- Isara Davies
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Argent : 185
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Région d'origine : nérova
Âge : vingt-quatre ans
Avatar : tohsaka rin (fate)
Le travail ne s’arrête jamais, même lorsque tu n’es pas placée à quelques pas derrière le Sénateur Collingwood. Tu as souvent des dossiers à préparer, un agenda à tenir ou tu ne sais trop quoi. Ce n’est pas pour rien que tes parents ont décidé de te proposer comme assistante, c’est parce qu’ils savaient que ça allait te tenir suffisamment occupée. Et c’est bien le cas, peut-être aussi parce que tu n’acceptes pas de rendre quelque chose qui n’est pas parfaitement réalisé. Des détails, des post-it pour annoter les informations fondamentales, bref, tu te donnes tout particulièrement à la tâche quand bien même ce n’est pas ce qui t’intéresse le plus. C’est juste une question de principe, de dévotion pour le sérieux. C’est probablement un soucis de plaire aussi, même si ce n’est qu’à un employeur.
Et c’est ce qui explique ta présence devant le domicile du sénateur en cette belle journée du weekend. Tu ne devrais pas travailler en principe, mais tu sais que ton supérieur a une rencontre en début de semaine sur un sujet pointilleux, le genre qu’il vaut mieux préparer à l’avance. Tu t’étais donc penchée sur la question pendant une bonne partie de la nuit pour pouvoir présenter un bref rapport. Et puisque tu es la meilleure assistante qui soit (ou pas), tu te dévoues pour aller le lui porter le weekend.
Comme à ton habitude, tu entres sans cérémonie avec la clé qui t’a été confiée pour faciliter ce genre de visiter et te diriges directement vers le bureau du sénateur. T’aurais voulu lui parler, ne serait-ce que parce que tu aurais pu lui rappeler l’urgence du dossier, mais il ne semble pas être dans les parages. Tu déposes la petite pile de papiers, rapport sur le dessus, bien en évidence sur le secrétaire massif avant de ressortir. Par soucis de diligence, tu t’approches d’un salon où il s’installe souvent et demande : « Sénateur Collingwood ? » Ta douce voix tranche avec l’apparent silence (ou presque) de la demeure. Bon, tant pis, il ne devait vraiment pas être là. Tu pourras toujours l’appeler en fin de soirée pour repasser les points importants avec lui. Tu reprends donc la direction de la sortie, comptant t’éclipser sans plus de cérémonie, ce que tu considères être un must pour une bonne assistante lorsqu’une tête familière attire ton attention. « River ? » La fille du patron au départ, une bonne - pour ne pas dire la meilleure - amie à présent. « Je ne m’attendais pas à te voir ici. » Doux sourire alors que tu t’avances vers elle. C’est une agréable surprise, avouons-le.
Et c’est ce qui explique ta présence devant le domicile du sénateur en cette belle journée du weekend. Tu ne devrais pas travailler en principe, mais tu sais que ton supérieur a une rencontre en début de semaine sur un sujet pointilleux, le genre qu’il vaut mieux préparer à l’avance. Tu t’étais donc penchée sur la question pendant une bonne partie de la nuit pour pouvoir présenter un bref rapport. Et puisque tu es la meilleure assistante qui soit (ou pas), tu te dévoues pour aller le lui porter le weekend.
Comme à ton habitude, tu entres sans cérémonie avec la clé qui t’a été confiée pour faciliter ce genre de visiter et te diriges directement vers le bureau du sénateur. T’aurais voulu lui parler, ne serait-ce que parce que tu aurais pu lui rappeler l’urgence du dossier, mais il ne semble pas être dans les parages. Tu déposes la petite pile de papiers, rapport sur le dessus, bien en évidence sur le secrétaire massif avant de ressortir. Par soucis de diligence, tu t’approches d’un salon où il s’installe souvent et demande : « Sénateur Collingwood ? » Ta douce voix tranche avec l’apparent silence (ou presque) de la demeure. Bon, tant pis, il ne devait vraiment pas être là. Tu pourras toujours l’appeler en fin de soirée pour repasser les points importants avec lui. Tu reprends donc la direction de la sortie, comptant t’éclipser sans plus de cérémonie, ce que tu considères être un must pour une bonne assistante lorsqu’une tête familière attire ton attention. « River ? » La fille du patron au départ, une bonne - pour ne pas dire la meilleure - amie à présent. « Je ne m’attendais pas à te voir ici. » Doux sourire alors que tu t’avances vers elle. C’est une agréable surprise, avouons-le.
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by Lyxiae
- River C. Shelby
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River Shelby & Isara Davies
De passage à Caelum, tu le savais que ce n’était pas une bonne idée et, pourtant, tu avais accepté l’invitation. Au final, tu t’étais de nouveau prise la tête avec ton père et lui était donc allé seul à son rendez-vous soi-disant important alors que toi, tu avais décidé de rester à la maison. Tu aurais pu rentrer chez toi, retrouver Nathan, mais tu espérais presque pouvoir avoir une discussion calme avec ton père une fois qu’il serait rentré. Sans doute était-ce futile, sûrement très naïf, mais tu espérais sincèrement qu’il puisse un jour accepté les choix que tu avais fait : ceux qui te rendaient heureuse. Tu ne lui demandais pas l’impossible, simplement de se comporter avec toi comme un père devrait le faire.
Affalée sur un sofa, ton téléphone entre les mains, tu perdais ton temps plus qu’autre chose, Jenna assise sur ton ventre à jeter des coups d’oeil à ton écran. Elle releva toutefois la tête, intriguée, en entendant la porte s’ouvrir. De toute évidence, ce n’était pas ton père. Devrais-tu t’en inquiéter ? Non, pas particulièrement, ne serait-ce que parce qu’un nom te traversera l’esprit. Isara. Tu le savais qu’elle possédait la clé de la demeure et sans doute était-elle de passage pour déposer quoi que ce soit dans son bureau. Il n’y avait bien qu’elle pour passer une journée de week-end, ce qui te déprimerait presque. Elle bossait beaucoup trop pour ce que méritait ton père.
C’est pour ça que tu te lèves donc pour croiser sa route. Tu as décidé (pour elle) que, pour aujourd’hui, elle en avait assez fait. Jenna sur les talons, tu lui adressas un franc sourire lorsqu’elle s’arrêta devant toi avant de simplement attraper son poignet pour la tirer à ta suite. Cela faisait quelques années que tu la connaissais et vous vous étiez sûrement rapprochées davantage lorsque vous aviez réalisé que vous aviez une connaissance commune : Nathan.
- Moi non plus, c’est le week-end. Tu es supposée te reposer, pas travailler encore plus. Alors, c’est ce qu’on va faire.
Bon, ça ne serait peut-être pas reposant, mais l’idée était là. Tu lui décrochas ton plus beau sourire, celui presque innocent qui sous-entendait qu’elle n’avait pas le choix. Tu avais rappelé Jenna dans sa pokéball, pour faciliter vos déplacements et tu verrouillas la porte avant de t’éloigner de la demeure. Isara venait de tomber à pic, elle t’éviterait sans doute de bouillir de l’intérieur jusqu’à ce que ton père daigne rentrer.
- Tu veux faire quoi ? Un ciné’ ? Un resto’ ? On peut aller faire les boutiques. Ohhh, on peut peut-être sinon aller au spa, je suis certaine que tu as besoin de te détendre !
Tu énonçais quelques idées avec un enthousiasme renouvelé.
- Ouai, le spa, ça peut être pas mal. Mais les boutiques avant, il te faut un maillot.
Tu pianotas sur ton NéroVID une adresse qui te vint en tête, là où tu allais généralement lorsque tu avais besoin d’un nouveau maillot de bain. Non pas que tu en avais réellement besoin, des vêtements, tu en avais définitivement plus que nécessaire, mais tu aimais la nouveauté.
- Et sinon, hormis le travail, qu’as-tu à raconter de bon ?
Autant prendre de ses nouvelles alors que tu t’occupais à vous appeler un taxi. Ce serait plus facile pour les déplacements. Oh, tu avais ton permis, toutefois, ta voiture était restée à Alnora comme tu venais généralement ici par train. Ou avec l’un des chauffeurs de ton père, cela dépendait de tes envies.
Affalée sur un sofa, ton téléphone entre les mains, tu perdais ton temps plus qu’autre chose, Jenna assise sur ton ventre à jeter des coups d’oeil à ton écran. Elle releva toutefois la tête, intriguée, en entendant la porte s’ouvrir. De toute évidence, ce n’était pas ton père. Devrais-tu t’en inquiéter ? Non, pas particulièrement, ne serait-ce que parce qu’un nom te traversera l’esprit. Isara. Tu le savais qu’elle possédait la clé de la demeure et sans doute était-elle de passage pour déposer quoi que ce soit dans son bureau. Il n’y avait bien qu’elle pour passer une journée de week-end, ce qui te déprimerait presque. Elle bossait beaucoup trop pour ce que méritait ton père.
C’est pour ça que tu te lèves donc pour croiser sa route. Tu as décidé (pour elle) que, pour aujourd’hui, elle en avait assez fait. Jenna sur les talons, tu lui adressas un franc sourire lorsqu’elle s’arrêta devant toi avant de simplement attraper son poignet pour la tirer à ta suite. Cela faisait quelques années que tu la connaissais et vous vous étiez sûrement rapprochées davantage lorsque vous aviez réalisé que vous aviez une connaissance commune : Nathan.
- Moi non plus, c’est le week-end. Tu es supposée te reposer, pas travailler encore plus. Alors, c’est ce qu’on va faire.
Bon, ça ne serait peut-être pas reposant, mais l’idée était là. Tu lui décrochas ton plus beau sourire, celui presque innocent qui sous-entendait qu’elle n’avait pas le choix. Tu avais rappelé Jenna dans sa pokéball, pour faciliter vos déplacements et tu verrouillas la porte avant de t’éloigner de la demeure. Isara venait de tomber à pic, elle t’éviterait sans doute de bouillir de l’intérieur jusqu’à ce que ton père daigne rentrer.
- Tu veux faire quoi ? Un ciné’ ? Un resto’ ? On peut aller faire les boutiques. Ohhh, on peut peut-être sinon aller au spa, je suis certaine que tu as besoin de te détendre !
Tu énonçais quelques idées avec un enthousiasme renouvelé.
- Ouai, le spa, ça peut être pas mal. Mais les boutiques avant, il te faut un maillot.
Tu pianotas sur ton NéroVID une adresse qui te vint en tête, là où tu allais généralement lorsque tu avais besoin d’un nouveau maillot de bain. Non pas que tu en avais réellement besoin, des vêtements, tu en avais définitivement plus que nécessaire, mais tu aimais la nouveauté.
- Et sinon, hormis le travail, qu’as-tu à raconter de bon ?
Autant prendre de ses nouvelles alors que tu t’occupais à vous appeler un taxi. Ce serait plus facile pour les déplacements. Oh, tu avais ton permis, toutefois, ta voiture était restée à Alnora comme tu venais généralement ici par train. Ou avec l’un des chauffeurs de ton père, cela dépendait de tes envies.
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La réponse de River ne te surprend pas le moins du monde (contrairement à sa présence dans le domicile de son paternel). Tu te laisses trainer, consciente que résister ne ne t’aiderait en rien. À ses dires, t’esquisses un petit sourire gêné. Tu ne sais pas trop quoi répondre au reproche qu’elle te fait. Tu sais qu’elle a raison, mais ça t’empêchera sans doute pas de revenir un autre weekend si le besoin se faisait sentir. Elle le sait probablement alors pourquoi le cacher. « C’était quelque chose pour lundi, il fallait bien que je lui amène le dossier. » Tu trouverais toujours une excuse pour ce genre de chose, c’est plus fort que toi. Comme River se permettait de t’imposer un planning pour ta journée. Non pas que ça te dérange, mais tu te doutes que ce ne sera pas si reposant, surtout lorsqu’elle te fait de multiples propositions.
Celle sur laquelle elle s’arrête n’est pas la pire du lot, loin de là, mais tu te doutes que ce ne sera pas aussi simple que ça. Et tu vises juste lorsqu’elle parle de t’acheter un maillot de bain. « Tu sais je dois bien en avoir un quelque part. » Ou pas, t’en sais trop rien à vrai dire. C’est pas comme si tu allais souvent à des endroits qui nécessitent un maillot de bain. La dernière fois que tu es allée à la plage… ça remontait à beaucoup trop longtemps pour que tu puisses seulement t’en rappeler. « Mais j’imagine qu’il ne serait pas à ton goût. » C’est même assez certain considérant que tu as du l’acheter des années auparavant, si seulement t’es capable de le retrouver. Ouais peut-être qu’il vaut mieux que tu en achètes un autre avec River. Tu t’y résignes un peu, consciente que tu n’as pas le choix de toute façon. C’est souvent comme ça avec River et c’est pas plus mal, ça te fait sortir de ta bulle.
Tu te laisses donc mener par ton amie qui choisit sans doute l’endroit où vous allez aller. À la question qu’elle te pose, tu ne peux qu’hausser doucement les épaules. « Oh tu sais la routine. Je passe la majorité de mes soirées à avancer dans le travail ou pour rattraper des séries. » Une vie palpitante, nous en conviendrons, mais ça, c’était l’évidence même alors tu supposes que River s’en doutait. Tu réfléchis un moment avant de t’exclamer : « Oh, Odin a pris un peu de poids aussi. » Franchement l’information la plus capitale qui soit, mais tu tiens tout de même à l’illustrer en sortant ton Pokémon de sa Pokéball et le soulever pour le petit bedon qu’il commence à avoir. Tu supposes qu’il emmagasine de l’énergie pour une éventuelle évolution ou c’est que tu le nourris trop. L’Otaquin n’est pas très heureux que tu l’affiches ainsi, mais tu ne t’y attardes pas. « Et toi ? Tu dois avoir des histoires à me raconter. Qu’est-ce que tu fais ici par exemple ? » C’est plus simple de retourner la question à River, parce que tu sais qu’elle aura quelque chose d’intéressant à te raconter. C’est peut-être le signe qu’il faudrait que tu fasses des efforts pour rendre ta vie un peu plus piquante.
Celle sur laquelle elle s’arrête n’est pas la pire du lot, loin de là, mais tu te doutes que ce ne sera pas aussi simple que ça. Et tu vises juste lorsqu’elle parle de t’acheter un maillot de bain. « Tu sais je dois bien en avoir un quelque part. » Ou pas, t’en sais trop rien à vrai dire. C’est pas comme si tu allais souvent à des endroits qui nécessitent un maillot de bain. La dernière fois que tu es allée à la plage… ça remontait à beaucoup trop longtemps pour que tu puisses seulement t’en rappeler. « Mais j’imagine qu’il ne serait pas à ton goût. » C’est même assez certain considérant que tu as du l’acheter des années auparavant, si seulement t’es capable de le retrouver. Ouais peut-être qu’il vaut mieux que tu en achètes un autre avec River. Tu t’y résignes un peu, consciente que tu n’as pas le choix de toute façon. C’est souvent comme ça avec River et c’est pas plus mal, ça te fait sortir de ta bulle.
Tu te laisses donc mener par ton amie qui choisit sans doute l’endroit où vous allez aller. À la question qu’elle te pose, tu ne peux qu’hausser doucement les épaules. « Oh tu sais la routine. Je passe la majorité de mes soirées à avancer dans le travail ou pour rattraper des séries. » Une vie palpitante, nous en conviendrons, mais ça, c’était l’évidence même alors tu supposes que River s’en doutait. Tu réfléchis un moment avant de t’exclamer : « Oh, Odin a pris un peu de poids aussi. » Franchement l’information la plus capitale qui soit, mais tu tiens tout de même à l’illustrer en sortant ton Pokémon de sa Pokéball et le soulever pour le petit bedon qu’il commence à avoir. Tu supposes qu’il emmagasine de l’énergie pour une éventuelle évolution ou c’est que tu le nourris trop. L’Otaquin n’est pas très heureux que tu l’affiches ainsi, mais tu ne t’y attardes pas. « Et toi ? Tu dois avoir des histoires à me raconter. Qu’est-ce que tu fais ici par exemple ? » C’est plus simple de retourner la question à River, parce que tu sais qu’elle aura quelque chose d’intéressant à te raconter. C’est peut-être le signe qu’il faudrait que tu fasses des efforts pour rendre ta vie un peu plus piquante.
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Une excuse qui t’amena à rouler des yeux, peu convaincue. Que ce soit pour lundi ou pas, elle n’avait pas à bosser le weekend, et puis, ton père était un grand garçon, il aurait pu s’en sortir sans ainsi exploité son assistante. Ou alors tu disais ça juste parce que tu considérais que ton père ne méritait pas tout ce qu’Isara faisait pour lui. Sans doute que tu avais un certain parti pris dans cette histoire, parce que tu appréciais la demoiselle et parce que ton père semblait chercher à jouer avec tes nerfs et si tu t’efforçais d’accepter ses critiques au quotidien, tu n’étais malheureusement pas la plus patiente des demoiselles.
Ton regard en disait long quant à ce que tu pensais du maillot de bain qu’elle devait avoir. Il devait être moche, sans doute être vieux de quelques années et décidément, il te donnerait sans doute envie de pleurer face au manque de goût flagrant de ce dernier. Tu préférais encore prendre un peu de ton temps pour lui dégoter quelque chose qui siérait à sa silhouette. Elle était jolie, Isara. Il était simplement dommage qu’elle ne s’en soucie pas plus que ça.
- Ça c’est parce que tu le nourris trop. Et que tu ne sors pas assez. Tu vois, même ton pokémon essaie de te dire qu’il faut que tu fasses autre chose qu’avoir le nez plongé dans les bouquins.
Un regard presque sévère sans être réellement sérieux, et ce, avant que tu laisses entendre un léger rire. Ce que toi, tu avais raconté ? Tu fis mine d’y réfléchir, après tout, tu n’avais pas grand chose à raconter. Certes, tu n’avais pas un quotidien très tranquille, mais ça, c’était faut des frasques de Nathan et de Noya. Ça n’avait rien de surprenant ni d’inhabituel bien que cela avait le mérite d’être divertissant. C’était peut-être aussi en partie pour ça que tu aimais tant être à ses côtés.
- J’étais venue voir mon père, il voulait me parler de ce qu’il m’avait dit. Tu te doutes bien que ça ne s’est pas bien passé. Il est sur le même registre depuis qu’il a compris qu’avec Nathan, c’était sérieux.
Depuis que tu avais accepté de l’épouser et que vous vous étiez mariés, surtout. Il avait horreur de cette bague que tu portais fièrement à ton doigt. Le taxi arriva rapidement et il ne fallut pas bien plus de temps pour que vous vous retrouviez à destination, face à une boutique dite de luxe, là où tu aimais bien aller de temps à autre, bien souvent seule car Nathan avait horreur de t’accompagner. Tu la tiras alors à l’intérieur, pour ne pas qu’elle se défile, te retrouvant rapidement face aux quelques maillots de bain présentés.
- Tu as une préférence du style ? De la couleur ?
Tu étudiais chaque morceau de vêtements qui se présentait à toi avec attention.
- Qui sait, tu pourrais peut-être rencontrer l’homme de ta vie.
Bon, dans un spa, tu en doutais, mais tu ne pouvais jamais exclure les possibilités d’une rencontre anodine. Après tout, tu avais rencontré Nathan au détour d’une ruelle et il s’était pris ton poing en pleine tête, ce qui t’avait amené à l’inviter chez toi. Dans le genre des rencontres improbables, tu avais fait fort.
Ton regard en disait long quant à ce que tu pensais du maillot de bain qu’elle devait avoir. Il devait être moche, sans doute être vieux de quelques années et décidément, il te donnerait sans doute envie de pleurer face au manque de goût flagrant de ce dernier. Tu préférais encore prendre un peu de ton temps pour lui dégoter quelque chose qui siérait à sa silhouette. Elle était jolie, Isara. Il était simplement dommage qu’elle ne s’en soucie pas plus que ça.
- Ça c’est parce que tu le nourris trop. Et que tu ne sors pas assez. Tu vois, même ton pokémon essaie de te dire qu’il faut que tu fasses autre chose qu’avoir le nez plongé dans les bouquins.
Un regard presque sévère sans être réellement sérieux, et ce, avant que tu laisses entendre un léger rire. Ce que toi, tu avais raconté ? Tu fis mine d’y réfléchir, après tout, tu n’avais pas grand chose à raconter. Certes, tu n’avais pas un quotidien très tranquille, mais ça, c’était faut des frasques de Nathan et de Noya. Ça n’avait rien de surprenant ni d’inhabituel bien que cela avait le mérite d’être divertissant. C’était peut-être aussi en partie pour ça que tu aimais tant être à ses côtés.
- J’étais venue voir mon père, il voulait me parler de ce qu’il m’avait dit. Tu te doutes bien que ça ne s’est pas bien passé. Il est sur le même registre depuis qu’il a compris qu’avec Nathan, c’était sérieux.
Depuis que tu avais accepté de l’épouser et que vous vous étiez mariés, surtout. Il avait horreur de cette bague que tu portais fièrement à ton doigt. Le taxi arriva rapidement et il ne fallut pas bien plus de temps pour que vous vous retrouviez à destination, face à une boutique dite de luxe, là où tu aimais bien aller de temps à autre, bien souvent seule car Nathan avait horreur de t’accompagner. Tu la tiras alors à l’intérieur, pour ne pas qu’elle se défile, te retrouvant rapidement face aux quelques maillots de bain présentés.
- Tu as une préférence du style ? De la couleur ?
Tu étudiais chaque morceau de vêtements qui se présentait à toi avec attention.
- Qui sait, tu pourrais peut-être rencontrer l’homme de ta vie.
Bon, dans un spa, tu en doutais, mais tu ne pouvais jamais exclure les possibilités d’une rencontre anodine. Après tout, tu avais rencontré Nathan au détour d’une ruelle et il s’était pris ton poing en pleine tête, ce qui t’avait amené à l’inviter chez toi. Dans le genre des rencontres improbables, tu avais fait fort.
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Tu n’es pas surprise de voir que River ne s’attarde même pas sur la question du maillot que tu as d’ores et déjà en ta possession. Tu vois son regard et tu sais déjà ce qu’elle en pense - tu le savais déjà après tout. Tu ne dis donc rien de plus, te contentant d’enchainer avec les nouvelles que tu peux lui partager. Rien de majeur considérant que ta vie est un brin ennuyeuse pour quiconque ayant des standards. « Pardon ? Je fais très attention aux portions que je lui donne tu sauras. » Le ton sérieux que tu utilises obscures le fait que tu as la bien mauvaise tendance de flancher dès que ton Pokémon vient te faire les yeux doux pour un peu plus de nourriture ou pour des friandises. Pour ce qui est de ne pas sortir… tu ne peux pas dire qu’elle a tord malheureusement. Tu fronces doucement les sourcils le temps d’hésiter sur ta réponse. « Puis qu’est-ce qui te dit que je ne sors pas assez ? » Tes propres paroles sans doute, mais tu ne veux pas t’y attarder. Après tout, tu sais pertinemment que tu ne pourrais pas l’emporter contre River si un débat devait arriver (même si tu supposes que ce n’est pas assez important pour ça).
Puis de toute façon, tu doutes que la vie de ton amie n’est pas si différente ou ne le serait pas si ce n’était de son mariage à Nathan. Ce dernier ayant, après tout, une grande capacité à transformer toute situation en une aventure rocambolesque. C’est sans compter les histoires avec le Sieur Collingwood, source de sa présence ici visiblement. Tu lui offres un sourire désolé lorsqu’elle évoque l’opinion de son père vis-à-vis de Nathan. « J’ai eu l’occasion d’entendre son opinion sur le sujet, ça ne peut qu’avoir été une belle expérience. » Tu ne connais peut-être pas son père aussi bien qu’elle, mais tu le côtoies assez pour te douter de comment ça a pu se passer.
Il faut croire que tu serviras à lui changer les idées considérant ce qu’elle venait de décider pour la suite des choses. Tu déglutis en arrivant devant la boutique de luxe et cherches d’ores et déjà une façon de t’en sauver lorsque River te tire vers l’intérieur. Tu voudrais bien éviter de devoir choisir, mais tu n’aurais définitivement pas le choix. Alors autant limiter les dégâts et essayer de finir avec quelque chose de pas trop pire entre tes mains. « Quelque chose de modeste ? Peut-être noir, pas trop osé. » Tu parlerais bien de quelque chose de même sérieux, mais t’as franchement l’impression de te transformer en vieille dame beaucoup trop réservée. À croire que tu finirais en vieille dame aux chacripans, ce qui ne serait pas étonnant vu ta réaction à l’autre commentaire de River. Tu toussotes légèrement. « C’est tout à fait plausible voyons. Tu veux dire ici ou au spa ? » Les deux hypothèses semblent peu plausible considérant les circonstances. Puis ce n’est pas comme si tu abandonnerais River même si tu devais trouver cet homme en cette belle journée. « Tu sais que je ne cherche pas ça. Il y a assez de mes parents qui ne parlent que de ça. » Tout comme tu ne cherchais pas un maillot de bain hors de prix, mais ça, tu doutes pouvoir t’en sortir même en essayant alors tu ne tentes même pas.
Puis de toute façon, tu doutes que la vie de ton amie n’est pas si différente ou ne le serait pas si ce n’était de son mariage à Nathan. Ce dernier ayant, après tout, une grande capacité à transformer toute situation en une aventure rocambolesque. C’est sans compter les histoires avec le Sieur Collingwood, source de sa présence ici visiblement. Tu lui offres un sourire désolé lorsqu’elle évoque l’opinion de son père vis-à-vis de Nathan. « J’ai eu l’occasion d’entendre son opinion sur le sujet, ça ne peut qu’avoir été une belle expérience. » Tu ne connais peut-être pas son père aussi bien qu’elle, mais tu le côtoies assez pour te douter de comment ça a pu se passer.
Il faut croire que tu serviras à lui changer les idées considérant ce qu’elle venait de décider pour la suite des choses. Tu déglutis en arrivant devant la boutique de luxe et cherches d’ores et déjà une façon de t’en sauver lorsque River te tire vers l’intérieur. Tu voudrais bien éviter de devoir choisir, mais tu n’aurais définitivement pas le choix. Alors autant limiter les dégâts et essayer de finir avec quelque chose de pas trop pire entre tes mains. « Quelque chose de modeste ? Peut-être noir, pas trop osé. » Tu parlerais bien de quelque chose de même sérieux, mais t’as franchement l’impression de te transformer en vieille dame beaucoup trop réservée. À croire que tu finirais en vieille dame aux chacripans, ce qui ne serait pas étonnant vu ta réaction à l’autre commentaire de River. Tu toussotes légèrement. « C’est tout à fait plausible voyons. Tu veux dire ici ou au spa ? » Les deux hypothèses semblent peu plausible considérant les circonstances. Puis ce n’est pas comme si tu abandonnerais River même si tu devais trouver cet homme en cette belle journée. « Tu sais que je ne cherche pas ça. Il y a assez de mes parents qui ne parlent que de ça. » Tout comme tu ne cherchais pas un maillot de bain hors de prix, mais ça, tu doutes pouvoir t’en sortir même en essayant alors tu ne tentes même pas.
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Tu ne réponds pas mais tu n’en penses pas moins. Au final, tu ne peux pas trop la juger, parce que si, de ton côté, tu sors beaucoup, c’est surtout pour tes recherches. Alors tu bosses sans doute tout autant qu’elle, t’as juste la chance de ne pas avoir à le faire en étant enfermée dans un bureau. Tu voyages, tu bouges beaucoup, tu vois différentes zones, mais, bien souvent, c’est avec un carnet de note dans les mains. Mais tes pokémons aiment ça, pouvoir jouer dans la nature et dépenser leur énergie sans avoir à craindre les dégâts qu’ils pourraient faire. Parce que, vivre dans un appartement avec vos équipes qui commençaient à grandir, ça allait un moment, mais éventuellement, ça deviendrait assez problématique.
Quant à ton père, tu préfères laisser couler le sujet. Ça t’agace, parce que c’est sûrement la seule famille qu’il te reste, mais ainsi va la vie. Ta famille, c’est devenu Nathan, cet homme dont tu as pris le nom et si ton père refuse d’en faire parti, d’accepter l’homme qui te rend heureux, et bien, ce n’était plus de ton ressort. Vous étiez bien, tous les deux, puis, au final, tu n’avais pas besoin de plus dans ta vie.
Vous étiez finalement dans la boutique, observant les différents maillots de bain qui se présentaient devant vous. Sa réponse n’avait rien de surprenant, bien digne d’elle. Tu la savais timide, réservée aussi, et c’était ce qui faisait parti de son charme. Vous étiez différentes, très différentes, et c’était peut-être ce qui vous permettait de vous entendre aussi bien. Tu observas donc les différents modèles, en prenant quelques uns, des maillots de bain une pièce particulièrement élégants, assez sombre et qui n’avaient rien de provocateurs. C’était pas trop ton style, t’aimais mettre ton corps en valeur, mais c’était celui de ton amie.
- Vas essayer ceux-là, d’accord ?
Tu avais fait des efforts, parce que ton objectif ce n’était pas de la changer. Tu la poussas donc jusqu’aux cabines d’essayage, saluant le vendeur au passage qui te connaissait bien, depuis le temps. Un sourire lui étant adressé avant que tu mettes les vêtements entre les bras de la brune.
- Et je sais que tu ne cherches pas. Je ne cherchais pas lorsque Nathan m’est tombé dessus.
Ou plutôt que tu lui étais tombée dessus et tu lui avais éclaté le nez, mais ça, c'était du détail.
- T'as fais des nouvelles rencontres ces derniers temps ?
Pokémons, jeunes hommes, peu importait. Tu voulais surtout seulement faire la discussion alors qu'elle se trouvait de l'autre côté de la porte et que vous étiez seules dans la boutique. C'était à ça que ça servait après tout les journées entre filles, non ?
Quant à ton père, tu préfères laisser couler le sujet. Ça t’agace, parce que c’est sûrement la seule famille qu’il te reste, mais ainsi va la vie. Ta famille, c’est devenu Nathan, cet homme dont tu as pris le nom et si ton père refuse d’en faire parti, d’accepter l’homme qui te rend heureux, et bien, ce n’était plus de ton ressort. Vous étiez bien, tous les deux, puis, au final, tu n’avais pas besoin de plus dans ta vie.
Vous étiez finalement dans la boutique, observant les différents maillots de bain qui se présentaient devant vous. Sa réponse n’avait rien de surprenant, bien digne d’elle. Tu la savais timide, réservée aussi, et c’était ce qui faisait parti de son charme. Vous étiez différentes, très différentes, et c’était peut-être ce qui vous permettait de vous entendre aussi bien. Tu observas donc les différents modèles, en prenant quelques uns, des maillots de bain une pièce particulièrement élégants, assez sombre et qui n’avaient rien de provocateurs. C’était pas trop ton style, t’aimais mettre ton corps en valeur, mais c’était celui de ton amie.
- Vas essayer ceux-là, d’accord ?
Tu avais fait des efforts, parce que ton objectif ce n’était pas de la changer. Tu la poussas donc jusqu’aux cabines d’essayage, saluant le vendeur au passage qui te connaissait bien, depuis le temps. Un sourire lui étant adressé avant que tu mettes les vêtements entre les bras de la brune.
- Et je sais que tu ne cherches pas. Je ne cherchais pas lorsque Nathan m’est tombé dessus.
Ou plutôt que tu lui étais tombée dessus et tu lui avais éclaté le nez, mais ça, c'était du détail.
- T'as fais des nouvelles rencontres ces derniers temps ?
Pokémons, jeunes hommes, peu importait. Tu voulais surtout seulement faire la discussion alors qu'elle se trouvait de l'autre côté de la porte et que vous étiez seules dans la boutique. C'était à ça que ça servait après tout les journées entre filles, non ?
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Lyxiae
- Isara Davies
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Tu n’insistes pas sur la question du Sénateur Collingwood. Tu sais que c’est un sujet sensible, désagréable et tu n’as pas envie de rendre River mécontente. T’espères seulement que ton patron comprendra un jour que le mariage entre les Shelby a vocation à perdurer, sinon il risque fort bien de perdre tout contact avec sa fille. À la place, tu as plutôt la chance exceptionnelle de devoir subir une séance de shopping pour te trouver un nouveau maillot de bain. Ça ne te fait pas plaisir, mais tu sais d’ores et déjà que tu ne pourrais pas t’en sortir, alors autant limiter les dégâts. T’observes les gestes de ton amie alors qu’elle se saisit de certaines pièces, inquiète quant à ce qu’elle peut te sortir. Elle sait autant que toi que tu n’accepteras pas de porter quelque chose de trop révélateur, mais est-ce que ça te met pour autant à l’abri ? T’en doutes un peu, parce que t’es jamais certaine de ce qui se passe dans la tête de River.
Enfin, tes inquiétudes semblent être inutiles vu les maillots qu’elle sélectionne. Pas complètement rassurée pour autant, tu ne parviens pas à te décider sur une pièce de tissus qui te convient. C’est donc bredouille que tu te fais pousser jusqu’à la salle d’essayage et ne te retrouve donc qu’avec les vêtements choisis par la Shelby. « D’accord. » Pas forcément convaincu, mais assez habituée pour simplement suivre. Peut-être qu’il faudrait simplement que tu prennes un peu plus de confiance, que tu t’affirmes plus, mais ça ne fait pas partie de ta personnalité.
T’entreprends donc d’essayer un premier maillot, écoutant d’une oreille ce que River te dit. T’es pas surprise qu’elle te parle de Nathan, mais la relation entre tes deux amis te paraient être l’exception qui confirme la règle. La fleur bleue en toi ne peut s’empêcher de dire que c’est le destin qui les a réuni et ça entraine une petite dose de pessimisme en toi te fait dire que ça ne t’arriverait probablement pas. « Je ne pense pas qu’on peut s’attendre à la même chose pour moi. » Quoi que. T’as bien rencontré quelqu’un par le plus grand des hasards, quelqu’un qui te plait bien, assez pour que tes joues se teintent légèrement de rouge lorsque River te demande si t’as rencontré quelqu’un. Tu ressors de la salle d’essayage - non sans avoir vérifié qu’il n’y avait personne dans les parages - principalement pour montrer le premier maillot, mais aussi pour répondre à la question qui t’est posée. « Hm. J’ai renversé mon café sur quelqu’un, elle était adorable. » C’est rare que tu parles de tierces personnes de cette façon, mais tu ne saurais pas vraiment mettre un terme sur ta rencontre avec Clara. Tu sais juste que t’aurais aimé la revoir. T’essaies toutefois de penser à autre chose en prenant une grande respiration, histoire que le rouge ne teinte pas ton visage encore plus. Alors tu enchaines : « Ah ! Et j’ai capturé une Sonistrelle aussi. » T’espères que River se concentrera davantage dessus. C’est plus certain, moins embarrassant.
Enfin, tes inquiétudes semblent être inutiles vu les maillots qu’elle sélectionne. Pas complètement rassurée pour autant, tu ne parviens pas à te décider sur une pièce de tissus qui te convient. C’est donc bredouille que tu te fais pousser jusqu’à la salle d’essayage et ne te retrouve donc qu’avec les vêtements choisis par la Shelby. « D’accord. » Pas forcément convaincu, mais assez habituée pour simplement suivre. Peut-être qu’il faudrait simplement que tu prennes un peu plus de confiance, que tu t’affirmes plus, mais ça ne fait pas partie de ta personnalité.
T’entreprends donc d’essayer un premier maillot, écoutant d’une oreille ce que River te dit. T’es pas surprise qu’elle te parle de Nathan, mais la relation entre tes deux amis te paraient être l’exception qui confirme la règle. La fleur bleue en toi ne peut s’empêcher de dire que c’est le destin qui les a réuni et ça entraine une petite dose de pessimisme en toi te fait dire que ça ne t’arriverait probablement pas. « Je ne pense pas qu’on peut s’attendre à la même chose pour moi. » Quoi que. T’as bien rencontré quelqu’un par le plus grand des hasards, quelqu’un qui te plait bien, assez pour que tes joues se teintent légèrement de rouge lorsque River te demande si t’as rencontré quelqu’un. Tu ressors de la salle d’essayage - non sans avoir vérifié qu’il n’y avait personne dans les parages - principalement pour montrer le premier maillot, mais aussi pour répondre à la question qui t’est posée. « Hm. J’ai renversé mon café sur quelqu’un, elle était adorable. » C’est rare que tu parles de tierces personnes de cette façon, mais tu ne saurais pas vraiment mettre un terme sur ta rencontre avec Clara. Tu sais juste que t’aurais aimé la revoir. T’essaies toutefois de penser à autre chose en prenant une grande respiration, histoire que le rouge ne teinte pas ton visage encore plus. Alors tu enchaines : « Ah ! Et j’ai capturé une Sonistrelle aussi. » T’espères que River se concentrera davantage dessus. C’est plus certain, moins embarrassant.
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- River C. Shelby
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River Shelby & Isara Davies
Si elle disait que ce n’était pas quelque chose qui allait se produire pour elle, t’étais pas du même avis. De ce que tu venais d’entendre, elle avait renversé son café sur quelqu’un d’adorable. Le simple fait qu’elle s’exprime ainsi pour désigner quelqu’un méritait que tu le relèves, bien que, pour le moment, tu n’en fis rien. Tu te contentas de sourire, attendant le moment propice pour la questionner au sujet de cette inconnue qui, selon ses dires, était adorable. T’étais un peu surprise de l’entendre parler d’une demoiselle, toutefois, ce n’était pas quelque chose de bien important dans cette histoire. Sûrement que ça le serait pour Nathan, qui menaçait de mort tous les hommes tournant autour de la Davies, mais toi, tu voulais surtout en savoir plus sur son ressenti à elle. Y avait-il une suite à cette rencontre hasardeuse ?
Quant à la Sonistrelle, tu savais déjà. Elle l’avait capturé le même jour où Nathan avait ramené un Mucuscule ainsi qu’un Minidraco à la maison. Le même jour où tu étais rentrée en compagnie d’un Salamèche. Tu attendis qu’elle sorte de la cabine pour évaluer le maillot de bain avant de finalement la renvoyer derrière la porte, l’air de dire qu’elle devait essayer les autres. Il était bien, mais t’étais sûre qu’il y avait mieux dans ce que tu lui avais pris, il fallait juste trouver le coup de coeur. Parce qu’elle était jolie, Isara, et tu voulais que ça se voit dans celui qu’elle choisirait (que tu choisirais, même si ça, ce n’était qu’un détail).
- Alors, cette adorable demoiselle sur qui tu as renversé ton café, elle a un nom ?
Tu t’étais appuyée contre le mur près de la porte pour pouvoir lui parler. T’étais curieuse, elle allait sûrement regretter te l’avoir dit, mais t’y pouvais rien. La vie sentimentale de la Davies était si vide que ça te faisait presque étrange de parler de quelqu’un de qui elle pourrait potentiellement être intéressée. Mais bon, si elle en parlait, ça devait sans doute être le cas. Autrement, elle n’aurait sûrement jamais abordé le sujet.
- Elle est comment ? Tu la revois bientôt ?
Voilà, tu commençais à la questionner un peu plus. Elle allait donc devoir jongler entre l’essayage des morceaux que tu avais forcé dans sa cabine et cette conversation avec laquelle elle ne devait pas trop être à l’aise. Et pourtant, toi tu lui avais longuement parlé de Nathan, lorsque tu l’avais rencontré, sans savoir qu’ils se connaissaient depuis de nombreuses années. T’avais parlé de lui avant même d’assumer ce que tu ressentais pour lui. Et t’avais longuement parlé avec Isara lorsque t’avais déconné, lorsque tu croyais l’avoir perdu définitivement. C’était à ce moment-là que t’avais compris l’ampleur de son importance dans ta vie et Isara en avait donc entendu parler souvent. Tu te demandais donc si tu aurais droit à la même, si cette inconnue était plus qu’une banale rencontre à laquelle il n’aurait jamais de suite.
Quant à la Sonistrelle, tu savais déjà. Elle l’avait capturé le même jour où Nathan avait ramené un Mucuscule ainsi qu’un Minidraco à la maison. Le même jour où tu étais rentrée en compagnie d’un Salamèche. Tu attendis qu’elle sorte de la cabine pour évaluer le maillot de bain avant de finalement la renvoyer derrière la porte, l’air de dire qu’elle devait essayer les autres. Il était bien, mais t’étais sûre qu’il y avait mieux dans ce que tu lui avais pris, il fallait juste trouver le coup de coeur. Parce qu’elle était jolie, Isara, et tu voulais que ça se voit dans celui qu’elle choisirait (que tu choisirais, même si ça, ce n’était qu’un détail).
- Alors, cette adorable demoiselle sur qui tu as renversé ton café, elle a un nom ?
Tu t’étais appuyée contre le mur près de la porte pour pouvoir lui parler. T’étais curieuse, elle allait sûrement regretter te l’avoir dit, mais t’y pouvais rien. La vie sentimentale de la Davies était si vide que ça te faisait presque étrange de parler de quelqu’un de qui elle pourrait potentiellement être intéressée. Mais bon, si elle en parlait, ça devait sans doute être le cas. Autrement, elle n’aurait sûrement jamais abordé le sujet.
- Elle est comment ? Tu la revois bientôt ?
Voilà, tu commençais à la questionner un peu plus. Elle allait donc devoir jongler entre l’essayage des morceaux que tu avais forcé dans sa cabine et cette conversation avec laquelle elle ne devait pas trop être à l’aise. Et pourtant, toi tu lui avais longuement parlé de Nathan, lorsque tu l’avais rencontré, sans savoir qu’ils se connaissaient depuis de nombreuses années. T’avais parlé de lui avant même d’assumer ce que tu ressentais pour lui. Et t’avais longuement parlé avec Isara lorsque t’avais déconné, lorsque tu croyais l’avoir perdu définitivement. C’était à ce moment-là que t’avais compris l’ampleur de son importance dans ta vie et Isara en avait donc entendu parler souvent. Tu te demandais donc si tu aurais droit à la même, si cette inconnue était plus qu’une banale rencontre à laquelle il n’aurait jamais de suite.
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- Isara Davies
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Tu regrettes d'avoir mentionné Clara tout de suite après l'avoir fait. Tu sais que River en passera pas outre la mention d'une tierce personne tout simplement parce que ce n'est pas dans tes habitudes de parler ainsi quelqu'un. Tu ne t'intéresses pas vraiment aux autres, pas de cette façon en tout cas, et vue comment ta vie sociale est au calme le plus plat ça ne peut que rendre la chose encore plus particulière. Ni ta tentative de limiter les dégâts, ni le maillot que tu portes ne fonctionne pour imposer un changement de conversation. Tu te doutes donc de ce qui t'attends lorsque tu retournes dans la cabine pour essayer un autre modèle dans ceux que River a sélectionné. T'espères que le prochain sera le bon, pour pouvoir arrêter de les essayer, mais surtout pour éviter des questions supplémentaires.
Un espoir vain, évidemment, puisque les questions arrivent bien rapidement. La première n'est pas gênante, même si t'as envie d'oublier que t'as utilisé le terme adorable pour parler de Clara. Tu soupires, plus bruyamment que tu ne le voudrais. Tu regrettes définitivement de l'avoir fait même si au final ça t'a paru tout naturel sur le coup. S'il y a bien quelqu'un avec qui tu veux en parler, c'est bien celle qui t'accompagne aujourd'hui. « Elle s'appelle Clara. » Tu réponds avec douceur, te surprenant à sourire lorsque tu évoques son nom. Il n'y a pas à dire, t'es bien contente de l'avoir rencontrer même si tu ne la connais pas vraiment.
Tu finis d'enfiler le deuxième maillot avant de ressortir pour avoir droit à des questions supplémentaires. Il ne fait aucun doute que tu n'es pas pleinement à l'aise, prise avec deux choses que tu n'aimes pas particulièrement. Ce n'est qu'une énième confirmation que tu préfères écouter qu'on te raconte ces histoires plutôt que les vivre ou en parler. Tu sais pourtant que tu ne pourras pas te défiler, encore moins lorsque tu es coincée dans cette boutique. « C'est une étudiante en stylisme. Je pense que tu l'apprécierais, elle n'a pas l'air d'aimer mon style vestimentaire. » Ou absence de style si tu te fis à comment elle a réagit sur le sujet en premier lieu. Enfin, non pas que tu aies été vexé par la chose, tu n'es pas très attachée à tes vêtements du moment qu'ils font propres et sérieux. « Je ne sais pas si on va se revoir, elle étudie à Remnance... » Tu secoues doucement la tête pour chasser les moins bons souvenir que tu peux avoir de la ville.
Tu réalises alors quelque chose. En soit ce n'est pas le fait que vous êtes dans des villes différences qui pose problème, c'est plutôt : « ... Et je n'ai pas son numéro. » T'as pas pensé à lui demander et t'aurais probablement pas eu le courage. Sauf que ça limite grandement tes chances de la revoir et tu dois avouer être déçue. Tu forces tout de même un sourire sur tes lèvres. « Tant pis j'imagine. » Ouais non, la vérité c'est que ça t'embête, mais bon tu ne vas pas en faire un plat devant River non plus.
Un espoir vain, évidemment, puisque les questions arrivent bien rapidement. La première n'est pas gênante, même si t'as envie d'oublier que t'as utilisé le terme adorable pour parler de Clara. Tu soupires, plus bruyamment que tu ne le voudrais. Tu regrettes définitivement de l'avoir fait même si au final ça t'a paru tout naturel sur le coup. S'il y a bien quelqu'un avec qui tu veux en parler, c'est bien celle qui t'accompagne aujourd'hui. « Elle s'appelle Clara. » Tu réponds avec douceur, te surprenant à sourire lorsque tu évoques son nom. Il n'y a pas à dire, t'es bien contente de l'avoir rencontrer même si tu ne la connais pas vraiment.
Tu finis d'enfiler le deuxième maillot avant de ressortir pour avoir droit à des questions supplémentaires. Il ne fait aucun doute que tu n'es pas pleinement à l'aise, prise avec deux choses que tu n'aimes pas particulièrement. Ce n'est qu'une énième confirmation que tu préfères écouter qu'on te raconte ces histoires plutôt que les vivre ou en parler. Tu sais pourtant que tu ne pourras pas te défiler, encore moins lorsque tu es coincée dans cette boutique. « C'est une étudiante en stylisme. Je pense que tu l'apprécierais, elle n'a pas l'air d'aimer mon style vestimentaire. » Ou absence de style si tu te fis à comment elle a réagit sur le sujet en premier lieu. Enfin, non pas que tu aies été vexé par la chose, tu n'es pas très attachée à tes vêtements du moment qu'ils font propres et sérieux. « Je ne sais pas si on va se revoir, elle étudie à Remnance... » Tu secoues doucement la tête pour chasser les moins bons souvenir que tu peux avoir de la ville.
Tu réalises alors quelque chose. En soit ce n'est pas le fait que vous êtes dans des villes différences qui pose problème, c'est plutôt : « ... Et je n'ai pas son numéro. » T'as pas pensé à lui demander et t'aurais probablement pas eu le courage. Sauf que ça limite grandement tes chances de la revoir et tu dois avouer être déçue. Tu forces tout de même un sourire sur tes lèvres. « Tant pis j'imagine. » Ouais non, la vérité c'est que ça t'embête, mais bon tu ne vas pas en faire un plat devant River non plus.
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- River C. Shelby
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Clara. C’est un joli nom. Tu te demandes à quoi est-ce qu’elle peut bien ressembler. T’attends aussi les autres réponses d’Isara, parce que t’as envie d’en savoir plus, curieuse demoiselle que t’es. Tu l’observes sortir de la cabine, observant ce qu’elle arbore tout en l’écoutant attentivement. Une étudiante en stylisme. T’ignorais en quelle année d’étude elle était mais tu la suspectais être plus jeune que ton amie. T’allais ajouter autre chose, la questionner un peu plus, jusqu’à sa dernière phrase. Tu sais pas trop pourquoi, sûrement le ton qu’elle a employé, mais ça te refroidit de pousser un peu plus le sujet. Parce que tu peux ressentir sa déception de pas avoir oser lui demander son numéro. Alors tu dis rien, parce qu’il t’arrive par moment d’être une bonne amie.
Tu te concentres donc sur votre présence ici, la raison de cette dernière, faisant tourner ton amie sur elle-même.
- Celui là est parfait. Changes-toi et files-le moi, je vais passer à la caisse.
T’avais complètement laissé tomber le sujet de cette Clara, bien que tu trouvais ça dommage pour ton amie. Après, il y avait toujours la possibilité de tenter de la retrouver avec les informations que tu avais mais du doutais qu’elle soit d’accord pour mettre un détective sur son cas (tu faisais toujours dans les grands moyens). Une fois ta carte passée et le maillot de bain joliment emballé, ne vous restait plus qu’à trouver un spa où passer la journée. Vous pourriez parler de tout et de rien, de son boulot, de Nathan, de vos pokémons, tout en profitant de cette journée pour vous détendre. T’aurais aimé pouvoir la taquiner sur cette nouvelle rencontre, mais t’as décidé d’éviter. C’était sûrement mieux comme ça.
Le soleil était déjà tombé lorsque tu rentras chez toi, toujours en compagnie de la Davies et ton père étant toujours absent. Tu avais insisté pour qu’elle revienne avec toi, t’avais quelque chose pour elle après tout.
- Je peux même nous faire livrer un truc ! Puis on pourrait regarder un film.
Tu venais de pousser la porte de chez toi, attrapant ton NéroVID pour voir les restaurants qui pouvaient livrer. Ça permettrait de finir une journée qui avait été somme toute particulièrement agréable sur une bonne note. Puis, avec un peu de chance, ton père ne rentrerait pas avant demain et toi, tu serais déjà repartie pour Alnora.
Tu te concentres donc sur votre présence ici, la raison de cette dernière, faisant tourner ton amie sur elle-même.
- Celui là est parfait. Changes-toi et files-le moi, je vais passer à la caisse.
T’avais complètement laissé tomber le sujet de cette Clara, bien que tu trouvais ça dommage pour ton amie. Après, il y avait toujours la possibilité de tenter de la retrouver avec les informations que tu avais mais du doutais qu’elle soit d’accord pour mettre un détective sur son cas (tu faisais toujours dans les grands moyens). Une fois ta carte passée et le maillot de bain joliment emballé, ne vous restait plus qu’à trouver un spa où passer la journée. Vous pourriez parler de tout et de rien, de son boulot, de Nathan, de vos pokémons, tout en profitant de cette journée pour vous détendre. T’aurais aimé pouvoir la taquiner sur cette nouvelle rencontre, mais t’as décidé d’éviter. C’était sûrement mieux comme ça.
Le soleil était déjà tombé lorsque tu rentras chez toi, toujours en compagnie de la Davies et ton père étant toujours absent. Tu avais insisté pour qu’elle revienne avec toi, t’avais quelque chose pour elle après tout.
- Je peux même nous faire livrer un truc ! Puis on pourrait regarder un film.
Tu venais de pousser la porte de chez toi, attrapant ton NéroVID pour voir les restaurants qui pouvaient livrer. Ça permettrait de finir une journée qui avait été somme toute particulièrement agréable sur une bonne note. Puis, avec un peu de chance, ton père ne rentrerait pas avant demain et toi, tu serais déjà repartie pour Alnora.
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T’es surprise lorsque tu réalises que le sujet de Clara repart aussi rapidement qu’il est arrivé. Peut-être parce que t’as jeté un froid en soulignant que c’était peine perdue parce que tu lui avais pas demandé son numéro. C’est pas que tu n’avais pas voulu ou que ce soit, t’y as juste pas pensé sur le coup. T’as pas exactement l’habitude de ce genre de situation, ça ne fait pas partie de ton train quotidien et ça fait depuis longtemps que t’as déterminé que tu n’aurais pas de grande histoire romantique dans ta vie. Une pensée sans doute excessivement pessimiste considérant que tu n’atteignais toujours pas le quart de siècle, mais bon, c’est pas une chose qui semblait manifestement manquer dans ta vie. C’est du moins ce que tu aurais cru avant maintenant, alors que tu réalisais que revoir Clara est quelque chose que tu aurais voulu faire. Dommage que tu ne le réalises que trop tard.
Mais bon, tu peux ainsi affronter une seule chose embarrassante à la fois : le choix du maillot de bain. River semble satisfaite de celui que tu as enfilé et ça semble donc être une libération anticipée pour toi. Certes, tu devrais le porter une fois au spa, mais ça semble être un sacrifice moindre. « Tu sais, t’as pas à me le payer. » La vérité, c’est que c’est probablement le genre d’achat qui risquerait de faire un léger trou dans un budget déjà serré, mais tu ne veux quand même pas qu’elle se sente obligée de régler la note. Même si ce que tu dis n’est qu’une question de principe et que vous savez toutes les deux comment ça se terminera. T’entreprends donc de te changer et une fois la carte de crédit de la Shelby passée, vous pouvez continuer le reste de votre journée, non sans un énième merci de ta part.
Vous retournez finalement au domicile des Collingwood lorsque le soleil commence à tomber. Tu te laisses entrainer par l’invitation de River, même si c’est toujours un brin particulier d’être dans la demeure de ton patron pour des raisons qui ne sont pas d’ordre professionnel. Enfin, tu sais qu’il ne risque pas de revenir de sitôt, n’ayant aucune nouvelle de sa part en ce sens. C’est peut-être le signe qu’il vaut mieux que tu te détendes. Alors t’acceptes la proposition avec un sourire. « Pourquoi pas ! Mais c’est moi qui commande. » Enfin, dans le sens de payer, choisir le restaurant t’importe peu. Tu regardes l'heure avant d'ajouter « T’as pas à retourner à Alnora tout de suite ? » Parce que tu doutes que River veut passer la soirée ici pour s’assurer de pouvoir tomber nez à nez avec son père. Enfin, tu ne comptes pas te plaindre de passer un peu plus de temps avec la Shelby.
Puis bon, ça te permet de te changer les idées un peu plus d’une manière qui n’implique pas de travailler encore plus. Tu finis par demander - à tout hasard ou presque. « Au fait, ça ne se passe pas trop mal avec l’arrivée massive de nouveaux Pokémons ? » T’es curieuse de voir comment eux se débrouille. Parce que toi tu dois avouer avoir un peu de mal, mais c’est peut-être en grande partie à cause du caractère de ton Otaquin.
Mais bon, tu peux ainsi affronter une seule chose embarrassante à la fois : le choix du maillot de bain. River semble satisfaite de celui que tu as enfilé et ça semble donc être une libération anticipée pour toi. Certes, tu devrais le porter une fois au spa, mais ça semble être un sacrifice moindre. « Tu sais, t’as pas à me le payer. » La vérité, c’est que c’est probablement le genre d’achat qui risquerait de faire un léger trou dans un budget déjà serré, mais tu ne veux quand même pas qu’elle se sente obligée de régler la note. Même si ce que tu dis n’est qu’une question de principe et que vous savez toutes les deux comment ça se terminera. T’entreprends donc de te changer et une fois la carte de crédit de la Shelby passée, vous pouvez continuer le reste de votre journée, non sans un énième merci de ta part.
Vous retournez finalement au domicile des Collingwood lorsque le soleil commence à tomber. Tu te laisses entrainer par l’invitation de River, même si c’est toujours un brin particulier d’être dans la demeure de ton patron pour des raisons qui ne sont pas d’ordre professionnel. Enfin, tu sais qu’il ne risque pas de revenir de sitôt, n’ayant aucune nouvelle de sa part en ce sens. C’est peut-être le signe qu’il vaut mieux que tu te détendes. Alors t’acceptes la proposition avec un sourire. « Pourquoi pas ! Mais c’est moi qui commande. » Enfin, dans le sens de payer, choisir le restaurant t’importe peu. Tu regardes l'heure avant d'ajouter « T’as pas à retourner à Alnora tout de suite ? » Parce que tu doutes que River veut passer la soirée ici pour s’assurer de pouvoir tomber nez à nez avec son père. Enfin, tu ne comptes pas te plaindre de passer un peu plus de temps avec la Shelby.
Puis bon, ça te permet de te changer les idées un peu plus d’une manière qui n’implique pas de travailler encore plus. Tu finis par demander - à tout hasard ou presque. « Au fait, ça ne se passe pas trop mal avec l’arrivée massive de nouveaux Pokémons ? » T’es curieuse de voir comment eux se débrouille. Parce que toi tu dois avouer avoir un peu de mal, mais c’est peut-être en grande partie à cause du caractère de ton Otaquin.
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Tu la laissas commander (bien que tu aurais très bien pu le faire, en ayant les moyens) mais ainsi, tu pouvais te décharger du choix de restaurant. Tu te laissais tomber sur le sofa, après être passé prendre une pokéball que tu avais entreposé d’ici à ce que tu revois Isara. C’était seulement bien tombé que sa route croise la tienne aujourd’hui. Puis, au final, t’avais clairement eu besoin de cette journée de détente entre fille et ça t’avait fait le plus grand bien. Même les demoiselles de ton équipe, à savoir Jenna et Maddy, y avait trouver leur compte. Alors tu pouvais donc qualifier ta journée d’une bonne journée et c’était tout ce qui t’importait. T’espérais juste ne pas avoir à croiser ton père, ça viendrait entacher le tableau.
- Ehhhh, non. Je vais peut-être rentrer plus tard, ou demain, je verrai. Autant en profiter tant qu’on peut passer du temps ensemble, Nathan saura me le pardonner.
Même si tu préférais de loin dormir dans ses bras plutôt qu’ici. Tu aviserais en temps et en heure. Assise sur le sofa, tu cherches un film, quelque chose pour accompagner votre repas et votre soirée, faisant défiler les titres. D’ordinaire, c’est Nathan qui choisit, tout simplement parce que t’aimes bien passer les deux heures qui suivent à râler sur ses goûts de merde, concernant le cinéma. En vrai, c’est toi qui n’aimes pas spécialement les films, mais bon, t’aimes bien râler tout simplement, pour un rien même. Ça s’ajoute simplement à vos fausses disputes qui ponctuent vos quotidiens.
- Et sinon, ça va. On envisage sûrement déménager, ça va être difficile à gérer quand ils auront décidé de tous évoluer.
Ça te fait rire légèrement.
- C’est quelque chose aussi que tu vas devoir prévoir, je pense.
Tu ne comptais pas lui créer des soucis, si elle avait des problèmes, financiers notamment, tu t’arrangerais pour l’aider. Ou tu insisterais pour que ton père augmente son salaire. Sans rien dire de plus, tu lui lances alors la pokéball que tu es allée récupérée, celle de l’adorable Ponyta joueur que tu as capturé aux plaines sans nom.
- Ne le libère pas ici, le salon risque d’être trop étroit. C’est un Ponyta.
Voilà, aussi simplement que cela. Elle aura tout le temps de faire connaissance avec lui plus tard. Pour le moment, un repas était sur le chemin et un film (choisi au hasard au final) vous attendait.
- Ehhhh, non. Je vais peut-être rentrer plus tard, ou demain, je verrai. Autant en profiter tant qu’on peut passer du temps ensemble, Nathan saura me le pardonner.
Même si tu préférais de loin dormir dans ses bras plutôt qu’ici. Tu aviserais en temps et en heure. Assise sur le sofa, tu cherches un film, quelque chose pour accompagner votre repas et votre soirée, faisant défiler les titres. D’ordinaire, c’est Nathan qui choisit, tout simplement parce que t’aimes bien passer les deux heures qui suivent à râler sur ses goûts de merde, concernant le cinéma. En vrai, c’est toi qui n’aimes pas spécialement les films, mais bon, t’aimes bien râler tout simplement, pour un rien même. Ça s’ajoute simplement à vos fausses disputes qui ponctuent vos quotidiens.
- Et sinon, ça va. On envisage sûrement déménager, ça va être difficile à gérer quand ils auront décidé de tous évoluer.
Ça te fait rire légèrement.
- C’est quelque chose aussi que tu vas devoir prévoir, je pense.
Tu ne comptais pas lui créer des soucis, si elle avait des problèmes, financiers notamment, tu t’arrangerais pour l’aider. Ou tu insisterais pour que ton père augmente son salaire. Sans rien dire de plus, tu lui lances alors la pokéball que tu es allée récupérée, celle de l’adorable Ponyta joueur que tu as capturé aux plaines sans nom.
- Ne le libère pas ici, le salon risque d’être trop étroit. C’est un Ponyta.
Voilà, aussi simplement que cela. Elle aura tout le temps de faire connaissance avec lui plus tard. Pour le moment, un repas était sur le chemin et un film (choisi au hasard au final) vous attendait.
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