- Vanessa Tagada
Dresseur
Argent : 110
Expérience : 120
Région d'origine : NÉROVA
Âge : 29 ans
Avatar : Maki Nishikino - Love Live!
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
La petite fraise courrait, elle courrait aussi vite que possible, pokémons en poche, bien au chaud dans leur pokéball pendant que leur dresseuse apeurée quittait au plus vite ce fichu bois maudit. Dans sa course frénétiquement folle, elle perdue de vu son partenaire du jour, Langris, qui ne devrait pas avoir trop de mal à la retrouver. La petite tête rousse avait couru en ligne droite jusqu’au Manoir de l’île. Le cœur battant comme un tambour de guerre, la Tagada épuisée finit par céder et s’asseoir à terre pour souffler. D’ordinaire, elle aurait été la première à faire un spitch sur le fait, que pour mieux reprendre son souffle, il fallait ralentir et puis marcher, mais là, ses jambes de gazelle n’arrivaient juste plus à la porter. Cette journée sans Adam était presque affreuse ! Elle avait l’impression que plus le soleil avançait, plus l’île tentait de la faire mourir de peur. En voyant le Manoir à quelques mètres d’elle, elle regrettait presque d’avoir cédé à l’invitation de Maxendre pour une virée de l’horreur.
Encore terrifiée par les derniers événements dans ce décor digne d’un film d’épouvante, Ness’ se laissa fondre sur le sol. La tête tournée vers le ciel, elle déplorait déjà la couleur de celui-ci. En plus que les cieux, soient recouverts de gros cumulus chargés d’électricité, ceux-ci avaient à présent une teinte orangée qui présageait un cyclone des plus tonitruants. L’atmosphère était lourde et Vanessa ne savait pas si c’était une impression qui lui été propre ou si la nature elle-même était pesante. Une chose était certaine en tout les cas, ce soir, Maxendre, Langris et elle devraient passer la nuit dans ce manoir hanté. Le crépuscule drapait déjà le ciel de son beau manteau de feu et les ombres commençaient à envahir le jardin étrangement bien entretenu de la bâtisse dite abandonnée. La trouillarde de Ness’ finit par reprendre son NérovID pour envoyer un message à Langris, qui ne devait plus être très loin, puis elle cliqua sur le profil de Maxendre pour demander un appel en Visio.
Toujours assise au sol, les coudes posés sur ses genoux, l’appareil entre ses mains, elle regardait tourner dans le vide le chargement de l’appel. Quelques interférences vinrent griser l’écran projeté à capacité 3D. La commande se coupa brusquement en signalant qu’elle n’avait pas réussi à établir une connexion avec son interlocuteur. Ness’ retourna dans ses messages pour voir si celui qu’elle avait envoyé à Langris était bien expédié. Un petit symbole sur une enveloppe lui confirmait que c’était le cas, un soupire de satisfaction s’échappa alors de ses lèvres. Rassurée d’avoir au moins un contact sur deux, elle envoya un nouveau message à l’un des membres de l’équipage de l’Azurill pour signaler qu’elle allait bien, mais qu’elle ne serait de retour que demain. Elle racontait aussi qu’elle passerait la soirée avec des amis au manoir de l’île. Le message passa bien que le temps d’envoi fut plus long que d’ordinaire. Un peu plus tranquille, rassurée que les messages passaient encore, elle finit par envoyer un troisième message, à Maxendre, pour savoir où il se trouvait.
Le rouquin et la fraise se connaissaient depuis quelques années déjà, d’après les souvenirs vaporeux de Ness’, cela devait faire trois ans. Ils s’étaient rencontrés pendant quelques soirées étudiantes et de là, avaient échangés leur numéro. Max’ étant un aventurier et explorateur redoutable, du moins bien plus que la fraise, celle-ci lui avait proposé de jouer les touristes sur l’île de glace. Guidé par la native, l’étranger de passage avait pu profiter des meilleurs spots, de l’île pas si glacée que ça ! Depuis, il parcourrait Nérova et Vanessa ne l’avait pas revu depuis un an déjà, alors lorsqu’elle avait reçu son petit message tant tôt ce matin là, comment pouvait-elle ne pas céder à sa requête de visiter le Manoir Hanté pour un journal local ? Suite à son accord, elle avait postulé pour l’offre du journal et avait partagé l’information à Langris. Ainsi, à trois dans le manoir pour une soirée, la dresseuse espérait avoir bien moins la trouille qu’elle appréhendait déjà.
Une fois les messages envoyés, elle garda son NérovID dans les mêmes quelques secondes qui lui semblèrent fort longues. Une petite moue boudeuse se dessinait sur ses lèvres, elle n’avait reçu aucune réponse depuis ses envois. Son esprit scientifique trouva bon de la rassurer en lui disant qu’au vu des conditions météorologiques et de la localisation un peu perdue de l’île, il était bien normal que le petit gadget ait un peu de mal à transmettre des messages. Elle était sur le point de ranger celui-ci lorsqu’il se mit à vibrer et elle se pressa aussitôt pour le dégainer et voir qui venait de lui répondre. L’oreille fine, ou bien pas encore si tranquille que ça, Ness’ pensa entendre des bruits de pas non loin d’elle et c’est donc sans voir qui lui avait envoyé répondu qu’elle cliquait machinalement dessus pour ouvrir le pli. Bien que le gadget vienne de lui communiquer une réponse, les yeux mauves de la jeune femme cherchaient autour d’elle d’où pouvait provenir ce bruit de pas. Jonglant entre son écran et le paysage, la fraise impatiente commençait à se lasser de cette solitude peu recommander sur une île maudite.
Encore terrifiée par les derniers événements dans ce décor digne d’un film d’épouvante, Ness’ se laissa fondre sur le sol. La tête tournée vers le ciel, elle déplorait déjà la couleur de celui-ci. En plus que les cieux, soient recouverts de gros cumulus chargés d’électricité, ceux-ci avaient à présent une teinte orangée qui présageait un cyclone des plus tonitruants. L’atmosphère était lourde et Vanessa ne savait pas si c’était une impression qui lui été propre ou si la nature elle-même était pesante. Une chose était certaine en tout les cas, ce soir, Maxendre, Langris et elle devraient passer la nuit dans ce manoir hanté. Le crépuscule drapait déjà le ciel de son beau manteau de feu et les ombres commençaient à envahir le jardin étrangement bien entretenu de la bâtisse dite abandonnée. La trouillarde de Ness’ finit par reprendre son NérovID pour envoyer un message à Langris, qui ne devait plus être très loin, puis elle cliqua sur le profil de Maxendre pour demander un appel en Visio.
Toujours assise au sol, les coudes posés sur ses genoux, l’appareil entre ses mains, elle regardait tourner dans le vide le chargement de l’appel. Quelques interférences vinrent griser l’écran projeté à capacité 3D. La commande se coupa brusquement en signalant qu’elle n’avait pas réussi à établir une connexion avec son interlocuteur. Ness’ retourna dans ses messages pour voir si celui qu’elle avait envoyé à Langris était bien expédié. Un petit symbole sur une enveloppe lui confirmait que c’était le cas, un soupire de satisfaction s’échappa alors de ses lèvres. Rassurée d’avoir au moins un contact sur deux, elle envoya un nouveau message à l’un des membres de l’équipage de l’Azurill pour signaler qu’elle allait bien, mais qu’elle ne serait de retour que demain. Elle racontait aussi qu’elle passerait la soirée avec des amis au manoir de l’île. Le message passa bien que le temps d’envoi fut plus long que d’ordinaire. Un peu plus tranquille, rassurée que les messages passaient encore, elle finit par envoyer un troisième message, à Maxendre, pour savoir où il se trouvait.
Le rouquin et la fraise se connaissaient depuis quelques années déjà, d’après les souvenirs vaporeux de Ness’, cela devait faire trois ans. Ils s’étaient rencontrés pendant quelques soirées étudiantes et de là, avaient échangés leur numéro. Max’ étant un aventurier et explorateur redoutable, du moins bien plus que la fraise, celle-ci lui avait proposé de jouer les touristes sur l’île de glace. Guidé par la native, l’étranger de passage avait pu profiter des meilleurs spots, de l’île pas si glacée que ça ! Depuis, il parcourrait Nérova et Vanessa ne l’avait pas revu depuis un an déjà, alors lorsqu’elle avait reçu son petit message tant tôt ce matin là, comment pouvait-elle ne pas céder à sa requête de visiter le Manoir Hanté pour un journal local ? Suite à son accord, elle avait postulé pour l’offre du journal et avait partagé l’information à Langris. Ainsi, à trois dans le manoir pour une soirée, la dresseuse espérait avoir bien moins la trouille qu’elle appréhendait déjà.
Une fois les messages envoyés, elle garda son NérovID dans les mêmes quelques secondes qui lui semblèrent fort longues. Une petite moue boudeuse se dessinait sur ses lèvres, elle n’avait reçu aucune réponse depuis ses envois. Son esprit scientifique trouva bon de la rassurer en lui disant qu’au vu des conditions météorologiques et de la localisation un peu perdue de l’île, il était bien normal que le petit gadget ait un peu de mal à transmettre des messages. Elle était sur le point de ranger celui-ci lorsqu’il se mit à vibrer et elle se pressa aussitôt pour le dégainer et voir qui venait de lui répondre. L’oreille fine, ou bien pas encore si tranquille que ça, Ness’ pensa entendre des bruits de pas non loin d’elle et c’est donc sans voir qui lui avait envoyé répondu qu’elle cliquait machinalement dessus pour ouvrir le pli. Bien que le gadget vienne de lui communiquer une réponse, les yeux mauves de la jeune femme cherchaient autour d’elle d’où pouvait provenir ce bruit de pas. Jonglant entre son écran et le paysage, la fraise impatiente commençait à se lasser de cette solitude peu recommander sur une île maudite.
HRP : Implantation du décor, que les hostilités commencent...
Lyxiae
- Langris Walker
Dresseur
Argent : 50
Expérience : 50
Région d'origine : Hoenn
Âge : 21 ans
Avatar : Nozel Silva - Black Clover
Bien. Le passage dans les bois maudit, c’était fait. Après toutes ces heures passé avec la rouquine, j’avais suffisamment confiance en elle pour la suivre jusqu’à centre de l’île là où se trouvait le manoir. En temps normal, j’aurais fait demi-tour voyant le traquenard arrivé. Une demoiselle bien trop mignonne sur une île aussi lugubre qui me demande de la suivre jusqu'à un édifice abandonné… Mouais. Quoi qu’il en était, il était évident que je développais ce violent syndrome du “preux chevalier”. En peu de temps, c’était la deuxième demoiselle en détresse que je prenais sous mon aile, ou sous ma cape en l'occurrence.
À peine quitter les bois maudit, je regardais l'écorce de ces bois malade qui s'effondrait sur elle-même tant elle était effriter. Paysage indigne de quelqu’un de ma trempe, mais pourtant, je savais qu’un jour où l’autre, je serais forcé de retourner dans ces bois. Après tout, un grand nombre de mes convoitises y résidait.
Bon, désormais. Où était Vanessa ? Je n’aurais imaginé que ce Brocélôme lui ferait si peur. Je n’avais pu m'empêcher d’afficher un petit sourire lorsque je l’ai vu déguerpir a toutes allures. Malheureusement je du faire mes adieux au Brocélôme aussitôt, car je ne me pouvais me permettre de la laissée seule dans un environnement aussi hostile.
Je marchais alors vers le centre de l’île jusqu'à arrivée au dit manoir. Le gadget que l’on m'avait offert a mon arrivée dans le pays, mon neroVID, avait vibrer quelques minutes avant que je n’atteigne le seuil de la porte. Nul doute, c’était Vanessa qui m’attendait. Après tout, elle était le seul contact susceptible de me joindre. Cependant, c’était pour cette même raison que je n’avais pas dénié lire ce message. Après tout, j’étais déjà sur place.
- Je suis là, Vanessa.
À mes mots, Vanessa sursauta et tous ses poils se hérissèrent.
- Ca alors... D'abord le Brocélôme et maintenant moi. D’accord, le petit spectre est sorti du tronc d’arbre avant de grimacer à deux centimètres de ton visage, mais tout de même. Moi ?
Je m’avançais tout prêt de Venessa avant de la contourner et de me tourner face à elle, avec un inhabituelle sourire traduisant une certaine confiance et un gage d’affection. La petite dresseuse était touchante, je devais l’admettre.
- J’ai compris, je n'apparaîtrais plus d’arrière toi de la sorte.
Tournant désormais à 360 degrés sur moi-même pour observer les lieux. Je perdais peu à peu mon sourire pour redevenir l’homme sérieux que je suis sensé être 24 h du 24.
- Alors… C’est ici le manoir dont tu m’as parlé ? Celui pour lequel on doit faire un rapport pour ce journal ? Il n’a pas l’air si terrifiant.
Planté devant elle, je croisais les bras attendant qu’elle reprenne ses esprits pour me répondre. Me rappelant qu’un ami avec la fraise devait nous rejoindre.
À peine quitter les bois maudit, je regardais l'écorce de ces bois malade qui s'effondrait sur elle-même tant elle était effriter. Paysage indigne de quelqu’un de ma trempe, mais pourtant, je savais qu’un jour où l’autre, je serais forcé de retourner dans ces bois. Après tout, un grand nombre de mes convoitises y résidait.
Bon, désormais. Où était Vanessa ? Je n’aurais imaginé que ce Brocélôme lui ferait si peur. Je n’avais pu m'empêcher d’afficher un petit sourire lorsque je l’ai vu déguerpir a toutes allures. Malheureusement je du faire mes adieux au Brocélôme aussitôt, car je ne me pouvais me permettre de la laissée seule dans un environnement aussi hostile.
Je marchais alors vers le centre de l’île jusqu'à arrivée au dit manoir. Le gadget que l’on m'avait offert a mon arrivée dans le pays, mon neroVID, avait vibrer quelques minutes avant que je n’atteigne le seuil de la porte. Nul doute, c’était Vanessa qui m’attendait. Après tout, elle était le seul contact susceptible de me joindre. Cependant, c’était pour cette même raison que je n’avais pas dénié lire ce message. Après tout, j’étais déjà sur place.
- Je suis là, Vanessa.
À mes mots, Vanessa sursauta et tous ses poils se hérissèrent.
- Ca alors... D'abord le Brocélôme et maintenant moi. D’accord, le petit spectre est sorti du tronc d’arbre avant de grimacer à deux centimètres de ton visage, mais tout de même. Moi ?
Je m’avançais tout prêt de Venessa avant de la contourner et de me tourner face à elle, avec un inhabituelle sourire traduisant une certaine confiance et un gage d’affection. La petite dresseuse était touchante, je devais l’admettre.
- J’ai compris, je n'apparaîtrais plus d’arrière toi de la sorte.
Tournant désormais à 360 degrés sur moi-même pour observer les lieux. Je perdais peu à peu mon sourire pour redevenir l’homme sérieux que je suis sensé être 24 h du 24.
- Alors… C’est ici le manoir dont tu m’as parlé ? Celui pour lequel on doit faire un rapport pour ce journal ? Il n’a pas l’air si terrifiant.
Planté devant elle, je croisais les bras attendant qu’elle reprenne ses esprits pour me répondre. Me rappelant qu’un ami avec la fraise devait nous rejoindre.
Ca promet d'être sympa ! A ton tour pirate !
by Lyxiae
- Maxendre Campbell
Dresseur
Argent : 40
Expérience : 60
Région d'origine : Sinnoh
Âge : 25 ans
Avatar : Lavi Bookman
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
L'île maudite... Voilà bien une destination que Maxendre n'avait jamais pris la peine de noter dans son petit carnet de voyage. La raison ? Il ne croyait absolument pas en ces foutaises de fantômes et autres malédictions. La raison ? Evidente : Les seuls fantômes ne peuvent être que des Pokémons, voilà tout. Une logique implacable, mais qui a bercé toute sa jeunesse. Plus jeune déjà à Sinnoh, lui et ses amis ont essayé par tous les moyens de pénétrer dans le Vieux Château, afin de prouver qu'ils n'avaient peur de rien -et aussi pour foutre une frousse effroyable à tous les plus craintifs de la bande- Alors, quand il eu vent d'une connaissance par une connaissance qu'un journal local parlait d'engager des jeunes courageux pour démêler le vrai du faux, l'esprit de Maxendre en revint à ses origines les plus sombres : L'appât du gain et l'occasion mémorable de rire un peu d'une pauvre âme sans défense. Et quoi de mieux pour cela que Vanessa, cette connaissance rapidement devenu amie qu'il n'avait pas vu depuis bien trop longtemps ? Il comptait passer la revoir de toute façon, c'était donc faire d'une pierre deux coups ! Car il lui semble bien se souvenir qu'elle est de ces personnes que l'on peut faire sursauter facilement en s'approchant d'elles sans faire trop de bruits... Parfait !
Oui, Maxendre est un fourbe de la pire espèce. Il adore se montrer espiègle et taquiner bien gentiment ses camarades, tout comme il adore aussi qu'on le lui rende. Mais pas trop quand même. Vanessa était d'accord pour l'idée, ce qui lui fit réellement plaisir. Ils devaient à présent se retrouver non seulement sur l'île, mais aussi directement devant le Manoir Hanté. Maxendre avait pris un peu d'avance et était arrivé sur les lieux bien quelques heures avant l'heure convenue, il se décida donc à explorer les alentours, curieux de savoir ce qui pouvait bien provoquer tant de bruits auprès des locaux. Un Fantominus un peu trop farceur, à tout les coups. Rien de sans doute réellement dangereux. Il marchait tout autour du manoir, amusé de cette pensée, se permettant même un rire lorsqu'un bruit se fit entendre derrière lui. Il se retourna alors pour constater... Le vide. Bah, rien de bien grave, le vent ou juste un Pokémon qui serait passé vraiment, vraiment vite. Il repart alors dans sa ronde, toujours le sourire aux lèvres, sans remarquer l'étrange ombre qui semble se tordre et s'étirer dans sa direction...
L'heure venue, Maxendre se rapproche alors du point de rendez-vous. Il regarde son NérovID et constate, encore une fois, qu'il l'ai laissé en silencieux. Un message de Vanessa... Mince, elle est arrivé plus tôt que prévu. Et peut-être qu'elle a un peu flippé de se retrouver seule ici ? Alors, il oublie l'idée saugrenue de vouloir lui faire peur d'entrée de jeu, histoire d'avoir des retrouvailles agréables ! Le pire viendra par la suite... Tout est déjà prévu, il a vu une petite porte à l'arrière de la batisse et il compte bien filer par là à un moment donné pour disparaître quelques minutes, histoire qu'elle ait un peu peur. Un peu comme dans ce film d'horreur qu'il a regardé, il y a pas si longtemps... Mais dans ce film, quand le garçon revient, il ne reste de la jeune fille que son annulaire. Peut-être que c'est de mauvais goût, alors. Bah, il verra bien selon le déroulement des événements ! Il remarque sa chevelure de loin et s'approche un peu plus vite. "Héééééééééééé ! VANESSAAAAAA !" Il est encore loin, il doit donc parler suffisamment fort. Et c'est en se rapprochant qu'il voit une silhouette supplémentaire. Foutu angle mort, tiens. Il a l'air un peu con de beugler comme ça maintenant. Il se rapproche rapidement, manque de tomber sur quelque chose qu'il n'a pas vraiment distingué mais reste debout et arrive finalement à niveau. "Pardon pour l'attente, je faisais un peu le tour de la propriété !" Il se tourne vers l'inconnu et tends sa main vers lui, amical. "Salut, moi c'est Maxendre. Tu viens aussi pour l'annonce du journal local ? Franchement, ça me semble pas si terrible que ça. La porte d'entrée est ouverte, mais je suis pas encore entré. On devrait peut-être y aller, pour se mettre à l'abri non ?" Il dit cela alors qu'il sent quelques gouttes tomber sur son visage. Pluie, nuit, vieux manoir et un orage peut-être en approche. Voilà tout ce qu'il faut pour une parfaite ambiance d'épouvante.
Oui, Maxendre est un fourbe de la pire espèce. Il adore se montrer espiègle et taquiner bien gentiment ses camarades, tout comme il adore aussi qu'on le lui rende. Mais pas trop quand même. Vanessa était d'accord pour l'idée, ce qui lui fit réellement plaisir. Ils devaient à présent se retrouver non seulement sur l'île, mais aussi directement devant le Manoir Hanté. Maxendre avait pris un peu d'avance et était arrivé sur les lieux bien quelques heures avant l'heure convenue, il se décida donc à explorer les alentours, curieux de savoir ce qui pouvait bien provoquer tant de bruits auprès des locaux. Un Fantominus un peu trop farceur, à tout les coups. Rien de sans doute réellement dangereux. Il marchait tout autour du manoir, amusé de cette pensée, se permettant même un rire lorsqu'un bruit se fit entendre derrière lui. Il se retourna alors pour constater... Le vide. Bah, rien de bien grave, le vent ou juste un Pokémon qui serait passé vraiment, vraiment vite. Il repart alors dans sa ronde, toujours le sourire aux lèvres, sans remarquer l'étrange ombre qui semble se tordre et s'étirer dans sa direction...
L'heure venue, Maxendre se rapproche alors du point de rendez-vous. Il regarde son NérovID et constate, encore une fois, qu'il l'ai laissé en silencieux. Un message de Vanessa... Mince, elle est arrivé plus tôt que prévu. Et peut-être qu'elle a un peu flippé de se retrouver seule ici ? Alors, il oublie l'idée saugrenue de vouloir lui faire peur d'entrée de jeu, histoire d'avoir des retrouvailles agréables ! Le pire viendra par la suite... Tout est déjà prévu, il a vu une petite porte à l'arrière de la batisse et il compte bien filer par là à un moment donné pour disparaître quelques minutes, histoire qu'elle ait un peu peur. Un peu comme dans ce film d'horreur qu'il a regardé, il y a pas si longtemps... Mais dans ce film, quand le garçon revient, il ne reste de la jeune fille que son annulaire. Peut-être que c'est de mauvais goût, alors. Bah, il verra bien selon le déroulement des événements ! Il remarque sa chevelure de loin et s'approche un peu plus vite. "Héééééééééééé ! VANESSAAAAAA !" Il est encore loin, il doit donc parler suffisamment fort. Et c'est en se rapprochant qu'il voit une silhouette supplémentaire. Foutu angle mort, tiens. Il a l'air un peu con de beugler comme ça maintenant. Il se rapproche rapidement, manque de tomber sur quelque chose qu'il n'a pas vraiment distingué mais reste debout et arrive finalement à niveau. "Pardon pour l'attente, je faisais un peu le tour de la propriété !" Il se tourne vers l'inconnu et tends sa main vers lui, amical. "Salut, moi c'est Maxendre. Tu viens aussi pour l'annonce du journal local ? Franchement, ça me semble pas si terrible que ça. La porte d'entrée est ouverte, mais je suis pas encore entré. On devrait peut-être y aller, pour se mettre à l'abri non ?" Il dit cela alors qu'il sent quelques gouttes tomber sur son visage. Pluie, nuit, vieux manoir et un orage peut-être en approche. Voilà tout ce qu'il faut pour une parfaite ambiance d'épouvante.
HRP : Allons mourir tous ensemble ;w;
Lyxiae
- Vanessa Tagada
Dresseur
Argent : 110
Expérience : 120
Région d'origine : NÉROVA
Âge : 29 ans
Avatar : Maki Nishikino - Love Live!
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Les yeux de la native de l’île de glace se posèrent enfin sur son message, ce n’était qu’une réponse d’un membre de l’équipage lui écrivant un simple « OK ». Satisfaite, elle était sur le point de ranger son gadget lorsque la voix de Langris eut l’effet d’un pic glacé dans sa nuque. Si elle avait été un félin, la rouquine lui aurait déjà craché dessus et sortit ses griffes menaçantes tel un Miaouss d’Alola. Le sursaut était inévitable et la chair de poule recouvra sa peau de pêche. Un comble pour une fraise dans son genre. Le regard presque haineux, mais tout de même passif fixant le protagoniste étranger. La rouquine avait du mal à retenir un sourire nerveux, le rire jaune encore grondant dans les profondeurs de sa gorge tel le feu d’un Dracaufeu prêt à faire son attaque Lance-Flammes. À force de titiller la donzelle à fleur de peau, il allait finir par se faire brûler les ailes.
En l’écoutant parler, Vanessa s’adoucit peu à peu. Il était apparemment vexé qu’elle puisse sursauter à cause de lui. La dresseuse haussa un sourcil et plissa un œil. Il n’avait pas tort. La comparaison n’était pas glorieuse et limite vexante, enfin, pour certains. Le mur de ses émotions remonté à bloc, bien certaine de vouloir se préserver des affreux cauchemars qui l’attendait encore, Ness’ posa une main sur sa hanche et écoutait le jeune adulte qui tournait autour d’elle.
« Yep ! C’est là. Je n’suis pas très à l’aise avec les types spectres. Alors Brocélôme ou pas, vaut mieux éviter les apparitions furtives, oui. Le coup du Sinistrail me reste encore un peu en travers tu vois. »
Un peu boudeuse qu’on lui rappelle sa frousse, elle se mit à croiser les bras en regardant la bâtisse. Il est vrai que de l’extérieur, elle n’avait pas l’air si effrayante que ça. Elle manquait un peu de fraîcheur, mais la toiture semblait encore bonne, les vitres pas trop mauvaises… Moui. Le regard de la jeune femme était plus tournée sur un aspect immobilier et décoratif. Après tout, elle avait passé le cap de dire si c’était juste beau ou moche, neuf ou vieux. À vrai dire, elle lui trouvait même un certain charme. Si celle-ci n’était pas perdue au beau milieu d’une île maudite, Ness’ aurait probablement pensé à regarder si elle était à vendre. Mais comme nous n’étions pas là pour ça et que le propriétaire de la résidence était juste SUPPOSÉMENT mort… Alors que ses yeux décortiquaient le design du manoir, son esprit eut soudainement besoin de combler le vide et de revenir sur cette histoire de Brocélôme. De mémoire, elle avait effectivement vu une souche flotter, mais la panique avait effacée sans le moindre scrupule les détails de cet événement.
« T’es sûr que c’était un Brocél… »
Sa question fut coupée par un appel au loin qui hérissa de nouveau la fraise. L’au-delà cherchait déjà à communiquer avec les visiteurs ? La rouquine eut un geste de recul jusqu’à ce que ses yeux reconnurent finalement Maxendre. Sauvée. Une âme de plus sur laquelle compté en cas de panique et Vanessa allait en avoir besoin ce soir. L’âme maternelle de Ness’ eut un geste protecteur lorsqu’elle le vit vaciller dans sa course pour les rejoindre. Bien entendu, elle était bien trop loin et de toute façon, ce n’était pas son rôle, mais quand même, elle n’avait pas eu envie qu’il chute bêtement et se fasse mal. Son inconscient avait parlé, le corps avait suivi, puis s’était repositionné lorsque le jeune garçon vint serrer la main du géant. La fraise était un peu jalouse, elle aurait aimé avoir son câlin de retrouvaille avant que les présentations ne se fassent. Tant pis ma vieille, fallait passer devant. Sourire en coin, elle fit rapidement les présentations avant de laisser les garçons à l’arrière pour entrer dans le dit Manoir Hanté.
« Yep ! Maxendre voici Langris, Langris, Maxendre. Je passe la première cette fois, pas envie de me faire kidnapper par un esprit vengeur en restant près de ce bois maudit ! J’ai eu ma dose ! »
Passer la première n’était pas non plus la meilleure idée qui soit, mais laissons donc la rouquine le découvrir par elle-même. La porte était effectivement ouverte, malmenée par le temps et probablement par quelques visiteurs effrayés par ce qu’elle renfermait. Vanessa se mordillait l’intérieur de la lèvre inférieure tout en passant la tête dans le couloir de l’entrée. Ses yeux ne découvrirent rien d’anormale. Sur le sol, quelques crottes de Rattatas dans des endroits précis, des griffures et des bouts de bois rongés. Depuis le temps, une colonie importante avait du s’y installer. La prudente aventurière venait à peine de faire son troisième pas lorsque son pied tapa contre une pokéball à terre. Les yeux améthyste de la jeune femme se posèrent sur l’objet sphérique. Il était cassé en quelques morceaux et avait perdu de sa superbe. Un grincement de bois fit relever doucement la tête de la dresseuse. S’il y avait une pokéball ici, s’était peut-être parce qu’il y avait des pokémons intéressants à avoir… Ou bien, c’était les restes d’un dresseur trop téméraire qui n’avait peut-être pas regagné le continent. La trouillarde chassait bien vite cette idée de son esprit. Ce n’était pas le moment d’être négative. Il fallait garder un esprit rationnel ! Ah ! Elle pestait intérieurement contre elle-même, jamais elle n’aurait du accepter de s’approcher de cette maison. Passer une nuit ici, c’était comme vouloir faire un pied-de-nez à un pokémon maléfique comme dans les dessins animés. Généralement, l’histoire se terminait bien dans les fictions, mais là, rien n’était aussi sûr…
Pendant que les garçons étaient encore dehors, Vanessa commença son expédition de la manière la plus discrète qu’il soit. À pas de Feunnec, elle errait dans la demeure en essayant de faire grincer le moins possible les lieux. Elle fut surprise de découvrir un pantalon pour homme sur les pales d’un ventilateur fixé au plafond. Des vêtements un peu éparpillaient partout comme-ci on avait voulu s’habiller à la hâte avant de partir, ou de fuir…, des restes de cigarettes qui n’avaient pas l’air si vieux que ça, des restes de baies aussi... Curieuse, la chercheuse prit son NérovID et se mit à photographier et scanner les restes de fruit. Elle fut encore plus surprise de découvrir la provenance de ceux-ci. Une aussi bonne qualité sur une île à la flore si spéciale. Pas de tout, les fruits n’étaient pas du coin. Ness’ prit une profonde respiration et elle allait pour faire demi-tour lorsqu’elle entendit une balle rouler dans le couloir à l’étage. Ses yeux grands ouverts, elle fixa l’objet rond qui roulait doucement et se laissait tomber dans l’escalier de l’étage supérieur avant de finir sa promenade contre un meuble. La dresseuse déglutit. Devait-elle prendre l’objet ou le laisser là et faire comme-ci elle n’avait rien vue ? L’option B semblait être la meilleure des solutions et elle commença à faire demi-tour lorsque son pied se mit à coller sur le sol. Un sentiment de déjà vue fit frémir la dresseuse et elle ferma très fort les yeux avant de prendre une profonde inspiration pour regarder dans quoi elle avait marché. Heureusement, elle put relâcher son souffle en découvrant des tâches de … Sirop ? Le liquide était rouge et collant à cause du sucre. Il était là depuis un moment, mais un manque de nettoyage avait laissé des traces sur le sol.
« Ok… Allons voir ce que font les garçons Ness’. Ça va aller… »
Pour se rassurer, elle commençait à se parler à elle-même. Retournant sur ses pas, elle revint donc dans le hall du manoir, en face du corridor qui menait à la porte d’entrée. L’avancée de la nuit et la météo peut clémente avait assombrit les pièces du rez-de-chaussée. Une fraîcheur et une humidité, probablement causée par la pluie, avaient rendu l’atmosphère plus pesante qu’à son entrée dans la demeure. Vanessa croisa ses bras sur sa poitrine comme ci elle souhaitait se faire un câlin réconfortant et n’osait pas appeler ses partenaires d’exploration de peur d’entendre de nouveaux bruits étranges.
En l’écoutant parler, Vanessa s’adoucit peu à peu. Il était apparemment vexé qu’elle puisse sursauter à cause de lui. La dresseuse haussa un sourcil et plissa un œil. Il n’avait pas tort. La comparaison n’était pas glorieuse et limite vexante, enfin, pour certains. Le mur de ses émotions remonté à bloc, bien certaine de vouloir se préserver des affreux cauchemars qui l’attendait encore, Ness’ posa une main sur sa hanche et écoutait le jeune adulte qui tournait autour d’elle.
« Yep ! C’est là. Je n’suis pas très à l’aise avec les types spectres. Alors Brocélôme ou pas, vaut mieux éviter les apparitions furtives, oui. Le coup du Sinistrail me reste encore un peu en travers tu vois. »
Un peu boudeuse qu’on lui rappelle sa frousse, elle se mit à croiser les bras en regardant la bâtisse. Il est vrai que de l’extérieur, elle n’avait pas l’air si effrayante que ça. Elle manquait un peu de fraîcheur, mais la toiture semblait encore bonne, les vitres pas trop mauvaises… Moui. Le regard de la jeune femme était plus tournée sur un aspect immobilier et décoratif. Après tout, elle avait passé le cap de dire si c’était juste beau ou moche, neuf ou vieux. À vrai dire, elle lui trouvait même un certain charme. Si celle-ci n’était pas perdue au beau milieu d’une île maudite, Ness’ aurait probablement pensé à regarder si elle était à vendre. Mais comme nous n’étions pas là pour ça et que le propriétaire de la résidence était juste SUPPOSÉMENT mort… Alors que ses yeux décortiquaient le design du manoir, son esprit eut soudainement besoin de combler le vide et de revenir sur cette histoire de Brocélôme. De mémoire, elle avait effectivement vu une souche flotter, mais la panique avait effacée sans le moindre scrupule les détails de cet événement.
« T’es sûr que c’était un Brocél… »
Sa question fut coupée par un appel au loin qui hérissa de nouveau la fraise. L’au-delà cherchait déjà à communiquer avec les visiteurs ? La rouquine eut un geste de recul jusqu’à ce que ses yeux reconnurent finalement Maxendre. Sauvée. Une âme de plus sur laquelle compté en cas de panique et Vanessa allait en avoir besoin ce soir. L’âme maternelle de Ness’ eut un geste protecteur lorsqu’elle le vit vaciller dans sa course pour les rejoindre. Bien entendu, elle était bien trop loin et de toute façon, ce n’était pas son rôle, mais quand même, elle n’avait pas eu envie qu’il chute bêtement et se fasse mal. Son inconscient avait parlé, le corps avait suivi, puis s’était repositionné lorsque le jeune garçon vint serrer la main du géant. La fraise était un peu jalouse, elle aurait aimé avoir son câlin de retrouvaille avant que les présentations ne se fassent. Tant pis ma vieille, fallait passer devant. Sourire en coin, elle fit rapidement les présentations avant de laisser les garçons à l’arrière pour entrer dans le dit Manoir Hanté.
« Yep ! Maxendre voici Langris, Langris, Maxendre. Je passe la première cette fois, pas envie de me faire kidnapper par un esprit vengeur en restant près de ce bois maudit ! J’ai eu ma dose ! »
Passer la première n’était pas non plus la meilleure idée qui soit, mais laissons donc la rouquine le découvrir par elle-même. La porte était effectivement ouverte, malmenée par le temps et probablement par quelques visiteurs effrayés par ce qu’elle renfermait. Vanessa se mordillait l’intérieur de la lèvre inférieure tout en passant la tête dans le couloir de l’entrée. Ses yeux ne découvrirent rien d’anormale. Sur le sol, quelques crottes de Rattatas dans des endroits précis, des griffures et des bouts de bois rongés. Depuis le temps, une colonie importante avait du s’y installer. La prudente aventurière venait à peine de faire son troisième pas lorsque son pied tapa contre une pokéball à terre. Les yeux améthyste de la jeune femme se posèrent sur l’objet sphérique. Il était cassé en quelques morceaux et avait perdu de sa superbe. Un grincement de bois fit relever doucement la tête de la dresseuse. S’il y avait une pokéball ici, s’était peut-être parce qu’il y avait des pokémons intéressants à avoir… Ou bien, c’était les restes d’un dresseur trop téméraire qui n’avait peut-être pas regagné le continent. La trouillarde chassait bien vite cette idée de son esprit. Ce n’était pas le moment d’être négative. Il fallait garder un esprit rationnel ! Ah ! Elle pestait intérieurement contre elle-même, jamais elle n’aurait du accepter de s’approcher de cette maison. Passer une nuit ici, c’était comme vouloir faire un pied-de-nez à un pokémon maléfique comme dans les dessins animés. Généralement, l’histoire se terminait bien dans les fictions, mais là, rien n’était aussi sûr…
Pendant que les garçons étaient encore dehors, Vanessa commença son expédition de la manière la plus discrète qu’il soit. À pas de Feunnec, elle errait dans la demeure en essayant de faire grincer le moins possible les lieux. Elle fut surprise de découvrir un pantalon pour homme sur les pales d’un ventilateur fixé au plafond. Des vêtements un peu éparpillaient partout comme-ci on avait voulu s’habiller à la hâte avant de partir, ou de fuir…, des restes de cigarettes qui n’avaient pas l’air si vieux que ça, des restes de baies aussi... Curieuse, la chercheuse prit son NérovID et se mit à photographier et scanner les restes de fruit. Elle fut encore plus surprise de découvrir la provenance de ceux-ci. Une aussi bonne qualité sur une île à la flore si spéciale. Pas de tout, les fruits n’étaient pas du coin. Ness’ prit une profonde respiration et elle allait pour faire demi-tour lorsqu’elle entendit une balle rouler dans le couloir à l’étage. Ses yeux grands ouverts, elle fixa l’objet rond qui roulait doucement et se laissait tomber dans l’escalier de l’étage supérieur avant de finir sa promenade contre un meuble. La dresseuse déglutit. Devait-elle prendre l’objet ou le laisser là et faire comme-ci elle n’avait rien vue ? L’option B semblait être la meilleure des solutions et elle commença à faire demi-tour lorsque son pied se mit à coller sur le sol. Un sentiment de déjà vue fit frémir la dresseuse et elle ferma très fort les yeux avant de prendre une profonde inspiration pour regarder dans quoi elle avait marché. Heureusement, elle put relâcher son souffle en découvrant des tâches de … Sirop ? Le liquide était rouge et collant à cause du sucre. Il était là depuis un moment, mais un manque de nettoyage avait laissé des traces sur le sol.
« Ok… Allons voir ce que font les garçons Ness’. Ça va aller… »
Pour se rassurer, elle commençait à se parler à elle-même. Retournant sur ses pas, elle revint donc dans le hall du manoir, en face du corridor qui menait à la porte d’entrée. L’avancée de la nuit et la météo peut clémente avait assombrit les pièces du rez-de-chaussée. Une fraîcheur et une humidité, probablement causée par la pluie, avaient rendu l’atmosphère plus pesante qu’à son entrée dans la demeure. Vanessa croisa ses bras sur sa poitrine comme ci elle souhaitait se faire un câlin réconfortant et n’osait pas appeler ses partenaires d’exploration de peur d’entendre de nouveaux bruits étranges.
HRP : C'est toujours la fille mignonne qui meure en premier quand le black n'y est pas... @Maluma Cervantes si tu vois ses mots, j'espère que tu auras reconnu quelques détails...
Lyxiae
- Langris Walker
Dresseur
Argent : 50
Expérience : 50
Région d'origine : Hoenn
Âge : 21 ans
Avatar : Nozel Silva - Black Clover
Nous étions donc bel et bien à destination. Tout ce que nous attendions pour lever le pied, s’était l’ami de Vanessa. Mince, j’avais quand même peur que Vanessa m’en veuille. Je lui avais fait vraiment peur à surgir que comme ça. Et visiblement, son esprit n’était pas certain que la chose qui l’ai faite fuire soit réellement un Brocélôme. Après… J’aurais tendance à dire que les souches volantes cirant “Brocé-Brocélôme” ne sont pas communes. Sauf s'il s’agit d’un Brocélôme. Soit.
Apparemment, c’était surtout ce Sinistrail qui l'avait traumatisée. Je comprends, après la Ptitrouille était plutôt attachante, je pensais qu’elle aurait suffi pour la rassurer? Comme quoi les pokémons spectre peuvent parfois ne pas faire peur. D’ailleurs, heureusement que la citrouille ne puisse pas entendre le fond de ma pensée comme un pokémon psy. Elle qui était déjà suffisamment frustrée de ne pas avoir réussi à me faire peur… Soudain, un cri humain retentit derrière moi. Étais-ce l’ami de Vanessa?
Me retournant pour constater de moi-même, je fus pris de stupeur lorsque…
- Je le savais. Un pirate. Fis-je à voix baisse.
À ces mots, Ginger sortit lui-même de sa pokéball. Prêt au combat. Depuis le début, je me préparais au moment où nous nous ferions attaquer par ces bandits des mers. Après tout, nous sommes sur une île réputée désertée, il n’y avait rien d’étonnant.
Visiblement, Vanessa n’avait pas entendu… Pour le coup, j’avais dû parler à voix trop basse? Elle saluait le pirate comme un vieil ami, minute ? C'était lui son ami ? Après une brève présentation de ce Maxendre, Vanessa ne tarda pas et prit les devants de l’exploration de cet édifice. Mais quelle mouche l’avait piquée ? Ca y est ! Elle était possédée.
- Ne devrions-nous pas la suivre ? Bien ? Je passe en second. Fis-je après quelques minutes.
Déterminé, je rentrais de le manoir. Ne voyant plus Vanessa, j'empruntais mon propre itinéraire. Marchant d’un pas décidé, une couleur, un pair de portes de chaque côté, une seconde pair de portes. À la troisième, je décidais d'emprunter celle de gauche. Ces portes s'étendaient encore sur des mètres alors j’allais bien pouvoir en prendre une à un moment ou l’autre. Après tout, le but était bien d’explorer le manoir.
J’arrivais dans une pièce éclairé par la lumière tombante du soleil qui se couche pour laisser place à la lune, cet aspect donnait naissance à bleu si froid que l’on se serait cru de retour à l'île glacée. On fond de la pièce, se trouvait un escalier qui donnait sur la baie vitrée d'où se dégageait la lueur de lune, c’est drôle la lune s'était levé drôlement, rapidement. L’escalier se déparait ensuite en deux autres, l’un vers la droite et l’autre vers la gauche, comme les portes de l’entrée. Bien, j’allais encore choisir la gauche dans ce cas.
Arrivé en haut de l’escalier, il y avait un mur sur lequel était affiché un tableau, un portrait pour être exacte. Il était en piteux état, mais je pouvais comprendre qu’il s'agissait d’une femme de son pokémon. Cependant, son visage avait été comme… déchirer. Arraché du portrait. Et ce, pokemon, je le connaissais. Je n’en avais jamais croisé, mais il me semblait que ça s'appelait un Bral.. Brohn.. Branl.. Bra? Branette ! C’est ça !
Soudainement, un bruit retentit derrière moi. De l’autre côté, face à l’autre escalier, un tableau était à terre. J’en déduisais qu’il était tombé au sol répandant du verre partout dans les marches de l’escalier. Je me demandais, peux être qu’il s'agissait du portrait du mari de cette dame sur ce tabl… Lorsque je m'étais retourné le Branette avait disparu de la peinture. Cette fois-ci, je l’avoue, je n’étais plus à mon aise. Ginger était toujours à mes côtés, mais c’est un brave pokémon, il n'avait pas peur ! N’est-ce pas Gigner? Était-ce des larmes que je voyais sur tes yeux ? Non, bien entendu ! Son honneur de futur pokémon dragon lui donnait des ailes, il ne pouvait avoir peur aussi aisément. Aller, rentre de ta pokéball petit hippocampe. Je te rappellerais plus tard.
Me retournant pour descendre l’escalier et monter le second, le Branette surgis du reflet de la baie-vitrée bleutée flottant à seulement quelques centimètres de moi. Merde, je venais à peine de ranger le pokéball de Ginger que je commençais déjà à la cherche dans la doublure me cape.
Pokéball à la main, il était déjà trop tard ! Le spectre recula de quelques mètres en arrières et leva les bras aux ciels, la seconde qui suivirent ma vue se troubla et j’eu l’horrible impression qu’Orchidya passait par là pour me téléporter. Heureusement que la petite tête blonde m’avait baptisé la fois dernière car même là, j'étais à deux doigts de rendre mon repas.
L’endroit où je me trouvais était sombre, je n’y voyais absolument rien. J’étais allongé au sol, un sol dur, froid et .. Humide ? Bordel ! Ma cape ! J'espérais que ce ne soit que de l’eau. Me relevant, j’avais toujours des nausées. Je m’étais alors appuyé sur ce qui me semblait être une table. Mais là aussi quelque chose d'humide, mais épais était sur la table. Au même moment, une bougie s’allumait à l’autre bout de la pièce. Elle n’éclairait pas beaucoup et indiquait une sortie, un escalier montant. Néanmoins, il y avait suffisamment de luminosité pour constater une chose. Ce liquide épais, qui avait entaché mes mains, était rouge ! Aussi rouge que les cheveux de Vanessa. Du Sang ? Où étais-je ? La cuisine peut-être ? Non ! Le sol et les murs étaient de béton, j’étais bien dans un sous-sol. Minute papillon ! Si c’était du sang sur cette table et sur le sol alors… Ma cape ?
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Un crie d'horreur et d'effroi face à l’atrocité qu’étaient ces taches sur ma magnifique cape en soie sauvage directement importée de Kalos retentissait dans tout le manoir.
Apparemment, c’était surtout ce Sinistrail qui l'avait traumatisée. Je comprends, après la Ptitrouille était plutôt attachante, je pensais qu’elle aurait suffi pour la rassurer? Comme quoi les pokémons spectre peuvent parfois ne pas faire peur. D’ailleurs, heureusement que la citrouille ne puisse pas entendre le fond de ma pensée comme un pokémon psy. Elle qui était déjà suffisamment frustrée de ne pas avoir réussi à me faire peur… Soudain, un cri humain retentit derrière moi. Étais-ce l’ami de Vanessa?
Me retournant pour constater de moi-même, je fus pris de stupeur lorsque…
- Je le savais. Un pirate. Fis-je à voix baisse.
À ces mots, Ginger sortit lui-même de sa pokéball. Prêt au combat. Depuis le début, je me préparais au moment où nous nous ferions attaquer par ces bandits des mers. Après tout, nous sommes sur une île réputée désertée, il n’y avait rien d’étonnant.
Visiblement, Vanessa n’avait pas entendu… Pour le coup, j’avais dû parler à voix trop basse? Elle saluait le pirate comme un vieil ami, minute ? C'était lui son ami ? Après une brève présentation de ce Maxendre, Vanessa ne tarda pas et prit les devants de l’exploration de cet édifice. Mais quelle mouche l’avait piquée ? Ca y est ! Elle était possédée.
- Ne devrions-nous pas la suivre ? Bien ? Je passe en second. Fis-je après quelques minutes.
Déterminé, je rentrais de le manoir. Ne voyant plus Vanessa, j'empruntais mon propre itinéraire. Marchant d’un pas décidé, une couleur, un pair de portes de chaque côté, une seconde pair de portes. À la troisième, je décidais d'emprunter celle de gauche. Ces portes s'étendaient encore sur des mètres alors j’allais bien pouvoir en prendre une à un moment ou l’autre. Après tout, le but était bien d’explorer le manoir.
J’arrivais dans une pièce éclairé par la lumière tombante du soleil qui se couche pour laisser place à la lune, cet aspect donnait naissance à bleu si froid que l’on se serait cru de retour à l'île glacée. On fond de la pièce, se trouvait un escalier qui donnait sur la baie vitrée d'où se dégageait la lueur de lune, c’est drôle la lune s'était levé drôlement, rapidement. L’escalier se déparait ensuite en deux autres, l’un vers la droite et l’autre vers la gauche, comme les portes de l’entrée. Bien, j’allais encore choisir la gauche dans ce cas.
Arrivé en haut de l’escalier, il y avait un mur sur lequel était affiché un tableau, un portrait pour être exacte. Il était en piteux état, mais je pouvais comprendre qu’il s'agissait d’une femme de son pokémon. Cependant, son visage avait été comme… déchirer. Arraché du portrait. Et ce, pokemon, je le connaissais. Je n’en avais jamais croisé, mais il me semblait que ça s'appelait un Bral.. Brohn.. Branl.. Bra? Branette ! C’est ça !
Soudainement, un bruit retentit derrière moi. De l’autre côté, face à l’autre escalier, un tableau était à terre. J’en déduisais qu’il était tombé au sol répandant du verre partout dans les marches de l’escalier. Je me demandais, peux être qu’il s'agissait du portrait du mari de cette dame sur ce tabl… Lorsque je m'étais retourné le Branette avait disparu de la peinture. Cette fois-ci, je l’avoue, je n’étais plus à mon aise. Ginger était toujours à mes côtés, mais c’est un brave pokémon, il n'avait pas peur ! N’est-ce pas Gigner? Était-ce des larmes que je voyais sur tes yeux ? Non, bien entendu ! Son honneur de futur pokémon dragon lui donnait des ailes, il ne pouvait avoir peur aussi aisément. Aller, rentre de ta pokéball petit hippocampe. Je te rappellerais plus tard.
Me retournant pour descendre l’escalier et monter le second, le Branette surgis du reflet de la baie-vitrée bleutée flottant à seulement quelques centimètres de moi. Merde, je venais à peine de ranger le pokéball de Ginger que je commençais déjà à la cherche dans la doublure me cape.
Pokéball à la main, il était déjà trop tard ! Le spectre recula de quelques mètres en arrières et leva les bras aux ciels, la seconde qui suivirent ma vue se troubla et j’eu l’horrible impression qu’Orchidya passait par là pour me téléporter. Heureusement que la petite tête blonde m’avait baptisé la fois dernière car même là, j'étais à deux doigts de rendre mon repas.
L’endroit où je me trouvais était sombre, je n’y voyais absolument rien. J’étais allongé au sol, un sol dur, froid et .. Humide ? Bordel ! Ma cape ! J'espérais que ce ne soit que de l’eau. Me relevant, j’avais toujours des nausées. Je m’étais alors appuyé sur ce qui me semblait être une table. Mais là aussi quelque chose d'humide, mais épais était sur la table. Au même moment, une bougie s’allumait à l’autre bout de la pièce. Elle n’éclairait pas beaucoup et indiquait une sortie, un escalier montant. Néanmoins, il y avait suffisamment de luminosité pour constater une chose. Ce liquide épais, qui avait entaché mes mains, était rouge ! Aussi rouge que les cheveux de Vanessa. Du Sang ? Où étais-je ? La cuisine peut-être ? Non ! Le sol et les murs étaient de béton, j’étais bien dans un sous-sol. Minute papillon ! Si c’était du sang sur cette table et sur le sol alors… Ma cape ?
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Un crie d'horreur et d'effroi face à l’atrocité qu’étaient ces taches sur ma magnifique cape en soie sauvage directement importée de Kalos retentissait dans tout le manoir.
Que de belles choses ici
by Lyxiae
- Maxendre Campbell
Dresseur
Argent : 40
Expérience : 60
Région d'origine : Sinnoh
Âge : 25 ans
Avatar : Lavi Bookman
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Vanessa, passer seule pour entrer ? Maxendre l'a mal jugé, vraisemblablement... Ou elle ne se doute pas que dans les films d'horreur, la témérité aveugle est souvent récompensé par une décapitation nette et précise. Bah, c'est pas comme s'il y avait un quelconque danger de toute façon. Il la regarde faire, amusée. Cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas vu et pourtant, il lui semblait qu'hier encore, ils parlaient de tout et de rien, un verre à la main. Puis son regard se détourna sur le nouveau venu. Depuis combien de temps se connaissaient-ils, tous les deux ? Ce n'est pas de la jalousie qu'éprouve Maxendre, mais une profonde curiosité. Car ils semblent avoir vécu quelque chose tous les deux avant de venir. De l'amour dans l'air ? Ce serait adorable, si le cadre n'était pas un manoir poussiéreux et un orage pressant. Bien sûr, le jeune homme voulut en savoir plus, bien plus, sur ces deux là et surtout sur Langris, l'homme au pokémon... C'est quoi ce pokémon, exactement ? Il ne se souvient pas en avoir vu souvent, ou du moins uniquement dans des documentaires et là, le nom lui échappait. Car à le regarder bien en face, il ressemblait juste à un mélange de petit vieux aigri et d'algues pourris... Ah ! Un Vieunalgue, ou Venalgue, un truc dans ces eaux là !
Quelques minutes s'étaient écoulés depuis le départ de la Fraise et juste quand Maxendre allait aborder le sujet, il se fit couper l'herbe sous le pied. "Ah, euh... Oui, bien sûr !" Raté pour l'interrogatoire, faudra revenir plus tard. Maxendre s'avance à la suite de Langris lorsqu'un bruit, encore, attire son attention dehors. Plus présent, cette fois. Du genre un vrai gros bruit qu'on peut distinguer même au travers de la pluie. Est-ce que d'autres personnes auraient acceptés de venir fouiller les lieux ? Il regarde les alentours, sans rien distinguer de plus que des ombres et de l'eau tombant à toute vitesse. "Hé ooooh ! Y'a quelqu'un ?" Aucune réponse... Son imagination ? Sans doute, sans doute. En réalité, son esprit impose à lui cette réponse, afin d'éviter qu'il ne puisse penser à autre chose de déstabilisant. Nan parce que si la perspective d'un lieu hanté ne l'inquiète pas tant que cela par fautes de preuves tangibles de réels fantômes autre que des Spectres, des humains tarés qui tentent de vous tuer sans raison, ça, ça existe bel et bien, c'est tangible. Et l'air de rien, l'atmosphère présente à fait s'installer en lui une petite peur, légère mais présente, qui le force désormais à douter. Il se retourne pour demander à Langris s'il a entendu quelque chose aussi lorsqu'il constate qu'il est déjà parti. Oh merde. Maxendre vient de louper le train en marche. Il rentre en vitesse et ferme la porte derrière lui, qu'il tente de bloquer comme il peut avec ce qui lui passe sous la main. Nan, il a pas peur. Maiiiis, on est jamais trop prudent.
Voilà une bonne chose de faite. Maintenant, il sort son NérovID afin d'en utiliser la fonction lampe torche et il inspecte les environs. Déjà, personne. Il devra faire sa blague un peu plus tard. Puis il regarde un peu le reste et il voit... Du vieux. Du genre très très vieux. De la poussière, des signes de présence de quelques nuisibles, rien de bien étonnant pour un bâtiment à l'abandon. Par contre, des vêtements jonchés un peu partout, ça c'est moins banal. Sans doute des squatteurs, pense-t-il. Mais des squatteurs qui laissent autant de vêtements derrière eux ? S'ils avaient été chassé par le gardien des lieux, ce serait normal. Mais il n'y a personne qui s'occupe de cet endroit, donc... Etrange. Pendant une fraction de seconde, il imagine un tueur en série poursuivant des jeunes gens venus ici en quête de sensations fortes. Ah mais merde, pourquoi il pense à des trucs comme ça aussi ? Il secoue la tête et continue son inspection lentement et calmement quand la lampe torche dévoile des chaussures. Qu'il a déjà vu il y a peu. Il lève la lumière peu à peu et voit, un peu plus loin dans le hall, Vanessa. "Ness' ! Sérieux, fallait pas que tu entres seule !" Sous le coup de la joie, il s'avance vers elle et la serre dans ses bras. Il n'a même pas réfléchi, il est juste content de plus être seul ici. Ah, il est beau, l'homme sans peur hein ! D'ailleurs... Vanessa semble particulièrement calme, il se serait donc vraiment trompé sur son compte ? Il la lâche et recule un peu pour la regarder. Elle le fixe, de manière statique, presque mécanique. Sans un mot, presque sans un soupir. Aurait-il fait un truc qui fallait pas ? AH ! Il l'avait à peine regardé quand il est arrivé, c'était peut-être ça ! Quel con, aussi. "Tu m'en veux pour tout à l'heure ? Désolé, je m'attendais pas à voir quelqu'un d'autres, donc j'ai été un peu surpris et j'ai voulu paraître bien devant Langris, mais j'ai pas..." Il n'a pas le temps de finir sa phrase que Vanessa tourne la tête d'un coup sec sur la gauche, son regard se perdant dans la pénombre du couloir qui semblait se dessiner un peu plus loin. Et elle commence à courir jusque là-bas, une course rapide et un peu... Inquiétante ?
Maxendre observa la scène, perplexe. Soit elle lui en veut vraiment, soit... Y'a vraiment un truc entre les deux ? Un truc assez fort pour qu'à juste entendre son prénom, elle se sente ultra gênée et préfère prendre la fuite ? Bah, son hypothèse est bonne et donc, il avait raison ! Il se met alors en route dans la même direction qu'elle, autant pour ne pas la laisser seule que pour ne pas se laisser seul non plus quand un craquement de parquet retient son attention. Putain de merde, il en a presque sursauté. Vanessa vient de passer, donc c'est soit Langris, soit... Un tueur en série ? Oh non oh non oh non il veut pas finir en fait divers dans ce petit journal local tout pourri. Au moins qu'il finisse en une du journal numéro un de Nérova, ça aurait plus de gueule. La peur lui glaça le sang et il dirigea la lampe vers la source de bruit, priant de toutes ses forces pour voir Langris et pas un quelconque taré avec un masque de lapin chantonnant lorsque la lumière dévoile des chaussures. Qu'il a déjà vu il y a pas longtemps... Vanessa ???
Quelques minutes s'étaient écoulés depuis le départ de la Fraise et juste quand Maxendre allait aborder le sujet, il se fit couper l'herbe sous le pied. "Ah, euh... Oui, bien sûr !" Raté pour l'interrogatoire, faudra revenir plus tard. Maxendre s'avance à la suite de Langris lorsqu'un bruit, encore, attire son attention dehors. Plus présent, cette fois. Du genre un vrai gros bruit qu'on peut distinguer même au travers de la pluie. Est-ce que d'autres personnes auraient acceptés de venir fouiller les lieux ? Il regarde les alentours, sans rien distinguer de plus que des ombres et de l'eau tombant à toute vitesse. "Hé ooooh ! Y'a quelqu'un ?" Aucune réponse... Son imagination ? Sans doute, sans doute. En réalité, son esprit impose à lui cette réponse, afin d'éviter qu'il ne puisse penser à autre chose de déstabilisant. Nan parce que si la perspective d'un lieu hanté ne l'inquiète pas tant que cela par fautes de preuves tangibles de réels fantômes autre que des Spectres, des humains tarés qui tentent de vous tuer sans raison, ça, ça existe bel et bien, c'est tangible. Et l'air de rien, l'atmosphère présente à fait s'installer en lui une petite peur, légère mais présente, qui le force désormais à douter. Il se retourne pour demander à Langris s'il a entendu quelque chose aussi lorsqu'il constate qu'il est déjà parti. Oh merde. Maxendre vient de louper le train en marche. Il rentre en vitesse et ferme la porte derrière lui, qu'il tente de bloquer comme il peut avec ce qui lui passe sous la main. Nan, il a pas peur. Maiiiis, on est jamais trop prudent.
Voilà une bonne chose de faite. Maintenant, il sort son NérovID afin d'en utiliser la fonction lampe torche et il inspecte les environs. Déjà, personne. Il devra faire sa blague un peu plus tard. Puis il regarde un peu le reste et il voit... Du vieux. Du genre très très vieux. De la poussière, des signes de présence de quelques nuisibles, rien de bien étonnant pour un bâtiment à l'abandon. Par contre, des vêtements jonchés un peu partout, ça c'est moins banal. Sans doute des squatteurs, pense-t-il. Mais des squatteurs qui laissent autant de vêtements derrière eux ? S'ils avaient été chassé par le gardien des lieux, ce serait normal. Mais il n'y a personne qui s'occupe de cet endroit, donc... Etrange. Pendant une fraction de seconde, il imagine un tueur en série poursuivant des jeunes gens venus ici en quête de sensations fortes. Ah mais merde, pourquoi il pense à des trucs comme ça aussi ? Il secoue la tête et continue son inspection lentement et calmement quand la lampe torche dévoile des chaussures. Qu'il a déjà vu il y a peu. Il lève la lumière peu à peu et voit, un peu plus loin dans le hall, Vanessa. "Ness' ! Sérieux, fallait pas que tu entres seule !" Sous le coup de la joie, il s'avance vers elle et la serre dans ses bras. Il n'a même pas réfléchi, il est juste content de plus être seul ici. Ah, il est beau, l'homme sans peur hein ! D'ailleurs... Vanessa semble particulièrement calme, il se serait donc vraiment trompé sur son compte ? Il la lâche et recule un peu pour la regarder. Elle le fixe, de manière statique, presque mécanique. Sans un mot, presque sans un soupir. Aurait-il fait un truc qui fallait pas ? AH ! Il l'avait à peine regardé quand il est arrivé, c'était peut-être ça ! Quel con, aussi. "Tu m'en veux pour tout à l'heure ? Désolé, je m'attendais pas à voir quelqu'un d'autres, donc j'ai été un peu surpris et j'ai voulu paraître bien devant Langris, mais j'ai pas..." Il n'a pas le temps de finir sa phrase que Vanessa tourne la tête d'un coup sec sur la gauche, son regard se perdant dans la pénombre du couloir qui semblait se dessiner un peu plus loin. Et elle commence à courir jusque là-bas, une course rapide et un peu... Inquiétante ?
Maxendre observa la scène, perplexe. Soit elle lui en veut vraiment, soit... Y'a vraiment un truc entre les deux ? Un truc assez fort pour qu'à juste entendre son prénom, elle se sente ultra gênée et préfère prendre la fuite ? Bah, son hypothèse est bonne et donc, il avait raison ! Il se met alors en route dans la même direction qu'elle, autant pour ne pas la laisser seule que pour ne pas se laisser seul non plus quand un craquement de parquet retient son attention. Putain de merde, il en a presque sursauté. Vanessa vient de passer, donc c'est soit Langris, soit... Un tueur en série ? Oh non oh non oh non il veut pas finir en fait divers dans ce petit journal local tout pourri. Au moins qu'il finisse en une du journal numéro un de Nérova, ça aurait plus de gueule. La peur lui glaça le sang et il dirigea la lampe vers la source de bruit, priant de toutes ses forces pour voir Langris et pas un quelconque taré avec un masque de lapin chantonnant lorsque la lumière dévoile des chaussures. Qu'il a déjà vu il y a pas longtemps... Vanessa ???
HRP : The hell is thiiiiiiiiiiis ?
Lyxiae
- Vanessa Tagada
Dresseur
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Expérience : 120
Région d'origine : NÉROVA
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Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Quelque chose n’allait pas dans cette demeure. L’entrée ne ressemblait pas à celle qu’avait vu notre délicieuse petite fraise en rentrant. Bizarrement, le corridor était à l’Est alors qu’elle jurait que, elle, elle était entrée plein Sud. L’escalier central qu’elle avait emprunté et qui se divisait en deux, lui, en revanche, il était bien là. Du coin de l’œil, Ness’ pensa voir la cape de Langris flottait au croisement d’un couloir du rez-de-chaussée. Son sac à dos toujours sur ses épaules frêles, la jeune femme avait joint ses mains à la hauteur de ses lèvres. Ses yeux améthystes étaient grands ouverts et ses pas semblaient se faire de plus en plus minuscule. Doucement, elle empruntait donc le couloir lugubre en mordillant la peau de son index droit. Elle pencha la tête dans le croisement et la noirceur des lieux ne lui permettait pas d’y voir plus que cela. Entre ses dents, elle finit par émettre un léger appel…
« Langris ? Lan’… »
Un hurlement fit vibrer l’âme de la rouquine. Elle avait l’impression qu’il venait d’en dessous. Juste en dessous d’elle. Son trouillomètre monta de trois crans. Son cœur se serra et les battements accélérèrent. La peur pouvait causer des troubles de l’orientation et de base, la fraise était nulle en orientation. Perdue dans son petit bout de couloir, elle se mit à entendre tout autour d’elle des murmures. Murmures qui progressivement semblaient se rapprocher et s’intensifier. Vanessa n’osait plus du tout bouger et mordait avec force son index.
« Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta ! »
Un coup de vent glacé frôla le dos de la jeune femme, elle se retourna brusquement et eut la lumière blanche et agressive dans les yeux. Surprise, elle les ferma aussitôt et protégea son visage en mettant son bras droit devant son front. La voix de Maxendre fut un soulagement. Les murmures avaient cessé dans l’obscurité, comme chassés par la lumière divine de son salvateur. La rouquine avait les yeux humides. Les larmes ne coulaient pas encore, mais l’angoisse lui broyait les nerfs. Elle voulait parler, raconter à Max’ les bruits qu’elle avait entendu et la balle rouge de l’étage au-dessus, mais rien. Ses lèvres tentaient de bouger, mais les sons semblaient rester au fond de sa gorge comme s’ils étaient terrifiés d’en sortir. Respirer profondément ne suffisait pas et elle préféra le serrer brusquement dans ses bras comme pour s’assurer que c’était bien lui. Après quelques secondes d’étreinte dans le plus long des silences, Vanessa soupira et se redressa avant de le lâcher. Elle sécha rapidement ses yeux et tenta de s’exprimer alors que sa gorge semblait encore nouée.
« T’as… T’as entendu ? J’crois que… Il est où Langris ? »
Au même instant, un bruit sourd résonna dans le couloir. La porte du fond semblait bondir. Vanessa déglutit et la fixait par-dessus l’épaule de Maxendre. Non loin de cette porte, une fenêtre laissait entrer l’éclairage nocturne ainsi que les flashes des éclairs qui lézardaient le ciel dehors. Le déluge battait son plein à l’extérieur. Si bien, que le vent, venait fracassait les branches d’un arbre sur le verre de la lucarne. Le grincement terrifiant du bois humide sur le verre venait irriter les oreilles de la trouillarde. La porte, d’un rouge sanguine, bondissait de nouveau sans pour autant s’ouvrir. Puis encore, et encore… Si fortement et si successivement qu’elle finit par s’ouvrir dans un fracassement monstrueux arrachant à la jeune dresseuse un hurlement d’effroi. Une masse énorme sortie des profondeurs de la cave et se diriger maladroitement et brusquement sur eux. Ness’, terrifiée, attrapa le poignet de Max’ et se mit à courir. Affolée, elle ne prit pas le temps de regarder en arrière et fonça, tête baissée, dans la première pièce qui était munie d’une porte. Sans réfléchir plus que cela, elle lâcha ce qu’elle tenait pour fermer la porte et barricader l’accès avec le mobilier qu’elle avait sous la main. Sois, une chaise, une table et c’était déjà pas mal ! Une perle de sueur coulait le long de sa tempe lorsqu’un feulement la fit sursauter.
« Fla ! Flaaaaaaaa ! »
Une mauvaise sensation coulait le long de sa colonne vertébrale comme un filet d’eau glacé.
« Miaou… Flamiaou ! »
Un léger gémissement étouffé entre ses lèvres émana de la rouquine. Ce qu’elle avait tenu pendant sa fuite était en réalité la queue d’un Flamiaou qui n’avait pas apprécié de se faire malmener ainsi alors qu’il chassait. Lentement, Vanessa se retourna pour faire face au pokémon feu. Les mains bien en évidence, elle déglutit en voyant le regard agacé du félin dont la queue battait l’air de gauche à droite. Il était menaçant, mais restait tout de même à distance. Lui aussi avait du être bien surprit de se retrouver tout à coup balloté dans tous les sens. Doucement, Ness’ tenta de se glisser derrière la table qu’elle avait poussée, une main sur le dossier de la chaise qui retenait encore la poignée de la porte de ce qui semblait être une cuisine.
« Langris ? Lan’… »
Un hurlement fit vibrer l’âme de la rouquine. Elle avait l’impression qu’il venait d’en dessous. Juste en dessous d’elle. Son trouillomètre monta de trois crans. Son cœur se serra et les battements accélérèrent. La peur pouvait causer des troubles de l’orientation et de base, la fraise était nulle en orientation. Perdue dans son petit bout de couloir, elle se mit à entendre tout autour d’elle des murmures. Murmures qui progressivement semblaient se rapprocher et s’intensifier. Vanessa n’osait plus du tout bouger et mordait avec force son index.
« Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta. Ratta ! »
Un coup de vent glacé frôla le dos de la jeune femme, elle se retourna brusquement et eut la lumière blanche et agressive dans les yeux. Surprise, elle les ferma aussitôt et protégea son visage en mettant son bras droit devant son front. La voix de Maxendre fut un soulagement. Les murmures avaient cessé dans l’obscurité, comme chassés par la lumière divine de son salvateur. La rouquine avait les yeux humides. Les larmes ne coulaient pas encore, mais l’angoisse lui broyait les nerfs. Elle voulait parler, raconter à Max’ les bruits qu’elle avait entendu et la balle rouge de l’étage au-dessus, mais rien. Ses lèvres tentaient de bouger, mais les sons semblaient rester au fond de sa gorge comme s’ils étaient terrifiés d’en sortir. Respirer profondément ne suffisait pas et elle préféra le serrer brusquement dans ses bras comme pour s’assurer que c’était bien lui. Après quelques secondes d’étreinte dans le plus long des silences, Vanessa soupira et se redressa avant de le lâcher. Elle sécha rapidement ses yeux et tenta de s’exprimer alors que sa gorge semblait encore nouée.
« T’as… T’as entendu ? J’crois que… Il est où Langris ? »
Au même instant, un bruit sourd résonna dans le couloir. La porte du fond semblait bondir. Vanessa déglutit et la fixait par-dessus l’épaule de Maxendre. Non loin de cette porte, une fenêtre laissait entrer l’éclairage nocturne ainsi que les flashes des éclairs qui lézardaient le ciel dehors. Le déluge battait son plein à l’extérieur. Si bien, que le vent, venait fracassait les branches d’un arbre sur le verre de la lucarne. Le grincement terrifiant du bois humide sur le verre venait irriter les oreilles de la trouillarde. La porte, d’un rouge sanguine, bondissait de nouveau sans pour autant s’ouvrir. Puis encore, et encore… Si fortement et si successivement qu’elle finit par s’ouvrir dans un fracassement monstrueux arrachant à la jeune dresseuse un hurlement d’effroi. Une masse énorme sortie des profondeurs de la cave et se diriger maladroitement et brusquement sur eux. Ness’, terrifiée, attrapa le poignet de Max’ et se mit à courir. Affolée, elle ne prit pas le temps de regarder en arrière et fonça, tête baissée, dans la première pièce qui était munie d’une porte. Sans réfléchir plus que cela, elle lâcha ce qu’elle tenait pour fermer la porte et barricader l’accès avec le mobilier qu’elle avait sous la main. Sois, une chaise, une table et c’était déjà pas mal ! Une perle de sueur coulait le long de sa tempe lorsqu’un feulement la fit sursauter.
« Fla ! Flaaaaaaaa ! »
Une mauvaise sensation coulait le long de sa colonne vertébrale comme un filet d’eau glacé.
« Miaou… Flamiaou ! »
Un léger gémissement étouffé entre ses lèvres émana de la rouquine. Ce qu’elle avait tenu pendant sa fuite était en réalité la queue d’un Flamiaou qui n’avait pas apprécié de se faire malmener ainsi alors qu’il chassait. Lentement, Vanessa se retourna pour faire face au pokémon feu. Les mains bien en évidence, elle déglutit en voyant le regard agacé du félin dont la queue battait l’air de gauche à droite. Il était menaçant, mais restait tout de même à distance. Lui aussi avait du être bien surprit de se retrouver tout à coup balloté dans tous les sens. Doucement, Ness’ tenta de se glisser derrière la table qu’elle avait poussée, une main sur le dossier de la chaise qui retenait encore la poignée de la porte de ce qui semblait être une cuisine.
HRP :
Lyxiae
- Langris Walker
Dresseur
Argent : 50
Expérience : 50
Région d'origine : Hoenn
Âge : 21 ans
Avatar : Nozel Silva - Black Clover
Je faisais de l'hyperventilation. Ma cape ! Oh non.
- Je te vengerais... Puis j’en rachèterais une autre.
Ouais, il ne faut pas déconner les taches de sang ça part pas au lavage aussi facilement.
Reprenant mon calme, je me dirigeais vers les escaliers. Ces derniers étaient sous une arche en pierre creusée à même le mure. Les marches, de bétons, également, était en colimaçon.
Je respirais profondément avant d'emprunter ce chemin de la mort qui au passage n’était absolument pas éclairé. À mis chemin dans cet escalier. Des yeux brillaient dans le noir puis.. Un sourire. Branette ! Encore une fois.
- Toi !
Dégainant ma pokéball je n’eu le temps de n'appeler aucun de mes pokémon que le spectre se jeta sur moi en rentra en moi. Sans avoir le temps de réagir, j’avais perdu le contrôle de mon corps. J'étais devenu un hôte pour le pokémon. Qu’allait-il faire de moi ?
Il marcha où je marchais jusqu’au couloir du manoir où il s’arrêta quelques seconde devant un énorme miroir à moitié brisé. Certains éclats de vers étaient aux sols et crépitait lorsque mes pieds marchaient dessus. Dans le reflet, mes yeux étaient teintés d’un bleu glacial fluorescent. Ceux du pokémon.
Mon corps qui bougeait tout seul repris son chemin et porte après porte, il me mena à une autre porte.
Le Branette usais de mes mains pour ouvrir cette porte qui restait fermer. Il essaya à mainte reprise de tourner la poignée sans succès. Jusqu’au moment où il se mit à frapper encore et encore la porte avec mon poingt. Pourquoi voulait-il a tout pris rentrée?
- Je te vengerais... Puis j’en rachèterais une autre.
Ouais, il ne faut pas déconner les taches de sang ça part pas au lavage aussi facilement.
Reprenant mon calme, je me dirigeais vers les escaliers. Ces derniers étaient sous une arche en pierre creusée à même le mure. Les marches, de bétons, également, était en colimaçon.
Je respirais profondément avant d'emprunter ce chemin de la mort qui au passage n’était absolument pas éclairé. À mis chemin dans cet escalier. Des yeux brillaient dans le noir puis.. Un sourire. Branette ! Encore une fois.
- Toi !
Dégainant ma pokéball je n’eu le temps de n'appeler aucun de mes pokémon que le spectre se jeta sur moi en rentra en moi. Sans avoir le temps de réagir, j’avais perdu le contrôle de mon corps. J'étais devenu un hôte pour le pokémon. Qu’allait-il faire de moi ?
Il marcha où je marchais jusqu’au couloir du manoir où il s’arrêta quelques seconde devant un énorme miroir à moitié brisé. Certains éclats de vers étaient aux sols et crépitait lorsque mes pieds marchaient dessus. Dans le reflet, mes yeux étaient teintés d’un bleu glacial fluorescent. Ceux du pokémon.
Mon corps qui bougeait tout seul repris son chemin et porte après porte, il me mena à une autre porte.
Le Branette usais de mes mains pour ouvrir cette porte qui restait fermer. Il essaya à mainte reprise de tourner la poignée sans succès. Jusqu’au moment où il se mit à frapper encore et encore la porte avec mon poingt. Pourquoi voulait-il a tout pris rentrée?
Désolé de la taille de la réponse jfais une overdose de rp là
by Lyxiae
- Maxendre Campbell
Dresseur
Argent : 40
Expérience : 60
Région d'origine : Sinnoh
Âge : 25 ans
Avatar : Lavi Bookman
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Le cerveau de Maxendre rencontre en cet instant précis un espèce de vide intense. Car il n'y a pas quelques secondes, il a vu passer Vanessa, il l'a même enlacé, avant qu'elle ne file, dans une démarche des plus terrifiantes, dans une direction. Puis, elle est réapparu, du chemin opposé. What the ... ? Que doit-il comprendre ? Qu'il est juste totalement fou ? Ou que malgré ses convictions, il puisse en effet y avoir quelque chose de hanté ici ? Car là, quand même, c'est vraiment effrayant. Finalement, la perspective d'un tueur en série lui ferait presque plus plaisir ! Mécaniquement, il rend son accolade à Vanessa et alors qu'il va pour lui demander comment elle peut-être là, le tambourinage de la porte l'en empêche. Instinctivement, il dirige son regard vers cette dernière, la peur s'installant de plus en plus en lui, faisant frémir chaque particule de son être. Mais qu'il a été con d'accepter ce boulot de merde !
La porte finit par lâcher, arrachant un hurlement à Maxendre qui se saisit du bras de Ness' et court dans un sens, sans même réfléchir, ni regarder derrière lui. Agrippant fermement le bras, il ne le lâche pas et après avoir couru bien cinq minutes et avoir gravi un étage, les deux jeunes gens s'enferment dans ce qui semble être une grande chambre, qui bien que poussiéreuse reste malgré tout particulièrement spacieuse et décoré avec soin, pour ce qu'il reste des décorations. La chambre du maître des lieux, sans doute. Après avoir placé une commode devant la porte, Maxendre s'asseoit un instant pour souffler un peu. Il a l'impression d'avoir donné chaque parcelle de son énergie à cause de la peur qui lui avait rongé le ventre. Dans un soufflement rauque, il lève la tête et observe son amie. Elle semble mieux se porter, sans doute une meilleure condition physique. Elle se tient droite et fixe par la fenêtre, peut-être pour chercher une porte de sortie ?"Putain de merde ! Désolé de t'avoir attiré là, Ness' ! Sérieux, j'aurais jamais cru ça possible, de flipper autant..." Et là, la mémoire lui revient. Comment Vanessa a-t-elle pu apparaître de l'endroit opposé d'où elle était parti ? Maxendre allait lui poser la question. Allait seulement, car après s'être difficilement relever, il voit que son amie se tourne, lentement. Trop lentement. A la lueur d'un éclair à l'extérieur, il aperçoit un large sourire sur son visage, le genre de sourire qui n'a rien de rassurant, loin de là. La peur revient au triple galop et malgré son état d'épuisement, il sent pertinemment que s'il doit prendre la fuite, il la prendra à une vitesse folle. Le sourire de Vanessa s'étira encore un peu plus, toujours un peu plus, jusqu'à dépasser les limites autorisé par son corps. Mais bordel, qu'est-ce qu'il se passe encore ? Maxendre recule et se cogne à la commode, lui rappelant avec désespoir qu'il est coincé là avec cette chose qui n'est pas son amie.
Il crie, il hurle à en faire trembler les murs tant ce sourire et ce visage qui semble s'assombrir le terrifie au plus haut point, pauvre petit Rattata coincé, pris au piège par un prédateur d'un autre monde. Jusqu'à ce que l'entité en face de lui ne dévoile son véritable visage... Un Zoroark ? Bordel de merde, Maxendre en pleurerait presque de soulagement, de constater que ce n'est pas un fantôme vengeur mais juste un Pokémon. Et même pas du type Spectre, en plus. Toujours est-il que la situation est globalement désespéré pour lui. Mais au moins, sa rationalité lui est revenu et il se saisit de sa pokéball, d'une main encore bien trop tremblante à son goût, et l'ouvre pour laisser sortir son Tortipouss. "Allez Tipou, c'est à toi de briller. Je te préviens, je suis mort de trouille, donc je vais cafouiller un peu." Le pokémon observe son adversaire, une lueur de défi dans le regard. Non, on ne fait pas peur à son dresseur de la sorte, c'est hors de question. "Commence pas par lui ! Déblaye ce qu'il y a devant la porte qu'on puisse se tirer ! Je vais servir d’appât !" Et à ces mots, il récupère un cendrier qu'il balance sur le Zoroark. C'est absolument inconscient, mais il a pas trop le choix.
La porte finit par lâcher, arrachant un hurlement à Maxendre qui se saisit du bras de Ness' et court dans un sens, sans même réfléchir, ni regarder derrière lui. Agrippant fermement le bras, il ne le lâche pas et après avoir couru bien cinq minutes et avoir gravi un étage, les deux jeunes gens s'enferment dans ce qui semble être une grande chambre, qui bien que poussiéreuse reste malgré tout particulièrement spacieuse et décoré avec soin, pour ce qu'il reste des décorations. La chambre du maître des lieux, sans doute. Après avoir placé une commode devant la porte, Maxendre s'asseoit un instant pour souffler un peu. Il a l'impression d'avoir donné chaque parcelle de son énergie à cause de la peur qui lui avait rongé le ventre. Dans un soufflement rauque, il lève la tête et observe son amie. Elle semble mieux se porter, sans doute une meilleure condition physique. Elle se tient droite et fixe par la fenêtre, peut-être pour chercher une porte de sortie ?"Putain de merde ! Désolé de t'avoir attiré là, Ness' ! Sérieux, j'aurais jamais cru ça possible, de flipper autant..." Et là, la mémoire lui revient. Comment Vanessa a-t-elle pu apparaître de l'endroit opposé d'où elle était parti ? Maxendre allait lui poser la question. Allait seulement, car après s'être difficilement relever, il voit que son amie se tourne, lentement. Trop lentement. A la lueur d'un éclair à l'extérieur, il aperçoit un large sourire sur son visage, le genre de sourire qui n'a rien de rassurant, loin de là. La peur revient au triple galop et malgré son état d'épuisement, il sent pertinemment que s'il doit prendre la fuite, il la prendra à une vitesse folle. Le sourire de Vanessa s'étira encore un peu plus, toujours un peu plus, jusqu'à dépasser les limites autorisé par son corps. Mais bordel, qu'est-ce qu'il se passe encore ? Maxendre recule et se cogne à la commode, lui rappelant avec désespoir qu'il est coincé là avec cette chose qui n'est pas son amie.
Il crie, il hurle à en faire trembler les murs tant ce sourire et ce visage qui semble s'assombrir le terrifie au plus haut point, pauvre petit Rattata coincé, pris au piège par un prédateur d'un autre monde. Jusqu'à ce que l'entité en face de lui ne dévoile son véritable visage... Un Zoroark ? Bordel de merde, Maxendre en pleurerait presque de soulagement, de constater que ce n'est pas un fantôme vengeur mais juste un Pokémon. Et même pas du type Spectre, en plus. Toujours est-il que la situation est globalement désespéré pour lui. Mais au moins, sa rationalité lui est revenu et il se saisit de sa pokéball, d'une main encore bien trop tremblante à son goût, et l'ouvre pour laisser sortir son Tortipouss. "Allez Tipou, c'est à toi de briller. Je te préviens, je suis mort de trouille, donc je vais cafouiller un peu." Le pokémon observe son adversaire, une lueur de défi dans le regard. Non, on ne fait pas peur à son dresseur de la sorte, c'est hors de question. "Commence pas par lui ! Déblaye ce qu'il y a devant la porte qu'on puisse se tirer ! Je vais servir d’appât !" Et à ces mots, il récupère un cendrier qu'il balance sur le Zoroark. C'est absolument inconscient, mais il a pas trop le choix.
HRP : The hell is thiiiiiiiiiiis ?
Lyxiae
- Vanessa Tagada
Dresseur
Argent : 110
Expérience : 120
Région d'origine : NÉROVA
Âge : 29 ans
Avatar : Maki Nishikino - Love Live!
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Alors que la jeune femme pensait la situation complexe, elle se mit à angoisser de plus belle lorsqu’on vint frapper la porte. La poignée de celle-ci bougeait frénétiquement et Vanessa avait beau mettre sa main dessus, cela ne suffisait pas à l’immobiliser. Coincée entre deux problèmes, Ness’ finit par faire appel à Stella. La goupix apparu dans un filtre lumineux et rouge sur la surface de la table, juste devant la dresseuse. Mécontent de l’intrusion, le Flamiaou se mit à lancer une attaque enflammée qui ne pus aboutir jusqu’au bout grâce à la réactivité de son adversaire. D’un coup de poudreuse bien placé, le souffle glacé de Stella vint annuler les gerbes de feu. Une vapeur violente vint envahir l’espace de la cuisine et la rouquine profita de cet effet pour choper la renarde des neiges, ouvrir la porte et tenter de passer en force. Le but n’était pas de faire un combat, mais plutôt de prendre la fuite au plus vite, la dresseuse n’eut aucun remords à prendre la fuite.
Hélas, dans l’entrebâillement de la porte, le monstre attendait. Bien qu’il fut grand, sa courbure le rendait encore plus effrayant et Vanessa se le prit de pleine face, si bien et si fort qu’ils perdirent tous deux l’équilibre et chutèrent maladroitement à terre. Stella lovée contre elle, puis coincée entre l’affreux bipède aux yeux phosphorescence et sa dresseuse, dans cette chute. Tout se passa si vite, trop vite, que la fraise se rendit compte, bien trop tard, que ses lèvres venaient de toucher – par accident – les origines du mal en personne ! La réaction fut immédiate après l’instant de réalisation. La rouquine se releva bien vite et donna un bon coup de poing à son agresseur. Elle eut mal. Bien mal à ses petites phalanges. Pendant ce temps, la vapeur s’échappait par la porte entrouverte et le Flamiaou prit la fuite à son tour sans demander son reste.
Une fois la vapeur évacuée, ou du moins, l’espace plus net et de nouveau calme, Ness’ remarqua que ce qu’elle avait prit pour un monstre d’outre-tombe n’était qu’en fait Langris. Choquée d’avoir frappé le pauvre jeune homme, la nerveuse finit par lâcher son pokémon et porter ses mains au niveau de son nez, honteuse.
« Aaaaaaaaaah ! Qu’est-ce que j’ai fait ! »
Elle se releva et lui proposa son aide, hésitante tout de même.
« Pardon ! Je ne voulais pas ! Enfin si… Mais pas toi ! Je ne savais pas que c’était toi ! T’es con aussi de me foncer dessus comme ça ! Tu m’as fait peur ! »
Une main portée sur le cœur, Ness’ reprend son souffle pendant que Stella renifle et observe le nouvel endroit tout en restant non loin d’eux. La petite goupil ne semble pas très rassurée, ses oreilles sont à l’affût et ses queues sont basses.
« Piou… Allez. Viens Lan’, faut qu’on retrouve Max’. Il était là tout à l’heure… Han ! Je vous jure ! Vous ne pouviez pas me suivre plutôt que de rester dehors tout à l’heure ?! Regarde dans quelle mer… »
Un hurlement se fit de nouveau entendre et ébranle les murs du manoir. Vanessa arrête de parler, terrifiée, le cri vint de lui glacer les os. Stella est retournée aux côtés des deux humains et ne semble pas du tout à l’aise elle aussi. Ness’ attrape le bras de Langris et tend l’oreille. Elle est inquiète, mais n’ose pas bouger. Dans un chuchotement à peine audible, elle demande donc à son partenaire d’horreur :
« C’est la voix de Max’ on dirait… Il faut qu’on le retrouve. On sera plus tranquille à trois… Tu entends ? On dirait que ça vient de là-haut… »
Stella et Vanessa fixe le grand escalier qui mène à l’étage. Cette fois-ci, Ness’ jure qu’elle ne lâchera pas le bras de Lan’. Mais, est-ce que ce choc physique a suffi pour que le dresseur redevienne maître de son propre corps ? Les yeux toujours rivés sur l’escalier, la jeune femme le rappel.
« Lan’… ? Tu m’écoutes ? Faut qu’on monte voir… Max’ est peut-être là-haut. »
Hélas, dans l’entrebâillement de la porte, le monstre attendait. Bien qu’il fut grand, sa courbure le rendait encore plus effrayant et Vanessa se le prit de pleine face, si bien et si fort qu’ils perdirent tous deux l’équilibre et chutèrent maladroitement à terre. Stella lovée contre elle, puis coincée entre l’affreux bipède aux yeux phosphorescence et sa dresseuse, dans cette chute. Tout se passa si vite, trop vite, que la fraise se rendit compte, bien trop tard, que ses lèvres venaient de toucher – par accident – les origines du mal en personne ! La réaction fut immédiate après l’instant de réalisation. La rouquine se releva bien vite et donna un bon coup de poing à son agresseur. Elle eut mal. Bien mal à ses petites phalanges. Pendant ce temps, la vapeur s’échappait par la porte entrouverte et le Flamiaou prit la fuite à son tour sans demander son reste.
Une fois la vapeur évacuée, ou du moins, l’espace plus net et de nouveau calme, Ness’ remarqua que ce qu’elle avait prit pour un monstre d’outre-tombe n’était qu’en fait Langris. Choquée d’avoir frappé le pauvre jeune homme, la nerveuse finit par lâcher son pokémon et porter ses mains au niveau de son nez, honteuse.
« Aaaaaaaaaah ! Qu’est-ce que j’ai fait ! »
Elle se releva et lui proposa son aide, hésitante tout de même.
« Pardon ! Je ne voulais pas ! Enfin si… Mais pas toi ! Je ne savais pas que c’était toi ! T’es con aussi de me foncer dessus comme ça ! Tu m’as fait peur ! »
Une main portée sur le cœur, Ness’ reprend son souffle pendant que Stella renifle et observe le nouvel endroit tout en restant non loin d’eux. La petite goupil ne semble pas très rassurée, ses oreilles sont à l’affût et ses queues sont basses.
« Piou… Allez. Viens Lan’, faut qu’on retrouve Max’. Il était là tout à l’heure… Han ! Je vous jure ! Vous ne pouviez pas me suivre plutôt que de rester dehors tout à l’heure ?! Regarde dans quelle mer… »
Un hurlement se fit de nouveau entendre et ébranle les murs du manoir. Vanessa arrête de parler, terrifiée, le cri vint de lui glacer les os. Stella est retournée aux côtés des deux humains et ne semble pas du tout à l’aise elle aussi. Ness’ attrape le bras de Langris et tend l’oreille. Elle est inquiète, mais n’ose pas bouger. Dans un chuchotement à peine audible, elle demande donc à son partenaire d’horreur :
« C’est la voix de Max’ on dirait… Il faut qu’on le retrouve. On sera plus tranquille à trois… Tu entends ? On dirait que ça vient de là-haut… »
Stella et Vanessa fixe le grand escalier qui mène à l’étage. Cette fois-ci, Ness’ jure qu’elle ne lâchera pas le bras de Lan’. Mais, est-ce que ce choc physique a suffi pour que le dresseur redevienne maître de son propre corps ? Les yeux toujours rivés sur l’escalier, la jeune femme le rappel.
« Lan’… ? Tu m’écoutes ? Faut qu’on monte voir… Max’ est peut-être là-haut. »
HRP :
Lyxiae
- Langris Walker
Dresseur
Argent : 50
Expérience : 50
Région d'origine : Hoenn
Âge : 21 ans
Avatar : Nozel Silva - Black Clover
De la fumée blanche, semblable de la vapeur se faufilait sous la porte lorsque, surprise ! Vanessa déverrouille la porte depuis l’autre côté avant de sauter sur moi. C’était donc elle de l’autre côté ? C’est sans doute ce que je me serais dit à ce moment si…
J’ouvrais les yeux, au sol. Oui, je n’avais aucun souvenir des récents événements. Reprenant mes esprits, une première sensation vint me faire sortir des brumes qui alteraient mon esprit. Ces sensations, c’étaient celles d’un baiser.
- Qu’est-ce qu’.
Pas le temps de prononcer plus de trois mots, quand les cinq phalange d’une personne que je commençais à bien connaître vinrent s’imprimer sur mon visage. Le choc fut aussi violent qu’une frappe atlas, ma tête se retrouva projeta contre le parquet.
- Vanessa ?
Peinant à relever ma tête, le nez en sang, - à cause du poing ou du baiser ? Vous ne le saurez jamais !- j’avais mal devant et derrière le crâne. Super… Découvrant avec stupeur que je n’étais pas Téraclope ou je ne sais quel autre spectre, Vanessa s’excusa avant de m’insulter ? Mouais… Pas fou comme excuses.
- Quoi ? Je ne comprends rien, je me souviens avoir été téléporter au sous-sol, mais après...
Assise sur moi, elle finit tout de même par se relever et m’aider à faire de même. Me pinçant le bout de nez pour éviter que je ne saigne davantage -et surtout pour ne pas tacher les reste de mes vêtements de luxe-
Un cri provenant probablement de l’étage effrayant une fois de plus la petite rouge. Et vraisemblablement, elle voulait qu’on retrouve Maxendre. Et une fois de plus, elle s’était blottie contre moi, toute tremblante.
Encore un peu perdue, essayant de remémorer ce qui m’était arrivé tout en essayant de comprendre la situation. Je regardais Vanessa, une fois de plus… C’était quoi le plan ? Elle me frappe ? Elle me sert dans ses bras ? Elle m’insulte ? Elle m’embrasse ? J’étais perdu moi à la fin !
- Euh.. Oui ! Pardon. Allons le chercher.
Quel enfer ! Comment joindre l’étage ? Par quel escalier fallait-il se faufiler pour ne pas devenir la marionnette d’un Branette...
J’ouvrais les yeux, au sol. Oui, je n’avais aucun souvenir des récents événements. Reprenant mes esprits, une première sensation vint me faire sortir des brumes qui alteraient mon esprit. Ces sensations, c’étaient celles d’un baiser.
- Qu’est-ce qu’.
Pas le temps de prononcer plus de trois mots, quand les cinq phalange d’une personne que je commençais à bien connaître vinrent s’imprimer sur mon visage. Le choc fut aussi violent qu’une frappe atlas, ma tête se retrouva projeta contre le parquet.
- Vanessa ?
Peinant à relever ma tête, le nez en sang, - à cause du poing ou du baiser ? Vous ne le saurez jamais !- j’avais mal devant et derrière le crâne. Super… Découvrant avec stupeur que je n’étais pas Téraclope ou je ne sais quel autre spectre, Vanessa s’excusa avant de m’insulter ? Mouais… Pas fou comme excuses.
- Quoi ? Je ne comprends rien, je me souviens avoir été téléporter au sous-sol, mais après...
Assise sur moi, elle finit tout de même par se relever et m’aider à faire de même. Me pinçant le bout de nez pour éviter que je ne saigne davantage -et surtout pour ne pas tacher les reste de mes vêtements de luxe-
Un cri provenant probablement de l’étage effrayant une fois de plus la petite rouge. Et vraisemblablement, elle voulait qu’on retrouve Maxendre. Et une fois de plus, elle s’était blottie contre moi, toute tremblante.
Encore un peu perdue, essayant de remémorer ce qui m’était arrivé tout en essayant de comprendre la situation. Je regardais Vanessa, une fois de plus… C’était quoi le plan ? Elle me frappe ? Elle me sert dans ses bras ? Elle m’insulte ? Elle m’embrasse ? J’étais perdu moi à la fin !
- Euh.. Oui ! Pardon. Allons le chercher.
Quel enfer ! Comment joindre l’étage ? Par quel escalier fallait-il se faufiler pour ne pas devenir la marionnette d’un Branette...
Pauvre Langris qui va se faire des idées...
by Lyxiae
- Maxendre Campbell
Dresseur
Argent : 40
Expérience : 60
Région d'origine : Sinnoh
Âge : 25 ans
Avatar : Lavi Bookman
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Le cendrier s'éclata sur la face du Zoroark. Enfin, s'éclata est un grand mot, car il rebondit plus qu'autre chose pour retomber mollement sur la moquette. Et c'est dans un rictus partagé entre l'angoisse et l'envie de rire de cette scène ridicule que Maxendre se décida à prendre un vase et à le jeter. Là, ce serait plus efficace. Le lourd objet se brisa sur le visage du pokémon qui recula sous le choc.
Pendant ce temps, Tipou s'employa corps et âme à déblayer le chemin, lentement, trop lentement. Sa petite taille n'aidait pas réellement. Et lorsqu'il remarqua que son dresseur commençait à être à court de projectiles, une angoisse sourde se saisit de lui. Il voulait réussir à ouvrir le chemin au plus vite. Quand enfin la dernière chaise fut enlevé, une attaque venant de leur adversaire se projeta jusqu'au mur non loin et un morceau de plafond s'effondra juste devant la sortie.
Maxendre réussit à esquiver de justesse ce qui ressemblait à un Vibrobscur. Il vérifia que son pokémon était en bonne santé et constata avec effroi que des débris gênaient encore plus le passage. "Merde... T'inquiète pas pour moi !" Il n'eut pas vraiment le temps de dire quoi que ce soit de plus qu'il du esquiver un grand coup de patte avec beaucoup de difficulté. Pas assez rapide, l'une des griffes lui entailla profondément le bras gauche, ce qui lui arracha un cri de douleur. Là, il était mal...
Tipou se crispa un peu plus à l'entente du cri de douleur de son dresseur, mais il essaya de se concentrer sur l'ordre qui lui avait été donné. Le stress, l'anxiété et l'envie de réussir à se sortir d'ici lui provoquèrent une étrange réaction, une sensation qu'il avait beau ne pas connaître mais qu'il reconnut quasi-immédiatement. Il était en train d'évoluer. Et une fois évolué, sa force lui permettrait sans doute de dégager le chemin en un instant.
Le jeune homme reculait, acculé, lorsqu'un énorme bruit se fit entendre pas loin derrière lui. Il tourna rapidement la tête et vit que son cher et tendre Tipou avait évolué un en grand Boskara, assez grand pour avoir déblayé les plus gros morceaux de plafonds en quelques coups de fouets lianes. Il aurait bien voulu s'extasier de la situation, mais hélas, il n'en avait pas trop le temps, pas avec un Zoroark sanguinaire à ses trousses. Il courut en direction de la sortie, son Boskara l'attendant déjà à l'extérieur, un air un peu inquiet sur le visage. Il sauta en direction du couloir tandis que le pokémon balança une attaque Tranch'Herbes en plein sur l'encadrement de la porte qui s'effondra sur lui même. Un grand nuage de poussière se souleva et un silence assourdissant régna en maître sur le couloir, durant de longues secondes. Enfin, quand le nuage se dissipa, les deux compères constatèrent qu'ils étaient seuls. Le Zoroark était coincé dans la chambre, parfait. Le bras en sang, il allait pour féliciter son pokémon lorsqu'un bruit se fit entendre en direction du bout du couloir. Oh non. Quoi encore ?
Pendant ce temps, Tipou s'employa corps et âme à déblayer le chemin, lentement, trop lentement. Sa petite taille n'aidait pas réellement. Et lorsqu'il remarqua que son dresseur commençait à être à court de projectiles, une angoisse sourde se saisit de lui. Il voulait réussir à ouvrir le chemin au plus vite. Quand enfin la dernière chaise fut enlevé, une attaque venant de leur adversaire se projeta jusqu'au mur non loin et un morceau de plafond s'effondra juste devant la sortie.
Maxendre réussit à esquiver de justesse ce qui ressemblait à un Vibrobscur. Il vérifia que son pokémon était en bonne santé et constata avec effroi que des débris gênaient encore plus le passage. "Merde... T'inquiète pas pour moi !" Il n'eut pas vraiment le temps de dire quoi que ce soit de plus qu'il du esquiver un grand coup de patte avec beaucoup de difficulté. Pas assez rapide, l'une des griffes lui entailla profondément le bras gauche, ce qui lui arracha un cri de douleur. Là, il était mal...
Tipou se crispa un peu plus à l'entente du cri de douleur de son dresseur, mais il essaya de se concentrer sur l'ordre qui lui avait été donné. Le stress, l'anxiété et l'envie de réussir à se sortir d'ici lui provoquèrent une étrange réaction, une sensation qu'il avait beau ne pas connaître mais qu'il reconnut quasi-immédiatement. Il était en train d'évoluer. Et une fois évolué, sa force lui permettrait sans doute de dégager le chemin en un instant.
Le jeune homme reculait, acculé, lorsqu'un énorme bruit se fit entendre pas loin derrière lui. Il tourna rapidement la tête et vit que son cher et tendre Tipou avait évolué un en grand Boskara, assez grand pour avoir déblayé les plus gros morceaux de plafonds en quelques coups de fouets lianes. Il aurait bien voulu s'extasier de la situation, mais hélas, il n'en avait pas trop le temps, pas avec un Zoroark sanguinaire à ses trousses. Il courut en direction de la sortie, son Boskara l'attendant déjà à l'extérieur, un air un peu inquiet sur le visage. Il sauta en direction du couloir tandis que le pokémon balança une attaque Tranch'Herbes en plein sur l'encadrement de la porte qui s'effondra sur lui même. Un grand nuage de poussière se souleva et un silence assourdissant régna en maître sur le couloir, durant de longues secondes. Enfin, quand le nuage se dissipa, les deux compères constatèrent qu'ils étaient seuls. Le Zoroark était coincé dans la chambre, parfait. Le bras en sang, il allait pour féliciter son pokémon lorsqu'un bruit se fit entendre en direction du bout du couloir. Oh non. Quoi encore ?
HRP : The hell is thiiiiiiiiiiis ?
Lyxiae
- Vanessa Tagada
Dresseur
Argent : 110
Expérience : 120
Région d'origine : NÉROVA
Âge : 29 ans
Avatar : Maki Nishikino - Love Live!
Un Scoop pour les plus courageux
NESS', GRISOU & MAX'
Langris semblait dans les vapes et la petite trouillarde, qui lui tenait encore le bras et guettait en rocabot de faillance les hauteurs de l’escalier principal. Au début, Ness’ n’osait pas trop avancer. Tenant de ses deux mains le bras de son compagnon d’aventure, elle était presque sur le point de lui enfoncer ses ongles manucurés dans sa chair. Des bruits sourds firent lever la tête de la rouquine. C’était certain que quelqu’un ou que quelque chose se passait là-bas… Un cri déchirant et effrayant pétrifia la jeune femme sur place. Le dos plaqué contre le mur, les mains plaquées sur cette paroi glacée, elle sentait son cœur se serrer et se briser pour tomber en mille morceaux dans le creux de ses reins. Horreur. Elle avait reconnu la voix de Max. Une seconde passa, puis deux, puis trois avant que finalement l’amie se mit à courir comme une folle furieuse dans les marches grinçantes pour gagner l’étage supérieur.
“MAX!”
Elle craignait déjà le pire et manqua de louper une marche lorsqu’elle entendu un éboulement monstrueux et si violent qu’il fit trembler les murs et la rampe. Les mains en avant, la fraise chuta et en voulant se rattraper elle se tordit la cheville. La douleur fut rapide, mais ne resta pas longtemps. Elle était comme une piqûre électrique qui la fit ralentir un peu avant de reprendre sa course effrénée. Est-ce bien raisonnable ? Non, certainement pas. Elle avait à peine eu le temps de dire “Aïe” et passer rapidement sa main sur la zone douloureuse avant de repartir à la recherche du troisième aventurier.
“Vite Langris ! Viens!”
La situation l’angoissait tellement qu’elle devenait autoritaire et pressait son accompagnateur alors que celui-ci ne pouvait rien y faire puisqu’elle était devant et à quatre pattes dans le passage. Pensant presque qu’elle pourrait aller plus vite dans cette posture. Une fois arrivés en haut, un nuage poussiéreux et gris-blanc vinrent souffler les deux arrivants. Ness’ eut à peine le temps de masquer son visage avec ses bras qu’une brume venait obscurcir le couloir. D’une main, elle balayait l’air en espérant pousser ce nuage âcre. La poussière venait s’infiltrer dans sa gorge et la fit s'assécher. Une toux incontrôlable venait freiner de nouveau les deux amis qui cherchaient leur troisième mousquetaire. Petit à petit, entre deux toussotements, elle tentait d’appeler et finit par apercevoir une silhouette humaine se dessiner à quelques mètres. Non loin de celle-ci, une masse plutôt imposante, pas très haute se tenait là. Vanessa attendit que Langris soit à ses côtés pour poursuivre son parcours et laisser la poussière retomber pour revoir le visage de Max’ et celui de son pokémon ?
“ Max… Max ? Ca va ? Qu’est ce … Qu’est-ce qui s’est passé ?! T’as rien ?!”
Alors qu’elle disait ces mots, ses yeux se posèrent sur le bras en sang du jeune garçon. Aussitôt, elle mettait sa main devant sa bouche pour empêcher un cri d'effroi d’en sortir. Devant ce rouge dégoulinant, les larmes montèrent facilement, la fraise semblait perdre pied lorsqu’un large sourire jaune et des yeux rouges se dessinaient dans les dernières brumes poussiéreuses. Un rire machiavélique attira l’attention de la fraise et sa tête se tourna en direction de ce son peu rassurant. Lorsque Ness’ découvrit l’affreux visage du Branette, se fut plus fort qu’elle, elle hurla de toutes ses forces, laissa couler ses larmes et courut se jeter dans les bras de Langris. Stella, la goupix de la rouquine, resta bouche bée devant la réaction de sa dresseuse. Elle ne comprenait pas la situation. Le Branette ne semblait pas l’inquiéter plus que cela et la goupil des neiges préféra partir à la rencontre du Boskara et du borgne.
“MAX!”
Elle craignait déjà le pire et manqua de louper une marche lorsqu’elle entendu un éboulement monstrueux et si violent qu’il fit trembler les murs et la rampe. Les mains en avant, la fraise chuta et en voulant se rattraper elle se tordit la cheville. La douleur fut rapide, mais ne resta pas longtemps. Elle était comme une piqûre électrique qui la fit ralentir un peu avant de reprendre sa course effrénée. Est-ce bien raisonnable ? Non, certainement pas. Elle avait à peine eu le temps de dire “Aïe” et passer rapidement sa main sur la zone douloureuse avant de repartir à la recherche du troisième aventurier.
“Vite Langris ! Viens!”
La situation l’angoissait tellement qu’elle devenait autoritaire et pressait son accompagnateur alors que celui-ci ne pouvait rien y faire puisqu’elle était devant et à quatre pattes dans le passage. Pensant presque qu’elle pourrait aller plus vite dans cette posture. Une fois arrivés en haut, un nuage poussiéreux et gris-blanc vinrent souffler les deux arrivants. Ness’ eut à peine le temps de masquer son visage avec ses bras qu’une brume venait obscurcir le couloir. D’une main, elle balayait l’air en espérant pousser ce nuage âcre. La poussière venait s’infiltrer dans sa gorge et la fit s'assécher. Une toux incontrôlable venait freiner de nouveau les deux amis qui cherchaient leur troisième mousquetaire. Petit à petit, entre deux toussotements, elle tentait d’appeler et finit par apercevoir une silhouette humaine se dessiner à quelques mètres. Non loin de celle-ci, une masse plutôt imposante, pas très haute se tenait là. Vanessa attendit que Langris soit à ses côtés pour poursuivre son parcours et laisser la poussière retomber pour revoir le visage de Max’ et celui de son pokémon ?
“ Max… Max ? Ca va ? Qu’est ce … Qu’est-ce qui s’est passé ?! T’as rien ?!”
Alors qu’elle disait ces mots, ses yeux se posèrent sur le bras en sang du jeune garçon. Aussitôt, elle mettait sa main devant sa bouche pour empêcher un cri d'effroi d’en sortir. Devant ce rouge dégoulinant, les larmes montèrent facilement, la fraise semblait perdre pied lorsqu’un large sourire jaune et des yeux rouges se dessinaient dans les dernières brumes poussiéreuses. Un rire machiavélique attira l’attention de la fraise et sa tête se tourna en direction de ce son peu rassurant. Lorsque Ness’ découvrit l’affreux visage du Branette, se fut plus fort qu’elle, elle hurla de toutes ses forces, laissa couler ses larmes et courut se jeter dans les bras de Langris. Stella, la goupix de la rouquine, resta bouche bée devant la réaction de sa dresseuse. Elle ne comprenait pas la situation. Le Branette ne semblait pas l’inquiéter plus que cela et la goupil des neiges préféra partir à la rencontre du Boskara et du borgne.
HRP :
Lyxiae
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