- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
8 ans auparavant.
Hôpital central de l’île des baies.
Le temps semblait s’être tristement arrêté pour une famille d’agriculteurs et à raison : leur fille avait vécu une tragédie. Un accident lui avait fait perdre une partie d’elle-même, à tout jamais. Personne ne pourrait jamais le comprendre à moins de le vivre. Un fardeau duquel la jeune femme devrait se soustraire un jour ou l’autre pour pouvoir pleinement profiter de la vie. Ou bien à défaut d’y arriver, d’arriver à vivre avec. Les visites avaient commencé à être autorisées en ce qui concernait cette patiente et Maluma ne savait pas exactement combien ni encore qui était venu la voir. Si jamais ce n’était pas assez à ses yeux, elle pouvait se sentir mal. Si c’était trop, elle aurait l’impression d’étouffer.
▬ Aujourd’hui, il faudrait qu’elle sorte un peu. Les couloirs mornes et sans saveur de cet hôpital vont finir par la rendre folle. Et je ne le tolérerais pas. se disait-il en se rapprochant de la pièce où se trouvait son amie.
La cadence de ses pas ralentit et il inspira un grand coup avant de frapper dans un rythme précis - un code qu’ils utilisaient quand ils s’amusaient dans une cabane non loin des champs de leurs parents. Après s’être assuré qu’il pouvait entrer, il s'exécuta doucement.
▬ Bonjour Helga. - il lui sourit - J’espère que tu vas mieux. - il prend une chaise et se pose à côté du lit ; une main se pose sur ce dernier - Je t’ai apporté un cadeau.
Le Cervantes mit en évidence un panier qu’il transportait avec lui. Il déposa ce dernier à côté de la jeune femme et face à lui donc. De sa main, il laissait se découvrir son contenu : un dessert qu’il a lui-même cuisiné et une tablette sur laquelle étaient enregistrés un mot d’encouragement de la plupart de ses amis. Certains n’avaient hélas pas pu venir, étudiant à l’international par exemple.
▬ Ne sois pas trop dur avec moi. - il se gratte les cheveux en souriant un peu bêtement - Je suis bien loin d’avoir ton talent au fourneau.
C’était bien vrai.
Hôpital central de l’île des baies.
Le temps semblait s’être tristement arrêté pour une famille d’agriculteurs et à raison : leur fille avait vécu une tragédie. Un accident lui avait fait perdre une partie d’elle-même, à tout jamais. Personne ne pourrait jamais le comprendre à moins de le vivre. Un fardeau duquel la jeune femme devrait se soustraire un jour ou l’autre pour pouvoir pleinement profiter de la vie. Ou bien à défaut d’y arriver, d’arriver à vivre avec. Les visites avaient commencé à être autorisées en ce qui concernait cette patiente et Maluma ne savait pas exactement combien ni encore qui était venu la voir. Si jamais ce n’était pas assez à ses yeux, elle pouvait se sentir mal. Si c’était trop, elle aurait l’impression d’étouffer.
▬ Aujourd’hui, il faudrait qu’elle sorte un peu. Les couloirs mornes et sans saveur de cet hôpital vont finir par la rendre folle. Et je ne le tolérerais pas. se disait-il en se rapprochant de la pièce où se trouvait son amie.
La cadence de ses pas ralentit et il inspira un grand coup avant de frapper dans un rythme précis - un code qu’ils utilisaient quand ils s’amusaient dans une cabane non loin des champs de leurs parents. Après s’être assuré qu’il pouvait entrer, il s'exécuta doucement.
▬ Bonjour Helga. - il lui sourit - J’espère que tu vas mieux. - il prend une chaise et se pose à côté du lit ; une main se pose sur ce dernier - Je t’ai apporté un cadeau.
Le Cervantes mit en évidence un panier qu’il transportait avec lui. Il déposa ce dernier à côté de la jeune femme et face à lui donc. De sa main, il laissait se découvrir son contenu : un dessert qu’il a lui-même cuisiné et une tablette sur laquelle étaient enregistrés un mot d’encouragement de la plupart de ses amis. Certains n’avaient hélas pas pu venir, étudiant à l’international par exemple.
▬ Ne sois pas trop dur avec moi. - il se gratte les cheveux en souriant un peu bêtement - Je suis bien loin d’avoir ton talent au fourneau.
C’était bien vrai.
by Lyxiae
- Lee Min-Woong
Dresseur
Argent : 85
Expérience : 135
Région d'origine : Nérova
Âge : 25 années
Avatar : Mori Jin / God of High School
8 ans auparavant.
Hôpital central de l’île des baies.
Tu t'étais réveillée en sueur, laissant percevoir ta détresse par un cri. Un cri qui alertas le personnel hospitalier à ton grand dam. Après quelques minutes de vérification, les infirmières finirent par partir de ta chambre. D'hôpital. Tu rejetas la couverture. Regardant ta jambe, tandis que le soleil prenait son temps pour se lever. Tu te mis à la toucher. Elle avait la texture de la peau. Mais en plus ... "parfait". C'était dérangeant. C'était bizarre. Tu retiras presque aussitôt ta main. Elle t'avait brûlée et tu ressentis quelques picotements au bout de tes doigts. Tu remis la couverture pour cacher cette atrocité.
Tu regardais ce plafond terne et blanc. On t'emmenait dans cette fichu salle, cette salle immense. Où tu devais ré apprendre à marcher. Ironique. Tu avais appris en étant enfant à marcher et voilà que, dix neuf ans plus tard, tu devais le refaire. Tu te permis un sourire de lassitude. Avant d'affronter l'enfer. Avec difficulté, tu te tenais aux barres. Elles étaient rêches et glissantes. Ou peut-être était-ce ta propre paume qui laissait couler tant de transpiration. Tu devais forcer ton corps, ton poids, cette jambe, cette intruse, à bouger. En rythme. Avec toi. C'était infernal, cela faisait mal. Et la chute ne tardas pas tandis que tu soufflais comme un buffle.
Pampre se mit à pinailler mais tu ne l'entendais pas réellement. Tu repensais. A ta vie d'avant. A ta liberté. A ses courses dans les champs. Beaucoup trop de choses. On te raccompagna jusqu'à ta chambre. Où tu allais, encore, regarder l'horizon. En espérant t'échapper de cette chambre beaucoup trop petite. Qui te donnait de l'urticaire. Cette chambre qui se resserrait autour de toi. On entendis ton appel de solitude. Ton appel à l'aide.
Quelques coups toquèrent que tu reconnaissais entre mille. Un code secret que tu n'utilisais qu'avec une seule personne. Sa tête et son corps rentrèrent dans cette petite pièce. Des cheveux d'ébènes, des yeux perçants avec un corps d'homme. C'est vrai. Tu avais tendance à l'oublier. Ton petit Maluma n'était plus, c'était un homme maintenant. Et pourtant, malgré cette apparence, tu ne pouvais pas oublier comment il était plus petit. Tu te permis de sourire un peu, essayant de lui laisser un peu plus de place sur le lit. Sur ce lit exigu.
▬ Bonjour, Maluma.
Tu omis la seconde partie. Tu n'allais vraiment pas bien. Mais tu n'étais pas le genre à pinailler ou à te plaindre. Tu te concentras plutôt sur le panier qu'il posas à tes côtés. Un dessert. Cela te mis l'eau à bouche et tu faillis laisser échapper un peu de bave. Avec dignité, tu la ravalas avant qu'elle ne franchisse tes lèvres. Tu avais atrocement faim et les hôpitaux ne donnent que le strict minimum. C'est donc avec plaisir que tu accueillais ce cadeau. Ce n'était pas le seul. Tu pris la tablette entre tes mains, regardant les différents mots qui la composaient. Tu repassais dans ta tête les liens que tu possédais avec ses personnes. Tu repassais dans ta tête de nombreuses autre choses. Des noms. Des sourires. Des larmes. Des liens.
▬ Ne sois pas trop dur avec moi. Je suis bien loin d’avoir ton talent au fourneau.
Tu avais relever les yeux en le fixant. Il souriait, un sourire charmant, tu devais bien l'avouer. Tu te permis d'élargir le tien en prenant doucement la parole. Chose si rare pour toi. Mais on t'avait couper autant la voix que la jambe.
▬ Elle m'as l'air très appétissante, l'odeur me donne envie de baver. Certes, tu ne pourras jamais me dépasser au fourneau !
Tu te permis même de rire. Cela faisait si longtemps qu'il sonnait un peu creux. Tu replaças la tablette dans le panier en croisant tes doigts. Tu fis aussi en sorte de cacher ta jambe, ton truc, en dessous de la couverture, espérant qu'il ne poserait pas de questions. Tu avais honte. Tu ne savais plus qui tu étais ou ce que tu étais. Tu réfléchissais, essayant de penser à d'autre chose. Mais, bien sûr, ta langue fut plus rapide que ton raisonnement.
▬ Alors mon petit Malu', l'affaire familiale se porte bien ?
Tu avais eu quelques échos, quelques ragots, mais tu préférais poser la question au principal concerné.
by Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
Les présents plaisaient, et cela faisait d’autant plus plaisir au brun de peau. Son état laissait un peu à désirer et c’en était peinant. Mais la vie était ainsi faite et il fallait savoir faire avec, tout malheur apportait son lot de consolation disait-on. La question de la compagnie se posait assez rapidement, elle voulait sans doute ne pas aborder de sujets un peu trop gros à ses yeux. Le besoin de s’évader se faisait ressentir, le Cervantes acquiesca d’un mouvement de tête vif et répondit en plaçant une de ses mains au menton, regardant au plafond.
▬ Hmm, il semblerait que je vais bientôt devoir prendre la tête de cette petite entreprise. - elle l’est, pour l’instant - Une bonne nouvelle en définitive.
Maluma échangea un regard complice avec elle puis il se leva en soupirant. En observant l’intérieur de la chambre, ses yeux se perdirent très brièvement sur les détails de celle-ci - c’est-à-dire pas grand chose. Que tout était fade, sans saveur. Aucune recherche, aucun raffinement. Non, il ne pouvait décidément pas la laisser ici.
▬ La décoration laisse à désirer, il faudra qu’on pense à la refaire. - ses bras s’écartent, il imagine un plan - Là, un mur couleur saumon. Pfoua et là ! - il montre en évidence le coussin derrière son amie - Un masseur ou un appareil chauffant.
Toujours dans ses délires celui-là. Il soupira avant de jeter son dévolu sur un des fauteuils roulants de la pièce, il l’approcha du lit avec un sourire au coin.
▬ Bon, fini de flemmarder. La Helga que je connais n’est pas du genre à regarder l’horloge tourner. - sa vitalité rayonne à ses yeux, on peut parler de Soleil oui, effectivement - Viens, fuyons ce taudis.
Un peu de courage lui était demandé. Bien qu’il n’était pas dans sa tête, il se doutait bien qu’elle pouvait se sentir mal avec sa nouvelle jambe. Cela serait le cas pour tout le monde, probablement encore plus pour elle. Ses mains vinrent tranquillement plaquer le fauteuil contre le lit, de sorte à ce qu’elle puisse se mettre dessus seule. Elle n’aimait pas recevoir de l’aide, même quand elle en avait besoin, il le savait. Alors, il laissait madame le suivre à l’aide de ses propres ressources. Le Cervantes n’allait certainement pas la traiter comme une handicapée mais il ne lui compliquerait pas la tâche non plus. Oh que non.
▬ Allons voir si on peut déjà trouver de belles fleurs pour égayer tout ça.
Un petit sourire au coin des lèvres, ses yeux se concentraient plus sur elle qu’autre chose. De toutes manières, elle avait une couverture, elle pouvait bien camoufler son invalidité sans grande difficulté.
▬ Hmm, il semblerait que je vais bientôt devoir prendre la tête de cette petite entreprise. - elle l’est, pour l’instant - Une bonne nouvelle en définitive.
Maluma échangea un regard complice avec elle puis il se leva en soupirant. En observant l’intérieur de la chambre, ses yeux se perdirent très brièvement sur les détails de celle-ci - c’est-à-dire pas grand chose. Que tout était fade, sans saveur. Aucune recherche, aucun raffinement. Non, il ne pouvait décidément pas la laisser ici.
▬ La décoration laisse à désirer, il faudra qu’on pense à la refaire. - ses bras s’écartent, il imagine un plan - Là, un mur couleur saumon. Pfoua et là ! - il montre en évidence le coussin derrière son amie - Un masseur ou un appareil chauffant.
Toujours dans ses délires celui-là. Il soupira avant de jeter son dévolu sur un des fauteuils roulants de la pièce, il l’approcha du lit avec un sourire au coin.
▬ Bon, fini de flemmarder. La Helga que je connais n’est pas du genre à regarder l’horloge tourner. - sa vitalité rayonne à ses yeux, on peut parler de Soleil oui, effectivement - Viens, fuyons ce taudis.
Un peu de courage lui était demandé. Bien qu’il n’était pas dans sa tête, il se doutait bien qu’elle pouvait se sentir mal avec sa nouvelle jambe. Cela serait le cas pour tout le monde, probablement encore plus pour elle. Ses mains vinrent tranquillement plaquer le fauteuil contre le lit, de sorte à ce qu’elle puisse se mettre dessus seule. Elle n’aimait pas recevoir de l’aide, même quand elle en avait besoin, il le savait. Alors, il laissait madame le suivre à l’aide de ses propres ressources. Le Cervantes n’allait certainement pas la traiter comme une handicapée mais il ne lui compliquerait pas la tâche non plus. Oh que non.
▬ Allons voir si on peut déjà trouver de belles fleurs pour égayer tout ça.
Un petit sourire au coin des lèvres, ses yeux se concentraient plus sur elle qu’autre chose. De toutes manières, elle avait une couverture, elle pouvait bien camoufler son invalidité sans grande difficulté.
by Lyxiae
- Lee Min-Woong
Dresseur
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Ta question ne l'embarrassait pas et cela te rassurait un petit peu. Tu avais tellement tendance à laisser ta langue faire ce qu'elle souhaitais que tu oubliais que cela pouvait déranger. Ou blesser autrui. Et tu souhaitais éviter les deux en compagnie de Maluma.
▬ Hmm, il semblerait que je vais bientôt devoir prendre la tête de cette petite entreprise.
Cela ne t'étonnait pas vraiment. On pouvait compter aisément sur lui et il avait la tête sur les épaules. Tu pouvais presque parier que la petite entreprise allait fleurir pour devenir quelque chose de grandiose. Une très bonne nouvelle pour lui, pour sa famille, pour l'entreprise. Pour tout le monde, finalement. Tu continuais de sourire, en l'écoutant avec attention. Il se mit à parler de la décoration et tu ne pouvais qu'hôcher la tête. Elle était vide, terne, blanche. Elle était petite, affreuse, moche. Tu perdis ton sourire. Qui se transformas en rire après les égarements de Maluma.
▬ Si tu n'allais pas devenir PDG, tu aurais pu être décorateur d'intérieur !
Et tu rigolais, les larmes aux yeux. Tu imaginais la scène et tu ne pouvais pas t'arrêter de rire. Tu perdis même ton souffle. Maluma, décorateur d'intérieur. C'était trop beau pour être vrai. Tu réussis à reprendre ton souffle avec beaucoup de mal. Tu avais mal aux côtes et tu posas tes doigts dessus, les larmes glissant sur tes joues. Mensonge. Ce n'était pas que des larmes de rire. Mais de tristesse aussi. Mais c'était mieux, pour lui, pour toi, que de faire croire l'inverse. Oui. C'était beaucoup mieux. Il reprit la parole. Tu ne l'écoutais plus vraiment. Repensant plutôt au passé. A ton corps d'avant. A ta vie d'avant. Tu avais vu du coin de l’œil le fauteuil se rapprochait du lit par l'intermédiaire de ton ami. Tu repris vie, tu repris concentration sur le temps présent.
▬ Allons voir si on peut déjà trouver de belles fleurs pour égayer tout ça.
Tu allais pouvoir sortir de cette chambre miteuse. Quelle joie ! Tu mis la couverture autour de ton corps, pour éviter qu'elle ne glisse durant l'acte. Avec difficulté, tu sollicitas tes bras. Tu les mis sur les accoudoirs en faisant en sorte de bouger tout ce qui se trouvait en dessous de la ceinture. Dont la jambe intruse. Tu réussis sans trop de difficulté mais tu étais fort gênée que Maluma te détaillas tout du long. Tu replaças bien la couverture qui avait glisser durant l'action. Qui avait laisser surement entrevoir plus que nécessaire. Tu ne portais qu'une blouse blanche, qui descendait à peine plus bas que les genoux. Tu étais un peu fatiguée de l'exercice. Rester si longtemps dans un lit t'avait fait perdre de l'endurance. C'est à ce moment-là que Pampre se mit a prendre place sur tes jambes. Tu souris en lui caressant le sommet de sa bouille. Mais tu mis encore à contribution tes dix doigts.
Tu les posas sur les roues pour les faire tourner en prenant la direction de la porte. Arrivée devant elle, tu te retournas en fixant Maluma, un sourire aux lèvres.
▬ Qu'attends-tu ? Dépêche toi, ou bien je vais partir sans toi !
Ce que tu fis, sans attendre réellement sa réponse. Tu savais que ton ami te suivrait. Tu réussis à passer la porte et tu partis en vitesse pour pouvoir t'aérer, laissant ton rire flotter dans les couloirs de cet hôpital. C'est seulement en arrivant à hauteur des portes vitrées et en les passant que tu te permis de souffler. De respire cet air pur, de profiter du soleil tapant sur ta peau. Tu permis même à tes doigts de se reposer de cette course effrénée pour savourer la brise. Qui faisait voler tes cheveux libérés. Tu ne pus que sourire en fermant les yeux. Pampre fit de même, laissant simplement échapper un simple soupir de plaisir. Ce que tu fis tout autant. C'était si bon de pouvoir savourer cela. Elle était si légère sur tes jambes, que tu n'avais pas remarquer qu'elle avait du s'accrocher à toi pour ne pas tomber tout le long de la course. Mais elle ne se plaignait pas, au contraire, cela avait pu lui permettre de se défouler. Ou en tout cas, de s'accrocher à sa vie.
by Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
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Décorateur d’intérieur ? Il se mit à rire doucement. Oui, sans doute. Mais pour chaque métier, il fallait avoir une motivation et un inspiration. Et Maluma ne pourrait l’effectuer que pour lui rendre service à elle et uniquement pour elle. En voyant la jeune femme commencer à aller à toute allure dans les couloirs de l’hôpital, il soupira fortement. Donnez lui un peu de liberté et elle faisait le tour d’un territoire celle-là.
▬ Oui oui, j’arrive !
Son regard s'abandonnait quelques secondes sur le lit qui avait accueilli son amie. Sa main se plaça sur une des barres dont il était formé puis il serra fortement cette dernière. Intérieurement, il se faisait la promesse qu’elle ne retournerait plus jamais dans un tel établissement. Pour quoi que ce soit. Les services publics étaient ce qu’ils étaient, certes. Le travail était fait et personne ne devait s’en plaindre. Seulement, il ne supporterait pas plus longtemps que qui que ce soit daigne enfermer sa muse une fois de plus au milieu de personnes banales et n’ayant pas la moindre préoccupation pour elle. Puis, il lâcha soudainement la barre pour se mettre à courir à toute allure afin de rapidement retrouver la chevelure émeraude.
▬ Pfiou. - essoufflé, il reprend un peu son souffle puis reprend - Tu as toujours autant de force dans les bras. - ses mains veulent pousser le fauteuil mais il se retient - Tiens, par-là !
Son bras pointait une direction, celle d’un jardin dans lequel il avait précédemment vu des petits pokémons plantes sympathiques. De potentiels camarades de jeu pour Pampre. Oui, car après tout, la Croquine traversait sans doute mal cette période de sa vie aussi. On disait que certains dresseurs avaient une relation plutôt fusionnelle avec leur bestioles, allez savoir si cela était vrai pour les deux en face de lui. Et après une énième hésitation, il décida de ne pas poser ses mains sur les extrémités du fauteuil. Après tout, ils étaient dotés de mini moteur pouvant faire le travail de traction à la place de l’utilisateur.
▬ Oh tiens, qui voilà ? - un germignon montre le bout de son nez, curieux à propos de la Croquine sur qui il tombe ; l’homme n’y montre que peu d’intérêt et se reconcentre sur la jeune femme - Dis moi Helga. - il sourit en avançant les mains dans les poches - Tu as faim ?
Son visage affichait le fameux “suivez mon regard” tandis que ses yeux montraient un restaurant au loin. Quoi ? Comment ça “elle n’est pas présentable” ? S’il le décidait, il serait ainsi. Maluma comptait bien commencer par-là : montrer à tous qu’il faisait ce que bon lui semblait. Et il en serait de même pour elle. Et puis, sur un malentendu, il la convaincrait de le laisser préparer l’installation requise à domicile pour qu’elle puisse profiter de sa famille plutôt que de parfaits inconnus. Mais ça, c’était sans doute peine perdue. Helga n’était pas une femme à qui on proposait de rendre un service, il fallait lui forcer la main. Et ce n’était pas dans la nature du Cervantes de le faire, pas avec elle.
▬ Alleeeer. - une de ses mains vient agiter doucement l’épaule de la douce - Vieeens, on va se péter le bide. Et si quelqu’un nous regarde bizarrement, on lui jette nos couverts dessus.
Bon, ce détail était peut-être en trop mais il fallait bien que sa crush de défoule un peu.
▬ Oui oui, j’arrive !
Son regard s'abandonnait quelques secondes sur le lit qui avait accueilli son amie. Sa main se plaça sur une des barres dont il était formé puis il serra fortement cette dernière. Intérieurement, il se faisait la promesse qu’elle ne retournerait plus jamais dans un tel établissement. Pour quoi que ce soit. Les services publics étaient ce qu’ils étaient, certes. Le travail était fait et personne ne devait s’en plaindre. Seulement, il ne supporterait pas plus longtemps que qui que ce soit daigne enfermer sa muse une fois de plus au milieu de personnes banales et n’ayant pas la moindre préoccupation pour elle. Puis, il lâcha soudainement la barre pour se mettre à courir à toute allure afin de rapidement retrouver la chevelure émeraude.
▬ Pfiou. - essoufflé, il reprend un peu son souffle puis reprend - Tu as toujours autant de force dans les bras. - ses mains veulent pousser le fauteuil mais il se retient - Tiens, par-là !
Son bras pointait une direction, celle d’un jardin dans lequel il avait précédemment vu des petits pokémons plantes sympathiques. De potentiels camarades de jeu pour Pampre. Oui, car après tout, la Croquine traversait sans doute mal cette période de sa vie aussi. On disait que certains dresseurs avaient une relation plutôt fusionnelle avec leur bestioles, allez savoir si cela était vrai pour les deux en face de lui. Et après une énième hésitation, il décida de ne pas poser ses mains sur les extrémités du fauteuil. Après tout, ils étaient dotés de mini moteur pouvant faire le travail de traction à la place de l’utilisateur.
▬ Oh tiens, qui voilà ? - un germignon montre le bout de son nez, curieux à propos de la Croquine sur qui il tombe ; l’homme n’y montre que peu d’intérêt et se reconcentre sur la jeune femme - Dis moi Helga. - il sourit en avançant les mains dans les poches - Tu as faim ?
Son visage affichait le fameux “suivez mon regard” tandis que ses yeux montraient un restaurant au loin. Quoi ? Comment ça “elle n’est pas présentable” ? S’il le décidait, il serait ainsi. Maluma comptait bien commencer par-là : montrer à tous qu’il faisait ce que bon lui semblait. Et il en serait de même pour elle. Et puis, sur un malentendu, il la convaincrait de le laisser préparer l’installation requise à domicile pour qu’elle puisse profiter de sa famille plutôt que de parfaits inconnus. Mais ça, c’était sans doute peine perdue. Helga n’était pas une femme à qui on proposait de rendre un service, il fallait lui forcer la main. Et ce n’était pas dans la nature du Cervantes de le faire, pas avec elle.
▬ Alleeeer. - une de ses mains vient agiter doucement l’épaule de la douce - Vieeens, on va se péter le bide. Et si quelqu’un nous regarde bizarrement, on lui jette nos couverts dessus.
Bon, ce détail était peut-être en trop mais il fallait bien que sa crush de défoule un peu.
by Lyxiae
- Lee Min-Woong
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C'était si bon. Tu aurais aimer rester ainsi des heures durant. Des jours. Des semaines. A simplement rester assise en laissant le vent te serrait dans ses bras. En sentant la chaleur de Pampre. En laissant le soleil s'infiltrer en toi pour ressentir sa chaleur. Simplement rester près de la nature, près d'elle, faisant en sorte qu'elle te réconforte. Mais tu ne le pouvais pas. Tu le savais, bien sur. Mais tu avais tant de mal à l'admettre. Tant de mal à admettre beaucoup de choses. Tu laissas tes yeux se rouvrir à la réalité. Cruelle et taquine réalité. Tu reportas ton regard sur Malu'. Il n'avait pas poser les mains sur ton fauteuil, il ne t'avait pas aider, tu lui en était reconnaissante. Tu ne voulais pas qu'on te considère comme une handicapée. Comme une infirme. Même si tu l'étais un peu ...
Pampre commenças à pousser un petit cri, un cri de joie et de ... Séduction . Un Germignon avait pointer le bout de son nez, nez qu'il posa sur celui de Pampre, qui s'était mise à sa hauteur. Soit, en descendant de tes jambes. Ils se bécotaient. Tu eus un petit sourire. Tu penchas la tête de côté quand ton compagnon prit la parole.
▬ Dis moi Helga, tu as faim ?
Horriblement faim. Cette chose qui rampait dans ton ventre en voulant une assiette pleine. Et non plus le strict minimum qu'on te donnait pour survivre. Tu tournais ta tête vers ton sauveur.
▬ How oui, j'ai horriblement faim.
Tu suivis son regard, regardant le restaurant en face. Tu voulais tellement te rapprocher de ce restaurant. De ce lieu béni. Mais tu te rappelas, avec une déception immense, ta tenue d’hôpital. Une simple blouse blanche entrouverte derrière. Une tenue très peu décente pour un restaurant de cette envergure. Tu sentis sa main sur ton épaule, tu sentis aussi une légère pression.
▬ Vieeens, on va se péter le bide. Et si quelqu’un nous regarde bizarrement, on lui jette nos couverts dessus.
Tu avais envie de résister, tu avais envie d'abandonner et d'y aller avec plaisir. Mais pas dans cette tenue, tu ne pouvais vraiment pas. Mais ... Tu avais si faim ...
Avec un long soupir, tu finis donc par abandonner -avec plaisir-. Tu mis tes bras à contribution en arrachant Pampre à son courtisan. Elle mima une mine furieuse et fermas les yeux, se posant sur tes jambes. Tu lui tapotas le sommet de la tête avant de reprendre les rênes pour partir à l'entrée du restaurant. Tu poussas l'entrée avec difficulté avant d'arriver devant un serveur, ébahi. Tu souriais de toute tes dents, prenant la parole, d'une voix un peu trop forte :
▬ Une table pour deux !
Tu n'étais pas seule après tout. Tu étais avec Maluma. Et vous alliez vous éclater le bide, car, ce restaurant sentait beaucoup trop bon. Une goutte de salive et de bave d'impatience se laissas glisser entre tes lèvres avant de tomber sur Pampre. Tu avais si hâte. Qu'importe le regard du serveur, qu'importe le regard des autres. Tu fis même un petit signe discret à ton compagnon. Lui signifiant qu'il pouvait prendre les extrémités du fauteuil pour te pousser dans ce lieu.
by Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
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Arrivés au restaurant, la jeune femme ne se faisait pas plus attendre que cela. Bon, le détail de la tenue n’était pas une chose sur laquelle Maluma se formalisait tant que ça à l’époque. Alors, la chose n’attirait que très peu son attention. Ses mains se posaient volontier sur les bordures prévues à la poussée du fauteuil et donc ils progressaient. C’était un temps où son nom n’était pas encore connu, où il n’avait pas fait ses preuves dans ce bas-monde. Et pourtant, il jetait déjà des regards bien plus que désapprobateurs en direction des personnes de mauvais goût et (sans doute) aussi vers ceux qui osaient dévisager le duo. Avec l’âge, son égo gonflait. C’était un fait indéniable. L’insistance et la motivation bien plus qu’évidente du couple força un peu le serveur et le maître de salle à leur trouver une table un peu à l’écart. Ils avaient l’argent mais il fallait encore sauver l’image de l’enseigne, un concept que Maluma concevait aisément.
▬ Ici donc. disait-il en lâchant le fauteuil devant une table.
Le Cervantes s’installait donc et invitait son invitée à commander ce qu’elle souhaitait. En se triturant un peu le cerveau, le futur entrepreneur pensait déjà à comment il pouvait faciliter à son amie l’accès à des plats de qualité tout en étant à l’hôpital. Il y penserait un peu plus tard.
▬ Il fait un peu chaud, je vais juste dévaliser leur stock de glaces.
Et ainsi, il commandait la plupart des desserts sur la carte du restaurant. Non pas qu’il avait faim, c’était surtout pour encourager la verte de cheveux à en faire de même, se faire plaisir. Peu lui importait combien cette journée lui coûterait, il ne savait pas quand il pourrait revenir lui rendre visite. Alors, il fallait un peu marquer le coup. Et ça commençait par un peu d’abus et de caprice de pseudo-star, faire le precious boy.
▬ Alors, racontes moi. Quel genre de spécimens tu as vu à l’hôpital ? Des gens bizarres, autant du corps médical que du côté des patient hein.
Le Cervantes savait qu’être une langue de vipère pouvait faire du bien. Alors si elle voulait se lâcher, elle le pouvait sans problème.
▬ Ici donc. disait-il en lâchant le fauteuil devant une table.
Le Cervantes s’installait donc et invitait son invitée à commander ce qu’elle souhaitait. En se triturant un peu le cerveau, le futur entrepreneur pensait déjà à comment il pouvait faciliter à son amie l’accès à des plats de qualité tout en étant à l’hôpital. Il y penserait un peu plus tard.
▬ Il fait un peu chaud, je vais juste dévaliser leur stock de glaces.
Et ainsi, il commandait la plupart des desserts sur la carte du restaurant. Non pas qu’il avait faim, c’était surtout pour encourager la verte de cheveux à en faire de même, se faire plaisir. Peu lui importait combien cette journée lui coûterait, il ne savait pas quand il pourrait revenir lui rendre visite. Alors, il fallait un peu marquer le coup. Et ça commençait par un peu d’abus et de caprice de pseudo-star, faire le precious boy.
▬ Alors, racontes moi. Quel genre de spécimens tu as vu à l’hôpital ? Des gens bizarres, autant du corps médical que du côté des patient hein.
Le Cervantes savait qu’être une langue de vipère pouvait faire du bien. Alors si elle voulait se lâcher, elle le pouvait sans problème.
by Lyxiae
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