- Yuna Ayanami
Nouveau venu
Argent : 0
Expérience : 0
Yuna Ayanami
18 ans
Kanto
Féminin
18 ans
Kanto
Féminin
Naga
Sonistrelle
Sonistrelle
Une petite Sonistrelle, découverte posée au bord de ma fenêtre. Je l'ai prise pour un pokémon insecte, un papillon à notre rencontre. Mais non, c'était bien autre. Elle est devenu ma seule amie pendant des années jusqu'à aujourd'hui.
caractère
La jeune femme est plutôt fermée d'esprit. Il ne faut pas trop lui en demander, elle n'accepte pas tout. Elle peut néanmoins sympathiser avec du monde même s'il n'est pas facile d'obtenir son amitié, sans parler de son amour. Bien que donnant très peu sa confiance, Yuna sait se montrer très loyale envers les quelques rares personnes qui ont réussi à marquer leur emprunte dans son cœur.
D’un tempérament calme, elle semble être dénuée de méchanceté ou même d'agressivité. Détrompez-vous. Yuna est une femme très susceptible : elle part très vite au quart de tour, le sang battant follement dans ses veines. Bien qu'elle reste stoïque, elle n’a jamais éprouvé une autre colère que celle froide et glaciale la menant à réfléchir intensément à comment rendre la monnaie de sa pièce. Un préjudice subit ne reste jamais impuni, elle est une adepte de la vengeance personnelle. De ce fait, elle usera de sa ruse pour que sa vengeance soit longuement préparée, dans les moindres détails. Elle veille cependant à ce qu’elle soit mesurée, égale à l’affront subit – cela dit, tout dépend de son propre point de vue, lequel dépend également du taux d’animosité qu’elle porte à la personne visée… Une proportionnalité tout à fait subjective.
Yuna aime manipuler les autres : ceux dont les compétences sont nécessaires pour mieux franchir les échelons menant à l’objectif de son ambition. Elle a toujours été la plus rusée de sa famille. Habile dans l’art de la tromperie, elle use habilement du mensonge pour se sortir des situations délicates. Pour autant, la jeune femme demeure une personne franche ; cependant, elle a tendance à oublier la définition du mot tact et est capable de se montrer très crue – notamment envers ses ennemis et ceux qu’elle ne porte pas particulièrement dans son cœur.
Éduquée dans un milieu strict, Yuna a toujours su être minutieuse, rigoureuse et utile. Ses parents ont su, eux, faire de leur fille une femme juste et posée, égalant des personnes importantes sur tous les plans.
D’un tempérament calme, elle semble être dénuée de méchanceté ou même d'agressivité. Détrompez-vous. Yuna est une femme très susceptible : elle part très vite au quart de tour, le sang battant follement dans ses veines. Bien qu'elle reste stoïque, elle n’a jamais éprouvé une autre colère que celle froide et glaciale la menant à réfléchir intensément à comment rendre la monnaie de sa pièce. Un préjudice subit ne reste jamais impuni, elle est une adepte de la vengeance personnelle. De ce fait, elle usera de sa ruse pour que sa vengeance soit longuement préparée, dans les moindres détails. Elle veille cependant à ce qu’elle soit mesurée, égale à l’affront subit – cela dit, tout dépend de son propre point de vue, lequel dépend également du taux d’animosité qu’elle porte à la personne visée… Une proportionnalité tout à fait subjective.
Yuna aime manipuler les autres : ceux dont les compétences sont nécessaires pour mieux franchir les échelons menant à l’objectif de son ambition. Elle a toujours été la plus rusée de sa famille. Habile dans l’art de la tromperie, elle use habilement du mensonge pour se sortir des situations délicates. Pour autant, la jeune femme demeure une personne franche ; cependant, elle a tendance à oublier la définition du mot tact et est capable de se montrer très crue – notamment envers ses ennemis et ceux qu’elle ne porte pas particulièrement dans son cœur.
Éduquée dans un milieu strict, Yuna a toujours su être minutieuse, rigoureuse et utile. Ses parents ont su, eux, faire de leur fille une femme juste et posée, égalant des personnes importantes sur tous les plans.
histoire
Une dizaines de femmes veillaient sur ma croissance. Trois me nourrissaient. L’une poussait mon berceau. Une autre agitait un éventail pour chasser les insectes volants qui s’était introduits dans cet univers parfumé. Mon appétit effrayait. Je riais déjà. Mes yeux, grosses perles indigo, roulaient dans leurs orbites. Je regardais le monde jour et nuit sans vouloir s’endormir. Mon agitation inquiétait. Mais personne ne réussissait à expulser le démon qui m’habitait. On m'appela Ambre. A mes trois ans, mon existence donna l’occasion d’une célébration. Maman avait fait ouvrir le pavillon au milieu de l’étang et avait réuni des familles et des amis pour un banquet somptueux. Dans la salle entourée des eaux scintillantes, je circulais. On me caressait, me flattait. Une dame m’avait offert un bracelet de la couleur d'un saphir. Elle était persuadée que mes yeux exprimaient de l’intelligence et de la ruse. Elle ne s'était pas trompée...
Le royaume où Papa régnait en maître absolu se divisait en deux parties, d'où la richesse de ma famille. J'étais encore bien trop petite pour comprendre ce que j'appelais un « royaume ». Je savais que bien plus tard qu'il était champion d'arène. Un jour, j'appris son décès. Bien que petite, âgée de 12 ans, je ressentais énormément cette souffrance qu'on appelait le deuil. Le cercueil et les offrandes furent placés derrière un rideau. Sa fin rejoignait mon commencement… Nos parents lointains accoururent des quatre coins de la région. Leur démarche disgracieuse et leur voix empreinte d’un accent râpeux m’obsédait. Je me mis à quatre pattes, entre Maman et une autre personne qui recevaient les présentes condoléances. Je n’avais plus de larme, je n’avais plus de voix. Je cachais mon visage derrière mes manches et me tordais tout en poussant des cris. Dans un bois de bouleaux soigneusement entretenu, son tombeau se dressait aussi grand qu’une maison. Sur l’imposante stèle de pierre, je reconnu son écriture gravée pour l’éternité. Au village, le banquet battait son plein. De maison en maison, portes et fenêtres ouvertes, les invités trinquaient et dévoraient. Je devenais aussi légère que les monnaies funéraires que l’on répandait sur les routes. Fuyant le brouhaha, j’errais dans le méandre de passages et de galeries. Un jardin se dévoila. Les boutons-d’or jonchaient le sol. Des poiriers étaient en fleur. Quelques rocailles s’élevaient au milieu d’un étant minuscule.
Le regard des femmes changea. Je décelait dans leurs prunelles indignation et envie. Je perdis la liberté de courir dans les champs et sortir. Confinée dans ma chambre, je subis un traitement qui éclaircit ma peau brunie par le soleil. Je restais dans mes pensées. Je voulais tellement partir d'ici, partir à l'aventure. J'étais comme un oiseau dans une cage... Je ne pouvais voler pour m'épanouir. Je rêvais de suivre le même destin que Papa. C’est au crépuscule, de mes 14 ans, assise, tête posée sur les mains, je contemplais les nuages qui se teignaient de couleurs chatoyantes quand un oiseau au teinte violacé vint à ma rencontre. Elle devena mon amie et compagnon, l’unique visite autorisé pour plusieurs année encore à venir.
Quand plusieurs années sont passées et que le chagrin fut atténué dans le silence, on m'autorise de nouveau à vivre une vie normale. Après tout, je venais d’atteindre ma majorité. Le regard de ma mère resta insupportable, emplie d’une tristesse. On me demanda de l’aide, celle d’aider ma mère mais comment faire ? à la place je redécouvre le monde, ses paysages et ses pokémon. Mon rêve depuis petite était enfin à portée de main mais pour ça il fallait abandonner ma mère, la raison de mon emprisonnement depuis toutes ces années. J’ai eu beau lui parler, lui donner envie, elle ne réagissait plus. Ma conviction devint plus forte, je la laisse aux mains des femmes qui m’ont vu grandir et je pars découvrir le monde pokémon.
Le royaume où Papa régnait en maître absolu se divisait en deux parties, d'où la richesse de ma famille. J'étais encore bien trop petite pour comprendre ce que j'appelais un « royaume ». Je savais que bien plus tard qu'il était champion d'arène. Un jour, j'appris son décès. Bien que petite, âgée de 12 ans, je ressentais énormément cette souffrance qu'on appelait le deuil. Le cercueil et les offrandes furent placés derrière un rideau. Sa fin rejoignait mon commencement… Nos parents lointains accoururent des quatre coins de la région. Leur démarche disgracieuse et leur voix empreinte d’un accent râpeux m’obsédait. Je me mis à quatre pattes, entre Maman et une autre personne qui recevaient les présentes condoléances. Je n’avais plus de larme, je n’avais plus de voix. Je cachais mon visage derrière mes manches et me tordais tout en poussant des cris. Dans un bois de bouleaux soigneusement entretenu, son tombeau se dressait aussi grand qu’une maison. Sur l’imposante stèle de pierre, je reconnu son écriture gravée pour l’éternité. Au village, le banquet battait son plein. De maison en maison, portes et fenêtres ouvertes, les invités trinquaient et dévoraient. Je devenais aussi légère que les monnaies funéraires que l’on répandait sur les routes. Fuyant le brouhaha, j’errais dans le méandre de passages et de galeries. Un jardin se dévoila. Les boutons-d’or jonchaient le sol. Des poiriers étaient en fleur. Quelques rocailles s’élevaient au milieu d’un étant minuscule.
Le regard des femmes changea. Je décelait dans leurs prunelles indignation et envie. Je perdis la liberté de courir dans les champs et sortir. Confinée dans ma chambre, je subis un traitement qui éclaircit ma peau brunie par le soleil. Je restais dans mes pensées. Je voulais tellement partir d'ici, partir à l'aventure. J'étais comme un oiseau dans une cage... Je ne pouvais voler pour m'épanouir. Je rêvais de suivre le même destin que Papa. C’est au crépuscule, de mes 14 ans, assise, tête posée sur les mains, je contemplais les nuages qui se teignaient de couleurs chatoyantes quand un oiseau au teinte violacé vint à ma rencontre. Elle devena mon amie et compagnon, l’unique visite autorisé pour plusieurs année encore à venir.
Quand plusieurs années sont passées et que le chagrin fut atténué dans le silence, on m'autorise de nouveau à vivre une vie normale. Après tout, je venais d’atteindre ma majorité. Le regard de ma mère resta insupportable, emplie d’une tristesse. On me demanda de l’aide, celle d’aider ma mère mais comment faire ? à la place je redécouvre le monde, ses paysages et ses pokémon. Mon rêve depuis petite était enfin à portée de main mais pour ça il fallait abandonner ma mère, la raison de mon emprisonnement depuis toutes ces années. J’ai eu beau lui parler, lui donner envie, elle ne réagissait plus. Ma conviction devint plus forte, je la laisse aux mains des femmes qui m’ont vu grandir et je pars découvrir le monde pokémon.
ElyneEnmai Ai de Jigoku Shoujo partenariat
super forum, chapeau les artistes
- River C. Shelby
Chercheur
Argent : 330
Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
C'est assez marrant, je dois l'admettre, de constater que cette fiche n'a pas été une épreuve aussi difficile à surmonter que ce que tu insinues. En effet, une rapide recherche sur google du premier paragraphe de ton histoire nous a permis de tomber sur cette fiche : www. Puis, en lisant le caractère tout comme l'histoire, on peut remarquer que ta fiche n'est qu'un copier-collier d'une fiche écrite quelques années plus tôt.
Tu comprendras donc que ta fiche ne peut pas être validée en l'état, le plagiat n'étant évidemment pas accepté sur le forum. Il te faudra donc faire preuve d'un peu d'imagination et écrire ta propre fiche si tu souhaites rejoindre l'aventure parmi nous. (Ou alors, si tu comptes plagier une autre fiche, évite de laisser l'ancien prénom, ça fait moins suspect.)
Tu comprendras donc que ta fiche ne peut pas être validée en l'état, le plagiat n'étant évidemment pas accepté sur le forum. Il te faudra donc faire preuve d'un peu d'imagination et écrire ta propre fiche si tu souhaites rejoindre l'aventure parmi nous. (Ou alors, si tu comptes plagier une autre fiche, évite de laisser l'ancien prénom, ça fait moins suspect.)
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