- Elijah S. Mickaëlson
Nouveau venu
Argent : 0
Expérience : 0
Région d'origine : Kanto
Âge : 24ans
Avatar : Menma ― Naruto Shippuden (Road to Ninja)
Elijah Mickaëlson
24 ans
Kanto
Masculin
24 ans
Kanto
Masculin
N/A
Embrylex
Embrylex
Elijah et Embrylex sont fusionnels.
caractère
Érudit ― Avec un grand É.
Sa position au sein des dresseurs n’est pas le seul fruit du hasard. Il ne peut en être autrement pour celui qui est dit être un puit de savoir. Bien que l’organe soit fini, les connaissances n’atteignent aucune limite. « Tout savoir est le début de l’ignorance. », a-t-il vite compris. Savoir pour savoir est la seule noble chrématistique, n’y voyant aucun profit personnel, mais un seul intérêt commun. L’être, faillible en dépit de tout courage, est ralenti par cette peur nommée l’inconnu par les plus fiers. À chaque patrouille, les limites des mondes sont redessinées dans les manuscrits pour mettre des images sur les vides d’autrefois. Cette soif, ce désir, cette passion d’éclairer l’ombre vient du pouvoir conféré à l’érudit sur l’inepte. C’est d’ailleurs cette ligne de conduite qui le distingue des autres protagonistes, belliqueux, dont le Pokémon est la seule arme. Les rumeurs rapportent qu’il est capable de lever le mystère sur toutes interrogations, garant des mémoires de l'école. La guerre de la connaissance est cruciale pour la prospérité des siens. Transmettre l’est tout autant, les paroles s’envolent tandis que l’encre est pérenne et survivra aux âmes flottant dans le néant. Les lumières des anciens sont retranscrites par les écrits aux futurs générations dont la curiosité s’en abreuve comme du petit lait. Reste-t-il encore à encourager les jeunes dresseurs à se désaltérer des fluides savants émanant du puit.
Orateur ― La parole est plus rapide que l’assaut. Cette vitesse fait du mot une arme bien plus puissante que les Pokémons, qui se retrouve émoussée devant tant de fugacité. Le juste orateur est l’un des plus redoutables combattants, se jouant de l’esprit plutôt que du corps. Non besoin d’être brusque, violent, animal. Le Créateur a doué ses enfants de la raison qui les distingue des sans-âmes. Sa réputation de savant lui sert grandement pour répandre l’honnête parole, plaçant son interlocuteur dans une position de confiance naïve, aveugle. Arriver à ses fins par l’influence conférée par la bonne tournure permet toujours d’éviter une inutile confrontation, celle-ci se traduisant par l’usage du discours. Pas une once de noir n’entache ses pures pensées. Bien qu’il pourrait jouer de sa faculté à des fins fallacieuses, il préfère la transparence et la facilité du vocabulaire choisi à l’obscur discours cachant d’honteuses facéties. Il est couramment appeler en renfort, capable de résoudre l’épineux conflit par la douceur de la langue. Son nom et sa qualité en font un porte-parole de choix pour atténuer la violence de difficiles décisions. Sans doute que son éloquence est la plus précieuse pièce de son arsenal et explique grandement ses relations étroites avec une classe dont il n’est pas affilé.
Loyal ― La fierté est un bien précieux qui ne peut se conserver qu’en étant droit, avec soi-même, avec autrui. Prêter serment est un engagement qui se doit d’être sincère et inébranlable. Être loyal pour pouvoir se faire face avec honneur. Au-delà des modèles et de l’admiration, la droiture fait une âme. Changer d’allégeance est un crime qui recale la confiance d’un être au rang de ramas. La valeur du guerrier passe avant tout par sa foi immuable envers celui qu’il sert. L’ordre juste est toujours suivi à la lettre, le vassale ne pourrait désavouer le maître que pour le rendre meilleur. En effet, l’homme conscient se sait imparfait. De toute sa créance, le désaccord qui naît est aussitôt amoindri dans les limbes, à moins que ce dernier s’exprime pour le bien de celui qui le crée. Peu importe si la mort attend au bout du tunnel, la missive du monarque est régalienne.
Bienveillant ― Il pourrait être qualifié de naïf à vouloir faire le bien. Un nuage blanc, aussi doux et accueillant que l’on puisse l’imaginer dans le ciel. Un regard différent sur le monde qui l’entoure, sur les âmes qui l’habitent, bonnes ou mauvaises. Quand bien même son expérience de la vie lui ait appris que les créations de Dieu puissent être bien trop souvent malsaines, il accorde sa confiance à qui veut bien l’accepter. Gare néanmoins à celui qui la trahirait, au prix de ne plus la revoir. Malveillance est fille de complexe. Le Créateur n’aurait jamais engendré d’âmes mauvaises par essence, le mal empoisonne leur cœur et est alimenté par les péchés : l’envie, la gourmandise, l’avarice. Le Savant est de ceux dont les chairs sont immunisées contre ces maux et est capable de cautériser les cicatrices laissées par ces mesquines transgressions. La bienveillance passe avant tout par le pardon si le repentir est sincère. Toujours voir le bien en chacun et faire de mieux pour lui permettre de s’accomplir dans la lumière plutôt que le laisser s’asphyxier par l’attraction des ténèbres.
Magnanime ― Bienveillant, certes, mais avant tout avec les plus faibles. Il est évident que le futur se prépare et sera porté par les jeunes de cette époque. Pourquoi enfoncer le maladroit avorton dans la fange, alors que lui prêter sa main pour s’en extirper est un acte louable. Tao est un soldat qui fait d’abord le don de lui-même aux autres avant de le faire pour soi. Qui sait ? Un jour viendra peut-être où il aura sûrement besoin d’un plus petit. Le lion en cage n’avait-il pas eu besoin de l’assistance du rat auparavant épargné de ses crocs et de son appétit royale ? Après tout, longueur de temps fait plus que force ni que rage. Le livre de la destinée rend souvent la monnaie des pièces jetées et la gentillesse du guerrier ne pourra qui lui rapporter un somptueux pécu.
Sa position au sein des dresseurs n’est pas le seul fruit du hasard. Il ne peut en être autrement pour celui qui est dit être un puit de savoir. Bien que l’organe soit fini, les connaissances n’atteignent aucune limite. « Tout savoir est le début de l’ignorance. », a-t-il vite compris. Savoir pour savoir est la seule noble chrématistique, n’y voyant aucun profit personnel, mais un seul intérêt commun. L’être, faillible en dépit de tout courage, est ralenti par cette peur nommée l’inconnu par les plus fiers. À chaque patrouille, les limites des mondes sont redessinées dans les manuscrits pour mettre des images sur les vides d’autrefois. Cette soif, ce désir, cette passion d’éclairer l’ombre vient du pouvoir conféré à l’érudit sur l’inepte. C’est d’ailleurs cette ligne de conduite qui le distingue des autres protagonistes, belliqueux, dont le Pokémon est la seule arme. Les rumeurs rapportent qu’il est capable de lever le mystère sur toutes interrogations, garant des mémoires de l'école. La guerre de la connaissance est cruciale pour la prospérité des siens. Transmettre l’est tout autant, les paroles s’envolent tandis que l’encre est pérenne et survivra aux âmes flottant dans le néant. Les lumières des anciens sont retranscrites par les écrits aux futurs générations dont la curiosité s’en abreuve comme du petit lait. Reste-t-il encore à encourager les jeunes dresseurs à se désaltérer des fluides savants émanant du puit.
Orateur ― La parole est plus rapide que l’assaut. Cette vitesse fait du mot une arme bien plus puissante que les Pokémons, qui se retrouve émoussée devant tant de fugacité. Le juste orateur est l’un des plus redoutables combattants, se jouant de l’esprit plutôt que du corps. Non besoin d’être brusque, violent, animal. Le Créateur a doué ses enfants de la raison qui les distingue des sans-âmes. Sa réputation de savant lui sert grandement pour répandre l’honnête parole, plaçant son interlocuteur dans une position de confiance naïve, aveugle. Arriver à ses fins par l’influence conférée par la bonne tournure permet toujours d’éviter une inutile confrontation, celle-ci se traduisant par l’usage du discours. Pas une once de noir n’entache ses pures pensées. Bien qu’il pourrait jouer de sa faculté à des fins fallacieuses, il préfère la transparence et la facilité du vocabulaire choisi à l’obscur discours cachant d’honteuses facéties. Il est couramment appeler en renfort, capable de résoudre l’épineux conflit par la douceur de la langue. Son nom et sa qualité en font un porte-parole de choix pour atténuer la violence de difficiles décisions. Sans doute que son éloquence est la plus précieuse pièce de son arsenal et explique grandement ses relations étroites avec une classe dont il n’est pas affilé.
Loyal ― La fierté est un bien précieux qui ne peut se conserver qu’en étant droit, avec soi-même, avec autrui. Prêter serment est un engagement qui se doit d’être sincère et inébranlable. Être loyal pour pouvoir se faire face avec honneur. Au-delà des modèles et de l’admiration, la droiture fait une âme. Changer d’allégeance est un crime qui recale la confiance d’un être au rang de ramas. La valeur du guerrier passe avant tout par sa foi immuable envers celui qu’il sert. L’ordre juste est toujours suivi à la lettre, le vassale ne pourrait désavouer le maître que pour le rendre meilleur. En effet, l’homme conscient se sait imparfait. De toute sa créance, le désaccord qui naît est aussitôt amoindri dans les limbes, à moins que ce dernier s’exprime pour le bien de celui qui le crée. Peu importe si la mort attend au bout du tunnel, la missive du monarque est régalienne.
Bienveillant ― Il pourrait être qualifié de naïf à vouloir faire le bien. Un nuage blanc, aussi doux et accueillant que l’on puisse l’imaginer dans le ciel. Un regard différent sur le monde qui l’entoure, sur les âmes qui l’habitent, bonnes ou mauvaises. Quand bien même son expérience de la vie lui ait appris que les créations de Dieu puissent être bien trop souvent malsaines, il accorde sa confiance à qui veut bien l’accepter. Gare néanmoins à celui qui la trahirait, au prix de ne plus la revoir. Malveillance est fille de complexe. Le Créateur n’aurait jamais engendré d’âmes mauvaises par essence, le mal empoisonne leur cœur et est alimenté par les péchés : l’envie, la gourmandise, l’avarice. Le Savant est de ceux dont les chairs sont immunisées contre ces maux et est capable de cautériser les cicatrices laissées par ces mesquines transgressions. La bienveillance passe avant tout par le pardon si le repentir est sincère. Toujours voir le bien en chacun et faire de mieux pour lui permettre de s’accomplir dans la lumière plutôt que le laisser s’asphyxier par l’attraction des ténèbres.
Magnanime ― Bienveillant, certes, mais avant tout avec les plus faibles. Il est évident que le futur se prépare et sera porté par les jeunes de cette époque. Pourquoi enfoncer le maladroit avorton dans la fange, alors que lui prêter sa main pour s’en extirper est un acte louable. Tao est un soldat qui fait d’abord le don de lui-même aux autres avant de le faire pour soi. Qui sait ? Un jour viendra peut-être où il aura sûrement besoin d’un plus petit. Le lion en cage n’avait-il pas eu besoin de l’assistance du rat auparavant épargné de ses crocs et de son appétit royale ? Après tout, longueur de temps fait plus que force ni que rage. Le livre de la destinée rend souvent la monnaie des pièces jetées et la gentillesse du guerrier ne pourra qui lui rapporter un somptueux pécu.
histoire
Aîné de deux autres enfants, Elijah est la progéniture d’une mère au même caractère que lui et d’un père encore inconnu pour lui. Ayant grandi dans un foyer aimant et sans trop de problèmes apparents, il fut bien évidemment envoûté par les Pokémons de ce monde. Leur pouvoir était des plus complexes à prendre en main, la coordination entre le cerveau humain et le leur se devaient d’être supervisée par un entraînement spécial, ce fut donc sa génitrice qui s’occupa de lui. L’aider à mieux appréhender la chose, comment bien gérer sa vision des choses ainsi que les Pokémons - brutales ou non - de cette dernière. Étant de nature timide et assez réservé à la base, le jeune garçon fit néanmoins son possible pour se démarquer à l’aide de ce qu’il avait hérité de sa mère. De manière générale, il arrivait toujours à avoir des résultats scolaires bien au-dessus de la moyenne dans la plupart des domaines nécessitant l’usage de sa matière grise de façon prédominante. Les faits précédemment évoqués l’ont mené à passer les tests nécessaires et redoutés de l’école, celle qui formait les dresseurs de demain. Rapide et vif, il arriva premier aux tests de théorie et se débrouilla comme il le put durant les combats. Conclusion de ces derniers : il ne fut perdant qu’une fois à cause de son manque de patience. Ses performances avaient visiblement plu aux responsables de l'école, car sa candidature fut définitivement acceptée et c’est en première année qu’il allait donc commencer sa formation. Fierté de ses parents, ou plutôt de sa génitrice, cette dernière encouragèrent leurs autres enfants à faire de même et à œuvrer pour la paix, la justice, le bien en somme.
Durant sa première année, nul doute que Elijah n’éprouva que peu de difficulté en premier lieu. Après tout, il avait reçu une formation qu’il considérait comme draconienne de la part de celle qui l’avait mis au monde. Or, il n’en était rien. La rigueur de l’académie de renom le rattrapa bien vite et c’est une toute autre vision du monde et de son propre apprentissage qui lui fut proposé. Jusqu’alors, la seule maîtrise de son intelligence avait compté. Ici, le blanc-bec apprit à combattre, à s’adapter à son environnement mais aussi et surtout : à respecter les ordres donnés par une hiérarchie. Bien qu’étant introverti, le jeune homme lui arrivait bien souvent d’être une sacrée tête de mule. Borné, si il se mettait quelque chose en tête, rien à faire, il le ferait et ce, sans réserve. S’ouvrir un peu plus aux autres, être un peu plus docile et devenir meilleur. Les défis à relever pour sa première année n’ont pu être réussis que grâce au fait qu’il côtoyait alors des personnes avec un savoir exceptionnel et qu’ils voyaient aussi les héros comme des idoles - contrairement à beaucoup d’autres au sein d’une école publique. Bien que cela puisse sembler insignifiant aux yeux du plus grand nombre, cela avait son importance pour lui. Cela l’avait aidé à prendre confiance en lui-même, en ses capacités et même les autres. Certes l'école avait la réputation d’être très demandeur, voire sévère, mais les rencontres et la mentalité en son sein étaient complètement différentes de l’endroit d’où il venait et cela ne pouvait qu’être bon pour son épanouissement.
En ce qui concerne la deuxième année, ce fut celle de tous les risques. Aussi, c’est tout naturellement qu’il participa à de nombreux stages dans chacune des trois agences de héros. Pourquoi en choisir une différente à chaque fois ? Tout simplement car il voulait s’assurer de choisir la bonne voie, de réellement se rendre compte de ce qui l’intéressait le plus. Ses capacités intéressèrent naturellement les trois agences. En effet, son intelligence est un atout de taille. Bien entendu, il n’était pas unique ou ne sortait pas spécialement du lot. Il y en avait d’autres, des éléments prometteurs. Mais tout cela le motivait à devenir meilleur encore, à se surpasser, à se surclasser dans les résultats à fournir. Devenir le numéro un du classement à l’école, c’était devenu son but.
Elijah avait bien ses domaines de prédilection, mais si on les prenait tous sans distinction, il n’arrivait pas à être premier. Qu’à cela ne tienne, il était au moins celui qui allait le plus vite. Aussi, les divers événements qu’avaient organisé l'école tel les tournois ou autres lui avaient permis d’asseoir sa position de détenteur d'une maitrise qui donne envie. Ceci est surtout vrai pour les personnes n’ayant que peu d’expérience dans les combats ou n’ayant que peu de connaissances en sciences des Pokémons. C’est durant cette période qu’il devint complètement plus joueur et qu’il commença à ne prendre plus grand chose au sérieux - en apparence seulement -, faisant alors croire que tout allait bien dans le meilleur des mondes en toutes circonstances. Et fatalement, il dû choisir une agence à rejoindre à la fin de sa promotion. Ce choix qui le taraudait déjà l’année d’avant, le voilà qu’il se présentait à lui tel un mur qu’il ne pourrait franchir.
Ses débuts au sein des dresseurs furent en sommes toutes tranquilles. Quand il n’y avait pas d’urgence, des interventions classique de héros étaient de mises. La plupart de son temps libre, il le passait à papillonner ou alors à jouer à cultiver sa cervelle. Evidemment, il se devait de respecter un certain emploi du temps qui l’obligeait aussi à s’entraîner, à perfectionner sa maîtrise de son alter. Durant les premières années, il dû aussi se résoudre à devenir encore plus rigoureux que durant ses années à l'institution des dresseurs. Après tout, on parlait à présent de vies humaines et de sauvetages durant des situations nécessitant l’intervention de héros, ce n’est pas rien. Les échecs qu’il essuya en premier lieu furent liés à sa manie de tout prendre à la légère mais aussi la trop grande confiance qu’il accordait aux autres. C’est durant cette période qu’il se mit à tout le temps réfléchir, analyser sans cesse les situations dans lesquelles il était dorénavant fourré mais aussi qu’il commença à beaucoup moins compter sur les autres. Le garçon sait compter sur les autres mais à force de s’appuyer sur le vide, on finit inéluctablement à tomber par terre. Gagnant en maturité, c’est sans nul doute les années qui lui auront apportés le plus important pour un adulte. Être moins naïf et être plus alerte, des qualités que l’on demanderait sans doute à tout dresseurs. Ce que l'audience retient d'Elijah durant son temps passé à opérer dans l'agence est qu'il ne portait pas spécialement d'uniforme ou de costume. Toujours un manteau noir à fourrure traditionnel.
Durant sa première année, nul doute que Elijah n’éprouva que peu de difficulté en premier lieu. Après tout, il avait reçu une formation qu’il considérait comme draconienne de la part de celle qui l’avait mis au monde. Or, il n’en était rien. La rigueur de l’académie de renom le rattrapa bien vite et c’est une toute autre vision du monde et de son propre apprentissage qui lui fut proposé. Jusqu’alors, la seule maîtrise de son intelligence avait compté. Ici, le blanc-bec apprit à combattre, à s’adapter à son environnement mais aussi et surtout : à respecter les ordres donnés par une hiérarchie. Bien qu’étant introverti, le jeune homme lui arrivait bien souvent d’être une sacrée tête de mule. Borné, si il se mettait quelque chose en tête, rien à faire, il le ferait et ce, sans réserve. S’ouvrir un peu plus aux autres, être un peu plus docile et devenir meilleur. Les défis à relever pour sa première année n’ont pu être réussis que grâce au fait qu’il côtoyait alors des personnes avec un savoir exceptionnel et qu’ils voyaient aussi les héros comme des idoles - contrairement à beaucoup d’autres au sein d’une école publique. Bien que cela puisse sembler insignifiant aux yeux du plus grand nombre, cela avait son importance pour lui. Cela l’avait aidé à prendre confiance en lui-même, en ses capacités et même les autres. Certes l'école avait la réputation d’être très demandeur, voire sévère, mais les rencontres et la mentalité en son sein étaient complètement différentes de l’endroit d’où il venait et cela ne pouvait qu’être bon pour son épanouissement.
En ce qui concerne la deuxième année, ce fut celle de tous les risques. Aussi, c’est tout naturellement qu’il participa à de nombreux stages dans chacune des trois agences de héros. Pourquoi en choisir une différente à chaque fois ? Tout simplement car il voulait s’assurer de choisir la bonne voie, de réellement se rendre compte de ce qui l’intéressait le plus. Ses capacités intéressèrent naturellement les trois agences. En effet, son intelligence est un atout de taille. Bien entendu, il n’était pas unique ou ne sortait pas spécialement du lot. Il y en avait d’autres, des éléments prometteurs. Mais tout cela le motivait à devenir meilleur encore, à se surpasser, à se surclasser dans les résultats à fournir. Devenir le numéro un du classement à l’école, c’était devenu son but.
Elijah avait bien ses domaines de prédilection, mais si on les prenait tous sans distinction, il n’arrivait pas à être premier. Qu’à cela ne tienne, il était au moins celui qui allait le plus vite. Aussi, les divers événements qu’avaient organisé l'école tel les tournois ou autres lui avaient permis d’asseoir sa position de détenteur d'une maitrise qui donne envie. Ceci est surtout vrai pour les personnes n’ayant que peu d’expérience dans les combats ou n’ayant que peu de connaissances en sciences des Pokémons. C’est durant cette période qu’il devint complètement plus joueur et qu’il commença à ne prendre plus grand chose au sérieux - en apparence seulement -, faisant alors croire que tout allait bien dans le meilleur des mondes en toutes circonstances. Et fatalement, il dû choisir une agence à rejoindre à la fin de sa promotion. Ce choix qui le taraudait déjà l’année d’avant, le voilà qu’il se présentait à lui tel un mur qu’il ne pourrait franchir.
Ses débuts au sein des dresseurs furent en sommes toutes tranquilles. Quand il n’y avait pas d’urgence, des interventions classique de héros étaient de mises. La plupart de son temps libre, il le passait à papillonner ou alors à jouer à cultiver sa cervelle. Evidemment, il se devait de respecter un certain emploi du temps qui l’obligeait aussi à s’entraîner, à perfectionner sa maîtrise de son alter. Durant les premières années, il dû aussi se résoudre à devenir encore plus rigoureux que durant ses années à l'institution des dresseurs. Après tout, on parlait à présent de vies humaines et de sauvetages durant des situations nécessitant l’intervention de héros, ce n’est pas rien. Les échecs qu’il essuya en premier lieu furent liés à sa manie de tout prendre à la légère mais aussi la trop grande confiance qu’il accordait aux autres. C’est durant cette période qu’il se mit à tout le temps réfléchir, analyser sans cesse les situations dans lesquelles il était dorénavant fourré mais aussi qu’il commença à beaucoup moins compter sur les autres. Le garçon sait compter sur les autres mais à force de s’appuyer sur le vide, on finit inéluctablement à tomber par terre. Gagnant en maturité, c’est sans nul doute les années qui lui auront apportés le plus important pour un adulte. Être moins naïf et être plus alerte, des qualités que l’on demanderait sans doute à tout dresseurs. Ce que l'audience retient d'Elijah durant son temps passé à opérer dans l'agence est qu'il ne portait pas spécialement d'uniforme ou de costume. Toujours un manteau noir à fourrure traditionnel.
N/1Menma ― Naruto Shippuden (Road to Ninja)
QLF !
- Noctis Flavelle
Insomniaque
Argent : 100
Expérience : 90
Région d'origine : Nérova
Âge : 22 ans
Avatar : Ayer (Granblue Fantasy)
Bonjour à toi !
Je suis désolé, mais je ne peux pas te valider en l'état. Ta fiche est un clairement un copié/collé d'une fiche d'un forum RP My Hero Academia, en tout cas pour la partie histoire. (Plus exactement, de cette fiche). Ce n'est pas possible. J'ignore qui plus est si la fiche t'appartient ou si tu l'as copié. Je te demanderais donc une réécriture de la fiche. Le contexte n'est juste pas compatible avec le forum actuel, et qui plus est le personnage actuel présente si peu de défauts que cela devient problématique. A savoir que je n'ai pas de problèmes si tu souhaites développer ces défauts en RP, mais je ne connais pas tes intentions à ce sujet. Voilà. Je reste tout de même à ta disposition si tu as des questions ou autre.
Je suis désolé, mais je ne peux pas te valider en l'état. Ta fiche est un clairement un copié/collé d'une fiche d'un forum RP My Hero Academia, en tout cas pour la partie histoire. (Plus exactement, de cette fiche). Ce n'est pas possible. J'ignore qui plus est si la fiche t'appartient ou si tu l'as copié. Je te demanderais donc une réécriture de la fiche. Le contexte n'est juste pas compatible avec le forum actuel, et qui plus est le personnage actuel présente si peu de défauts que cela devient problématique. A savoir que je n'ai pas de problèmes si tu souhaites développer ces défauts en RP, mais je ne connais pas tes intentions à ce sujet. Voilà. Je reste tout de même à ta disposition si tu as des questions ou autre.
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