- Alessio Vandevelde
Dresseur
Argent : 120
Expérience : 110
Région d'origine : Nérova
Âge : 25 ans
La réclame de trop
Journée incroyable de recherches. Alessio avait trouvé son bonheur chez un professeur du milieu avec qui il avait passé l'après midi au téléphone. Dans une des salles de conférences de la bibliothèques, les deux scientifiques avaient littéralement passés leurs temps à se bombarder de questions sur leurs recherches respectives, prenant tant de notes sur toutes les petites feuilles qui traînaient. C'était un sentiment particulièrement agréable pour le futur Docteur de savoir que même un scientifique de 60 ans dans son domaine pouvait être pris d'une curiosité pareil envers ses recherches de 2 ans à peine. Bientôt 3. Alessio était bien heureux, et sortait du bâtiment avec le sourire. Qu'il perdit bien rapidement. Encore ses foutus racoleurs de la salle de sport juste devant les transports en communs. Ils ne s’arrêtaient définitivement jamais. Toujours appâtés par les gains.
Activant son 6 ème sens, Alessio tenta de se fondre dans la foule tel un joueur chevronné de "l’engrenage solide en métal". Passant partout, et se jouant de ses épaules fines, il passait tranquillement quand soudain! Il vit presque le point d'exclamation apparaître sur la tête de cet homme sandwich. Et ce regard qui voulait tout dire. il allait devoir supporter cela une fois de plus. Encore et toujours la même rengaine, le même chantage, les mêmes offres que même lui connaissait par coeur...
L'homme arriva à son niveau, et il eut le droit à tout ça.
"Nan mais lâchez moi à un moment bordel j'y aio le droit tout les putains de jours à votre -20% sur le premier mois et si t'invite un pote on te fait gagner un sac en poil de protéine et 5% de moins merde à la fin vous emmerdez tout le monde et vous prenez de la place sur le trottoir!"
Alessio entendit certaines personnes indignés autour de lui, mais également quelques soupirs de soulagements. cela le rassurait, il n'était pas le seul à faire la guerre à ces forceurs du futur qui faisaient tout pour leur faire bouffer leur putain de prospectus. Mais l'homme en face tenta d'ouvrir la bouche.
"Nan épargnez moi vos conneries. retournez pousser comme un demeuré à la salle et me brisez pas les couilles bordel. Aller soulever des poids comme un déchet et laissez les gens qui bossent tranquilles. Puis arrêtez avec les tracts, ça sera au moins écologique à défaut d'être divertissant."
Alessio savait qu'il était allé un peu loin, mais il en avait vraiment marres d'eux. Puis de toute manière ces bodybuilders ne pouvaient rien lui faire, l'image de la salle en dépendait. Il avait l'immunité diplomatique. Quoi que si quelqu'un de la foule venait... En même temps cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas dis ses quatre vérités à quelqu'un, et sa répartis avait bien besoin d'être entretenues de temps en temps.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Kiele Nu'u
Dresseur
Argent : 260
Expérience : 70
Région d'origine : Alola
Âge : 28 ans
Avatar : Illaoi
Tout pour le muscle
Kiele Nu'u & Alessio Vandevelve
Des nuages aux teintes violacées dissimulaient le ciel, tandis que l’esquisse d’un soleil s’évanouissait dans le lointain. Dans les rues bondées de la capitale, deux mètres de muscles et de chairs en tenue de civil et un petit pokémon aux tatouages fluorescents faisaient peu ou prou d’efforts pour éviter de sortir du lot. Elle avançait d’un pas ferme, assuré avec l’air d’une enfant ravie, lui progressait avec les bras croisés et une expression très noble.
« Du génie, t’as vu ce travail de la lumière et ces plans de caméras ?!
-Machoc.
-Je m’attendais pas à ce qu’il diffuse la version originale restaurée, je regrette pas qu’on soit allés à cette expo sur le cinéma muet ! Enfin si tu veux mon avis…
-Machoc.
-Je trouve qu’elle se concentrait trop sur l’expressionnisme, y’a pas eu que ça pendant quarante ans quoi ! Le courant de la non-narration, ou encore celui de l'école de Brighton, y'avait quasiment rien dessus.
-Machoc.
-Bon, c’est pas donné le prix des billets de train additionnés à ceux de l’entrée, mais parfois faut savoir se faire plaisir quoi. Merde enfin ! S’indigna-t-elle. Ah, et les maquettes ? Tu as vu les maquettes, celles qui ont servit à faire les décors du film, un régal pour les mirettes. »
De nouveau, le pokémon répéta son nom sans que quiconque soit en mesure d'interpréter cela. Kiele ne s’en souciait guère, du moment qu’il faisait semblant d’écouter. Qui aurait crut que le cinéma passionnait autant la mastodonte ? Cette conversation sur leur sortie du week-end continua un bon moment.
Ils s’engagèrent dans une nouvelle avenue. Kiele ne reconnut pas le coin, mais ne semblait guère s’en inquiéter. Son TMGV ne partirait pas avant encore un bon moment (merci les tarifs bien moins chers autour de minuit), lui laissant donc le champ libre pour se promener. Elle comptait bien profiter au maximum de sa première visite ici.
« Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton monsieur ! Se courrouça soudain une voix, s’élevant au dessus de la tumulte ordinaire de la foule. Je fais simplement mon travail moi.
-Tu entends ça ?
-Machoc.
-.. Des gens comme vous qui ont aucunes considérations pour les petits emplois, hein ? »
Intriguée, elle se dirigea dans la direction de l’altercation. Le pokémon suivit, bien que totalement désintéressé par la situation. Elle remarqua que les gens s’attroupaient autour de deux personnes.
« Qu’est ce qui se passe ? S’enquit-elle auprès d’une inconnue.
-Hein ? Ah, j’en sais rien je viens d’arriver moi aussi.
-… croyez que ça m’amuse d’harceler les gens dans la rue ?? Mais j’ai une famille moi, j’ai des gosses à nourrir et des impôts à payer ! »
Visiblement, leur conflit ne faisait qu’empirer. N’obtenant guère de réponse satisfaisante, Kiele décida de se frayer – avec un peu de force – un chemin à travers les gens, jusqu’à arriver face à deux énergumènes. D’un côté se trouvait un homme dans la trentaine bien bâti, de l’autre un petit gringalet à l’air teigneux. De la colère luisait dans les pupilles de ces hommes.
« Bon, pourquoi ça gueule par ici ? »
Le ton était ferme, la stature sévère mais le regard plus intrigué que jugeur.
« Du génie, t’as vu ce travail de la lumière et ces plans de caméras ?!
-Machoc.
-Je m’attendais pas à ce qu’il diffuse la version originale restaurée, je regrette pas qu’on soit allés à cette expo sur le cinéma muet ! Enfin si tu veux mon avis…
-Machoc.
-Je trouve qu’elle se concentrait trop sur l’expressionnisme, y’a pas eu que ça pendant quarante ans quoi ! Le courant de la non-narration, ou encore celui de l'école de Brighton, y'avait quasiment rien dessus.
-Machoc.
-Bon, c’est pas donné le prix des billets de train additionnés à ceux de l’entrée, mais parfois faut savoir se faire plaisir quoi. Merde enfin ! S’indigna-t-elle. Ah, et les maquettes ? Tu as vu les maquettes, celles qui ont servit à faire les décors du film, un régal pour les mirettes. »
De nouveau, le pokémon répéta son nom sans que quiconque soit en mesure d'interpréter cela. Kiele ne s’en souciait guère, du moment qu’il faisait semblant d’écouter. Qui aurait crut que le cinéma passionnait autant la mastodonte ? Cette conversation sur leur sortie du week-end continua un bon moment.
Ils s’engagèrent dans une nouvelle avenue. Kiele ne reconnut pas le coin, mais ne semblait guère s’en inquiéter. Son TMGV ne partirait pas avant encore un bon moment (merci les tarifs bien moins chers autour de minuit), lui laissant donc le champ libre pour se promener. Elle comptait bien profiter au maximum de sa première visite ici.
« Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton monsieur ! Se courrouça soudain une voix, s’élevant au dessus de la tumulte ordinaire de la foule. Je fais simplement mon travail moi.
-Tu entends ça ?
-Machoc.
-.. Des gens comme vous qui ont aucunes considérations pour les petits emplois, hein ? »
Intriguée, elle se dirigea dans la direction de l’altercation. Le pokémon suivit, bien que totalement désintéressé par la situation. Elle remarqua que les gens s’attroupaient autour de deux personnes.
« Qu’est ce qui se passe ? S’enquit-elle auprès d’une inconnue.
-Hein ? Ah, j’en sais rien je viens d’arriver moi aussi.
-… croyez que ça m’amuse d’harceler les gens dans la rue ?? Mais j’ai une famille moi, j’ai des gosses à nourrir et des impôts à payer ! »
Visiblement, leur conflit ne faisait qu’empirer. N’obtenant guère de réponse satisfaisante, Kiele décida de se frayer – avec un peu de force – un chemin à travers les gens, jusqu’à arriver face à deux énergumènes. D’un côté se trouvait un homme dans la trentaine bien bâti, de l’autre un petit gringalet à l’air teigneux. De la colère luisait dans les pupilles de ces hommes.
« Bon, pourquoi ça gueule par ici ? »
Le ton était ferme, la stature sévère mais le regard plus intrigué que jugeur.
Lyxiae
- Alessio Vandevelde
Dresseur
Argent : 120
Expérience : 110
Région d'origine : Nérova
Âge : 25 ans
La réclame de trop
Et le mec osait lui répondre quoi. Il en avait du putain de cran. Nan mais vraiment. Ça faisait facilement 4 ans qu'il se faisait démarcher AU MOINS une fois par jour, et c'était pas la première fois qu'il gueulait. Il était même allé une fois se plaindre au gérant, parce que sans déconner ça saoule tout le monde, ça gêne les gens qui descendent du bus, les gens qui marchent sur le trottoir,... C'est juste une nuisance autorisée qui pourris la vie de tout le monde. Sans parler des gens qui habitent dans le quartier et qui se supportent des autistes bourrés de protéines qui hurlent des -10% à longueur de journées. Mais d'ailleurs elle s’arrête quand cette putain de promotion? Ya un moment, ce forcing doit cesser. Et le mec l'aura pas avec ses histoires de familles et tout. Quasiment tout le monde sur ce putain de trottoir à ses propres problèmes.
"Bah faut croire que ça vous fait marrer parce que c'est pas la première fois que je vous fait la remarque, et votre sale gueule moi je la connais par cœur maintenant!"
Alessio n'était pas du genre à s'énerver pour rien. Et en réalité, pensant que l'autre gueulait des truc qui ne l’intéressait absolument pas. Il s'était un peu calmé. Là il ne comptait pas perdre la face ni laisser gagner l'autre abruti. Alors il avait laissé la pression descendre un peu. Histoire de mettre le plein en répartis cinglante. Mais avant toute autre intervention, un colosse débarqua. Et au moins, il avait la bonne idée d'aller droit au but.
Elle. Bordel elle. Un colosse. Un vrai, comme les statues. Des muscles absolument partout. Attend bordel c'est possible des bras pareils? Et puis cette taille! Elle... Bordel elle devait juste faire deux fois Alessio dans tout les sens du termes. Et elle débarquait comme ça, de "nul part", avec une gueule d'ange, un petit sourire qui trahissait sa curiosité, et une carrure à faire palir les plus beaux camions de la ville. Les camions, oui, pas les camionneurs. Eux sont déjà en position latérale de sécurité dans un coin.
Alessio allait devoir là jouer fine. Il se doutait bien qu'elle ne comptait pas lui refaire le portrait et lui imprimer le visage sur le bitume devant une telle foule, mais sait on jamais, le courant d'air d'un de ses gestes un peu brusques aurait pu briser en deux le frêle jeune homme. Il soupira un moment.
"Un mélange de ras le bol et de harcèlement moral ça vous parle?"
Il eu un petit tic. Cette remarque l'avait fait un tout petit peu rire, et avait dessiné un sourire en coin sur son visage.
"J'lui expliquais à quel point on en avait plein le cul de se faire hurler des "-10%" dans la gueule à longueur de journée alors qu'on cherche juste à vivre nos putains de vies pénards. Surtout que vu le prix de l'abonnement, c'est même pas une vrai promo à ce niveau là, ils sont juste là pour faire peur aux gens et les forcer à rentrer."
C'était techniquement la vérité. Il manquait la description des cris et du fait que cette personne avait, aux yeux de étudiants, un QI négatif et un job de décérébré. Nan mais sans blague, si tu passes ton temps à soulever des trucs, mais que t'aime pas ton putain de travail d’homme sandwich, Alessio connait parfaitement les hangars de la ville désertique, et ils manquant très très souvent de mains d'oeuvre. mais que voulez vous, dans la vie les gens préfèrent se plaindre que de se sortir les doigts du cul.
A ce moment précis, l'attention d'Alessio était sur la femme. grande, peau mat, très musclée. Elle était atypique et ne venait pas de la région comme lui. Elle avait un truc qui lui faisait dire qu'elle n'était pas là en temps que diplomate, et qu'elle n'en avait surement absolument rien à foutre de cette dispute. reste à savoir se qu'elle allait dire...
Codage par Libella sur Graphiorum
- Kiele Nu'u
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Argent : 260
Expérience : 70
Région d'origine : Alola
Âge : 28 ans
Avatar : Illaoi
Tout pour le muscle
Kiele Nu'u & Alessio Vandevelve
« Il peut pas l’ouvrir sans sortir une insulte… » Constata Kiele l’air pensif en écoutant la complainte du gars blasé. Du haut de ses vingt centimètres de moins, elle lui reconnut une certaine audace pour engueuler un type aussi imposant - ça ou de la stupidité, qu’importe. Du coup, tout ce vacarme c’était lui qui braillait pour une histoire de publicité envahissante, enfin si elle avait bien tout suivi. D’un côté, elle compatissait un peu (coucou Volucité), de l’autre elle trouvait son comportement déplacé.
L’homme sandwich répondit à son tour. Il employa des arguments similaires à ceux qu’il avait déjà raconté, et l’accusa de diffamation. S’il était habile à la salle, il l’était moins pour débattre. Tandis qu’il continuait de causer, Kiele arrêta de l’écouter et fit le point.
Une armoire à glace et une espèce de petite intello s’engueulaient pour une raison à la con, qui pourrait être résolue bien plus simplement. Ironiquement, celui qui se plaignait des hurlements de l’autre avait rameuté le plus de monde avec les siens. Bref, un problème cocasse à laquelle notre bonne Kiele comptait bien remédier. Alors qu’une bonne partie des regards se focalisaient déjà sur elle (dont celui du rouquin, elle avait peut-être une touche !), elle se racla la gorge pour attirer ceux qui manquaient. Elle laissa s’échapper un rire et coupa le bodybuildeur.
« Pas la peine de s’engueuler pour ça ! Toi, arrête de forcer. Tu distribues tes tracts, tu abordes gentiment les gens et s’ils ont pas l’air emballés, n’insistes pas. Surtout, si ça fait quinze fois que tu croises cette personne, t’essaye de te rappeler de son visage pour pas l’emmerder la seizième. Tu peux faire ça ? »
D’une main, elle lui tapota le torse, de l’autre elle lui prit un tract.
« Jolis pecs’ au fait, par contre à ta place je bosserais un peu plus les jambes. Tu m’as l’air de sauter un peu trop souvent le leg day.
-Mais attends, je vais pas le laisser s’en sortir comme ça après avoir dit autant de…
-Laisse couler. Bon à ton tour p’tit gars, t’inquiètes pas je vois ton problème, lui sourit-elle. Un instant, ALLEZ TOUT LE MONDE, ON SE DISPERSE Y’A PLUS RIEN À VOIR !! PERSONNE NE VA SE BATTRE CE SOIR !!! PLUS VITE QUE CA !»
Cette géante avait terrifié des catcheurs plus lourds qu’elle, alors c’est pas des citoyens ordinaires qui allaient protester. Quelques murmures de déceptions se firent entendre, mais dans l’ensemble la plupart des gens repartirent comme si de rien n’était. En moins de cinq minutes, Kiele était venue, avait écouté et potentiellement "résolu" la situation en un claquement de doigt. Le tout sans perdre son sang-froid, et il valait mieux que ça reste ainsi. Sa raison pour agir ainsi : c’est une meuf sympa.
« Tu sais, j’ai déjà vu des gens dans ton cas. Rien de grave, il faut juste être honnête avec soi-même et pas reporter sa colère sur les autres. Si tu as si honte que ça, je peux t’accompagner à la salle pour que tu te familiarise ! »
Elle se pencha et lui tapota amicalement l’épaule en signe de soutien.
L’homme sandwich répondit à son tour. Il employa des arguments similaires à ceux qu’il avait déjà raconté, et l’accusa de diffamation. S’il était habile à la salle, il l’était moins pour débattre. Tandis qu’il continuait de causer, Kiele arrêta de l’écouter et fit le point.
Une armoire à glace et une espèce de petite intello s’engueulaient pour une raison à la con, qui pourrait être résolue bien plus simplement. Ironiquement, celui qui se plaignait des hurlements de l’autre avait rameuté le plus de monde avec les siens. Bref, un problème cocasse à laquelle notre bonne Kiele comptait bien remédier. Alors qu’une bonne partie des regards se focalisaient déjà sur elle (dont celui du rouquin, elle avait peut-être une touche !), elle se racla la gorge pour attirer ceux qui manquaient. Elle laissa s’échapper un rire et coupa le bodybuildeur.
« Pas la peine de s’engueuler pour ça ! Toi, arrête de forcer. Tu distribues tes tracts, tu abordes gentiment les gens et s’ils ont pas l’air emballés, n’insistes pas. Surtout, si ça fait quinze fois que tu croises cette personne, t’essaye de te rappeler de son visage pour pas l’emmerder la seizième. Tu peux faire ça ? »
D’une main, elle lui tapota le torse, de l’autre elle lui prit un tract.
« Jolis pecs’ au fait, par contre à ta place je bosserais un peu plus les jambes. Tu m’as l’air de sauter un peu trop souvent le leg day.
-Mais attends, je vais pas le laisser s’en sortir comme ça après avoir dit autant de…
-Laisse couler. Bon à ton tour p’tit gars, t’inquiètes pas je vois ton problème, lui sourit-elle. Un instant, ALLEZ TOUT LE MONDE, ON SE DISPERSE Y’A PLUS RIEN À VOIR !! PERSONNE NE VA SE BATTRE CE SOIR !!! PLUS VITE QUE CA !»
Cette géante avait terrifié des catcheurs plus lourds qu’elle, alors c’est pas des citoyens ordinaires qui allaient protester. Quelques murmures de déceptions se firent entendre, mais dans l’ensemble la plupart des gens repartirent comme si de rien n’était. En moins de cinq minutes, Kiele était venue, avait écouté et potentiellement "résolu" la situation en un claquement de doigt. Le tout sans perdre son sang-froid, et il valait mieux que ça reste ainsi. Sa raison pour agir ainsi : c’est une meuf sympa.
« Tu sais, j’ai déjà vu des gens dans ton cas. Rien de grave, il faut juste être honnête avec soi-même et pas reporter sa colère sur les autres. Si tu as si honte que ça, je peux t’accompagner à la salle pour que tu te familiarise ! »
Elle se pencha et lui tapota amicalement l’épaule en signe de soutien.
Lyxiae
- Alessio Vandevelde
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Argent : 120
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La réclame de trop
Pfff. Voilà des remarques de drogués de la salle. Que ça se complimente sur les muscles, ça se tâte tout le temps. Puis les conseils chelou là. Et les remarques, on aurait presque dit qu'elle se foutait de sa gueule mais elle avait au moins la gentillesse de le faire "poliment" et de façon plutôt planquée. Le ponpon c'était quand même le langage spécifique. Il se rendait compte d'à quel point c'était étrange et incompréhensible de l'extérieur. Bon "Legday" ça peut se comprendre encore, c'était simplement le jour pour travailler les jambes. Mais bordel sortit comme ça on aurait dit deux geeks dans leurs éléments.
Mais la géante dispersa la foule rapidement en gardant avec elle les deux fourmis qui attendaient leurs heures. Mais le charisme que lui apportait sa taille et ses muscles eut raison des curieux. Les gens respectaient naturellement ces personnes impressionnantes, si bien qu'ils se retrouvèrent presque seuls, quasiment ignoré par le reste des gens. Et là.
Elle lui sortir un truc. Il eut du mal à comprendre au début, mais finit par tilter. C'était. Ouais, il avait du mal à cerner cette personnalité. Soit elle se foutait ouvertement de sa gueule, mais il ne comptait pas se faire avoir comme ça. Où alors elle était juste très honnête, et lui faisait une vrai proposition. Ou vraiment un peu des deux. Mais certainement au moins un petit peu de foutage de gueule.
" Honte de quoi? J'veux bien avoir lâché le sport depuis un ptit moment mais j'ai mes propres occupations, et quasiment sur que j'ai des reste. Mais au moins je casse pas les couilles de tout le monde comme ça."
Il haussa les épaules.
" Tu sais la salle si c'est juste pour assister à un concours de bite perpétuel sur la taille des muscles et sur le nombre de prots pris par jours c’est pas pour moi hein. Moi j'ramène pas ma science chez vous, mais apparemment les "Go-muscu" aime beaucoup juger et se mettre en valeur."
Il eu un petit air de défi qui passa sur le visage. Il avait trouvé la façon de lui clouer le bec. ça c'était certainement une idée qui lui permettrait de se barrer bien tranquille en les laissant bien sur le cul. Et avec un peu de chance ils y penseraient sérieusement pendant un moment encore.
" Vous savez quoi? Dites moi, vous faites ça pour un truc en particulier et que c'est pas par pur plaisir du concours de zgegs? Plus précisément, vous là jouer à la bodybuilder ça à un quelconque intérêt dans vos vie où c'est juste pour vous la péter devant le miroir?"
Il se tourna vers l'homme sandwish.
"Et pour ton job de merde ça compte pas. J'sais très bien que t'es jamais allé pousser à la salle dans ce but. J'suis même prêt à parier un abonnement que toutes ces heures à la salle vous ont jamais servit à rien tien. Autre que soulever des pack de laits bien entendu."
Il eu un regard malicieux vers la bodybuildeuse. Alors? faisait-elle partit de la team "du muscle parce que c'est le concours du muscle" ?
Codage par Libella sur Graphiorum
- Kiele Nu'u
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Tout pour le muscle
Kiele Nu'u & Alessio Vandevelve
Au vue du regard perçant qu’il lui renvoya, Kiele comprit que la situation ne s’était pas arrangée. Le petit parut agacé, voire pire. Elle retira sa main en douceur, tout en prenant une expression moins… expressive. Il répondit. L’irritation dans sa voix était palpable et ses propos crus. Ce gars avait l’air d’avoir de gros complexe.
C’était dingue d’entendre toutes les conneries qu’il bavait à la seconde. « Et vas-y que tous ceux qui vont à la salle sont tous des débiles à la virilité toxique, c’est vraiment qu’un truc de sale frimeur, etc. ». Mais quel casse-couille. C’était sans évoquer ces « moi je, moi au moins » et compagnie. Voilà, il avait réussit à la faire regretter de s’être interposée et même à lui faire prendre le partie de l’autre sandwich. Elle songeait à se barrer dans la seconde pour ne plus écouter ces conneries, ou à lui éclater le visage sur le béton. À voir la veine qui s’intensifiait sur son front, elle choisirait volontiers la seconde option.
« Merde ! S’écria-t-elle (elle lui frappa la tête). C’est pas bientôt finit toutes ces conneries ?? »
Elle avait retenu son coup et tapé avec la paume de la main sur son crâne, mais pas sûr que l’impact fut indolore pour autant. Voilà ce qu’on gagne à gonfler une personne (un peu trop) nerveuse. La claque eut le mérite de lui enlever son air malicieux, en plus de défouler. Son action attira un instant l’attention, mais après deux/trois grimaces de sa part à la foule, les passants évitèrent de s’attarder.
« La muscu’ c’est avant tout la passion de l’exercice, du sport, de la douleur mais aussi du corps !! T’as un problème avec les gens qui aiment avoir du muscle ? Dans ce cas, c’est peut-être toi le problème. Y’a pas de mal à avoir ou ne pas avoir de pectoraux, tu sais ? »
Elle cracha par terre comme pour se débarrasser du mauvais gout que parler à ce gars lui laissait en bouche. Avec posture droite et imposante, elle le jugeait d’un œil furieux.
« Les gens qui friment lourdement, y’en a à la salle comme partout ailleurs. Tu crois qu’aucun scientifique va prendre les gens de haut avec toutes ses connaissances ? Questionna-t-elle d’un ton acerbe. Et pour ton information vu que tu joues les petits malins, oui ça à d’autres intérêts dans la vie. Par exemple pour mon travail, ou encore pour certaines femmes qui se sentent pas en sécurité ! »
Ses critiques touchait Kiele personnellement - c’était le but visiblement – et ce en dépit du fait qu’elle avait juste voulu se montrer sympathique. Elle n’avait pas envie d’évoquer son job de catcheuse devant cet inconnu, à tous les coups il s’en servirait pour la traiter d’abrutie ou de bouseuse, signant au passage son arrêt de mort.
Entre temps, « El Diablo » s’était rapproché subtilement, et se trouvait désormais à côté de sa dresseuse. Son visage souvent si inexpressif afficha ici une expression inquiette au gars face à lui. Le genre qui signifiait « Fais gaffe à ce que tu vas sortir, j’aimerais bien que mon humaine n’ait pas encore un nouveau problème avec la police… »
« Mais très bien, si tu refuses une aide sincère pour t’aider à évacuer physiquement toute cette colère, fais comme tu veux. »
C’était dingue d’entendre toutes les conneries qu’il bavait à la seconde. « Et vas-y que tous ceux qui vont à la salle sont tous des débiles à la virilité toxique, c’est vraiment qu’un truc de sale frimeur, etc. ». Mais quel casse-couille. C’était sans évoquer ces « moi je, moi au moins » et compagnie. Voilà, il avait réussit à la faire regretter de s’être interposée et même à lui faire prendre le partie de l’autre sandwich. Elle songeait à se barrer dans la seconde pour ne plus écouter ces conneries, ou à lui éclater le visage sur le béton. À voir la veine qui s’intensifiait sur son front, elle choisirait volontiers la seconde option.
« Merde ! S’écria-t-elle (elle lui frappa la tête). C’est pas bientôt finit toutes ces conneries ?? »
Elle avait retenu son coup et tapé avec la paume de la main sur son crâne, mais pas sûr que l’impact fut indolore pour autant. Voilà ce qu’on gagne à gonfler une personne (un peu trop) nerveuse. La claque eut le mérite de lui enlever son air malicieux, en plus de défouler. Son action attira un instant l’attention, mais après deux/trois grimaces de sa part à la foule, les passants évitèrent de s’attarder.
« La muscu’ c’est avant tout la passion de l’exercice, du sport, de la douleur mais aussi du corps !! T’as un problème avec les gens qui aiment avoir du muscle ? Dans ce cas, c’est peut-être toi le problème. Y’a pas de mal à avoir ou ne pas avoir de pectoraux, tu sais ? »
Elle cracha par terre comme pour se débarrasser du mauvais gout que parler à ce gars lui laissait en bouche. Avec posture droite et imposante, elle le jugeait d’un œil furieux.
« Les gens qui friment lourdement, y’en a à la salle comme partout ailleurs. Tu crois qu’aucun scientifique va prendre les gens de haut avec toutes ses connaissances ? Questionna-t-elle d’un ton acerbe. Et pour ton information vu que tu joues les petits malins, oui ça à d’autres intérêts dans la vie. Par exemple pour mon travail, ou encore pour certaines femmes qui se sentent pas en sécurité ! »
Ses critiques touchait Kiele personnellement - c’était le but visiblement – et ce en dépit du fait qu’elle avait juste voulu se montrer sympathique. Elle n’avait pas envie d’évoquer son job de catcheuse devant cet inconnu, à tous les coups il s’en servirait pour la traiter d’abrutie ou de bouseuse, signant au passage son arrêt de mort.
Entre temps, « El Diablo » s’était rapproché subtilement, et se trouvait désormais à côté de sa dresseuse. Son visage souvent si inexpressif afficha ici une expression inquiette au gars face à lui. Le genre qui signifiait « Fais gaffe à ce que tu vas sortir, j’aimerais bien que mon humaine n’ait pas encore un nouveau problème avec la police… »
« Mais très bien, si tu refuses une aide sincère pour t’aider à évacuer physiquement toute cette colère, fais comme tu veux. »
Lyxiae
- Alessio Vandevelde
Dresseur
Argent : 120
Expérience : 110
Région d'origine : Nérova
Âge : 25 ans
La réclame de trop
Avant qu'il puis comprendre se qu'il se passait, elle lui frappa le crane de la paume de sa main. Perdant l'équilibre, le jeune homme se retrouva les fesses au sol au milieu de la rue. Il n'était pas particulièrement sonné, mais il lui fallu un peu de temps pour comprendre se qui venait de se passer. Parce que bon, alors qu'il se relevait, elle était partit sur une nouvelle tirade, sans comprendre que la violence anéantissait tout son propos. Dans un débat, c'était LA faute grave à ne jamais faire. C'était juste se décrédibiliser. C'était juste nul mais bon. Alessio avait un peu mal à la tête et dans la nuque. pas spécialement agréable. Et franchement il n'en avait rien à foutre de ses pectoraux.
"Classe le crachat."
Lacha-t-il froidement. Il avait reprit le contrôle. Il avait une expression parfaitement neutre et froide. Ce n'était pas spécialement volontaire, mais c'était la façon qu'avait Alessio pour naturellement faire face à ces situations. Il comptait simplement la laisser finir, par politesse et par mépris. Puis même si elle disait vrai, cela n'avait rien à faire ici, et au moins, ces personnes avaient la bonne idée de s'arrêter après 15 demandes. Mais elle avait tout de même raison sur certains points.
Un Machoc débarqua à côté d'elle. Il avait une classe sans égale. Il était vraiment incroyable comme ça. Bien stylé. Avec un dresseur bien con mais bien classe tout de même ce Pokémon.
"Maintenant explique moi juste l'intérêt de la violence dans ton propos. Parce que étrangement j'ai du mal à comprendre se que cette claque avait à faire dans ton discourt. J'admet que certains de tes propos se tiennent, mais la claque non j'ai du mal."
Il la regardait droit dans les yeux avec un air de défi. L'air "allez vas y casse moi la gueule pendant que tu y es".
Il se tourna un peu autour de lui pour voir les gens qui partaient d'ici tout en se retournant pour continuer à voir se qu'il se passait. Alessio soupira. Cette situation était bien stupide. Au pire elle allait lui briser la gueule contre le trottoir. Au mieux elle allait se barrer et soulever de la fonte comme jamais pour oublier cette rencontre. Dans tout les cas il allait passer une sale fin de journée.
"Et ton aide sincère... Laisse moi rire! Tu m'accompagnerais derrière si je venais pour que j'te fasse des cours de Quantique que je puisse me marrer autant que tu vas te foutre de ma gueule? J'en doute bizarrement."
Codage par Libella sur Graphiorum
- Kiele Nu'u
Dresseur
Argent : 260
Expérience : 70
Région d'origine : Alola
Âge : 28 ans
Avatar : Illaoi
Tout pour le muscle
Kiele Nu'u & Alessio Vandevelve
Elle ne nota pas le commentaire. Ce qui lui tapa sur le système en revanche fut ce regard glacial, accompagné par d’autres propos aussi secs que les précédents. Son air, qu’elle interprétait comme hautain, contrastait avec le visage rougeaud de la catcheuse. Les brumes de la discorde s’étaient levées et aveuglaient leurs esprits.
« Pauvre chéri, tu blesses verbalement les gens et quand ils te répondent physiquement c’est eux les méchants ? »
Quel culot. Son rythme s’accéléra de nouveau, son système circulatoire devint de plus en plus visible, son sang bouillait. Ce gars antipathique au possible la mettait hors d’elle. Le fait qu’il ose se placer en victime, et ce après s’en être prit à elle pour absolument aucune raison valide à son sens, l’incitait à lui montrer réellement de la violence.
Elle se retenait tellement de frapper ce type qu’elle ne notait même plus les spectateurs. Leur altercation continuait de rameuter les gens. Machoc se tenait là, incertain du comportement à adopter, un peu comme l’autre musclé. En parlant de lui, il se risqua à élever la voix pour (ironiquement) calmer à son tour le conflit. À peine eut-il prononcé un mot qu’elle le remit à sa place.
« Qu’est-ce que t’as toi ?! L’interrogea Kiele. C’est bon l’affaire est close, ça sert à rien de discuter avec ce type. Alors, t’attends le dégel ou quoi, retourne bosser ou je-ne-sais-quoi !»
Face à ces propos autoritaires, il n’hésita pas un instant et décampa.
« Mais toi là… »
Leurs regards de nos deux caractérielles se croisèrent de nouveau. Même en plein hiver, l’ambiance aurait été moins froide. Ce défi qu’il lui lançait implicitement, cet air de dire « Si tu me frappes, je gagne débile ! » la faisait mourir d’envie de le faire gagner.
« Tu me tapes sur le système à jouer les martyrs ! »
D’une poigne ferme, elle le saisit par le col de son blouson. Elle aurait pu le soulever comme un vulgaire sac de course, pourquoi pas même le terrasser en un Chokeslam. Elle le pouvait, elle avait déjà réussit sur des adversaires plus lourds qu’elle. Son emprise se resserra. Quelque chose effleura sa jambe. Elle tourna la tête et vit la paume de Machoc, attristé.
Un instant, son cerveau embrumé trouva la volonté de se retenir. Il posa les pour et les contres. Déjà, ce gars méritait une bonne correction, ensuite il méritait une très bonne correction et enfin il méritait une excellente correction. En revanche, frapper un pauvre type comme lui ne valait pas le coup, surtout qu’il n’était visiblement pas en mesure de se défendre. Cela ferait du tord à Machoc, potentiellement à leur réputation passée si ce genre d’affaire s’ébruitait et aussi, elle ne voulait perdre face à ce prétentieux.
« … Bravo, tu sais pousser les gens à bout, c’est vraiment un super talent, commenta-t-elle sans amusement (elle le lâcha brusquement). J’espère ne plus jamais croiser ta sale tête. »
Sur ce, elle reprit sa route. Peu importe ce qu’il pourrait bien lui répondre, elle se promit de ne pas s’énerver et de simplement l’ignorer. Machoc et elle disparurent bien vite dans la foule, tandis que le temps devint pluvieux.
« Pauvre chéri, tu blesses verbalement les gens et quand ils te répondent physiquement c’est eux les méchants ? »
Quel culot. Son rythme s’accéléra de nouveau, son système circulatoire devint de plus en plus visible, son sang bouillait. Ce gars antipathique au possible la mettait hors d’elle. Le fait qu’il ose se placer en victime, et ce après s’en être prit à elle pour absolument aucune raison valide à son sens, l’incitait à lui montrer réellement de la violence.
Elle se retenait tellement de frapper ce type qu’elle ne notait même plus les spectateurs. Leur altercation continuait de rameuter les gens. Machoc se tenait là, incertain du comportement à adopter, un peu comme l’autre musclé. En parlant de lui, il se risqua à élever la voix pour (ironiquement) calmer à son tour le conflit. À peine eut-il prononcé un mot qu’elle le remit à sa place.
« Qu’est-ce que t’as toi ?! L’interrogea Kiele. C’est bon l’affaire est close, ça sert à rien de discuter avec ce type. Alors, t’attends le dégel ou quoi, retourne bosser ou je-ne-sais-quoi !»
Face à ces propos autoritaires, il n’hésita pas un instant et décampa.
« Mais toi là… »
Leurs regards de nos deux caractérielles se croisèrent de nouveau. Même en plein hiver, l’ambiance aurait été moins froide. Ce défi qu’il lui lançait implicitement, cet air de dire « Si tu me frappes, je gagne débile ! » la faisait mourir d’envie de le faire gagner.
« Tu me tapes sur le système à jouer les martyrs ! »
D’une poigne ferme, elle le saisit par le col de son blouson. Elle aurait pu le soulever comme un vulgaire sac de course, pourquoi pas même le terrasser en un Chokeslam. Elle le pouvait, elle avait déjà réussit sur des adversaires plus lourds qu’elle. Son emprise se resserra. Quelque chose effleura sa jambe. Elle tourna la tête et vit la paume de Machoc, attristé.
Un instant, son cerveau embrumé trouva la volonté de se retenir. Il posa les pour et les contres. Déjà, ce gars méritait une bonne correction, ensuite il méritait une très bonne correction et enfin il méritait une excellente correction. En revanche, frapper un pauvre type comme lui ne valait pas le coup, surtout qu’il n’était visiblement pas en mesure de se défendre. Cela ferait du tord à Machoc, potentiellement à leur réputation passée si ce genre d’affaire s’ébruitait et aussi, elle ne voulait perdre face à ce prétentieux.
« … Bravo, tu sais pousser les gens à bout, c’est vraiment un super talent, commenta-t-elle sans amusement (elle le lâcha brusquement). J’espère ne plus jamais croiser ta sale tête. »
Sur ce, elle reprit sa route. Peu importe ce qu’il pourrait bien lui répondre, elle se promit de ne pas s’énerver et de simplement l’ignorer. Machoc et elle disparurent bien vite dans la foule, tandis que le temps devint pluvieux.
Lyxiae
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