon. Un protecteur idéal, qui, pourtant, s’avérait lui aussi être ignoré par les locaux. Comme si la menace qu’il pouvait représenter était dérisoire. Étrange.
« J’y pensais aussi, mais Noya n’a pas bu la dernière fois, du coup ça réduit les chances. Après… J’sais pas, peut-être que ça passe par la neige aussi ? Après tout, c’est de l’eau, d’une certaine façon. » Puis soudain, l’éclair de génie. L’illumination.
« Attendez ! Noya s’était retrouvé fatigué avec la maladie. S’il n’a été que faiblement touché et que le symptôme est quand même apparu, ça veut dire que ça doit être pire pour ceux plus sévèrement touchés. Peut-être qu’ils ne réagissent pas parce qu’ils n’en ont pas la force ? Ils utilisent le peu d’énergie qu’ils ont pour rentrer se réfugier ? » Si tel était le cas, alors vous alliez vous lancer dans un jeu de piste avec le troupeau pour rejoindre leur abri sauvage. Peut-être que de là-bas, vous alliez pouvoir obtenir des réponses à vos questions.
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by Lyxiae
- Isara Davies
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Avatar : tohsaka rin (fate)
Malade pour quelques jours seulement. Allez savoir si c’est parce qu’il n’a pas été suffisamment exposé à la maladie ou si parce qu’il possède une quelconque résistance en la matière. Tu supposes que la première hypothèse est la bonne, mais tu n’en sais franchement rien au final. Au moins vous avez une piste, parce que peu importe ce qui a tenu Noya loin des conséquences plus sérieuses, il a tout de même été affecté lors de ce passage. Tu as toutes les raisons de croire que ça pourraient arriver à nouveau même si Nathan ne semble pas convaincu de ce fait. Tu suggères la prudence, mais ce n’est pas à l’ordre du jour vu comment le jeune homme, quelques instants plus tard, finit beaucoup trop proche d’un troupeau de Mammochon. Ça t’inquiète plus que ça te surprend de la part de ton meilleur ami et si tu suis River pour le rejoindre, ça ne t’empêche pas de surveiller les géants présents à l’affût de tout signe d’agressivité desquels il n’y en a aucun.
Reste à savoir comment procéder pour les ausculter et sur ce point, vous vous en remettez à Nathan. Ce dernier balaie la proposition d’en amener un, une capture ne semblant pas être la meilleure solution et suggère plutôt la diplomatie Pokémon. Une drôle d’idée, mais pas la plus mauvaise en soit. « Je peux essayer, mais je doute qu’ils m’accordent beaucoup d’attention. » Parce qu’ils ne bronchent toujours pas de vous avoir là, près de leurs progénitures. Ça te rassure en soit, parce que ça limite le danger que vous pourriez affronter, mais ça ne vous aide pas beaucoup à trouver la source de leur mal.
Ça vous permet au moins de réfléchir à la cause d’une façon presque posée. L’eau te semble une bonne piste, mais elle est aussitôt écarter en raison du fait que Noya n’en a pas bu. Si ce n’est pas l’eau… Nathan propose la neige. Pas bête. Tu t’apprêtes à souligner que c’est une bonne piste. Avec la chaleur dégagée par le singe de feu, il a sans doute du avaler un peu d’eau - de la neige fondue - malgré lui. Les Pokémons du quoi s’y promenant tout le temps… ça te semble une bonne hypothèse. Aucune chance de placer un mot puisque Nathan poursuit avec une nouvelle théorie. Tu l’écoute avec attention avant d’observer les colosses présents. « Ça expliqueraient pourquoi ils nous ignorent alors qu’ils ont des petits avec eux. » Le manque de réaction est définitivement un symptôme parce que la présence de Noya devrait normalement les inquiéter un peu plus que ça. « Par contre à ce rythme là, il risque de faire sombre avant qu’on atteigne leur abri. » Reste à voir ce que vous pouvez y faire. Les provoquer ? Trop risqué - et qui sait s’ils vont vraiment réagir à ce que vous ferez. Tu réfléchis un bref instant avant de suggérer. « Pendant qu’ils sont paisibles, tu peux peut-être essayer d’en ausculter un ? On pourrait avoir des observations préliminaires à traiter au moins. » Après tout, autant rentabiliser la lente marche que vous devrez faire pour atteindre leur abri. Puis bon avec un peu plus de symptômes listés, vous allez peut-être pouvoir faire des hypothèses plus éclairées.
Reste à savoir comment procéder pour les ausculter et sur ce point, vous vous en remettez à Nathan. Ce dernier balaie la proposition d’en amener un, une capture ne semblant pas être la meilleure solution et suggère plutôt la diplomatie Pokémon. Une drôle d’idée, mais pas la plus mauvaise en soit. « Je peux essayer, mais je doute qu’ils m’accordent beaucoup d’attention. » Parce qu’ils ne bronchent toujours pas de vous avoir là, près de leurs progénitures. Ça te rassure en soit, parce que ça limite le danger que vous pourriez affronter, mais ça ne vous aide pas beaucoup à trouver la source de leur mal.
Ça vous permet au moins de réfléchir à la cause d’une façon presque posée. L’eau te semble une bonne piste, mais elle est aussitôt écarter en raison du fait que Noya n’en a pas bu. Si ce n’est pas l’eau… Nathan propose la neige. Pas bête. Tu t’apprêtes à souligner que c’est une bonne piste. Avec la chaleur dégagée par le singe de feu, il a sans doute du avaler un peu d’eau - de la neige fondue - malgré lui. Les Pokémons du quoi s’y promenant tout le temps… ça te semble une bonne hypothèse. Aucune chance de placer un mot puisque Nathan poursuit avec une nouvelle théorie. Tu l’écoute avec attention avant d’observer les colosses présents. « Ça expliqueraient pourquoi ils nous ignorent alors qu’ils ont des petits avec eux. » Le manque de réaction est définitivement un symptôme parce que la présence de Noya devrait normalement les inquiéter un peu plus que ça. « Par contre à ce rythme là, il risque de faire sombre avant qu’on atteigne leur abri. » Reste à voir ce que vous pouvez y faire. Les provoquer ? Trop risqué - et qui sait s’ils vont vraiment réagir à ce que vous ferez. Tu réfléchis un bref instant avant de suggérer. « Pendant qu’ils sont paisibles, tu peux peut-être essayer d’en ausculter un ? On pourrait avoir des observations préliminaires à traiter au moins. » Après tout, autant rentabiliser la lente marche que vous devrez faire pour atteindre leur abri. Puis bon avec un peu plus de symptômes listés, vous allez peut-être pouvoir faire des hypothèses plus éclairées.
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by Lyxiae
- River C. Shelby
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La goutte au nez
River & Nathan & Isara
Il était vrai qu’il serait plus facile de comprendre ce qu’il se passait si celui avec les connaissances nécessaire dans votre groupe pouvait en ausculter un. Or, ça semblait compris. Quoique, à voir leur attitude, ça ne serait peut-être pas si difficile que ça. Tu les observes, écoutant attentivement ce que Nathan et Isara pouvaient dire sur le sujet. Un peu de diplomatie pokémon ? Seraient-ils seulement à même de vous écouter ? Puis vient une suggestion, à savoir l’eau. Quelque chose qui contaminerait l’eau des environs ? T’essaies de réfléchir pour avoir une idée. Y avait-il quelque chose, près des cours d’eau à moitié gelé ? Un bâtiment, un laboratoire, n’importe quoi qui expliquerait une contamination ? Ça valait la peine de se renseigner.
Tu décides alors, suivant les paroles de Nathan, de sortir un autre pokémon. Cette fois-ci, il s’agit d’un pokémon plus imposant que ton Luxio. Un Altaria aux douces couleurs rosées qui étend ses ailes pour venir se poser près de toi.
- Si c’est l’eau, il faudrait voir s’il n’y aurait pas un laboratoire ou une usine qui s’est installée dans les environs.
Ce n’est peut-être pas ça, mais ça te semble être une bonne piste. Puis, tu t’avances vers les Mammochons ainsi que leurs progénitures. Tu attires leur regard sans qu’un seul daigne faire un quelconque mouvement dans ta direction. Ça t’inquiète autant que ça te rassure. Tu t’approches d’une femelle, que tu reconnais à ses défenses, levant une main pour lui signifier que tu ne lui veux pas de mal. Tu veux juste l’aider, autant elle que tous ceux ici présents qui ne semblent pas avoir eu l’énergie nécessaire pour trouver refuge.
- Ruby, regénération, s’il te plait.
Le dragon recouvert de plume s’occupa alors de tenter de redonner un peu d’énergie au pokémon en tentant de soigner sa maladie. Peu à peu, le pokémon semblait apte à ouvrir plus grand ses yeux puis, après quelques instants, se redressa sur ses pattes. Il ne semblait pas agressif à ton égard, sûrement parce qu’il avait compris que tu l’avais aidé.
- Nathan, si tu as un patient volontaire, ça irait tu penses ? Peut-être même que Noah peut tenter de discuter avec lui pour comprendre s’il a une idée de ce qu’il se passe ?
Tu ne pouvais pas soigner tout le clan, mais un, c’était déjà pas mal. Tu t’occupas de le rassurer, de lui dire que vous étiez là pour les aider. Que vous aviez juste besoin de comprendre. Le Mammochon accepta donc de te suivre, marchant lentement jusqu’à s’arrêter devant Nathan et Isara. Tu adressas un sourire en coin à ton homme. Comme quoi t’étais pas trop mauvaise, pour de la diplomatie pokémon. T’espérais donc qu’il parvienne à trouver quelque chose, sans quoi vous alliez rapidement commencer à manquer d’options pour comprendre ce qu’il se passait ici.
Tu décides alors, suivant les paroles de Nathan, de sortir un autre pokémon. Cette fois-ci, il s’agit d’un pokémon plus imposant que ton Luxio. Un Altaria aux douces couleurs rosées qui étend ses ailes pour venir se poser près de toi.
- Si c’est l’eau, il faudrait voir s’il n’y aurait pas un laboratoire ou une usine qui s’est installée dans les environs.
Ce n’est peut-être pas ça, mais ça te semble être une bonne piste. Puis, tu t’avances vers les Mammochons ainsi que leurs progénitures. Tu attires leur regard sans qu’un seul daigne faire un quelconque mouvement dans ta direction. Ça t’inquiète autant que ça te rassure. Tu t’approches d’une femelle, que tu reconnais à ses défenses, levant une main pour lui signifier que tu ne lui veux pas de mal. Tu veux juste l’aider, autant elle que tous ceux ici présents qui ne semblent pas avoir eu l’énergie nécessaire pour trouver refuge.
- Ruby, regénération, s’il te plait.
Le dragon recouvert de plume s’occupa alors de tenter de redonner un peu d’énergie au pokémon en tentant de soigner sa maladie. Peu à peu, le pokémon semblait apte à ouvrir plus grand ses yeux puis, après quelques instants, se redressa sur ses pattes. Il ne semblait pas agressif à ton égard, sûrement parce qu’il avait compris que tu l’avais aidé.
- Nathan, si tu as un patient volontaire, ça irait tu penses ? Peut-être même que Noah peut tenter de discuter avec lui pour comprendre s’il a une idée de ce qu’il se passe ?
Tu ne pouvais pas soigner tout le clan, mais un, c’était déjà pas mal. Tu t’occupas de le rassurer, de lui dire que vous étiez là pour les aider. Que vous aviez juste besoin de comprendre. Le Mammochon accepta donc de te suivre, marchant lentement jusqu’à s’arrêter devant Nathan et Isara. Tu adressas un sourire en coin à ton homme. Comme quoi t’étais pas trop mauvaise, pour de la diplomatie pokémon. T’espérais donc qu’il parvienne à trouver quelque chose, sans quoi vous alliez rapidement commencer à manquer d’options pour comprendre ce qu’il se passait ici.
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- Nathan Shelby
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Avatar : Oikawa Tooru
Les questions se bousculaient dans ta tête. Tu avais fait une irruption fracassante et avait clairement perturbé la marche d’un troupeau pokémon, t’approchant de bébés qui, normalement, demeuraient plus protéger que bien des trésors de l’humanité. Pourtant, tu t’en sortais indemne, exempt des représailles des Mammochon… Si le doute persistait encore ne serait-ce qu’un peu avant tout ça, il était désormais levé : quelque chose n’allait définitivement pas. Le problème, outre ériger un mystère particulièrement « prise de tête », s’incarnait dans le fait que ces maux qui frappaient les pokémons sauvages les rendaient vulnérables, bien trop vulnérables. Pas seulement au froid, mais aussi et surtout à la vie naturelle. Au cours des choses. Sans avoir la force de se battre et se défendre, les Mammochon devenaient des proies faciles et idéales pour les créatures épargnées par la maladie se répandant. Plus qu’une question de sauvegarde, il s’agissait avant tout d’une question d’équilibre de l’écosystème d’Ilmerny. Les choses devaient rentrer dans l’ordre et vite pour ne pas que la faune de la zone toute entière se retrouve chamboulée pour les prochains temps. Aucun changement n’était irréversible, mais bien de ceux-ci mettraient des décennies à être remis en ordre.
« Il faut rapidement trouver la source de tout ça et impliquer davantage les Rangers. S’il s’avère que certaines espèces de pokémons sont épargnées, le biotope entier de la zone va être mis à mal. » Qui aurait cru que tu en viendrais à t’inquiéter pour l’environnement toi qui, il y avait quelques années de ça, ne pensait qu’à ta petite personne et à ton développement personnel vers ce que tu considérais être comme la liberté la plus totale. La vie t’avait façonné, River aussi. Tu n’étais plus vraiment le même, pour le meilleur. Jamais tu n’aurais pu t’imaginer être au service des pokémons, jamais surtout tu n’aurais pu t’imaginer être en mesure de leur être salvateur.
« Ce serait l’idéal. Je vais essayer de faire avec le matériel à disposition, ça pourrait étayer nos pistes. » En te retournant vers Isara. Vous n’aviez effectivement pas vraiment le choix, si vous vouliez avancer, tu allais devoir examiner plus en détail l’un des spécimens présents. Cela ne garantissait en rien d’obtenir des réponses précises, loin de là même, surtout aux vues des conditions et des outils dont tu pouvais faire l’usage, toutefois, vous étiez dans l’impasse et n’importe quelle information était bonne à prendre, susceptible de vous mettre sur la bonne voie.
Profitant de l’instant de réflexion, River s’était aventurée plus près encore du troupeau, libérant son dragon chromatique pour bénéficier des faveurs curatives de l’Altaria sur l’une des membres du troupeau. Une idée qui ne t’était pas venue en tête immédiatement, mais heureusement, c’était bien pour apporter leur intellect que les deux demoiselles étaient présentes à tes côtés. Frappant ton poing dans la paume de ta main, tu restas immobile face au spectacle, appréciant toujours les bienfaits que les pokémons étaient capables de disperser. Évidemment, le pokémon de ta belle n’était théoriquement pas en mesure d’éradiquer la maladie s’il s’agissait d’un virus, mais pour certaines hypothèses, cela pouvait marcher. A minima, cela permettait au moins à l’un de Mammochon de retrouver un état de forme correct et suffisant pour que tu puisses l’ausculter.
« C’est parfait ! Je m’en occupe, t’es la meilleure ! » Cette fois-ci en te rapprochant de manière plus confiante de la créature requinquée. Un petit bisou déposé sur la joue de ta moitié, tu en vins rapidement à te retrouver au plus près du colosse des glaces. C’était maintenant qu’il fallait se montrer concentré et ne laisser échapper aucun détail. « Noah, examine-le, toi aussi. » Car mine de rien, ton Riolu s’était déjà illustré comme un acolyte de choix pour tout ce qui relevait de la médecine pokémon. Noah avait cette faculté de percevoir l’aura des êtres-vivants, une force unique et imperceptible pour vos pauvres yeux d’humains. Quelque chose de presque surnaturel qui corrélait parfaitement avec l’état de santé et les émotions d’un individu, qu’il s’agisse d’un pokémon ou de toute autre chose. Colère, joie, nervosité, tout était identifiable pour le bébé pokémon et ce, malgré sa jeunesse encore flagrante. Au-delà de ça, les fluctuations de l’aura permettaient également de s’enquérir d’un état de santé, la faiblesse de l’aura allait de pair avec la faiblesse vitale.
Frôlant plus assurément la femelle qui allait te servir de patiente, tu passas doucement ta main gantée à travers le pelage de poils de la bête. Tes doigts poussèrent avec un peu plus de vigueur contre la peau du pokémon, mais évidemment, comme tu avais pu t’en douter, tu remarquais très rapidement la résistance et la robustesse des Mammochon. Un cuir capable de résister non seulement au froid, mais aussi aux coups les plus féroces. Finalement, malgré les températures qui chutaient en même temps que l’astre solaire, tu te débarrassas de tes protections de tissus, libérant tes doigts pour plus de liberté et une appréciation plus sereine. En fouillant un peu dans ce que vous aviez embarqué, tu avais récupéré de quoi mesurer la température corporelle du pokémon sauvage, t’approchant de sa face, tu laissas trainer ta paume contre l’énorme défense gelée, tentant de faire comprendre au mammouth qu’il devait te faire confiance encore un peu. En guise de première approche, tu étais venu trouver son groin, endroit le plus exposé et laissant émaner le plus clairement la chaleur du corps chez les Mammochon. « Je crois qu’elle a de la fièvre. » Chose qui s’était rapidement confirmé grâce au thermomètre dont tu venais de faire l’usage. « Ça sous-entend que son corps cherche à éliminer quelque chose. »
Au même instant, tu avais été interpellé par Noah qui apportait lui aussi sa pierre à l’édifice et te rapportant que l’état de ta patiente allait clairement en s’améliorant, son aura se renforçant graduellement par rapport à celles de ses congénères. « Mais Ruby a clairement fait effet. Et si Régénération a été aussi efficace, c’est peut-être un empoisonnement ? Quelque chose qui s’est infiltré dans leur sang ? »
L’hypothèse était plus que plausible et pour vérifier ça, vous n’aviez pas trente-six façons. Retournant fouiller dans ton sac à dos, tu attrapas une petite trousse de laquelle tu extirpas un scalpel. La peau des Mammochon était bien trop résistante pour que tu puisses espérer la pénétrer avec une aiguille classique et tu n’avais pas définitivement pas prévu le matériel adéquat pour passer par une piqure. Tu allais devoir te débrouiller plus rustiquement. « T’en fais pas, tu ne sentiras rien. » En effet, peu de chance que la lame ne créé plus qu’une simple égratignure, de quoi récupérer quelques échantillons de sang, rien de ce qu’un tel colosse ne pourrait s’infliger lui-même en marchant au sein des contrées sauvages de la région. Plantant le tranchant du scalpel, tu incisas rapidement, amenant un flacon vers la plaie pour récolter les quelques goûtes de sang qui s’en échappaient. Autour du même flacon tu attachas un petit morceau de papier sur lequel tu venais d’inscrire le numéro de ton NéroviD.
Une pokéball de plus de sortie et voilà que tu libérais Nidhogg dans ce froid hivernal. Chose qui ne paraissait pas déranger particulièrement le dragon, son espèce ayant été façonnée pour affronter les déferlements les plus sauvages de la mer. « Ramène ça au centre pokémon d’Ilmerny aussi vite que tu le peux et expose toi le moins possible. Pas de détours, les résultats sont urgents. » Des consignes simples que le Dracolosse n’aurait pas le moindre mal à mettre à exécution. Dans un battement d’ailes puissant, le mastodonte céleste s’éleva, dégageant l’amas de neige autour de lui propulsant une légère bourrasque de vent. En une seconde, il avait gagné les hauteurs du ciel, une de plus et son corps n’était déjà plus qu’un petit point au loin à travers l’infini rosé.
« S’il s’avère que c’est réellement un empoisonnement, alors c’est que quelque chose contamine l’endroit assez pour que beaucoup de pokémons y soient exposés. Il faut qu’on trouve quelque chose, comme l’eau ou la neige, que tous les pokémons sauvages côtoient. Noya n’a rien bu la dernière fois, donc ça élimine l’eau… Mais peut-être que ça se répand à moindre mesure à travers l’air, l’eau restant la source principale de l’empoisonnement ? Ou peut-être que c’est quelque chose dans le sol qui touche directement la neige ? Peu importe, si on trouve ce qui est à l’origine de tout ça, on trouvera les zones touchées et on pourra agir. On fait un tour avant de ne plus rien y voir ? »
De toute façon, vous n’aviez rien de mieux à faire avoir de recevoir les résultats du centre pokémon. Autant mettre votre temps au service de la bonne cause…
« Il faut rapidement trouver la source de tout ça et impliquer davantage les Rangers. S’il s’avère que certaines espèces de pokémons sont épargnées, le biotope entier de la zone va être mis à mal. » Qui aurait cru que tu en viendrais à t’inquiéter pour l’environnement toi qui, il y avait quelques années de ça, ne pensait qu’à ta petite personne et à ton développement personnel vers ce que tu considérais être comme la liberté la plus totale. La vie t’avait façonné, River aussi. Tu n’étais plus vraiment le même, pour le meilleur. Jamais tu n’aurais pu t’imaginer être au service des pokémons, jamais surtout tu n’aurais pu t’imaginer être en mesure de leur être salvateur.
« Ce serait l’idéal. Je vais essayer de faire avec le matériel à disposition, ça pourrait étayer nos pistes. » En te retournant vers Isara. Vous n’aviez effectivement pas vraiment le choix, si vous vouliez avancer, tu allais devoir examiner plus en détail l’un des spécimens présents. Cela ne garantissait en rien d’obtenir des réponses précises, loin de là même, surtout aux vues des conditions et des outils dont tu pouvais faire l’usage, toutefois, vous étiez dans l’impasse et n’importe quelle information était bonne à prendre, susceptible de vous mettre sur la bonne voie.
Profitant de l’instant de réflexion, River s’était aventurée plus près encore du troupeau, libérant son dragon chromatique pour bénéficier des faveurs curatives de l’Altaria sur l’une des membres du troupeau. Une idée qui ne t’était pas venue en tête immédiatement, mais heureusement, c’était bien pour apporter leur intellect que les deux demoiselles étaient présentes à tes côtés. Frappant ton poing dans la paume de ta main, tu restas immobile face au spectacle, appréciant toujours les bienfaits que les pokémons étaient capables de disperser. Évidemment, le pokémon de ta belle n’était théoriquement pas en mesure d’éradiquer la maladie s’il s’agissait d’un virus, mais pour certaines hypothèses, cela pouvait marcher. A minima, cela permettait au moins à l’un de Mammochon de retrouver un état de forme correct et suffisant pour que tu puisses l’ausculter.
« C’est parfait ! Je m’en occupe, t’es la meilleure ! » Cette fois-ci en te rapprochant de manière plus confiante de la créature requinquée. Un petit bisou déposé sur la joue de ta moitié, tu en vins rapidement à te retrouver au plus près du colosse des glaces. C’était maintenant qu’il fallait se montrer concentré et ne laisser échapper aucun détail. « Noah, examine-le, toi aussi. » Car mine de rien, ton Riolu s’était déjà illustré comme un acolyte de choix pour tout ce qui relevait de la médecine pokémon. Noah avait cette faculté de percevoir l’aura des êtres-vivants, une force unique et imperceptible pour vos pauvres yeux d’humains. Quelque chose de presque surnaturel qui corrélait parfaitement avec l’état de santé et les émotions d’un individu, qu’il s’agisse d’un pokémon ou de toute autre chose. Colère, joie, nervosité, tout était identifiable pour le bébé pokémon et ce, malgré sa jeunesse encore flagrante. Au-delà de ça, les fluctuations de l’aura permettaient également de s’enquérir d’un état de santé, la faiblesse de l’aura allait de pair avec la faiblesse vitale.
Frôlant plus assurément la femelle qui allait te servir de patiente, tu passas doucement ta main gantée à travers le pelage de poils de la bête. Tes doigts poussèrent avec un peu plus de vigueur contre la peau du pokémon, mais évidemment, comme tu avais pu t’en douter, tu remarquais très rapidement la résistance et la robustesse des Mammochon. Un cuir capable de résister non seulement au froid, mais aussi aux coups les plus féroces. Finalement, malgré les températures qui chutaient en même temps que l’astre solaire, tu te débarrassas de tes protections de tissus, libérant tes doigts pour plus de liberté et une appréciation plus sereine. En fouillant un peu dans ce que vous aviez embarqué, tu avais récupéré de quoi mesurer la température corporelle du pokémon sauvage, t’approchant de sa face, tu laissas trainer ta paume contre l’énorme défense gelée, tentant de faire comprendre au mammouth qu’il devait te faire confiance encore un peu. En guise de première approche, tu étais venu trouver son groin, endroit le plus exposé et laissant émaner le plus clairement la chaleur du corps chez les Mammochon. « Je crois qu’elle a de la fièvre. » Chose qui s’était rapidement confirmé grâce au thermomètre dont tu venais de faire l’usage. « Ça sous-entend que son corps cherche à éliminer quelque chose. »
Au même instant, tu avais été interpellé par Noah qui apportait lui aussi sa pierre à l’édifice et te rapportant que l’état de ta patiente allait clairement en s’améliorant, son aura se renforçant graduellement par rapport à celles de ses congénères. « Mais Ruby a clairement fait effet. Et si Régénération a été aussi efficace, c’est peut-être un empoisonnement ? Quelque chose qui s’est infiltré dans leur sang ? »
L’hypothèse était plus que plausible et pour vérifier ça, vous n’aviez pas trente-six façons. Retournant fouiller dans ton sac à dos, tu attrapas une petite trousse de laquelle tu extirpas un scalpel. La peau des Mammochon était bien trop résistante pour que tu puisses espérer la pénétrer avec une aiguille classique et tu n’avais pas définitivement pas prévu le matériel adéquat pour passer par une piqure. Tu allais devoir te débrouiller plus rustiquement. « T’en fais pas, tu ne sentiras rien. » En effet, peu de chance que la lame ne créé plus qu’une simple égratignure, de quoi récupérer quelques échantillons de sang, rien de ce qu’un tel colosse ne pourrait s’infliger lui-même en marchant au sein des contrées sauvages de la région. Plantant le tranchant du scalpel, tu incisas rapidement, amenant un flacon vers la plaie pour récolter les quelques goûtes de sang qui s’en échappaient. Autour du même flacon tu attachas un petit morceau de papier sur lequel tu venais d’inscrire le numéro de ton NéroviD.
Une pokéball de plus de sortie et voilà que tu libérais Nidhogg dans ce froid hivernal. Chose qui ne paraissait pas déranger particulièrement le dragon, son espèce ayant été façonnée pour affronter les déferlements les plus sauvages de la mer. « Ramène ça au centre pokémon d’Ilmerny aussi vite que tu le peux et expose toi le moins possible. Pas de détours, les résultats sont urgents. » Des consignes simples que le Dracolosse n’aurait pas le moindre mal à mettre à exécution. Dans un battement d’ailes puissant, le mastodonte céleste s’éleva, dégageant l’amas de neige autour de lui propulsant une légère bourrasque de vent. En une seconde, il avait gagné les hauteurs du ciel, une de plus et son corps n’était déjà plus qu’un petit point au loin à travers l’infini rosé.
« S’il s’avère que c’est réellement un empoisonnement, alors c’est que quelque chose contamine l’endroit assez pour que beaucoup de pokémons y soient exposés. Il faut qu’on trouve quelque chose, comme l’eau ou la neige, que tous les pokémons sauvages côtoient. Noya n’a rien bu la dernière fois, donc ça élimine l’eau… Mais peut-être que ça se répand à moindre mesure à travers l’air, l’eau restant la source principale de l’empoisonnement ? Ou peut-être que c’est quelque chose dans le sol qui touche directement la neige ? Peu importe, si on trouve ce qui est à l’origine de tout ça, on trouvera les zones touchées et on pourra agir. On fait un tour avant de ne plus rien y voir ? »
De toute façon, vous n’aviez rien de mieux à faire avoir de recevoir les résultats du centre pokémon. Autant mettre votre temps au service de la bonne cause…
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by Lyxiae
- Isara Davies
Dresseur
Argent : 185
Expérience : 110
Région d'origine : nérova
Âge : vingt-quatre ans
Avatar : tohsaka rin (fate)
Comme d’habitude, River a les bonnes idées pour le trio. Tu l’observes s’approcher des Mammochons pour sortir son Altaria - que tu ne peux qu’admirer au passage - et lui demander de soigner un des Pokémons présents. Tu restes en retrait, ne voulant pas brusquer les Mammochons alors que ton amie est visiblement en train de leur montrer que vous n’êtes pas une source de danger. T’adresses un sourire à River lorsque Nathan la remercie. Elle est, effectivement, la meilleure du trio. Le Pokémons sauvage semble déjà se porter mieux, ce qui est encourageant pour vos objectifs, mais surtout qui permet au jeune homme de se rapprocher pour l’ausculter. Tu te tiens toujours en retrait, consciente que tu n’as pas suffisamment de connaissance pour lui venir en aide. Autant laisser l’expert du trio s’en occuper pendant que t’essaies de te rendre utile en regardant sur ton téléphone les dernières constructions dans les parages pour essayer de voir si une usine ou un laboratoire ne se serait pas installé récemment comme River l’avait suggérer. Tu ne trouves rien de si prometteur sur les bases de données auxquelles tu pouvais accéder sur ton NéroVid.
Il faut un certain temps à Nathan pour qu’il partage ses découvertes. Tu notes la fièvre dans ta liste des symptômes avec le manque d’énergie. Qui plus est l’intervention de l’Altria semblait avoir porté ses fruits. C’est encourageant puisque ça vous donne une direction vers laquelle vous dirigez : un empoisonnement. Tu laisses Nathan charger son Dracolosse d’aller amener un échantillon au centre Pokémon, réfléchissant à ce qui pourrait leur transmettre un empoisonnement, quelque chose qui affecterait tout le troupeau. Tu ne reprends donc la parole qu’après les théories de ton ami. « Le problème avec l’air, c’est que la source de l’empoisonnement pourrait se propager sur une très longue distance. Les Pokémons en ville devraient être tous affectés aussi. » Parce qu’ils n’auraient pas besoin d’être en contact avec les Pokémons infectés, juste avec la source et l’air… Enfin, c’est qu’une hypothèse, t’en sais trop rien. « Je pense qu'il est plus probable qu’il s’agisse de quelque chose qui se déverse dans le sol et que ça contamine la neige. Noya y aurait touché la dernière fois. » Puis bon, ça expliquerait pourquoi c’est limité à la zone et que ça ne se déplace pas encore plus comme l’air le ferait.
Cela dit Nathan a raison, il vous faut faire un tour pour examiner les environs avant qu’il ne fasse trop noir. Tu passes outre tes réticences et laisse sortir ta Sonistrelle de sa Pokéball. « Tu peux essayer de faire un tour rapide des parages et si tu sens quelque chose d’étrange revenir ? » Tu t’adresses à la dragonne, tout de même inquiète à l’idée qu’elle attrape le virus ou soit empoisonnée à son tour. Ça te fait penser. « Il y a des Pokémons volants dans les parages ? Si ça se transmet par la neige au sol ils devraient être moins affectés. » Après tout, les Pokémons volants ne s’y posent que parfois et devraient donc être épargné. Ça pourrait au minimum confirmer votre hypothèse. Peut-être que t’essaies juste de te rassurer pour ta Sonistrelle aussi, c’est une forte possibilité. Quoi qu’il en soit, cette dernière revient rapidement vers vous. « Je sais pas ce qu’elle a vu, mais il semblerait qu’il faut aller par-là. » T’as pas trop compris ta dragonne, n’ayant pas encore l’habitude, mais tu lui fais assez confiance pour intimer tes amis d’aller dans cette direction.
Il faut un certain temps à Nathan pour qu’il partage ses découvertes. Tu notes la fièvre dans ta liste des symptômes avec le manque d’énergie. Qui plus est l’intervention de l’Altria semblait avoir porté ses fruits. C’est encourageant puisque ça vous donne une direction vers laquelle vous dirigez : un empoisonnement. Tu laisses Nathan charger son Dracolosse d’aller amener un échantillon au centre Pokémon, réfléchissant à ce qui pourrait leur transmettre un empoisonnement, quelque chose qui affecterait tout le troupeau. Tu ne reprends donc la parole qu’après les théories de ton ami. « Le problème avec l’air, c’est que la source de l’empoisonnement pourrait se propager sur une très longue distance. Les Pokémons en ville devraient être tous affectés aussi. » Parce qu’ils n’auraient pas besoin d’être en contact avec les Pokémons infectés, juste avec la source et l’air… Enfin, c’est qu’une hypothèse, t’en sais trop rien. « Je pense qu'il est plus probable qu’il s’agisse de quelque chose qui se déverse dans le sol et que ça contamine la neige. Noya y aurait touché la dernière fois. » Puis bon, ça expliquerait pourquoi c’est limité à la zone et que ça ne se déplace pas encore plus comme l’air le ferait.
Cela dit Nathan a raison, il vous faut faire un tour pour examiner les environs avant qu’il ne fasse trop noir. Tu passes outre tes réticences et laisse sortir ta Sonistrelle de sa Pokéball. « Tu peux essayer de faire un tour rapide des parages et si tu sens quelque chose d’étrange revenir ? » Tu t’adresses à la dragonne, tout de même inquiète à l’idée qu’elle attrape le virus ou soit empoisonnée à son tour. Ça te fait penser. « Il y a des Pokémons volants dans les parages ? Si ça se transmet par la neige au sol ils devraient être moins affectés. » Après tout, les Pokémons volants ne s’y posent que parfois et devraient donc être épargné. Ça pourrait au minimum confirmer votre hypothèse. Peut-être que t’essaies juste de te rassurer pour ta Sonistrelle aussi, c’est une forte possibilité. Quoi qu’il en soit, cette dernière revient rapidement vers vous. « Je sais pas ce qu’elle a vu, mais il semblerait qu’il faut aller par-là. » T’as pas trop compris ta dragonne, n’ayant pas encore l’habitude, mais tu lui fais assez confiance pour intimer tes amis d’aller dans cette direction.
texte
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
Argent : 330
Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
La goutte au nez
River & Nathan & Isara
Tu souris, accueillant volontier le baiser qui se dépose sur ta joue. C’était ça aussi, que tu aimais avec lui. Les petites attentions, les petits gestes d’affection qui se manifestaient naturellement. Tu recules, lui laissant la place, en laissant Ruby revenir vers toi. Tu lèves la main, perdant ainsi ta main dans son plumage donnant l’impression d’un nuage coloré flottant au-dessus de vos têtes. Revenant vers Isara, t’essaies de savoir s’il y avait laboratoire ou usine près. Rien d’officiel, mais ça ne voulait pas dire qu’il n’y avait pas quelque chose à l’origine du mal qui avait frappé ces pokémons. L’eau n’était peut-être pas la piste à suivre, Noya étant tombé malade, mais le sol… Tu te demandais comment est-ce que le poison pouvait se répandre dans le sol, ce qui semblait difficile mais sans doute pas impossible.
Il y avait toujours une part de fascination dans ton regard lorsque tu voyais Nathan travailler comme ça. Ça et un sincère éclat de bonheur. Tu l’avais vu travailler pour en arriver là et t’avais été témoin des changements dans sa vie. Et au final, t’étais juste heureuse de le savoir plus épanoui. C’était tout ce que tu voulais, son bonheur. Suite aux paroles de Nathan, tu t’es décidée de demander à Ruby de soigner, par prévention, Lester avant de le rappeler dans sa pokéball. Au cas où si c’était le sol, tu ne voulais pas risquer sa santé. Quant à Ruby, elle était plus forte, plus robuste mais surtout, elle volait.
- Faudrait quand même voir donc s’il y a quelque chose qui infecte le sol et donc, par conséquent, les pokémons. Et normalement, dans les environs, il y a des Furaiglons et des Guériaigles. J’imagine qu’on peut voir comment est-ce qu’eux se portent.
Si c’était dans le sol, eux devaient mieux s’en tirer. Tu fais donc signe à ton Altaria de prendre son envol et d’aller voir si elle ne pouvait pas apprendre quelque chose à ce niveau. De ton côté, tu décides de t’avancer en territoire inconnu sans savoir exactement ce que tu cherchais. L’écharpe remontée devant ton nez, tu fais ton possible pour te protéger du froid frappant les alentours. C’est finalement Isara qui vous donne une direction et tu décides donc de faire confiance à sa Sonistrelle. Il s’agit d’un pokémon intelligent parfois capable de voir des trucs que vous, simples humains, n’arriveriez pas à voir. Puis, vous n’aviez rien à perdre.
Prenant donc la direction donnée par la Sonistrelle, tu traças ton chemin dans la neige, te retenant de pester contre la température. T’étais là pour une raison importante, c’était pas le moment d’emmerder tout le monde avec tes plaintes. Alors tu restes silencieuse jusqu’à ce que Ruby revienne vers toi, accompagnée d’un Guériaigle qui, bien heureusement, ne semblait pas agressif. Et, de toute évidence, il semblait bien portant.
- Je pense donc que ça confirme la théorie du sol, si les pokémons volant se portent bien. Je te conseillerais de rappeler Noah.
Tes prunelles émeraudes s’étaient tournées vers ton homme alors que tu t’inquiétais pour le jeune Riolu. T’avais pas envie que lui aussi tombe malade à son tour. Puis, continuant de t’avancer, un peu plus bas, près d’une source d’eau, se trouvait un bâtiment donnant l’impression d’être abandonné. Était-ce là la source du problème, du poison qui paralysait la vie des pokémons sauvages des environs ?
- Je sais pas trop si c’est sécuritaire, comme endroit.
Voir ici que t’étais pas certaine de vouloir t’y aventurer. Après tout, peut-être que vous faisiez fausse route. Avec un peu de chance, les résultats d’analyse tomberaient bientôt, ce qui vous permettrait de mieux identifier la source de ce qui frappait les environs. La petite princesse que t’étais était pas fan des aventures possiblement dangereuses, et ce, quand bien même ça arrivait parfois au cours de tes recherches. Mais si tu pouvais éviter les bâtiments abandonnées aux allures lugubres dans lesquels s’étaient déroulés tu ne savais trop quoi, honnêtement, tu t’en porterais sans doute mieux.
Il y avait toujours une part de fascination dans ton regard lorsque tu voyais Nathan travailler comme ça. Ça et un sincère éclat de bonheur. Tu l’avais vu travailler pour en arriver là et t’avais été témoin des changements dans sa vie. Et au final, t’étais juste heureuse de le savoir plus épanoui. C’était tout ce que tu voulais, son bonheur. Suite aux paroles de Nathan, tu t’es décidée de demander à Ruby de soigner, par prévention, Lester avant de le rappeler dans sa pokéball. Au cas où si c’était le sol, tu ne voulais pas risquer sa santé. Quant à Ruby, elle était plus forte, plus robuste mais surtout, elle volait.
- Faudrait quand même voir donc s’il y a quelque chose qui infecte le sol et donc, par conséquent, les pokémons. Et normalement, dans les environs, il y a des Furaiglons et des Guériaigles. J’imagine qu’on peut voir comment est-ce qu’eux se portent.
Si c’était dans le sol, eux devaient mieux s’en tirer. Tu fais donc signe à ton Altaria de prendre son envol et d’aller voir si elle ne pouvait pas apprendre quelque chose à ce niveau. De ton côté, tu décides de t’avancer en territoire inconnu sans savoir exactement ce que tu cherchais. L’écharpe remontée devant ton nez, tu fais ton possible pour te protéger du froid frappant les alentours. C’est finalement Isara qui vous donne une direction et tu décides donc de faire confiance à sa Sonistrelle. Il s’agit d’un pokémon intelligent parfois capable de voir des trucs que vous, simples humains, n’arriveriez pas à voir. Puis, vous n’aviez rien à perdre.
Prenant donc la direction donnée par la Sonistrelle, tu traças ton chemin dans la neige, te retenant de pester contre la température. T’étais là pour une raison importante, c’était pas le moment d’emmerder tout le monde avec tes plaintes. Alors tu restes silencieuse jusqu’à ce que Ruby revienne vers toi, accompagnée d’un Guériaigle qui, bien heureusement, ne semblait pas agressif. Et, de toute évidence, il semblait bien portant.
- Je pense donc que ça confirme la théorie du sol, si les pokémons volant se portent bien. Je te conseillerais de rappeler Noah.
Tes prunelles émeraudes s’étaient tournées vers ton homme alors que tu t’inquiétais pour le jeune Riolu. T’avais pas envie que lui aussi tombe malade à son tour. Puis, continuant de t’avancer, un peu plus bas, près d’une source d’eau, se trouvait un bâtiment donnant l’impression d’être abandonné. Était-ce là la source du problème, du poison qui paralysait la vie des pokémons sauvages des environs ?
- Je sais pas trop si c’est sécuritaire, comme endroit.
Voir ici que t’étais pas certaine de vouloir t’y aventurer. Après tout, peut-être que vous faisiez fausse route. Avec un peu de chance, les résultats d’analyse tomberaient bientôt, ce qui vous permettrait de mieux identifier la source de ce qui frappait les environs. La petite princesse que t’étais était pas fan des aventures possiblement dangereuses, et ce, quand bien même ça arrivait parfois au cours de tes recherches. Mais si tu pouvais éviter les bâtiments abandonnées aux allures lugubres dans lesquels s’étaient déroulés tu ne savais trop quoi, honnêtement, tu t’en porterais sans doute mieux.
HRP :
Lyxiae
- Nathan Shelby
Combattant d'élite
Argent : 220
Expérience : 50
Région d'origine : Nerova
Âge : 25
Avatar : Oikawa Tooru
Après que toutes vos manœuvres se soient mises en place, l’attente semblait être la meilleure option. En effet, avec les retours des résultats de Nidhogg, vous alliez avoir une bien meilleure vision sur la nature même des maux rongeant la zone. L’hypothèse la plus probable se portait sur un empoisonnement et tous les indices allaient en ce sens, malheureusement, vous étiez encore incapables d’en être sûrs et certains. Autre problème dans ce genre ce cas : le risque de propagation. Vous n’aviez aucune idée de la source et aucune idée de la vitesse à laquelle vous pouviez être touchés par le symptômes identifiés… Pourtant, vous aviez été tous les trois missionnés et pas un seul d’entre vous ne paraissait vouloir s’en tenir aux découvertes déjà effectuées.
Puisque vous sembliez avoir atteint votre but par ici, il était donc temps de mettre les voiles et d’approfondir vos recherches. Si catégoriser cette maladie comme étant un empoisonnement était déjà une très bonne avancée, cela ne suffisait pas à ton sens pour permettre aux autorités médicales et aux rangers d’agir efficacement. Après tout, un antidote allait être très rapidement développé et aux vues des états des pokémons touchés, tu ne craignais pas trop qu’il s’agisse de quelque chose de trop complexe pour être géré. Mais soigner le mal n’amenait pas à son éradication. Et pour l’éradiquer, justement, vous deviez remonter à l’origine de tout ça, chose dans laquelle vous vous lanciez dès maintenant.
Avec la dragonne d’Isara de sortie et partie en éclaireuse, tu scrutais le ciel, au loin, vers là où ton Dracolosse écarlate avait filé. Un peu d’angoisse peut-être, mais tu te faisais pragmatique et rationnel : Noah était encore en forme malgré son apparition plus précoce dans ce coin désolé. L’organisme de ton dragon étant plus robuste, tu te devais de croire qu’il s’en sortirait indemne. D’ailleurs, les agissements des deux demoiselles à tes côtés et la parole de ta chère et tendre vinrent se mêler à tes songes, car comme tu t’étais abandonné à le penser, ton Riolu était déjà au contact de ce probable poison depuis bien trop longtemps. Fourrant ta main à travers l’une de tes poches, tu vins t’armer de la sphère métallique, demeure du petit chiot qui, dans un rayon linéaire vint regagner sa pokéball où il s’y prélassait un peu plus en sécurité.
Guidés par la Sonistrelle, vous vous enfonciez un peu plus dans les terres glacées, accueillant au même instant l’Altaria chromatique de l’ex-Collingwood qui revenait en compagnie d’un homologue pokémon. Un Guériaile bien portant et relativement calme malgré la situation. Après une analyse rapide de son comportement, il n’y avait aucune difficulté à comprendre que la bête avait échappé aux toxines environnantes.
« En effet, il à l’air d’être indemne. On peut donc continuer sur la piste du sol. » Piste du sol qui venait de s’étayer alors que ta femme semblait avoir fait la découverte d’un lieu quelque peu suspect. Bon, jusqu’ici il ne s’agissait là que d’un bâtiment abandonné, mais justement, peut-être était-là la clé de votre mystère. Si personne n’avait eu vent des problèmes qui frappaient la zone plus tôt, c’était tout simplement peut-être parce personne ne résidait réellement à proximité de la source. Ici, pas d’habitations humaines avant plusieurs dizaines de minutes de marche, Ilmerny s’était considérablement éloigné et le doute s’effaçait petit à petit.
Instant exact que ton Dracolosse avait choisi pour venir percer à travers les cieux immaculés. Un cri draconique qui vibra jusqu’à vous, puis une bourrasque dégagée par les ailes du colosse qui pris soin de soulever la neige autour de vous pour l’écarter sur un espèce de périmètre de sécurité. Pas de résultats formels, mais un message griffonné rapidement sur un bout de papier directement expédié par l’infirmière du centre pokémon. « Empoisonnement confirmé. » C’est ce que les analyses avaient révélé, en tout cas.
Vous aviez donc fait la moitié du travail, restait à aller au bout. Attrapant un masque rudimentaire de médecine que tu enfilas, tu glissas sur la petite pente de neige face à toi, directement vers le bâtiment abandonné. « Je reviens ! Restez-ici, j’ai qu’un masque ! » Un masque qui, de toute évidence, ne suffirait pas à te protéger convenablement puisque son utilité première n’était que d’éviter la propagation des germes et autres bactéries, mais bon, c’était là ta seule excuse pour que les deux demoiselles acceptent de te laisser partir et surtout, ne te suivent pas. Si elles connaissaient que trop bien ton caractère et ton goût du risque, tu les savais également capable de se mettre en danger pour te suivre dans tes âneries, surtout si la cause défendue était aussi noble que celle des pokémons malades. Toutefois, tu ne voulais que ni River, ni Isara ne s’expose à ce poison.
Arrivant à proximité du bâtiment, tu pus immédiatement remarquer une odeur nauséabonde qui s’échappait de la zone. Entourant le bas de ton visage de ton bras, tu vins fourrer ton nez dans l’encolure de ce dernier, tentant de te protéger au maximum avec les outils que tu avais à disposition : c’est-à-dire pas grand-chose.
Finalement, en entrant, le suspens ne fut que de courte durée. Sur le sol de cette bâtisse isolée reposaient les cadavres de quelques pokémons. Tentacool et Qwilfish, notamment. Tout devenait plus clair. Sans perdre une seconde de plus, tu t’extirpas de l’aire de propagation, ressortant du bâtiment et t’en éloignant le plus vite possible pour rejoindre tes deux acolytes.
« Ce sont des pokémons poison qui se décomposent. Ils ont dû descendre la rivière et s’échouer alors que l’eau gelait. Je sais pas trop comment ils ont atterri là-bas, mais c’est clairement ça qui contamine le sol et probablement l’eau à proximité qui, au fur et à mesure, est devenue glace et s’est perdue dans la neige. »
Les coordonnées enregistrées sur vos NerovID, il ne vous restait plus qu’à rentrer pour informer les rangers qui, avec du matériel adéquat, pourraient s’occuper de désinfecter la zone dans prendre le moindre risque. Finalement, vous aviez été jusqu’au bout du mystère et ce, pour découvrir que parfois, la Nature était elle-même à l’origine de ses propres maux.
Puisque vous sembliez avoir atteint votre but par ici, il était donc temps de mettre les voiles et d’approfondir vos recherches. Si catégoriser cette maladie comme étant un empoisonnement était déjà une très bonne avancée, cela ne suffisait pas à ton sens pour permettre aux autorités médicales et aux rangers d’agir efficacement. Après tout, un antidote allait être très rapidement développé et aux vues des états des pokémons touchés, tu ne craignais pas trop qu’il s’agisse de quelque chose de trop complexe pour être géré. Mais soigner le mal n’amenait pas à son éradication. Et pour l’éradiquer, justement, vous deviez remonter à l’origine de tout ça, chose dans laquelle vous vous lanciez dès maintenant.
Avec la dragonne d’Isara de sortie et partie en éclaireuse, tu scrutais le ciel, au loin, vers là où ton Dracolosse écarlate avait filé. Un peu d’angoisse peut-être, mais tu te faisais pragmatique et rationnel : Noah était encore en forme malgré son apparition plus précoce dans ce coin désolé. L’organisme de ton dragon étant plus robuste, tu te devais de croire qu’il s’en sortirait indemne. D’ailleurs, les agissements des deux demoiselles à tes côtés et la parole de ta chère et tendre vinrent se mêler à tes songes, car comme tu t’étais abandonné à le penser, ton Riolu était déjà au contact de ce probable poison depuis bien trop longtemps. Fourrant ta main à travers l’une de tes poches, tu vins t’armer de la sphère métallique, demeure du petit chiot qui, dans un rayon linéaire vint regagner sa pokéball où il s’y prélassait un peu plus en sécurité.
Guidés par la Sonistrelle, vous vous enfonciez un peu plus dans les terres glacées, accueillant au même instant l’Altaria chromatique de l’ex-Collingwood qui revenait en compagnie d’un homologue pokémon. Un Guériaile bien portant et relativement calme malgré la situation. Après une analyse rapide de son comportement, il n’y avait aucune difficulté à comprendre que la bête avait échappé aux toxines environnantes.
« En effet, il à l’air d’être indemne. On peut donc continuer sur la piste du sol. » Piste du sol qui venait de s’étayer alors que ta femme semblait avoir fait la découverte d’un lieu quelque peu suspect. Bon, jusqu’ici il ne s’agissait là que d’un bâtiment abandonné, mais justement, peut-être était-là la clé de votre mystère. Si personne n’avait eu vent des problèmes qui frappaient la zone plus tôt, c’était tout simplement peut-être parce personne ne résidait réellement à proximité de la source. Ici, pas d’habitations humaines avant plusieurs dizaines de minutes de marche, Ilmerny s’était considérablement éloigné et le doute s’effaçait petit à petit.
Instant exact que ton Dracolosse avait choisi pour venir percer à travers les cieux immaculés. Un cri draconique qui vibra jusqu’à vous, puis une bourrasque dégagée par les ailes du colosse qui pris soin de soulever la neige autour de vous pour l’écarter sur un espèce de périmètre de sécurité. Pas de résultats formels, mais un message griffonné rapidement sur un bout de papier directement expédié par l’infirmière du centre pokémon. « Empoisonnement confirmé. » C’est ce que les analyses avaient révélé, en tout cas.
Vous aviez donc fait la moitié du travail, restait à aller au bout. Attrapant un masque rudimentaire de médecine que tu enfilas, tu glissas sur la petite pente de neige face à toi, directement vers le bâtiment abandonné. « Je reviens ! Restez-ici, j’ai qu’un masque ! » Un masque qui, de toute évidence, ne suffirait pas à te protéger convenablement puisque son utilité première n’était que d’éviter la propagation des germes et autres bactéries, mais bon, c’était là ta seule excuse pour que les deux demoiselles acceptent de te laisser partir et surtout, ne te suivent pas. Si elles connaissaient que trop bien ton caractère et ton goût du risque, tu les savais également capable de se mettre en danger pour te suivre dans tes âneries, surtout si la cause défendue était aussi noble que celle des pokémons malades. Toutefois, tu ne voulais que ni River, ni Isara ne s’expose à ce poison.
Arrivant à proximité du bâtiment, tu pus immédiatement remarquer une odeur nauséabonde qui s’échappait de la zone. Entourant le bas de ton visage de ton bras, tu vins fourrer ton nez dans l’encolure de ce dernier, tentant de te protéger au maximum avec les outils que tu avais à disposition : c’est-à-dire pas grand-chose.
Finalement, en entrant, le suspens ne fut que de courte durée. Sur le sol de cette bâtisse isolée reposaient les cadavres de quelques pokémons. Tentacool et Qwilfish, notamment. Tout devenait plus clair. Sans perdre une seconde de plus, tu t’extirpas de l’aire de propagation, ressortant du bâtiment et t’en éloignant le plus vite possible pour rejoindre tes deux acolytes.
« Ce sont des pokémons poison qui se décomposent. Ils ont dû descendre la rivière et s’échouer alors que l’eau gelait. Je sais pas trop comment ils ont atterri là-bas, mais c’est clairement ça qui contamine le sol et probablement l’eau à proximité qui, au fur et à mesure, est devenue glace et s’est perdue dans la neige. »
Les coordonnées enregistrées sur vos NerovID, il ne vous restait plus qu’à rentrer pour informer les rangers qui, avec du matériel adéquat, pourraient s’occuper de désinfecter la zone dans prendre le moindre risque. Finalement, vous aviez été jusqu’au bout du mystère et ce, pour découvrir que parfois, la Nature était elle-même à l’origine de ses propres maux.
Conclusion de la mission !
by Lyxiae
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