- Izia Seleph
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Région d'origine : Sinnoh
Âge : 25 ans
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ft. Jacob Doe
En arrivant dans la région, ton naturel t'as rapidement rattrapé. Tu t'es tout de suite fourré dans la première bibliothèque que tu as trouvé pour découvrir les lieux les plus intéressant de cette région. Ton attention s'est porté sur Elryon, enfin plutôt ce qu'il en reste. Cette ville aurait été détruite lors d'un évènement appelé "jugement". Il faudra que tu te renseignes d'avantage sur l'histoire de cet endroit.
C'est donc pleine de curiosité que tu avais attrapé ton GPS pour suivre la route menant à ces ruines. Opale marchait au départ à tes côtés mais rapidement épuisé, tu as décidé de la mettre dans ton sac pour qu'elle puisse se reposer, en profitant pour faire une pause et t'hydrater convenablement. Tu attrapes également un cookie avant de reprendre la route, grignotant ton gâteau sur le chemin.
Après quelques temps, les premiers vestiges se dessinaient à l'horizon. La nature avait repris le dessus sur cette terre autrefois habité par l'homme. Evoli, sentant que tu avais ralenti le pas, s'extirpa de ton sac pour grimper sur le haut de ta tête en regardant le paysage qui s'offre à vous. Tu commençais à attraper ton portable pour prendre quelques clichés, tu pourrais l'envoyer à tes parents peut-être ? Ne regardant plus où tu mets tes pieds, trop accablé par les photos que tu étais en train de prendre, tu finis par trébucher sur un reste de poutre.
- Ouch...
Tu restes assise au sol, frottant l'arrière de ta tête en grimaçant un peu. Opale te regardait en penchant la tête sur le côté, espérant que tu ne te sois pas fait trop mal. Elle a l'habitude de te voir tomber maintenant, tu as souvent la tête ailleurs et tu regardes jamais où tu vas. Tu peux déjà t'estimer chanceuse de n'être encore jamais tombé dans des escaliers.
MODÉRATION :
Apparition d'un pokémon svp, merci !
C'est donc pleine de curiosité que tu avais attrapé ton GPS pour suivre la route menant à ces ruines. Opale marchait au départ à tes côtés mais rapidement épuisé, tu as décidé de la mettre dans ton sac pour qu'elle puisse se reposer, en profitant pour faire une pause et t'hydrater convenablement. Tu attrapes également un cookie avant de reprendre la route, grignotant ton gâteau sur le chemin.
Après quelques temps, les premiers vestiges se dessinaient à l'horizon. La nature avait repris le dessus sur cette terre autrefois habité par l'homme. Evoli, sentant que tu avais ralenti le pas, s'extirpa de ton sac pour grimper sur le haut de ta tête en regardant le paysage qui s'offre à vous. Tu commençais à attraper ton portable pour prendre quelques clichés, tu pourrais l'envoyer à tes parents peut-être ? Ne regardant plus où tu mets tes pieds, trop accablé par les photos que tu étais en train de prendre, tu finis par trébucher sur un reste de poutre.
- Ouch...
Tu restes assise au sol, frottant l'arrière de ta tête en grimaçant un peu. Opale te regardait en penchant la tête sur le côté, espérant que tu ne te sois pas fait trop mal. Elle a l'habitude de te voir tomber maintenant, tu as souvent la tête ailleurs et tu regardes jamais où tu vas. Tu peux déjà t'estimer chanceuse de n'être encore jamais tombé dans des escaliers.
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- Jacob Doe
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Jacob • Luna
Jacob fut pris d’une violente quinte de toux, assailli par la poussière après avoir poussé une porte qui n’avait sans doute pas été touchée depuis des lustres. L’homme grommela alors qu’il tentait de reprendre une respiration normale. Cet endroit était l’enfer sur terre. Elryon – ou plutôt ce qu’il en restait. Ce qui était aujourd’hui une cité grouillante de vie n’était aujourd’hui plus que l’ombre d’elle-même. Des ruines qui s’étendaient à perte de vue, conséquence du « Jugement ».
Si toute cette histoire piquait la curiosité de Jacob, il n’était pas là pour élucider ce mystère. Certaines choses ne s’expliquaient pas et il avait autre chose à faire que de perdre son temps avec l’espoir vain de trouver une piste. C’était dimanche et il ne comptait pas le gaspiller. Un dimanche où les gosses étaient chez leur mère, ce qui laissait lui laissait le temps de s’adonner à… certaines activités. Rien d’illégal, non. Enfin, pas vraiment. D’aucuns jugeraient cela d’un mauvais œil mais il s’en foutait un peu. Les autres n’avaient pas besoin de savoir ce qu’il faisait ici.
Un tiroir se montra récalcitrant. Ni une ni deux, l’homme joua les gros bras et l’arracha de sa commode. Rien. Des t-shirts miteux, comme dans les autres, mais rien d’intéressant. La demeure dans laquelle il avait dû auparavant être une belle et grande maison, il devait bien y avoir l’un ou l’autre objet de valeur laissé derrière par les propriétaires. Certains appelaient cela du pillage. Lui, juste de la récup’. Ça n’allait quand même plus servir à personne, autant qu’il le prenne pour lui. Certains bijoux valaient une petite fortune à eux-seuls, il aurait été dommage de laisser tout cet argent dormir dans ces ruines.
Voilàààà.
Un petit coffret en bois laqué. Pas de doute. Le commun des mortels n’utilisait pas souvent ce genre de chose, sauf quand il s’agissait de ranger des bijoux. Bague de fiançailles, alliance, collier, montre et autre bracelet, il convenait de les protéger. Jacob secoua doucement la boîte et se délecta du bruit produit par les entrechocs du métal. La clé était introuvable mais cela n’avait aucune importance. Il avait tous les outils nécessaires chez lui pour faire sauter le verrou. Le coffret fut rangé dans un sac à dos. Maintenant, il était pressé de rentrer. Ouvrir la boîte, voir ce qui avait de la valeur et enfin faire estimer tout ça pour ensuite les revendre contre monnaie sonnante et trébuchante. Jacob était en droit de s’attendre à une belle somme.
Souriant comme un enfant le jour de Noël, il retrouva le chemin de la sortie. La pêche avait été bonne. La journée n’avait pas été très fructueuse jusqu’à il y a cinq minutes et Jacob avait un instant craint de rentrer presque bredouille. Ça l’aurait emmerdé, tiens. Perdre son dimanche à fouiller des ruines alors qu’il aurait pu aller à la salle ou faire n’importe quoi d’autre de plus intéressant.
« Y a des endroits plus sympas que le sol si tu veux t’asseoir. »
Ses genoux par exemple. Mais vu que son interlocutrice semblait être une pisseuse tout juste adulte, elle aurait sans doute crié au harcèlement sexuel, du coup il garda cette remarque pleine de sagesse pour lui. Il n’avait pas la moindre idée de qui elle était. Une touriste, vu la manière dont elle était équipée, mais il ne savait rien de plus. Les ruines étaient moins dangereuses, de nos jours, et cela attirait une pléthore de petits curieux – ou d’opportunistes, comme lui. Rencontrer quelqu’un par hasard restait tout de même fortuit, alors la moindre des choses était au moins de saluer l’autre.
« Et si jamais tu veux bouger, c’est quand tu le sens, j’ai toute la journée. »
A rester là, comme ça, cette gourde bloquait le passage puisqu’elle était juste devant l’entrée à moitié effondrée où Jacob avait fait sa trouvaille. Il n’avait pas demandé un paillasson sur lequel s’essuyer les pieds en sortant.
Si toute cette histoire piquait la curiosité de Jacob, il n’était pas là pour élucider ce mystère. Certaines choses ne s’expliquaient pas et il avait autre chose à faire que de perdre son temps avec l’espoir vain de trouver une piste. C’était dimanche et il ne comptait pas le gaspiller. Un dimanche où les gosses étaient chez leur mère, ce qui laissait lui laissait le temps de s’adonner à… certaines activités. Rien d’illégal, non. Enfin, pas vraiment. D’aucuns jugeraient cela d’un mauvais œil mais il s’en foutait un peu. Les autres n’avaient pas besoin de savoir ce qu’il faisait ici.
Un tiroir se montra récalcitrant. Ni une ni deux, l’homme joua les gros bras et l’arracha de sa commode. Rien. Des t-shirts miteux, comme dans les autres, mais rien d’intéressant. La demeure dans laquelle il avait dû auparavant être une belle et grande maison, il devait bien y avoir l’un ou l’autre objet de valeur laissé derrière par les propriétaires. Certains appelaient cela du pillage. Lui, juste de la récup’. Ça n’allait quand même plus servir à personne, autant qu’il le prenne pour lui. Certains bijoux valaient une petite fortune à eux-seuls, il aurait été dommage de laisser tout cet argent dormir dans ces ruines.
Voilàààà.
Un petit coffret en bois laqué. Pas de doute. Le commun des mortels n’utilisait pas souvent ce genre de chose, sauf quand il s’agissait de ranger des bijoux. Bague de fiançailles, alliance, collier, montre et autre bracelet, il convenait de les protéger. Jacob secoua doucement la boîte et se délecta du bruit produit par les entrechocs du métal. La clé était introuvable mais cela n’avait aucune importance. Il avait tous les outils nécessaires chez lui pour faire sauter le verrou. Le coffret fut rangé dans un sac à dos. Maintenant, il était pressé de rentrer. Ouvrir la boîte, voir ce qui avait de la valeur et enfin faire estimer tout ça pour ensuite les revendre contre monnaie sonnante et trébuchante. Jacob était en droit de s’attendre à une belle somme.
Souriant comme un enfant le jour de Noël, il retrouva le chemin de la sortie. La pêche avait été bonne. La journée n’avait pas été très fructueuse jusqu’à il y a cinq minutes et Jacob avait un instant craint de rentrer presque bredouille. Ça l’aurait emmerdé, tiens. Perdre son dimanche à fouiller des ruines alors qu’il aurait pu aller à la salle ou faire n’importe quoi d’autre de plus intéressant.
« Y a des endroits plus sympas que le sol si tu veux t’asseoir. »
Ses genoux par exemple. Mais vu que son interlocutrice semblait être une pisseuse tout juste adulte, elle aurait sans doute crié au harcèlement sexuel, du coup il garda cette remarque pleine de sagesse pour lui. Il n’avait pas la moindre idée de qui elle était. Une touriste, vu la manière dont elle était équipée, mais il ne savait rien de plus. Les ruines étaient moins dangereuses, de nos jours, et cela attirait une pléthore de petits curieux – ou d’opportunistes, comme lui. Rencontrer quelqu’un par hasard restait tout de même fortuit, alors la moindre des choses était au moins de saluer l’autre.
« Et si jamais tu veux bouger, c’est quand tu le sens, j’ai toute la journée. »
A rester là, comme ça, cette gourde bloquait le passage puisqu’elle était juste devant l’entrée à moitié effondrée où Jacob avait fait sa trouvaille. Il n’avait pas demandé un paillasson sur lequel s’essuyer les pieds en sortant.
Apparition d'un Pokémon svp
Lyxiae
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Tu rencontres Cabriolaine !
Il t'a vu tomber et donc, tout de suite, il s'est approché de toi, sautillant en évitant les pierres et les poutres tombées pour ne pas subir le même sort. Te donnant un léger coup de cornes, comme pour s'assurer que tu allais bien, il semblait aussi être là pour t'aider à te relever. Sauf si ce grand monsieur se portait volontaire.
Tu rencontres Absol !
Lui t'avait vu faire. Et de toute évidence, il n'appréciait pas ton geste. Se tenant un peu plus reculé, presque caché par un mur à moyen démoli, il te toisait de son sombre regard, agitant sa queue avec agacement. Les gens comme toi, il ne les aimait pas. Ceux qui profitaient du malheur qui avait frappé ces terres. Alors il te jugeait, silencieusement, semblant presque te maudire pour ce que tu venais de faire.
- Izia Seleph
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ft. Jacob Doe
Tu n'avais même pas fait attention dans ta contemplation qu'un homme se trouvait déjà ici, et il n'a pas l'air aimable. Sans perdre un instant, tu te redressais, manquant de retomber par la même occasion avant de te courber en avant, fermant les yeux comme si tu attendais de recevoir une punition.
- Je... Pardon je suis désolé...
Tu t'écartes de l'ouverture pour laisser l'homme passer, remarquant seulement le petit le petit Cabriolaine à tes côtés qui semblait s'être approché en te voyant chuter. Tu lui souriais doucement en lui offrant une caresse sur le haut de la tête.
- Je vais bien, plus de peur que de mal.
Tu reportais ensuite ton regard discrètement sur l'homme. Il devait avoir la trentaine à vue d'oeil, mais sa tête t'inspirait aucunement confiance. Mais bon, parfois les apparences sont trompeuses. Timidement tu te risquais à prendre la parole pour engager un semblant de discussion avec cet inconnu. Décidément tu fais des progrès ma petite.
- Vous... Vous aussi c'est la première fois que vous venez ici ?
MODÉRATION :
Une relance svp, merci !
- Je... Pardon je suis désolé...
Tu t'écartes de l'ouverture pour laisser l'homme passer, remarquant seulement le petit le petit Cabriolaine à tes côtés qui semblait s'être approché en te voyant chuter. Tu lui souriais doucement en lui offrant une caresse sur le haut de la tête.
- Je vais bien, plus de peur que de mal.
Tu reportais ensuite ton regard discrètement sur l'homme. Il devait avoir la trentaine à vue d'oeil, mais sa tête t'inspirait aucunement confiance. Mais bon, parfois les apparences sont trompeuses. Timidement tu te risquais à prendre la parole pour engager un semblant de discussion avec cet inconnu. Décidément tu fais des progrès ma petite.
- Vous... Vous aussi c'est la première fois que vous venez ici ?
MODÉRATION :
Une relance svp, merci !
- Jacob Doe
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Jacob • Luna
Sans un mot, Jacob se glissa par l’entrée désormais libre. L’autre pouvait bien s’excuser autant qu’elle le voulait, lui, il s’en foutait un peu. Il lui avait demandé de bouger, elle l’avait fait et c’était tout ce qu’il y avait à en dire. Il aperçut une silhouette sombre du coin de l’œil mais celle-ci disparut aussitôt. Sans doute un Pokémon. Un second cabriolaine ? L’homme n’y croyait pas. Ce qu’il avait vu était plus massif que cela. Bah ! C’était sans importance.
Il jeta un œil aux alentours tandis que la jeune femme se parlait toute seule, affirmant qu’elle allait bien. Les ruines s’étendaient à perte de vue. Tant d’endroit à fouiller et piller… Jacob était tenté de visiter une dernière demeure mais un coup d’œil à sa montrer lui indiqua que ce n’était pas raisonnable. Il entendait ne pas rentrer trop tard chez lui et pour cela, il convenait de quitter les lieux sous peu, en sachant que sa voiture était garée loin d’ici puisque les routes étaient en majeure partie impraticables. Quel bordel c’était d’arriver jusqu’ici…
Les yeux plissés, le détective identifia rapidement l’un et l’autre point de repère pour se situer. Une tour à moitié écroulée par-ci, un large manoir sur une colline par-là, et il était facile de trouver sa position. Il dessina mentalement le chemin à emprunter pour retourner jusqu’à son véhicule avant que la gamine ne vienne l’interrompre. Ah, elle était encore là, elle ?
« Non. » répondit-il, laconique. « ‘Suis venu une paire de fois. »
Simple et concis. Il ne souhaitait de toute évidence pas s’étendre sur le sujet, pas plus qu’il ne cherchait à se renseigner sur la raison de la présence de son interlocutrice. « Et toi ? » aurait été un ajout sensé à sa réponse mais de toute évidence, elle faisait du tourisme. Se détournant d’elle, Jacob resserra la sangle de son sac à dos et commença à s’éloigner.
« Sur ce, c’était un plaisir. Si tu es toute seule, je te conseille de ne pas traîner trop longtemps dans le coin, y a des trucs qui craignent quand il commence à faire nuit. »
Il ponctua sa phrase d’un haussement d’épaule détaché, comme s’il parlait du temps qu’il allait faire demain. C’était une grande fille, elle faisait bien ce qu’elle voulait et apprendre que quelqu’un s’était fait boulotter dans les ruines n’allait pas l’empêcher de dormir mais quand même, le peu de décence qu’il avait l’obligea à l’avertir.
Il jeta un œil aux alentours tandis que la jeune femme se parlait toute seule, affirmant qu’elle allait bien. Les ruines s’étendaient à perte de vue. Tant d’endroit à fouiller et piller… Jacob était tenté de visiter une dernière demeure mais un coup d’œil à sa montrer lui indiqua que ce n’était pas raisonnable. Il entendait ne pas rentrer trop tard chez lui et pour cela, il convenait de quitter les lieux sous peu, en sachant que sa voiture était garée loin d’ici puisque les routes étaient en majeure partie impraticables. Quel bordel c’était d’arriver jusqu’ici…
Les yeux plissés, le détective identifia rapidement l’un et l’autre point de repère pour se situer. Une tour à moitié écroulée par-ci, un large manoir sur une colline par-là, et il était facile de trouver sa position. Il dessina mentalement le chemin à emprunter pour retourner jusqu’à son véhicule avant que la gamine ne vienne l’interrompre. Ah, elle était encore là, elle ?
« Non. » répondit-il, laconique. « ‘Suis venu une paire de fois. »
Simple et concis. Il ne souhaitait de toute évidence pas s’étendre sur le sujet, pas plus qu’il ne cherchait à se renseigner sur la raison de la présence de son interlocutrice. « Et toi ? » aurait été un ajout sensé à sa réponse mais de toute évidence, elle faisait du tourisme. Se détournant d’elle, Jacob resserra la sangle de son sac à dos et commença à s’éloigner.
« Sur ce, c’était un plaisir. Si tu es toute seule, je te conseille de ne pas traîner trop longtemps dans le coin, y a des trucs qui craignent quand il commence à faire nuit. »
Il ponctua sa phrase d’un haussement d’épaule détaché, comme s’il parlait du temps qu’il allait faire demain. C’était une grande fille, elle faisait bien ce qu’elle voulait et apprendre que quelqu’un s’était fait boulotter dans les ruines n’allait pas l’empêcher de dormir mais quand même, le peu de décence qu’il avait l’obligea à l’avertir.
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Tu rencontres Lixy !
Rares étaient ceux s'aventurant dans les environs. Après tout, il n'y avait rien vraiment à voir dans les environs, sauf peut-être les pokémons sauvages. C'est peut-être pour cette raison que le Lixy se montra aussi enthousiasme à ta présence, sautillant jusqu'à te faire face, te tournant presque autour. Tu étais quelque chose d'inconnu et ça ne pouvait qu'être amusant.
Tu rencontres Flabébé !
La nature avait repris ce qui lui appartenait, ce bout de terre désolée qui recommençait à avoir quelques couleurs. C'était sans doute ce qui avait attiré les pokémons tel que ce Flabébé dans les environs. Celle qui s'amusait à laisser tomber des pétales ici et là sur le sol, comme pour refaire la décoration de ces ruines.
- Izia Seleph
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ft. Jacob Doe
Bon, malgré tes efforts, l'homme ne semble pas très enclin à la discussion, ça vous fait un point commun comme ça. Mais tu prends tout de même en comptes ses avertissements. Tu te penchais légèrement en avant pour le remercier et le saluer en même temps.
- D'accord, merci beaucoup du conseil monsieur.
Alors que tu allais t'éloigner et reprendre ton chemin, tu remarquais qu'un Lixy, intrigué, s'était rapproché de toi d'une humeur joueuse. Opale a dû le sentir aussi comme elle sautait de ton épaule pour le rejoindre et lui courir après. Tu souriais un peu, tu pouvais bien rester ici quelques minutes de plus après tout non ? Te regardes autour de toi avant de remarquer qu'un flabébé se trouvait là. Tu n'avais encore jamais eu l'occasion d'en voir un de tes propres yeux. Tu t'approches doucement du pokémon, t'accroupissant non loin de lui pour le regarder faire.
Tu souriais un peu en la voyant mettre quelques couleurs un peu partout dans ses ruines. Tu décidais finalement d'engager une conversation avec le pokémon.
- C'est vraiment une belle couleur, on dirait plusieurs pierres d'ambre.
Ambre, ce nom lui irait à merveille. Jetant un coup d'oeil derrière toi, tu remarquais qu'Evoli avait terminée de jouer avec le Lixy pour revenir à tes côtés, observant le pokémon fée en remuant légèrement la queue. Tu souriais en déposant ta main sur le haut de la tête de ta boule de poil.
- Dit moi, ça te dirait de m'accompagner dans mon voyage ?
Pour illustrer tes dires, tu déposais une pokéball au sol que tu faisais doucement rouler dans la direction du pokémon, tu n'es pas trop pour la méthode lancé de balle en pleine tête, toi tu es plutôt la douceur incarnée.
MODÉRATION :
Capture du flabébé svp, merci !
- D'accord, merci beaucoup du conseil monsieur.
Alors que tu allais t'éloigner et reprendre ton chemin, tu remarquais qu'un Lixy, intrigué, s'était rapproché de toi d'une humeur joueuse. Opale a dû le sentir aussi comme elle sautait de ton épaule pour le rejoindre et lui courir après. Tu souriais un peu, tu pouvais bien rester ici quelques minutes de plus après tout non ? Te regardes autour de toi avant de remarquer qu'un flabébé se trouvait là. Tu n'avais encore jamais eu l'occasion d'en voir un de tes propres yeux. Tu t'approches doucement du pokémon, t'accroupissant non loin de lui pour le regarder faire.
Tu souriais un peu en la voyant mettre quelques couleurs un peu partout dans ses ruines. Tu décidais finalement d'engager une conversation avec le pokémon.
- C'est vraiment une belle couleur, on dirait plusieurs pierres d'ambre.
Ambre, ce nom lui irait à merveille. Jetant un coup d'oeil derrière toi, tu remarquais qu'Evoli avait terminée de jouer avec le Lixy pour revenir à tes côtés, observant le pokémon fée en remuant légèrement la queue. Tu souriais en déposant ta main sur le haut de la tête de ta boule de poil.
- Dit moi, ça te dirait de m'accompagner dans mon voyage ?
Pour illustrer tes dires, tu déposais une pokéball au sol que tu faisais doucement rouler dans la direction du pokémon, tu n'es pas trop pour la méthode lancé de balle en pleine tête, toi tu es plutôt la douceur incarnée.
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Jacob • Luna
Elle l’avait certes remercié mais elle ne semblait pas l’avoir écouté pour autant. Elle avait juste acquiescé pour se débarrasser de lui de manière polie. Cela agaça Jacob mais il ne pipa mot à se sujet. Si elle voulait jouer au plus malin, grand bien lui fasse. La jeune femme l’avait déjà oublié, ayant recommencé à marmonner toute seule – à moins qu’elle ne soit en train d’adresser la parole au Pokémon se tenant à côté d’elle, auquel cas cela ne faisait pas grande différence. Il tâcha d’en faire de même et s’en alla.
Les pensées du détective étaient maintenant tournées sur d’autres sujets. Ce qu’il allait faire en rentrant chez lui, par exemple. Manger, télé, dodo. Un beau programme. Tout ce qu’il lui fallait en vérité. Aller saquer des pintes au bar du coin était aussi une idée tentante, d’autant plus qu’il n’avait pas les enfants aujourd’hui, mais il savait pertinemment qu’il serait trop fatigué pour faire la fête ce soir. Allez. Pour une fois, il allait se montrer raisonnable.
Le doux tintement du métal contre le bois en provenance de son sac le ramena à la réalité. Oh. Il y avait encore cela. Il avait presque oublié. Vaincre cette serrure devait figurer dans son emploi du temps. Ouvrir le coffret ne lui prendrait pas plus de cinq minutes. Ses doigts agiles étaient habitués à ce genre de manipulations et dans l’hypothèse où il ne parviendrait pas à l’ouvrir de façon conventionnelle, éclater la boîte tout entière demeurait une solution. Tant qu’il n’abîmait pas son contenu, il n’y avait aucun problème.
Ouvrir la boîte était donc la partie facile et rapide du travail, le plus dur serait d’estimer la marchandise. Voir ce qui avait encore belle allure, ce qui avait de la valeur, ci qui pouvait être revendu en l’état, … Pour le reste, il ne s’inquiétait pas. Il avait des connaissances à qui refourguer tout cela contre payement. L’or, l’argent et les pierres précieuses trouvaient toujours preneurs. C’était l’une des règles universelles de ce monde.
Avait-il vraiment besoin de cet argent ? Oui et non. Son boulot payait assez bien pour qu’il mène une vie tranquille et n’ait pas de difficulté à s’occuper de ses rejetons mais Jacob était par nature quelqu’un de vénal. L’argent facile, il aimait ça, au point de reléguer l’éthique et la morale au second plan. Se remplir les poches dans la demeure de gens décédés ne le dérangeait pas le moins du monde. Il n’y avait pas de petit profit et l’argent était roi. Accumuler de l’oseille était une activité particulièrement motivante pour le détective, presque autant que la dépenser ensuite. A quoi bon avoir des pépètes si c’étaient pour les garder jalousement sur un compte en banque ? Non non non. Il fallait faire la fête, tout claquer pour refaire sa garde-robe, acheter des jouets aux petits qui n’allait de toute façon ne s’amuser avec que deux semaines avant de s’en lasser. Bref. Jacob aimait l’argent et il était très honnête à ce sujet. Il était le genre de type à penser que tout se monnayait d’une façon ou d’une autre tout.
Perdu dans ses pensées, l’homme oublié aussitôt l’existence de la jeune demoiselle dont il ne connaissait pas le nom.
Les pensées du détective étaient maintenant tournées sur d’autres sujets. Ce qu’il allait faire en rentrant chez lui, par exemple. Manger, télé, dodo. Un beau programme. Tout ce qu’il lui fallait en vérité. Aller saquer des pintes au bar du coin était aussi une idée tentante, d’autant plus qu’il n’avait pas les enfants aujourd’hui, mais il savait pertinemment qu’il serait trop fatigué pour faire la fête ce soir. Allez. Pour une fois, il allait se montrer raisonnable.
Le doux tintement du métal contre le bois en provenance de son sac le ramena à la réalité. Oh. Il y avait encore cela. Il avait presque oublié. Vaincre cette serrure devait figurer dans son emploi du temps. Ouvrir le coffret ne lui prendrait pas plus de cinq minutes. Ses doigts agiles étaient habitués à ce genre de manipulations et dans l’hypothèse où il ne parviendrait pas à l’ouvrir de façon conventionnelle, éclater la boîte tout entière demeurait une solution. Tant qu’il n’abîmait pas son contenu, il n’y avait aucun problème.
Ouvrir la boîte était donc la partie facile et rapide du travail, le plus dur serait d’estimer la marchandise. Voir ce qui avait encore belle allure, ce qui avait de la valeur, ci qui pouvait être revendu en l’état, … Pour le reste, il ne s’inquiétait pas. Il avait des connaissances à qui refourguer tout cela contre payement. L’or, l’argent et les pierres précieuses trouvaient toujours preneurs. C’était l’une des règles universelles de ce monde.
Avait-il vraiment besoin de cet argent ? Oui et non. Son boulot payait assez bien pour qu’il mène une vie tranquille et n’ait pas de difficulté à s’occuper de ses rejetons mais Jacob était par nature quelqu’un de vénal. L’argent facile, il aimait ça, au point de reléguer l’éthique et la morale au second plan. Se remplir les poches dans la demeure de gens décédés ne le dérangeait pas le moins du monde. Il n’y avait pas de petit profit et l’argent était roi. Accumuler de l’oseille était une activité particulièrement motivante pour le détective, presque autant que la dépenser ensuite. A quoi bon avoir des pépètes si c’étaient pour les garder jalousement sur un compte en banque ? Non non non. Il fallait faire la fête, tout claquer pour refaire sa garde-robe, acheter des jouets aux petits qui n’allait de toute façon ne s’amuser avec que deux semaines avant de s’en lasser. Bref. Jacob aimait l’argent et il était très honnête à ce sujet. Il était le genre de type à penser que tout se monnayait d’une façon ou d’une autre tout.
Perdu dans ses pensées, l’homme oublié aussitôt l’existence de la jeune demoiselle dont il ne connaissait pas le nom.
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Tu lances la pokéball et...
Oh non ! Il s'est échappé
Alors que le Flabébé s'intéressait à ton discours, le Lixy, lui, avait décidé de s'attarder un peu. Lui y avait vu une balle avec laquelle joué et ta pokéball fut rapidement perdue dans ces ruines. Oups. Le Flabébé te regarda, un peu perdu, ne sachant pas trop comment te répondre, maintenant que la pokéball avait disparu.
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