- Sayuri Koneko
Dresseur
Argent : 40
Expérience : 20
Région d'origine : Jotho
Âge : 21
Avatar : Kochou Shinobu
Tu sais que tu viens de Jotho quand...
Sayuri & Brigitta
Perlyc, la ville de campagne “Où il fait bon vivre” d’après la brochure de la région de Nérova. C’était le lieu où avait atterri la jeune femme en kimono. Même avec l’automne qui était déjà bien entamé, le temps était toujours très doux et le Soleil toujours au rendez-vous. Dès le matin, Sayuri pouvait profiter des rayons de l’astre solaire qui se baignaient sur mon corps. C’était le temps pour se balader après avoir quitté les quais de la gare de train. Même après dix heures, l’endroit n’était pas vraiment noire de monde, la prairie luxuriante non loin d’ici rappelait Jotho et ses nombreuses villes situées pour la plupart d’entre elles en pleine forêt.
Sayuri avait l’intention de se promener un peu avant d’aller entraîner son pokémon partenaire, qui en avait bien besoin. Très minutieuse, la femme s'occupait beaucoup plus d’elle-même que de son Mélofée et cela l’agaçait depuis quelques temps. Elle apprenait encore à connaître son pokémon et l’originaire de Jotho pouvait voir par là que Cosmos le Mélofée réclamait beaucoup d’attention. Restant cynique et se moquant de lui, elle lui rappela qu’elles étaient liées toutes les deux et que cela allait le rester tant qu’elle sera dans la région, pour le meilleur comme pour le pire le Mélofée accompagnera sa dresseuse dans toutes les situations.
Cherchant une auberge ou une maison de thé, elle s’est vite rappelée qu'à Nérova, on trouvait davantage de cafés qu’autre chose, surtout dans endroit très pittoresque comme Perlyc. Marchant donc avec ses okobos sur les rues pavées pour éviter de tâcher son magnifique kimono, elle surveillait de près son Mélofée qui savait se montrer un peu ronchon et affûtant la première bêtise qu’il ferait.
Et sa première bêtise ne tarda pas, en effet, puisque Cosmos le Mélofée, tel un enfant, se mit à suivre une jeune femme et son petit Germignon, on pouvait voir que le pokémon Fée souhaitait tirer la feuille du petit pokémon plante. Il y a des jours ou la dresseuse habillée de soie se demandait pourquoi elle avait adopté un Pokémon aussi espiègle qui cumulait à lui seul le quota de bêtises d’un enfant de sept ans. Cherchant la moindre occasion à faire l’andouille. De son plus beau sourire, Sayuri montra également une colère certaine à son pokémon.
Rapide, simple, efficace. Le pokémon fée adopta un visage bleui par la panique et la peur bouscula légèrement le pokémon feuille. Ne voulant aucun problème, la Soeur Kimono prit l’initiative d’aller à la rencontre du propriétaire du Germignon avant que ce dernier ne rouspète ou se sente en danger.
Soupirant un bon coup, sa colère envers Cosmos était passée, il fallait qu’elle parle pour se sentir mieux. Ne voulant pas gâcher une si belle matinée, elle s’approcha de son futur interlocuteur, qui après réflexion n’était pas désagréable à observer. Autant être sympathique, les émotions négatives ne lui auraient servi à rien ici.
Sayuri lâcha ensuite un léger rire juste après, elle voulait montrer que je n’étais plus du tout énervée contre son pokémon. Elle s’affichait donc de la même manière que le Soleil qui les illuminait toutes les deux, rayonnante.
Sayuri avait l’intention de se promener un peu avant d’aller entraîner son pokémon partenaire, qui en avait bien besoin. Très minutieuse, la femme s'occupait beaucoup plus d’elle-même que de son Mélofée et cela l’agaçait depuis quelques temps. Elle apprenait encore à connaître son pokémon et l’originaire de Jotho pouvait voir par là que Cosmos le Mélofée réclamait beaucoup d’attention. Restant cynique et se moquant de lui, elle lui rappela qu’elles étaient liées toutes les deux et que cela allait le rester tant qu’elle sera dans la région, pour le meilleur comme pour le pire le Mélofée accompagnera sa dresseuse dans toutes les situations.
Cherchant une auberge ou une maison de thé, elle s’est vite rappelée qu'à Nérova, on trouvait davantage de cafés qu’autre chose, surtout dans endroit très pittoresque comme Perlyc. Marchant donc avec ses okobos sur les rues pavées pour éviter de tâcher son magnifique kimono, elle surveillait de près son Mélofée qui savait se montrer un peu ronchon et affûtant la première bêtise qu’il ferait.
Et sa première bêtise ne tarda pas, en effet, puisque Cosmos le Mélofée, tel un enfant, se mit à suivre une jeune femme et son petit Germignon, on pouvait voir que le pokémon Fée souhaitait tirer la feuille du petit pokémon plante. Il y a des jours ou la dresseuse habillée de soie se demandait pourquoi elle avait adopté un Pokémon aussi espiègle qui cumulait à lui seul le quota de bêtises d’un enfant de sept ans. Cherchant la moindre occasion à faire l’andouille. De son plus beau sourire, Sayuri montra également une colère certaine à son pokémon.
- Mon cher Mélofée. Ton inaction serait appréciée.
Rapide, simple, efficace. Le pokémon fée adopta un visage bleui par la panique et la peur bouscula légèrement le pokémon feuille. Ne voulant aucun problème, la Soeur Kimono prit l’initiative d’aller à la rencontre du propriétaire du Germignon avant que ce dernier ne rouspète ou se sente en danger.
Soupirant un bon coup, sa colère envers Cosmos était passée, il fallait qu’elle parle pour se sentir mieux. Ne voulant pas gâcher une si belle matinée, elle s’approcha de son futur interlocuteur, qui après réflexion n’était pas désagréable à observer. Autant être sympathique, les émotions négatives ne lui auraient servi à rien ici.
- Pardonnez-moi de vous déranger, je viens vous présenter mes excuses au nom de mon pokémon qui cherchait à embêter votre partenaire à feuille. Soyez sûre que cela ne se reproduira pas. Puis-je vous offrir un thé si vous en trouvez le temps ?
Sayuri lâcha ensuite un léger rire juste après, elle voulait montrer que je n’étais plus du tout énervée contre son pokémon. Elle s’affichait donc de la même manière que le Soleil qui les illuminait toutes les deux, rayonnante.
Pelryc
Lyxiae
- Brigitta Thorne
Héroïne aux poings
Argent : 300
Expérience : 90
Région d'origine : Johto
Âge : Originalement 20 ans, physiquement 18 ans.
Avatar : OC - Pheberoni
...Nos habitudes nous trahissent, ou nos Pokémon.
Brigitta prend une grande respiration, la garde un instant avant de l'expulser lentement. En cette douce matinée, elle est assise en indien, à même le sol du vieux balcon et elle profite du lever de soleil en sirotant une tasse de café chaud. Le petit-déjeuner venait tout juste de terminer et elle venait de placer sa mère sur sa chaise berçante préférée. La femme a l'expression complètement vide, fixant silencieusement le paysage devant elle. Sinja, le Germignon de Brig vient les rejoindre et prend place proche de sa jeune maîtresse. L'une de ses lianes vient s'enrouler autour de l'avant-bras de l'humaine et le sert doucement dans un petit geste affectueux. La rouquine tourne la tête vers son jeune protégé, posant ses grands yeux clairs sur lui et lui sourit tendrement. « Bonjour Sinja. Tu as bien dormi ? » Pour toute réponse, le Germignon s'étire un peu et laisse échapper un petit cri de joie. Il était très visible, qu'il débordait d'énergie et que sous peu, il serait prêt pour leur promenade matinale. Peu de temps après leur arrivée à Perlyc, Brig avait pris l'habitude de sortir marcher ou courir un peu, amenant avec elle le Germignon qui avait pris goût à cette activité devenue routinière et si elle avait le malheur de ‘'l'oublier", Sinja se faisait un malin plaisir de lui rappeler.
Tout en terminant sa caféine liquide, elle soulève son grand corps et va porter sa tasse souillée au lavabo. Elle observe la vaisselle du déjeuner et après avoir soigneusement rincé sa tasse, se dit qu'elle la fera à son retour. Tandis que Sinja l'attend sur le perron avec sa mère, elle passe dans le long couloir pour se rendre à la salle de bain pour faire de rapide soin d'hygiène et monte au deuxième où se trouve sa chambre ainsi qu'une autre vacante, probablement pour les rares invités qu'elle pourrait recevoir. Celle de sa mère se trouvant au premier tour juste après la salle de bain au fond du couloir. Sans la moindre cérémonie de finesse, elle change ce qui lui sert de pyjama pour une paire de jeans usé aux genoux, une camisole noire et une chemise carotté noir et vert. Le vrai style d'une fille de campagne. Elle passe rapidement devant le miroir et essaye de donner un coup de peigne à sa tignasse sauvage avant d'abandonner et de leur concéder la victoire. Au moins, la tignasse désinvolte allait bien avec son style à elle.
Elle descend l'escalier assez rapidement, saute dans ses bottes de randonnée et elle retourne au balcon, où Sinja et Florenzia les attendent toujours. Elle se penche sur sa mère et l'embrasse tendrement sur le front en caressant un peu sa longue chevelure rousse qui commence à décolorer au niveau des tempes. « Je sors avec Sinja, on va aller faire notre marche quotidienne. Et après aller au marché général faire quelques commissions, l'aide-soignante devrait arriver sous peu. Je t'aime fort. » Lui murmure-t-elle avant de s'éloigner. Pendant une fraction de seconde, elle a l'impression de voir ses yeux, mais se dit qu'elle doit avoir rêvé devant la silhouette complètement mobile de sa génitrice. Elle retient le soupir amer qui cherche à sortir de sa gorge et elle s'éloigne rapidement avec Sinja sur les talons.
Après une longue marche qui lui procure une nouvelle paix intérieure, les pas rapides de la rouquine le guide enfin vers la place centrale du village. Toutefois, beaucoup trop distraite dans ses pensées, à faire une liste mentale de ce qu'elle doit faire et acheter avant de revenir, elle ne remarque pas immédiatement la nouvelle inconnue. Ce qui surprend grandement Sinja qui connaît le tempérament très observateur de sa compagne et entre nous, la demoiselle en magnifique kimono ne passe certainement pas inaperçu. « Bon, qu'est-ce que nous avons à faire, une épicerie, connaître un peu mieux les gens du coin, trouver du boulot ou devenir folle de solitude… Quoi d'autre… Je suis sûre d'oublier quelque chose. » Marmonne-t-elle pour elle-même. C'est à cet instant, que le Germignon se fait légèrement bousculer, mais suffisamment pour qu'il se cogne contre la jambe de Brigitta qui est un peu déstabilisée par la manœuvre.
« Sinja, qu'est-ce que j'ai dit pour essayer de rentrer dans mes bottes ? Tu es rendu trop vieux pour ça. » Chicane doucement Brig qui se retourne au même moment, pour découvrir le Mélofée qui ne vient certainement pas d'ici. Faussement outré, Sinja replace avec ses lianes, son petit foulard vert, aux lignes bleues foncés. Son regard clair, tombe sur le Mélofée qui n'est pas du coin et avant qu'elle ne puisse souffler un mot, une douce voix résonne, elle faisant enfin remarquer son interlocutrice exotique. « Oh, il ne faut pas s'en faire avec ça, un si petit accident et de toute façon, il faudrait beaucoup plus à Sinja pour l'embêter. Un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal parfois, il est pris avec moi à longueur de journée. » Dit-elle avec un grand sourire taquin. Au même moment, le Pokémon plante étire l'une de ses lianes pour venir saluer le Pokémon fée et lui sourire calmement. « Je vais avouer, que je ne vais pas refuser une offre aussi alléchante, dernièrement, la ville est plutôt tranquille et on s'ennuie un peu. Si vous voulez bien me suivre, je connais un chaleureux bistro qui offre café et thé de tous les goûts. » Glisse Brigitta en l'invitant à continuer à marcher.
« Je m'appelle Brigitta et vous ? » Lui demande-t-elle poliment. Elle lui aurait bien serré la main, mais elle avait peur de lui faire mal avec ses mains calleuses de fermière. Il fallait bien prendre le temps de se présenter, sinon la situation pourrait rapidement devenir gênante. Après avoir écouté poliment, elle ne peut pas s'empêcher de souligner un fait. « Si je peux me permettre… Vous n'êtes vraiment pas du coin, vous ne seriez pas originaire de Kanto, ou peut-être Johto ? Disons qu'avec votre accoutrement très traditionnel, vous me faites penser aux sœurs kimono, mais j'ai de la difficulté à croire qu'une figure de ses statuts serait ici sous mes yeux… » Glisse-t-elle dans un compliment. Brigitta avait toujours été fascinée par ses femmes de son pays, qui passaient leur vie à suivre d'anciennes coutumes.
Tout en terminant sa caféine liquide, elle soulève son grand corps et va porter sa tasse souillée au lavabo. Elle observe la vaisselle du déjeuner et après avoir soigneusement rincé sa tasse, se dit qu'elle la fera à son retour. Tandis que Sinja l'attend sur le perron avec sa mère, elle passe dans le long couloir pour se rendre à la salle de bain pour faire de rapide soin d'hygiène et monte au deuxième où se trouve sa chambre ainsi qu'une autre vacante, probablement pour les rares invités qu'elle pourrait recevoir. Celle de sa mère se trouvant au premier tour juste après la salle de bain au fond du couloir. Sans la moindre cérémonie de finesse, elle change ce qui lui sert de pyjama pour une paire de jeans usé aux genoux, une camisole noire et une chemise carotté noir et vert. Le vrai style d'une fille de campagne. Elle passe rapidement devant le miroir et essaye de donner un coup de peigne à sa tignasse sauvage avant d'abandonner et de leur concéder la victoire. Au moins, la tignasse désinvolte allait bien avec son style à elle.
Elle descend l'escalier assez rapidement, saute dans ses bottes de randonnée et elle retourne au balcon, où Sinja et Florenzia les attendent toujours. Elle se penche sur sa mère et l'embrasse tendrement sur le front en caressant un peu sa longue chevelure rousse qui commence à décolorer au niveau des tempes. « Je sors avec Sinja, on va aller faire notre marche quotidienne. Et après aller au marché général faire quelques commissions, l'aide-soignante devrait arriver sous peu. Je t'aime fort. » Lui murmure-t-elle avant de s'éloigner. Pendant une fraction de seconde, elle a l'impression de voir ses yeux, mais se dit qu'elle doit avoir rêvé devant la silhouette complètement mobile de sa génitrice. Elle retient le soupir amer qui cherche à sortir de sa gorge et elle s'éloigne rapidement avec Sinja sur les talons.
Après une longue marche qui lui procure une nouvelle paix intérieure, les pas rapides de la rouquine le guide enfin vers la place centrale du village. Toutefois, beaucoup trop distraite dans ses pensées, à faire une liste mentale de ce qu'elle doit faire et acheter avant de revenir, elle ne remarque pas immédiatement la nouvelle inconnue. Ce qui surprend grandement Sinja qui connaît le tempérament très observateur de sa compagne et entre nous, la demoiselle en magnifique kimono ne passe certainement pas inaperçu. « Bon, qu'est-ce que nous avons à faire, une épicerie, connaître un peu mieux les gens du coin, trouver du boulot ou devenir folle de solitude… Quoi d'autre… Je suis sûre d'oublier quelque chose. » Marmonne-t-elle pour elle-même. C'est à cet instant, que le Germignon se fait légèrement bousculer, mais suffisamment pour qu'il se cogne contre la jambe de Brigitta qui est un peu déstabilisée par la manœuvre.
« Sinja, qu'est-ce que j'ai dit pour essayer de rentrer dans mes bottes ? Tu es rendu trop vieux pour ça. » Chicane doucement Brig qui se retourne au même moment, pour découvrir le Mélofée qui ne vient certainement pas d'ici. Faussement outré, Sinja replace avec ses lianes, son petit foulard vert, aux lignes bleues foncés. Son regard clair, tombe sur le Mélofée qui n'est pas du coin et avant qu'elle ne puisse souffler un mot, une douce voix résonne, elle faisant enfin remarquer son interlocutrice exotique. « Oh, il ne faut pas s'en faire avec ça, un si petit accident et de toute façon, il faudrait beaucoup plus à Sinja pour l'embêter. Un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal parfois, il est pris avec moi à longueur de journée. » Dit-elle avec un grand sourire taquin. Au même moment, le Pokémon plante étire l'une de ses lianes pour venir saluer le Pokémon fée et lui sourire calmement. « Je vais avouer, que je ne vais pas refuser une offre aussi alléchante, dernièrement, la ville est plutôt tranquille et on s'ennuie un peu. Si vous voulez bien me suivre, je connais un chaleureux bistro qui offre café et thé de tous les goûts. » Glisse Brigitta en l'invitant à continuer à marcher.
« Je m'appelle Brigitta et vous ? » Lui demande-t-elle poliment. Elle lui aurait bien serré la main, mais elle avait peur de lui faire mal avec ses mains calleuses de fermière. Il fallait bien prendre le temps de se présenter, sinon la situation pourrait rapidement devenir gênante. Après avoir écouté poliment, elle ne peut pas s'empêcher de souligner un fait. « Si je peux me permettre… Vous n'êtes vraiment pas du coin, vous ne seriez pas originaire de Kanto, ou peut-être Johto ? Disons qu'avec votre accoutrement très traditionnel, vous me faites penser aux sœurs kimono, mais j'ai de la difficulté à croire qu'une figure de ses statuts serait ici sous mes yeux… » Glisse-t-elle dans un compliment. Brigitta avait toujours été fascinée par ses femmes de son pays, qui passaient leur vie à suivre d'anciennes coutumes.
Codage par Libella sur Graphiorum
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