- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
Un mail tout ce qu’il y avait de plus classique lui était parvenu. Mais contrairement à l’accoutumée, un rictus suivait la réception de ce dernier. Tapotant sur sa tablette, Maluma soupira ces quelques mots :
▬ Ce vieux renard s’est enfin décidé, ce n’est pas trop tôt.
Après s’être levé et sorti de son bureau, il fit signe à sa secrétaire. Il fallait annuler tous les rendez-vous de la journée. Son attention allait entièrement se tourner vers la réalisation de son projet. Le prestige qui en découlerait serait inestimable. Après tout, devenir l’unique fournisseur du Sénat (et de peut-être plus encore) était bien loin d’être à la portée de tout le monde et ça l’est tout autant pour ses confrères dans l’agroalimentaire.
C’était bien simple, il avait rendez-vous avec son associé du jour dans le restaurant le plus huppé de la région. Honnêtement, il n’y allait pas de main-morte celui-là. Et ce n’était certainement pas pour déplaire à la chevelure de jais. Il ne s’agissait là que d’un lieu à sa hauteur, digne de lui si on veut.
La route s’était faite un peu longue mais peu importait finalement. Face à la devanture de l’établissement de renom qu’il ne connaissait que trop bien, le Cervantes jeta un bref coup d’oeil aux alentours. Aucun signe du sénateur ou d’un de ses assistants. Etrange mais l’homme en ferait l’impasse, un retard était toujours pardonnable malgré le fait que cela concernait les affaires. Il allait laisser couler, M. Collingwood pouvait se le permettre. Pour l’instant, du moins.
Une fois à l’intérieur, l’accueil était fidèle à ce qu’en disaient les critiques culinaires mais aussi, rien n’avait changé depuis sa dernière visite. Et c’était sans doute pour le mieux. Prenant place là où il devait être, il se mit à patienter. La présence du sénateur commençait à se faire sérieusement désirer mais il n’apparaissait pas. Sa fille, en revanche, montrait le bout de son nez. Il l’interpella lorsqu’elle arriva non loin de sa table.
▬ Bonjour River, tu n’aurais pas vu ton père ? - ses doigts tapotaient doucement sur la tablette qu’il consultait juste avant - J’ai rendez-vous avec lui mais il n’est toujours pas arrivé.
L’agacement n’était pas encore de la partie mais il allait de soi que ça ne saurait tarder. Ah, on ne le referait pas.
▬ Ce vieux renard s’est enfin décidé, ce n’est pas trop tôt.
Après s’être levé et sorti de son bureau, il fit signe à sa secrétaire. Il fallait annuler tous les rendez-vous de la journée. Son attention allait entièrement se tourner vers la réalisation de son projet. Le prestige qui en découlerait serait inestimable. Après tout, devenir l’unique fournisseur du Sénat (et de peut-être plus encore) était bien loin d’être à la portée de tout le monde et ça l’est tout autant pour ses confrères dans l’agroalimentaire.
C’était bien simple, il avait rendez-vous avec son associé du jour dans le restaurant le plus huppé de la région. Honnêtement, il n’y allait pas de main-morte celui-là. Et ce n’était certainement pas pour déplaire à la chevelure de jais. Il ne s’agissait là que d’un lieu à sa hauteur, digne de lui si on veut.
La route s’était faite un peu longue mais peu importait finalement. Face à la devanture de l’établissement de renom qu’il ne connaissait que trop bien, le Cervantes jeta un bref coup d’oeil aux alentours. Aucun signe du sénateur ou d’un de ses assistants. Etrange mais l’homme en ferait l’impasse, un retard était toujours pardonnable malgré le fait que cela concernait les affaires. Il allait laisser couler, M. Collingwood pouvait se le permettre. Pour l’instant, du moins.
Une fois à l’intérieur, l’accueil était fidèle à ce qu’en disaient les critiques culinaires mais aussi, rien n’avait changé depuis sa dernière visite. Et c’était sans doute pour le mieux. Prenant place là où il devait être, il se mit à patienter. La présence du sénateur commençait à se faire sérieusement désirer mais il n’apparaissait pas. Sa fille, en revanche, montrait le bout de son nez. Il l’interpella lorsqu’elle arriva non loin de sa table.
▬ Bonjour River, tu n’aurais pas vu ton père ? - ses doigts tapotaient doucement sur la tablette qu’il consultait juste avant - J’ai rendez-vous avec lui mais il n’est toujours pas arrivé.
L’agacement n’était pas encore de la partie mais il allait de soi que ça ne saurait tarder. Ah, on ne le referait pas.
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
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Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
Les manigances de Sir Collingwood
River Shelby & Maluma Cervantes
C’est à reculons et sans grande envie ni motivation que tu retournes à Caelum. T’aurais aimé qu’il décide de rester muet plus longtemps, qu’il boude dans son coin sans venir t’importuner. Après tout, tu l’as vexé, ton cher père, en épousant un homme qu’il ne considère pas digne de toi. Mais, dans son message, tu y vois un peu d’espoir. Il veut te voir. Te parler qu’il dit. Ça semble important. Alors toi, tu t’imagines qu’il veut peut-être s’excuser, renouer avec toi et passer par-dessus ces dernières années chaotiques entre vous.
Un rendez-vous donné dans le restaurant le plus huppé de la ville, alors, tu as fait des efforts. Tu fais toujours des efforts après tout. Une robe élégante, qui a sa place dans un tel établissement, assez sobre tout de même car bon, ce n’est qu’avec ton père que tu vas manger. Des escarpins à la semelle rouge si facilement reconnaissable et quelques bijoux pour ajouter un zéro à cette tenue déjà hors de prix.
Une fois dans l’établissement, tu prononces le nom de ton père à l’homme qui vient l'accueillir, une table ayant bien évidemment été réservée par ce dernier. Tu t’avanças au travers les tables jusque dans un coin un peu plus reculé pour finalement arrivée à une table pour deux. Un homme se trouvait déjà assis face à toi et, de toute évidence, il ne s’agissait pas de ton père. Plus jeune, le teint plus basané, aucun doute n’était possible, même avec trop d’heures passées au salon de bronzage. Puis, tu le connaissais, ce jeune homme élégamment vêtu qui te faisait face.
- Maluma ? Tu attends mon père ?
Les secondes s’écoulent en silence alors que tu réfléchis à la situation. Pourquoi ton père aurait organisé un rendez-vous d’affaire une soirée où il voulait te parler en tête à tête ? Un brin confuse, tu te décides d’attraper ton NéroVID pour avoir le plaisir d’y lire un message de ton père : il le savait à quel point tu avais horreur des gens non ponctuel, mettant ainsi un point d’honneur à être à l’heure. Un soupir s’échappa de tes lèvres, peut-être même un rire nerveux, voir désabusée face à l’audace de ton géniteur. Tu tiras sur ta chaise, prenant place à la table avant de lever tes prunelles émeraudes vers celui avec qui, semblerait-il, tu allais passer la soirée.
La bonne blague.
- Alors, j’ai le malheur de t’annoncer que tu t’es déplacé pour rien et je m’excuse de la part de mon père pour avoir pris de ton temps pour ses enfantillages.
Un serveur se présenta, déposant des verres d’eau et s’intéressant à savoir si vous souhaitiez avoir autre chose à boire. Tu demandas une bouteille de vin, un classique, avant de reporter ton attention vers ton interlocuteur.
- Mon mariage ne semble pas spécialement lui plaire, au point où il m’organise des rendez-vous surprise.
Ridicule.
- Alors, si tu as envie de saler une facture qu’il se devra de payer, tu peux rester ici avec moi. Puis, ça fait un moment que tu n’es pas passé à la maison. Quoi de neuf depuis votre expédition au désert ?
Il s’agissait d’un ami de ton époux, que tu avais appris à connaître depuis le temps. Alors tu te montrais polie, intéressée aussi quant à son quotidien, le questionnant sur ce qu’il pourrait avoir d’intéressant (ou peu intéressant) à raconter. Puis, tu avais faim, tu étais loin de chez toi, Nathan avait disparu tu ne savais trop où pour la soirée, alors, tu pouvais au moins profiter de ce repas au sein du restaurant pour lequel il était si difficile d’obtenir une table.
Un rendez-vous donné dans le restaurant le plus huppé de la ville, alors, tu as fait des efforts. Tu fais toujours des efforts après tout. Une robe élégante, qui a sa place dans un tel établissement, assez sobre tout de même car bon, ce n’est qu’avec ton père que tu vas manger. Des escarpins à la semelle rouge si facilement reconnaissable et quelques bijoux pour ajouter un zéro à cette tenue déjà hors de prix.
Une fois dans l’établissement, tu prononces le nom de ton père à l’homme qui vient l'accueillir, une table ayant bien évidemment été réservée par ce dernier. Tu t’avanças au travers les tables jusque dans un coin un peu plus reculé pour finalement arrivée à une table pour deux. Un homme se trouvait déjà assis face à toi et, de toute évidence, il ne s’agissait pas de ton père. Plus jeune, le teint plus basané, aucun doute n’était possible, même avec trop d’heures passées au salon de bronzage. Puis, tu le connaissais, ce jeune homme élégamment vêtu qui te faisait face.
- Maluma ? Tu attends mon père ?
Les secondes s’écoulent en silence alors que tu réfléchis à la situation. Pourquoi ton père aurait organisé un rendez-vous d’affaire une soirée où il voulait te parler en tête à tête ? Un brin confuse, tu te décides d’attraper ton NéroVID pour avoir le plaisir d’y lire un message de ton père : il le savait à quel point tu avais horreur des gens non ponctuel, mettant ainsi un point d’honneur à être à l’heure. Un soupir s’échappa de tes lèvres, peut-être même un rire nerveux, voir désabusée face à l’audace de ton géniteur. Tu tiras sur ta chaise, prenant place à la table avant de lever tes prunelles émeraudes vers celui avec qui, semblerait-il, tu allais passer la soirée.
La bonne blague.
- Alors, j’ai le malheur de t’annoncer que tu t’es déplacé pour rien et je m’excuse de la part de mon père pour avoir pris de ton temps pour ses enfantillages.
Un serveur se présenta, déposant des verres d’eau et s’intéressant à savoir si vous souhaitiez avoir autre chose à boire. Tu demandas une bouteille de vin, un classique, avant de reporter ton attention vers ton interlocuteur.
- Mon mariage ne semble pas spécialement lui plaire, au point où il m’organise des rendez-vous surprise.
Ridicule.
- Alors, si tu as envie de saler une facture qu’il se devra de payer, tu peux rester ici avec moi. Puis, ça fait un moment que tu n’es pas passé à la maison. Quoi de neuf depuis votre expédition au désert ?
Il s’agissait d’un ami de ton époux, que tu avais appris à connaître depuis le temps. Alors tu te montrais polie, intéressée aussi quant à son quotidien, le questionnant sur ce qu’il pourrait avoir d’intéressant (ou peu intéressant) à raconter. Puis, tu avais faim, tu étais loin de chez toi, Nathan avait disparu tu ne savais trop où pour la soirée, alors, tu pouvais au moins profiter de ce repas au sein du restaurant pour lequel il était si difficile d’obtenir une table.
HRP :
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
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Visiblement, la surprise était au rendez-vous pour les deux personnes ici présentes. Vieux renard hein, Maluma n’était apparemment loin d’être au bout de ses peines. Enfin, façon de parler. River n’était pas quelqu’un de désagréable, bien qu’il avait en tête meilleure compagnie pour ce genre de scène. Mais qu’importait au final.
Je vois. Cela lui ressemble bien. - il sourit en se frottant le front ; se faire berner n’est jamais agréable, surtout avec un égo tel que le sien - Le mariage hein...
Voilà bien de sombres histoires. Un homme de pouvoir refusant à tout prix - envers et contre tout - que sa fille puisse être promise à un roturier (ou pire), on se serait cru dans une caricature de la Kalos du seizième siècle. Seulement, il n’était plus question de cette époque mais aussi, la jeune femme avait l’âge de prendre ses propres décisions. Eh bien, il semblerait qu’ici, à Nérova, les sénateurs s’en permettaient bien plus qu’ils ne souhaitaient le laisser paraître. Ou bien était-ce monnaie-courante ? Allez savoir.
Faisons cela. - c’est grossier mais de bonne guerre - L’expédition au désert ? - un court silence ; il se gratte le menton - Nous sommes allés visiter quelques endroits sans importance et nos chemins se sont séparés quand des aguicheuses ont commencés à nous prendre à parti. - il s’allume une clope en observant autour de lui - Une bien sombre histoire si tu veux mon avis.
Mais il laisserait à Nathan tout le loisir d’expliquer son absence prolongée à son retour. Pur et exempt de tout reproche de ce type, il n’avait pas à s’exprimer là-dessus. Et puis, il en avait sans doute déjà trop dit. Tant qu’ils étaient là, autant faire la discussion - comme l’invitait si tranquillement (j’ai pas trouvé d’autre mot ??) sa compatriote.
▬ Il faut dire que nous ne savons pas grand chose l’un sur l’autre. - et à raison - Parles moi de tes ambitions, tu comptes rester dans l’ombre de ton père et le laisser continuer à agir ainsi ? - le vin arrive et on lui en sert une quantité raisonnable ; il en hume les arômes - Ou bien la petite River Collingwood nourri secrètement des projets pour sa propre personne ?
Il se mettait alors doucement à boire. Un soupçon de curiosité prenait le pas sur la mauvaise attitude de son paternel. Et puis… sur un malentendu, cela pourrait se révéler vraiment intéressant. Le pense t-il vraiment ? Boarf.
Je vois. Cela lui ressemble bien. - il sourit en se frottant le front ; se faire berner n’est jamais agréable, surtout avec un égo tel que le sien - Le mariage hein...
Voilà bien de sombres histoires. Un homme de pouvoir refusant à tout prix - envers et contre tout - que sa fille puisse être promise à un roturier (ou pire), on se serait cru dans une caricature de la Kalos du seizième siècle. Seulement, il n’était plus question de cette époque mais aussi, la jeune femme avait l’âge de prendre ses propres décisions. Eh bien, il semblerait qu’ici, à Nérova, les sénateurs s’en permettaient bien plus qu’ils ne souhaitaient le laisser paraître. Ou bien était-ce monnaie-courante ? Allez savoir.
Faisons cela. - c’est grossier mais de bonne guerre - L’expédition au désert ? - un court silence ; il se gratte le menton - Nous sommes allés visiter quelques endroits sans importance et nos chemins se sont séparés quand des aguicheuses ont commencés à nous prendre à parti. - il s’allume une clope en observant autour de lui - Une bien sombre histoire si tu veux mon avis.
Mais il laisserait à Nathan tout le loisir d’expliquer son absence prolongée à son retour. Pur et exempt de tout reproche de ce type, il n’avait pas à s’exprimer là-dessus. Et puis, il en avait sans doute déjà trop dit. Tant qu’ils étaient là, autant faire la discussion - comme l’invitait si tranquillement (j’ai pas trouvé d’autre mot ??) sa compatriote.
▬ Il faut dire que nous ne savons pas grand chose l’un sur l’autre. - et à raison - Parles moi de tes ambitions, tu comptes rester dans l’ombre de ton père et le laisser continuer à agir ainsi ? - le vin arrive et on lui en sert une quantité raisonnable ; il en hume les arômes - Ou bien la petite River Collingwood nourri secrètement des projets pour sa propre personne ?
Il se mettait alors doucement à boire. Un soupçon de curiosité prenait le pas sur la mauvaise attitude de son paternel. Et puis… sur un malentendu, cela pourrait se révéler vraiment intéressant. Le pense t-il vraiment ? Boarf.
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
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Les manigances de Sir Collingwood
River Shelby & Maluma Cervantes
Oui, ça lui ressemblait, bien que, honnêtement, tu n’aurais jamais cru qu’il en serait aller jusque là pour exprimer son mécontentement vis-à-vis de ton mariage. L’ironie était sûrement que l’homme qui se trouvait devant toi, tu le connaissais, un ami dudit époux que ton père détestait tant. Ou, tout du moins, qu’il ne s’était jamais donné la peine de rencontrer, pour dire vrai. Assise face à lui, tu t’intéressas alors à ce qu’il pouvait bien raconter, n’en sachant pas plus que ce que Nathan t’avait raconté sur leur sortie dans le désert, de laquelle il était sorti avec un compagnon chromatique, de ce que tu avais compris.
La suite t’arracha un sourire, roulant des yeux sans en faire tout un plat. Croyais-tu Nathan capable de suivre ces demoiselles évoquées ? C’était peut-être naïf, mais au fil du temps, des mois, des moments passés ensemble et ce que vous avez traversé, tu avais une confiance absolue en lui. Était-ce une bonne chose ? En observant la bague qui trônait sur ton doigt répondait pour toi.
- Rester dans son ombre ? Non, pas spécialement. C’est en partie pour cela que j’ai pris le nom de Nathan.
Madame Shelby. Bon, officiellement, tu portais aussi le nom de ton père, Collingwood, mais rares étaient les fois que tu signais avec ce dernier. Cela lorsque tu pouvais en tirer quelque chose, pour être honnête. Était-ce hypocrite ? Sans doute. Mais tu ne pouvais pas non plus tirer un trait sur les avantages que tu pouvais obtenir grâce à ton père.
- Mais rejoindre le sénat ne m’a jamais intéressé, je n’ai même pas étudié dans le domaine. Il y a beaucoup de laboratoires de recherche à Alnora, alors, j’hésite à en rejoindre un. Ou poursuivre mes études et obtenir un doctorat. C’est encore en réflexion.
Pour le moment, tu vivais sur cet argent pour lequel tu n’avais pas travaillé, cette richesse possédée par les Collingwood depuis plusieurs générations désormais.
- Et toi, j’imagine que tu dois être occupé, avec la popularité de ton entreprise ? Tu devais rencontrer mon père pour quoi au fait ?
Curieuse de ce qu’il lui avait suggéré pour qu’il se déplace jusqu’ici, tu portas ensuite ta coupe de vin à tes lèvres, parcourant des yeux le menu pour faire ton choix. Sans doute allais-tu opter pour ce qu’il y avait de plus cher. Oh, ton père ne s’en soucierait pas réellement, mais c’était une façon comme une autre que d’exprimer ton mécontentement vis-à-vis de ses initiatives qui ne te plaisaient guère.
La suite t’arracha un sourire, roulant des yeux sans en faire tout un plat. Croyais-tu Nathan capable de suivre ces demoiselles évoquées ? C’était peut-être naïf, mais au fil du temps, des mois, des moments passés ensemble et ce que vous avez traversé, tu avais une confiance absolue en lui. Était-ce une bonne chose ? En observant la bague qui trônait sur ton doigt répondait pour toi.
- Rester dans son ombre ? Non, pas spécialement. C’est en partie pour cela que j’ai pris le nom de Nathan.
Madame Shelby. Bon, officiellement, tu portais aussi le nom de ton père, Collingwood, mais rares étaient les fois que tu signais avec ce dernier. Cela lorsque tu pouvais en tirer quelque chose, pour être honnête. Était-ce hypocrite ? Sans doute. Mais tu ne pouvais pas non plus tirer un trait sur les avantages que tu pouvais obtenir grâce à ton père.
- Mais rejoindre le sénat ne m’a jamais intéressé, je n’ai même pas étudié dans le domaine. Il y a beaucoup de laboratoires de recherche à Alnora, alors, j’hésite à en rejoindre un. Ou poursuivre mes études et obtenir un doctorat. C’est encore en réflexion.
Pour le moment, tu vivais sur cet argent pour lequel tu n’avais pas travaillé, cette richesse possédée par les Collingwood depuis plusieurs générations désormais.
- Et toi, j’imagine que tu dois être occupé, avec la popularité de ton entreprise ? Tu devais rencontrer mon père pour quoi au fait ?
Curieuse de ce qu’il lui avait suggéré pour qu’il se déplace jusqu’ici, tu portas ensuite ta coupe de vin à tes lèvres, parcourant des yeux le menu pour faire ton choix. Sans doute allais-tu opter pour ce qu’il y avait de plus cher. Oh, ton père ne s’en soucierait pas réellement, mais c’était une façon comme une autre que d’exprimer ton mécontentement vis-à-vis de ses initiatives qui ne te plaisaient guère.
HRP :
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
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Ainsi tout cela avait - en partie du moins - pour raison de pouvoir battre soi-même des ailes. Enfin, ce n’était pas complètement gagné pour autant. Il lui fallait encore faire ses preuves. Un léger rictus venait s’inviter sur les traits du Cervantes à ces simples pensées, cela lui rappelait tant ; cela lui rappelait l’époque où il n’était encore qu’un putain de pauvre. Sombre époque si vous voulez mon avis.
▬ Alnora ? Je vois, l’hésitation entre cette ville et Asteria n’a pas dû être bien longue. - la vie était des plus agréables à la capitale - Eh bien ma foi, que la réussite soit tienne.
Vingt-quatre ans et pas foutue de savoir ce qu’elle voulait faire de sa vie. C’était légèrement peinant mais bon, certains pouvaient se le permettre (contrairement à d’autres) donc cette pensée n’avait même pas lieu d’être. D’un autre côté, pouvait-on réellement l’en en blâmer ? Alors ça, Maluma en avait encore moins quelque chose à faire. Donc le débat était juste clos.
▬ Pour de simples modalités.
Il déposait le verre face à lui puis fit signe au garçon d’approcher, d’un sourire certain il lui annonçait la couleur de la commande.
▬ L'entièreté de votre carte je vous prie. - et au moment où le serveur repart, il retient son attention ; levant un doigt (l’index), il poursuit - Un peu de violon ne serait pas de refus mon brave.
Toutes les prestations allaient être facturées et si le vieux renard ne s’en douterait pas le moins du monde, son trésorier manquerait peut-être d’avoir une attaque en recevant la note de ce soir.
▬ Les différents marchés que j’exploite ne me sont pas suffisants, loin de là. - homme ambitieux bonjour - Si le monde s’arrache les différents jus (ou autres boissons), il me manque encore quelques contacts afin de parfaire mon réseau, parachever mon monopole.
Sur sa tablette arrivait une notification. Ah, il ne s’agissait que de la femme à la chevelure verte pomme. Elle attendrait, présumait seul et bien de manière présomptueuse Maluma.
▬ Si jamais tu as des amis dans la famille royale, tu pourrais bien me rendre service.
Ironique ; Qu’il était beau de rêver. Et honnêtement, si elle pouvait lui apporter son aide, il l’a refuserait par orgueil. Arriver jusqu’ici pour finalement gravir la dernière marche de l’escalier en se faisant tenir la main… On faisait difficilement plus humiliant pour lui.
▬ Sur quoi pourraient bien porter vos fameuses recherches, Dame Shelby.
Parfois, il fallait savoir mettre les formes. Sah.
▬ Alnora ? Je vois, l’hésitation entre cette ville et Asteria n’a pas dû être bien longue. - la vie était des plus agréables à la capitale - Eh bien ma foi, que la réussite soit tienne.
Vingt-quatre ans et pas foutue de savoir ce qu’elle voulait faire de sa vie. C’était légèrement peinant mais bon, certains pouvaient se le permettre (contrairement à d’autres) donc cette pensée n’avait même pas lieu d’être. D’un autre côté, pouvait-on réellement l’en en blâmer ? Alors ça, Maluma en avait encore moins quelque chose à faire. Donc le débat était juste clos.
▬ Pour de simples modalités.
Il déposait le verre face à lui puis fit signe au garçon d’approcher, d’un sourire certain il lui annonçait la couleur de la commande.
▬ L'entièreté de votre carte je vous prie. - et au moment où le serveur repart, il retient son attention ; levant un doigt (l’index), il poursuit - Un peu de violon ne serait pas de refus mon brave.
Toutes les prestations allaient être facturées et si le vieux renard ne s’en douterait pas le moins du monde, son trésorier manquerait peut-être d’avoir une attaque en recevant la note de ce soir.
▬ Les différents marchés que j’exploite ne me sont pas suffisants, loin de là. - homme ambitieux bonjour - Si le monde s’arrache les différents jus (ou autres boissons), il me manque encore quelques contacts afin de parfaire mon réseau, parachever mon monopole.
Sur sa tablette arrivait une notification. Ah, il ne s’agissait que de la femme à la chevelure verte pomme. Elle attendrait, présumait seul et bien de manière présomptueuse Maluma.
▬ Si jamais tu as des amis dans la famille royale, tu pourrais bien me rendre service.
Ironique ; Qu’il était beau de rêver. Et honnêtement, si elle pouvait lui apporter son aide, il l’a refuserait par orgueil. Arriver jusqu’ici pour finalement gravir la dernière marche de l’escalier en se faisant tenir la main… On faisait difficilement plus humiliant pour lui.
▬ Sur quoi pourraient bien porter vos fameuses recherches, Dame Shelby.
Parfois, il fallait savoir mettre les formes. Sah.
by Lyxiae
- River C. Shelby
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Les manigances de Sir Collingwood
River Shelby & Maluma Cervantes
Asteria avait été tentant, très tentant même, compte tenu qu’il s’agissait de l’endroit où se réunissait la majorité des chercheurs. Toutefois, tu avais finalement opter pour la capitale, préférant tout de même les grandes villes. Puis, tu n’étais pas limitée dans tes déplacements et ils n’étaient pas rares les moments où tu poursuivais ta route jusqu’au désert. Bien que, ces derniers temps, tu avais surtout profiter de bonnes vacances, d’un peu de repos et de quelques moments de réflexion quant à comment est-ce que l’avenir se dessinerait pour toi. Tu pouvais te permettre de prendre ton temps, rien n’était réellement pressant. Travailler n’était qu’une option, quelque chose que tu envisageais car le sujet te passionnait, tout simplement.
Ton sourire s’étira en entendant sa commande, la facture allant sans aucun doute s’élever dans les quatre chiffres. C’était bien tout ce que méritait ton père après tout ça. Quant à sa réponse, étais-tu réellement surprise ? Non, pas spécialement. Tu le savais ambitieux, autrement, il n’en serait pas là où il en était aujourd’hui. Et ça, c’était tout à son honneur. Toi, tu faisais ce qui te plaisait, ce qui te passionnait, tout ça par intérêt, les journées étant trop longues autrement. Mais tu n’avais jamais eu besoin de travailler ou de faire de quelconque efforts en ce sens.
- Je n’oublierai pas de te filer le numéro, si j’arrive à obtenir un contact au sein de la famille royale.
Tu n’étais pas bien sérieuse, bien que, à vrai dire, peut-être pouvais-tu y arriver. Après tout, ton arrière-arrière-grand-mère avait troqué le nom Cor Nérova pour Collingwood et donc, en cherchant de ce côté-là de ta famille, auprès d’oncles, de tantes et de grandes tantes, peut-être que tu pourrais obtenir un contact. Le voulait-il réellement ?
- Vite fait, les pokémons et l’influence qu’a leur environnement sur eux. Du moins, ça a été le sujet de mon mémoire et j’hésite à pousser jusqu’à la thèse. Il y a encore tant que l’on ne connaît pas ou que l’on ne comprend pas, concernant les pokémons, que ce serait impossible de tout découvrir en si peu de temps.
C’était ce que tu avais au travers tes études.
- La méga-évolution, par exemple. Voir même les différentes formes qu’ont adopté les pokémons, en fonction de l’endroit où ils se trouvent.
Tu parlais notamment des Goupix, des Sabelette ou encore des Raichu. Nombreux étaient ceux à être complètement d’un autre type, n’ayant que l’apparence semblable à ceux qui avaient sûrement autrefois appartenu à la même espèce. Tu avais cependant conscience que le sujet n’était sans doute pas des plus intéressants pour ceux qui ne s’en souciaient pas spécialement.
- C’est toujours mieux que de passer la journée derrière un bureau, si tu veux mon avis.
Ce que faisait ton père. Chose que tu ne supporterais pas, quand bien même appréciais-tu ton petit confort. La première assiette arriva, accompagnée de deux autres, en même temps qu’une douce musique parvenait à vos oreilles. Le début d’une soirée qui allait être beaucoup plus dispendieuse que ce que tu avais cru au départ, Maluma ayant fait preuve d’une certaine audace qui t’avait plu en ne prenant même pas la peine de choisir un plat.
Ton sourire s’étira en entendant sa commande, la facture allant sans aucun doute s’élever dans les quatre chiffres. C’était bien tout ce que méritait ton père après tout ça. Quant à sa réponse, étais-tu réellement surprise ? Non, pas spécialement. Tu le savais ambitieux, autrement, il n’en serait pas là où il en était aujourd’hui. Et ça, c’était tout à son honneur. Toi, tu faisais ce qui te plaisait, ce qui te passionnait, tout ça par intérêt, les journées étant trop longues autrement. Mais tu n’avais jamais eu besoin de travailler ou de faire de quelconque efforts en ce sens.
- Je n’oublierai pas de te filer le numéro, si j’arrive à obtenir un contact au sein de la famille royale.
Tu n’étais pas bien sérieuse, bien que, à vrai dire, peut-être pouvais-tu y arriver. Après tout, ton arrière-arrière-grand-mère avait troqué le nom Cor Nérova pour Collingwood et donc, en cherchant de ce côté-là de ta famille, auprès d’oncles, de tantes et de grandes tantes, peut-être que tu pourrais obtenir un contact. Le voulait-il réellement ?
- Vite fait, les pokémons et l’influence qu’a leur environnement sur eux. Du moins, ça a été le sujet de mon mémoire et j’hésite à pousser jusqu’à la thèse. Il y a encore tant que l’on ne connaît pas ou que l’on ne comprend pas, concernant les pokémons, que ce serait impossible de tout découvrir en si peu de temps.
C’était ce que tu avais au travers tes études.
- La méga-évolution, par exemple. Voir même les différentes formes qu’ont adopté les pokémons, en fonction de l’endroit où ils se trouvent.
Tu parlais notamment des Goupix, des Sabelette ou encore des Raichu. Nombreux étaient ceux à être complètement d’un autre type, n’ayant que l’apparence semblable à ceux qui avaient sûrement autrefois appartenu à la même espèce. Tu avais cependant conscience que le sujet n’était sans doute pas des plus intéressants pour ceux qui ne s’en souciaient pas spécialement.
- C’est toujours mieux que de passer la journée derrière un bureau, si tu veux mon avis.
Ce que faisait ton père. Chose que tu ne supporterais pas, quand bien même appréciais-tu ton petit confort. La première assiette arriva, accompagnée de deux autres, en même temps qu’une douce musique parvenait à vos oreilles. Le début d’une soirée qui allait être beaucoup plus dispendieuse que ce que tu avais cru au départ, Maluma ayant fait preuve d’une certaine audace qui t’avait plu en ne prenant même pas la peine de choisir un plat.
HRP :
Lyxiae
- Maluma Cervantes
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Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
Ainsi donc elle expliquait en quoi consistait sa passion, ce qui visiblement la faisait vibrer. C’était quelque chose que ne connaissait pas vraiment Maluma. Les hobbies faisaient perdre du temps à l’être humain mais lui permettait de se détendre. Quels étaient les siens ? Sans doute de martyriser de pauvres cadres sans ambition, diraient certains. Quant à d’autres, ils pouvaient conjecturer que son passe-temps favori n’était autre que le fait de relever chaque jour de nouveau défi. Et alliant l’agréable à l’utile, il faisait de ses challenges des objectifs professionnels.
De quoi ne pas perdre le Nord, en somme.
▬ C’est louable. - quelque part - Du moment que l’inconnu subsistera, il y aura toujours des rêveurs pour tenter de percer leurs mystères.
Et c’était bien vrai. En traitant le sujet de la méga-évolution, les iris de la peau sombre se relevèrent pour se concentrer sur River. Voilà quelque chose d’intéressant mais de laquelle il ne savait que peu de détails. Il s’était fixé comme objectif de littéralement rassembler un arsenal vivant de pokémon pour l’avenir. Ne sachant pas de quoi demain était fait, il fallait être opérationnels et ce, sur tous les fronts.
▬ Cette méga-évolution dont tu parles. - il montre légèrement un certain intérêt - Que peux-tu m’en dire pour l’instant ?
Honnêtement, personne ne pouvait le lui dire mais croyait-il que River était en mission pour lui ou bien travaillait pour la Campania Cervantes ? M’enfin. Une simple étourderie que voici, rien de méchant à première vue.
▬ Je suis bien d’accord. - en regardant les plats arriver - La Terre est bien trop vaste pour se contenter de ne gouverner qu’une poignée d’hommes.
Cela était en rapport au Sénat mais pouvait très bien servir d’analogie à plus ou moins tout et n’importe quoi.
▬ Et il en va de même pour les chercheurs. - il étouffe sa cigarette pour ne pas empoisonner les mets raffinés - Se limiter à son jardin peut vite devenir lassant.
Puis, repensant aux aventures phénoménales dans le désert, une question subite lui vint à l’esprit. Peut-être était-elle de trop.
▬ D’ailleurs, peut-être est-ce indiscret, mais as-tu réellement jeté ton dévolu sur Nathan par pure passion ou bien était-ce, possiblement, en premier lieu dans le but de défier ton père ?
Esquissant un sourire en soupirant doucement à la vue des notifications qui s’accumulaient, il mettait simplement sa tablette en mode veille. Pour ce qui était de River, il ne se permettrait pas de juger ses prises de décisions. Après tout, elle n’avait pas complètement fini de grandir.
De quoi ne pas perdre le Nord, en somme.
▬ C’est louable. - quelque part - Du moment que l’inconnu subsistera, il y aura toujours des rêveurs pour tenter de percer leurs mystères.
Et c’était bien vrai. En traitant le sujet de la méga-évolution, les iris de la peau sombre se relevèrent pour se concentrer sur River. Voilà quelque chose d’intéressant mais de laquelle il ne savait que peu de détails. Il s’était fixé comme objectif de littéralement rassembler un arsenal vivant de pokémon pour l’avenir. Ne sachant pas de quoi demain était fait, il fallait être opérationnels et ce, sur tous les fronts.
▬ Cette méga-évolution dont tu parles. - il montre légèrement un certain intérêt - Que peux-tu m’en dire pour l’instant ?
Honnêtement, personne ne pouvait le lui dire mais croyait-il que River était en mission pour lui ou bien travaillait pour la Campania Cervantes ? M’enfin. Une simple étourderie que voici, rien de méchant à première vue.
▬ Je suis bien d’accord. - en regardant les plats arriver - La Terre est bien trop vaste pour se contenter de ne gouverner qu’une poignée d’hommes.
Cela était en rapport au Sénat mais pouvait très bien servir d’analogie à plus ou moins tout et n’importe quoi.
▬ Et il en va de même pour les chercheurs. - il étouffe sa cigarette pour ne pas empoisonner les mets raffinés - Se limiter à son jardin peut vite devenir lassant.
Puis, repensant aux aventures phénoménales dans le désert, une question subite lui vint à l’esprit. Peut-être était-elle de trop.
▬ D’ailleurs, peut-être est-ce indiscret, mais as-tu réellement jeté ton dévolu sur Nathan par pure passion ou bien était-ce, possiblement, en premier lieu dans le but de défier ton père ?
Esquissant un sourire en soupirant doucement à la vue des notifications qui s’accumulaient, il mettait simplement sa tablette en mode veille. Pour ce qui était de River, il ne se permettrait pas de juger ses prises de décisions. Après tout, elle n’avait pas complètement fini de grandir.
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
Argent : 330
Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
Les manigances de Sir Collingwood
River Shelby & Maluma Cervantes
C’était aussi pour cela que tu te refusais de faire ta vie derrière un bureau. Tu étais une princesse ennuyée par un quotidien barbant, ancienne prisonnière de cette tour dorée dont tu t’étais émancipée. Tu étais du genre passionnée mais, tu te lassais tout aussi rapidement que tu jetais ton dévolu sur tes nouveaux centres d’intérêt. Il y avait, certes, quelques trucs auxquels tu t’étais raccrochée, mais ça, c’était sans doute parce qu’il y en avait toujours plus à découvrir. Comme la recherche pokémon qui restait, en grande partie, un mystère absolu pour l’humain, faibles créatures face à celles capable de détruire et reconstruire le monde (d’après les légendes).
Tu fis mine de réfléchir à sa question, prenant quelques instants pour formuler ta réponse dans ton esprit, n’en sachant pas vraiment plus que ce que quelques rapports scientifiques racontaient sur le sujet.
- Et bien, il y a deux conditions pour que la méga-évolution puisse se produire. La première est qu’il faut posséder une méga-gemme pour le pokémon ainsi qu’une gemme sésame pour le dresseur. C’est ce qui parvient à faire le lien entre les deux et m’amène au deuxième point : la relation entre les deux. Il faut un lien fort entre un dresseur et son pokémon pour que le pokémon puisse déployer sa pleine puissance.
Tu attrapas ton verre de vin pour en prendre une gorgée avant de poursuivre.
- Cela n’est toutefois accessible qu’à quelques espèces seulement. On ne sait pas vraiment pourquoi eux plutôt que d’autres sachant qu’il ne semble y avoir aucune corrélation entre les différentes espèces.
Tu savais que ta Mysdibule pourrait méga-évoluer. Tu n’avais aucune crainte quant à votre relation, cette dernière ayant une confiance absolue en toi. Il te faudrait te dégoter une méga-gemme, mais ça, tu ne t’en faisais pas non plus : ton père avait des bons contacts. Cela dépendrait surtout de Jenna et de la façon dont elle évoluerait, avec le temps. Pour l’instant beaucoup trop craintive, tu ne comptais pas la mettre face à un adversaire.
La suite t’amusa, ne serait-ce que parce que certains pouvaient sans doute voir la situation ainsi. Ton père le faisait bien, assumant que Nathan n’était là que parce que tu t’opposais à lui. Alors qu’à tes yeux, la réalité était toute autre.
- Je dirais par pure passion. Bien que, si j’étais honnête, c’est peut-être surtout un concours de circonstance. Je m’étais un peu isolée, faute de mes études et lui n’avait nul part où aller. À la base, il devait rester que quelques nuits, je lui filais un coup de main tu vois. Puis finalement…
La suite, tout le monde la connaissait, après tout, tu portais son nom et tua vais cette bague qui te disait sienne.
- Et toi ? Est-ce que tes parents se sont montrés contrôlant de tes relations ? Ils aiment bien Helga ?
Il fallait bien faire la discussion, le repas étant à peine commencé, quelques assiettes étant arrivées devant vous. Vous aviez une bouteille à boire, de nombreux plats à goûter et puis, tu n’y pouvais rien, tu étais une femme et la vie sentimentale de ceux t’entourant avait toujours un certain intérêt.
Tu fis mine de réfléchir à sa question, prenant quelques instants pour formuler ta réponse dans ton esprit, n’en sachant pas vraiment plus que ce que quelques rapports scientifiques racontaient sur le sujet.
- Et bien, il y a deux conditions pour que la méga-évolution puisse se produire. La première est qu’il faut posséder une méga-gemme pour le pokémon ainsi qu’une gemme sésame pour le dresseur. C’est ce qui parvient à faire le lien entre les deux et m’amène au deuxième point : la relation entre les deux. Il faut un lien fort entre un dresseur et son pokémon pour que le pokémon puisse déployer sa pleine puissance.
Tu attrapas ton verre de vin pour en prendre une gorgée avant de poursuivre.
- Cela n’est toutefois accessible qu’à quelques espèces seulement. On ne sait pas vraiment pourquoi eux plutôt que d’autres sachant qu’il ne semble y avoir aucune corrélation entre les différentes espèces.
Tu savais que ta Mysdibule pourrait méga-évoluer. Tu n’avais aucune crainte quant à votre relation, cette dernière ayant une confiance absolue en toi. Il te faudrait te dégoter une méga-gemme, mais ça, tu ne t’en faisais pas non plus : ton père avait des bons contacts. Cela dépendrait surtout de Jenna et de la façon dont elle évoluerait, avec le temps. Pour l’instant beaucoup trop craintive, tu ne comptais pas la mettre face à un adversaire.
La suite t’amusa, ne serait-ce que parce que certains pouvaient sans doute voir la situation ainsi. Ton père le faisait bien, assumant que Nathan n’était là que parce que tu t’opposais à lui. Alors qu’à tes yeux, la réalité était toute autre.
- Je dirais par pure passion. Bien que, si j’étais honnête, c’est peut-être surtout un concours de circonstance. Je m’étais un peu isolée, faute de mes études et lui n’avait nul part où aller. À la base, il devait rester que quelques nuits, je lui filais un coup de main tu vois. Puis finalement…
La suite, tout le monde la connaissait, après tout, tu portais son nom et tua vais cette bague qui te disait sienne.
- Et toi ? Est-ce que tes parents se sont montrés contrôlant de tes relations ? Ils aiment bien Helga ?
Il fallait bien faire la discussion, le repas étant à peine commencé, quelques assiettes étant arrivées devant vous. Vous aviez une bouteille à boire, de nombreux plats à goûter et puis, tu n’y pouvais rien, tu étais une femme et la vie sentimentale de ceux t’entourant avait toujours un certain intérêt.
HRP :
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
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Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
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Les précisions concernant la méga-évolution étaient somme toute intéressantes, il les notait quelque part dans un coin de ta tête - là où il était sûr de ne jamais pouvoir les égarer (comme bien d’autres d’ailleurs). Et ainsi venaient les réponses concernant le deuxième meilleur homme à n’avoir jamais existé, derrière toi bien sûr (et de très loin). De la passion hein… Eh bien, tant mieux. Maluma ne se voulait pas être désireux d’une quelconque vérité et de toutes manières, peu de choses pouvaient vraiment la pousser à aller jusqu’à se marier avec ce bon à rien.Et puis, c’était aussi et surtout car c’était une variable qui n’influait nullement sur ses plans.
▬ Helga ?
Sa coupe disposée entre deux de ses doigts - les plus nobles, disait-on -, il observait son contenu en riant doucement, pour une fois qu’il ne faisait preuve d’aucune exubérance dans un de ses comportements.
▬ Comme tout parent, ils ont essayés de s’en mêler. - il hausse des épaules - Je ne pourrais jamais leur en vouloir. Et je les comprend, quelque part.
Il hoche négativement de la tête en concentrant son regard sur le vin qui tournoyait selon ses envies. Le breuvage était en tout point similaire au petit monde qui l’entourait, qui se mettait à courir très vite lorsqu’il entrait dans une colère noire ou bien qui se réunissait autour de lui quand la bonne humeur le prenait. Monde de marionnettes et d’hypocrites, cela le débectait au plus haut point de devoir les côtoyer quotidiennement.
▬ Après tout, leur fils unique et “ô combien talentueux” - il exagère un peu l’imitation de sa mère - s’était entiché d’une pauvre diminuée. Alors ils ont bien tentés des bassesses en tout genre et je pense que tu as assez d’imagination pour te faire une idée. Mais ! - il lève son index en direction de son interlocutrice tandis qu’il regarde encore le verre perdant en mouvement, il se lasse de ce jouet - ils avaient malencontreusement oubliés un petit détail.
Ses doigts se resserraient autour de l’objet et quelques fissures apparurent sur sa base, un soupçon d’éclat se cachait dans le bruit qui accompagnait l’événement. Le Cervantes redirigeait alors son regard vers la Collingwood et soupirait avant de reprendre en souriant.
▬ Maluma Cervantes fait ce que bon lui semble.
Alors, oui. C’était peut-être un majestueux “allez-vous faire foutre” pour sa part qu’il avait envoyé à ses géniteur, allez savoir. De toutes manières, le sujet de la chevelure d’émeraude avait toujours été épineux à aborder avec lui et ce n’était certainement pas demain que cela changerait. C’était sans trop s’avancer qu’elle pouvait aisément constituer un point faible pour lui mais qu’importait à ses yeux.
Sa main invitait River à attaquer les différents plats qu’on leur apportait, le gâchis n’était pas une belle chose après tout. Son verre levé dans sa direction, il désirait porter un toast qui risquait sans doute d’éclater la fabrication cristalline. Quelqu’un désirait s’en formaliser, peut-être ? Une était l’enfant d’un des hommes les plus puissants de la région et l’autre était un des ces hommes. Ils pouvaient bien brûler l’établissement, personne ne leur en tiendrait rigueur.
▬ À nos parents brillants et puisse la bonne santé les accompagner ! - ironie totale ; il mime le fait de rouspéter comme son vieux a l'habitude de le faire, faussement outré - Mais où diable est donc passé mon musicien ?
Un des serveurs montrait son incompréhension et Maluma en faisait de même, le spectacle dura quelques secondes et à mesure que l’insistance du Cervantes grandissait, l’employé se mit à courir chercher le violoniste. À la vue de ce dernier et ceci, il il hocha une dernière fois négativement la tête en riant.
▬ Ah, heureux sont les simples d’esprit. se disait-il à lui-même.
Une phrase toute faite mais qui avait parfaitement sa place ici.
▬ Helga ?
Sa coupe disposée entre deux de ses doigts - les plus nobles, disait-on -, il observait son contenu en riant doucement, pour une fois qu’il ne faisait preuve d’aucune exubérance dans un de ses comportements.
▬ Comme tout parent, ils ont essayés de s’en mêler. - il hausse des épaules - Je ne pourrais jamais leur en vouloir. Et je les comprend, quelque part.
Il hoche négativement de la tête en concentrant son regard sur le vin qui tournoyait selon ses envies. Le breuvage était en tout point similaire au petit monde qui l’entourait, qui se mettait à courir très vite lorsqu’il entrait dans une colère noire ou bien qui se réunissait autour de lui quand la bonne humeur le prenait. Monde de marionnettes et d’hypocrites, cela le débectait au plus haut point de devoir les côtoyer quotidiennement.
▬ Après tout, leur fils unique et “ô combien talentueux” - il exagère un peu l’imitation de sa mère - s’était entiché d’une pauvre diminuée. Alors ils ont bien tentés des bassesses en tout genre et je pense que tu as assez d’imagination pour te faire une idée. Mais ! - il lève son index en direction de son interlocutrice tandis qu’il regarde encore le verre perdant en mouvement, il se lasse de ce jouet - ils avaient malencontreusement oubliés un petit détail.
Ses doigts se resserraient autour de l’objet et quelques fissures apparurent sur sa base, un soupçon d’éclat se cachait dans le bruit qui accompagnait l’événement. Le Cervantes redirigeait alors son regard vers la Collingwood et soupirait avant de reprendre en souriant.
▬ Maluma Cervantes fait ce que bon lui semble.
Alors, oui. C’était peut-être un majestueux “allez-vous faire foutre” pour sa part qu’il avait envoyé à ses géniteur, allez savoir. De toutes manières, le sujet de la chevelure d’émeraude avait toujours été épineux à aborder avec lui et ce n’était certainement pas demain que cela changerait. C’était sans trop s’avancer qu’elle pouvait aisément constituer un point faible pour lui mais qu’importait à ses yeux.
Sa main invitait River à attaquer les différents plats qu’on leur apportait, le gâchis n’était pas une belle chose après tout. Son verre levé dans sa direction, il désirait porter un toast qui risquait sans doute d’éclater la fabrication cristalline. Quelqu’un désirait s’en formaliser, peut-être ? Une était l’enfant d’un des hommes les plus puissants de la région et l’autre était un des ces hommes. Ils pouvaient bien brûler l’établissement, personne ne leur en tiendrait rigueur.
▬ À nos parents brillants et puisse la bonne santé les accompagner ! - ironie totale ; il mime le fait de rouspéter comme son vieux a l'habitude de le faire, faussement outré - Mais où diable est donc passé mon musicien ?
Un des serveurs montrait son incompréhension et Maluma en faisait de même, le spectacle dura quelques secondes et à mesure que l’insistance du Cervantes grandissait, l’employé se mit à courir chercher le violoniste. À la vue de ce dernier et ceci, il il hocha une dernière fois négativement la tête en riant.
▬ Ah, heureux sont les simples d’esprit. se disait-il à lui-même.
Une phrase toute faite mais qui avait parfaitement sa place ici.
by Lyxiae
- River C. Shelby
Chercheur
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Les manigances de Sir Collingwood
River Shelby & Maluma Cervantes
Tu ne savais pas trop si tu aurais préféré que ton père aime bien Nathan. D’un côté, cela aurait sûrement pu calmer les tensions qui existaient entre le vieil homme et toi, mais, de l’autre, Nathan n’était qu’un affront de plus qui s’ajoutait à cette liste déjà longue. Tu n’aimais pas te faire dicter comment vivre ta vie et tu avais toujours fait ce que tu voulais. Après tout, si ton père était le premier à s’opposer à tes décisions qu’il disait comme étant frivoles, voir même immatures, il était aussi celui qui était incapable de te refuser quoi que ce soit. Fille unique aux traits rappelant sa défunte femme, il te chérissait, à sa manière. Parce qu’il était le premier à dire que c’était parce qu’il t’aimait qu’il ne supportait pas de te voir prendre de mauvaises décisions.
Tu pouvais donc comprendre Maluma, ou, du moins, un peu de ce qu’il avait vécu, ton père ayant aussi cherché à se mêler de ta relation. Même qu’il le faisait encore, comme le prouvait ta présence à cette table en compagnie d’un influent homme de la région. Ton père savait-il seulement qu’il était marié ? Sans doute pas. Ou alors il devait se dire la même chose que les parents du Cervantes, ce qui t’écoeurait un peu.
Petite princesse née avec une cuiller en or dans la bouche, tu avais au moins eu la chance de posséder une ouverture d’esprit qui n’était pas donnée à tous ceux de ton rang social. Ou alors peut-être que cela t’était venu en côtoyant certaines personnes, allez savoir.
- Et puis, de toute évidence, si on regarde comment se porte les affaires, ils ne peuvent pas se jouer de l’argument qu’elle a nuit à tes ambitions.
Un petit sourire amusé étira tes lèvres. C’était quelque chose que te servait souvent ton père : comment pouvais-tu espérer devenir sénatrice si tu étais accompagnée d’un lâche ayant fui ses responsabilités. Ce qu’il ne semblait pas comprendre était que tu n’avais aucune intention de devenir sénatrice, tu n’avais jamais été particulièrement intéressée par la politique.
- À nos parents et leurs bonnes idées.
Toute aussi sarcastique que ton interlocuteur, venant frapper délicatement son verre du tien dans un tintement sonore. Et ce, jusqu’à ce que le verre éclate, au même moment où le musicien s’approchait de votre table. Tu sursautas, ne t’étant pas attendue à ce que du verre tout comme du vin se répendent sur votre table et dans quelques uns de vos plats.
- Oh.
Tu fronças légèrement les sourcils, n’ayant pas eu l’impression que le choc avait été aussi violent que cela. S’agissait-il de coupes de mauvaises qualités ? Tu n’avais pas vu le jeu du Cervantes, quelques instants plus tôt, alors tu étais simplement prise de court. Un serveur s’approcha rapidement, vous invitant ainsi à changer de table, le temps que tout soit nettoyé, vous assurant que vos plats seront remplacés. Tu te levas donc pour prendre place quelques tables plus loin, toujours en retrait dans le restaurant, attendant que les plats restés intacts soient déposés sur votre table avant de te servir.
- Quels sont tes plans, pour les temps à venir ? J’ai cru comprendre que tu avais capturé un pokémon au désert, est-ce simplement pour sembler plus intimidant ou as-tu d’autres ambitions ?
Comme la Ligue, par exemple ? Tu savais qu’il s’agissait de quelque chose qui intéressait Nathan et tu ne pouvais que l’encourager en ce sens. Peut-être n’avait-il pas encore la force pour se mesurer aux champions d’arène, toutefois, cela faisait parti de ton devoir de l’encourager, peu importe ce qu’il souhaitait entreprendre.
Tu pouvais donc comprendre Maluma, ou, du moins, un peu de ce qu’il avait vécu, ton père ayant aussi cherché à se mêler de ta relation. Même qu’il le faisait encore, comme le prouvait ta présence à cette table en compagnie d’un influent homme de la région. Ton père savait-il seulement qu’il était marié ? Sans doute pas. Ou alors il devait se dire la même chose que les parents du Cervantes, ce qui t’écoeurait un peu.
Petite princesse née avec une cuiller en or dans la bouche, tu avais au moins eu la chance de posséder une ouverture d’esprit qui n’était pas donnée à tous ceux de ton rang social. Ou alors peut-être que cela t’était venu en côtoyant certaines personnes, allez savoir.
- Et puis, de toute évidence, si on regarde comment se porte les affaires, ils ne peuvent pas se jouer de l’argument qu’elle a nuit à tes ambitions.
Un petit sourire amusé étira tes lèvres. C’était quelque chose que te servait souvent ton père : comment pouvais-tu espérer devenir sénatrice si tu étais accompagnée d’un lâche ayant fui ses responsabilités. Ce qu’il ne semblait pas comprendre était que tu n’avais aucune intention de devenir sénatrice, tu n’avais jamais été particulièrement intéressée par la politique.
- À nos parents et leurs bonnes idées.
Toute aussi sarcastique que ton interlocuteur, venant frapper délicatement son verre du tien dans un tintement sonore. Et ce, jusqu’à ce que le verre éclate, au même moment où le musicien s’approchait de votre table. Tu sursautas, ne t’étant pas attendue à ce que du verre tout comme du vin se répendent sur votre table et dans quelques uns de vos plats.
- Oh.
Tu fronças légèrement les sourcils, n’ayant pas eu l’impression que le choc avait été aussi violent que cela. S’agissait-il de coupes de mauvaises qualités ? Tu n’avais pas vu le jeu du Cervantes, quelques instants plus tôt, alors tu étais simplement prise de court. Un serveur s’approcha rapidement, vous invitant ainsi à changer de table, le temps que tout soit nettoyé, vous assurant que vos plats seront remplacés. Tu te levas donc pour prendre place quelques tables plus loin, toujours en retrait dans le restaurant, attendant que les plats restés intacts soient déposés sur votre table avant de te servir.
- Quels sont tes plans, pour les temps à venir ? J’ai cru comprendre que tu avais capturé un pokémon au désert, est-ce simplement pour sembler plus intimidant ou as-tu d’autres ambitions ?
Comme la Ligue, par exemple ? Tu savais qu’il s’agissait de quelque chose qui intéressait Nathan et tu ne pouvais que l’encourager en ce sens. Peut-être n’avait-il pas encore la force pour se mesurer aux champions d’arène, toutefois, cela faisait parti de ton devoir de l’encourager, peu importe ce qu’il souhaitait entreprendre.
HRP :
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
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Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
Les affaires ne s’étaient jamais mieux portées qu’aujourd’hui, c’est bien vrai. Mais, elles auraient été encore plus florissantes si cette rencontre ne s’était point montrée comme étant une mascarade. M’enfin, la vie était ce qu’elle était et il fallait bien vivre avec ce genre d’imprévus, savoir rebondir en somme. Le changement de table n’était finalement qu’une note de plus ajoutée sur l’ardoise que devrait régler le sénateur. Le Cervantes n’y voyait pas là une manière de se venger, non. Seulement l’évidence envoyée à cet homme pour n’avoir pas pris en considération son propre mariage mais aussi les affaires de Maluma. Et comme beaucoup le disaient souvent : les affaires sont les affaires, aussi sacrées puissent-elles être.
▬ Des plans, tu dis ?
Il en avait bien quelques uns qui venaient lui dérober un léger rictus tandis qu’il venait porter à ses lèvres une nouvelle coupe à moitié pleine - la gourmandise avait ses défauts, oui.
▬ Celui qui a besoin de sembler plus intimidant est celui qui a peur d’autrui. - ce qui n’est pas son cas ; il inspire/expire à plein poumon en regardant son interlocutrice - Peut-être que ce n’était qu’une simple distraction, peut-être pas. - il hausse des épaules - Je pense tout simplement vouloir, à juste titre et comme tout le monde, échapper aux lois du régissent notre Monde.
Lesquelles ?
▬ Être le plus libre possible, pour faire simple.
Et beaucoup de choses faisaient donc partie de ses… plans. Un léger rire prenait alors le Cervantes tandis qu’il reposait son verre, constatant que le musicien commençait donc à jouer. Ce n’était pas trop tôt, sans avoir la prétention de se montrer plus important que le reste. Enfin, si. Un peu quand même.
▬ Mais assez parlé de moi. Tu as de grands projets de… rébellion, d’indépendance, de reconnaissance ou de découvertes. - elle peut bien y donner le nom qu’elle souhaite - Saches que si d’aventure tu venais à avoir besoin d’aide, on pourrait s’arranger. - ne sait-on jamais - Un simple donnant-donnant.
Rien n’était jamais fait gratuitement, les services dans la haute étaient payés en services. On pouvait aisément parler de pacte, en fait. Sauf qu’elle n’avait pas le Diable en face d’elle. Quoi que.
▬ Non pas que je ne te juge pas capable de parvenir à tes fins seules. - les plats sont arrivés, il invite la femme à débuter ce pourquoi il sont là - J’ai juste très franchement du mal à croire que tu aspires à de simples recherches, ou bien que ces dernières soient des plus abordables. - non pas financièrement mais sans doute de bien d’autres manières, allez savoir de quoi est fait l’avenir - Dame Collingwood. Ou bien Shelby.
Maluma n’était pas du genre à donner énormément de précisions sur ce genre de choses. Cela avait le chic de les rendre plus excitantes. Ou alors plus angoissantes selon les gens. Le ton changeait en faveur de quelque chose de plus léger lorsque le basané goûta aux plats amenés.
▬ Tu sais, à en croire Nathan, ce n’est clairement pas toi qui pourrait tenter de reproduire des plats pareils.
Taquinerie ; Peut-être un défi lancé, peut-être pas. Le vilain petit canard pouvait-il se saisir de la cuisine de renom la plus proche et se mettre à faire on ne sait quoi ? Un brin de folie, ça ne faisait jamais de mal.
▬ Des plans, tu dis ?
Il en avait bien quelques uns qui venaient lui dérober un léger rictus tandis qu’il venait porter à ses lèvres une nouvelle coupe à moitié pleine - la gourmandise avait ses défauts, oui.
▬ Celui qui a besoin de sembler plus intimidant est celui qui a peur d’autrui. - ce qui n’est pas son cas ; il inspire/expire à plein poumon en regardant son interlocutrice - Peut-être que ce n’était qu’une simple distraction, peut-être pas. - il hausse des épaules - Je pense tout simplement vouloir, à juste titre et comme tout le monde, échapper aux lois du régissent notre Monde.
Lesquelles ?
▬ Être le plus libre possible, pour faire simple.
Et beaucoup de choses faisaient donc partie de ses… plans. Un léger rire prenait alors le Cervantes tandis qu’il reposait son verre, constatant que le musicien commençait donc à jouer. Ce n’était pas trop tôt, sans avoir la prétention de se montrer plus important que le reste. Enfin, si. Un peu quand même.
▬ Mais assez parlé de moi. Tu as de grands projets de… rébellion, d’indépendance, de reconnaissance ou de découvertes. - elle peut bien y donner le nom qu’elle souhaite - Saches que si d’aventure tu venais à avoir besoin d’aide, on pourrait s’arranger. - ne sait-on jamais - Un simple donnant-donnant.
Rien n’était jamais fait gratuitement, les services dans la haute étaient payés en services. On pouvait aisément parler de pacte, en fait. Sauf qu’elle n’avait pas le Diable en face d’elle. Quoi que.
▬ Non pas que je ne te juge pas capable de parvenir à tes fins seules. - les plats sont arrivés, il invite la femme à débuter ce pourquoi il sont là - J’ai juste très franchement du mal à croire que tu aspires à de simples recherches, ou bien que ces dernières soient des plus abordables. - non pas financièrement mais sans doute de bien d’autres manières, allez savoir de quoi est fait l’avenir - Dame Collingwood. Ou bien Shelby.
Maluma n’était pas du genre à donner énormément de précisions sur ce genre de choses. Cela avait le chic de les rendre plus excitantes. Ou alors plus angoissantes selon les gens. Le ton changeait en faveur de quelque chose de plus léger lorsque le basané goûta aux plats amenés.
▬ Tu sais, à en croire Nathan, ce n’est clairement pas toi qui pourrait tenter de reproduire des plats pareils.
Taquinerie ; Peut-être un défi lancé, peut-être pas. Le vilain petit canard pouvait-il se saisir de la cuisine de renom la plus proche et se mettre à faire on ne sait quoi ? Un brin de folie, ça ne faisait jamais de mal.
by Lyxiae
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Chercheur
Argent : 330
Expérience : 50
Région d'origine : Nérova
Âge : 24 ans
Avatar : Asami Sato
Les manigances de Sir Collingwood
River Shelby & Maluma Cervantes
Ton sourire s’étira à sa réponse. Avait-il peur des autres ? Tu en doutais fortement. Toutefois, tu aurais pu lui souligner que les dragons étaient sans doute les pokémons les plus intimidants qui existaient, tant par leur taille, leur apparence et tout ce qui entourait cette espèce dite assez noble, convoitée par beaucoup. C’était sans doute les seuls pokémons qu’acceptait ton père, les seuls dignes du peu d’intérêt qu’il portait en règle générale aux pokémons.
Or, semblerait-il que parler de lui-même et de ses ambitions assez énigmatique, le sujet de conversation venait d’être redirigé vers toi et ce à quoi tu aspirais. Tu esquissas un sourire, hochant doucement de la tête, ne cherchant pas non plus à l’amener à s’étendre un peu plus sur ce désir de liberté qu’il évoquait. Ne pas être restreint par les lois de ce monde ? Parlait-il simplement de la société dans laquelle vous viviez ou est-ce que cette arrogance s’étendait au-delà de ça ? Ça aurait pu t’intéresser si ce n’était que tu doutais obtenir de réponse de sa part, ces dernières se voulant presque secrètes, n’en dévoilant que très peu, au final, de ce qui pouvait bien traverser son esprit.
- Dame Shelby, c’est très bien.
Car, en épousant le jeune homme, tu avais pris la décision de prendre son nom et si tu l’avais marié par amour, cette décision là tenait plus de la provocation pour l’homme qui t’avait élevé. Désormais River Shelby, tu n’utilisais Collingwood que lorsque tu avais quelque chose à en tirer. Après tout, tu n’étais pas celle qui cracherait sur les quelques avantages que tu pouvais avoir compte tenu de ta position au sein de la société.
- Ne t’en fais pas, du côté financier, je ne manque de rien. Cela fait plusieurs générations que les Collingwood s’assoient sur leur fortune.
Si tu ne te doutais pas des moyens que possédait Maluma, il n’en restait pas moins que cette fortune se voulait assez récente, venant de cette compagnie qu’il avait fait fructifier.
- Mais je note, pour si jamais j’ai besoin d’aide.
Un sourire agréable, voir presque entendu, car tu savais que toute aide de sa part ne serait pas gratuite. Cependant, si vous aviez la possibilité de faire un échange de bons procédés, sans doute en seriez-vous deux à vous en sortir gagnant. C’était, du moins, ce que tu aimais croire, bien que ça, seule l’avenir pourrait vous le dire.
Laissant entendre un léger rire face au désastre que tu pouvais être dans une cuisine, chose que Nathan ne semblait pas hésiter à souligner, tu piquas ta fourchette ici et là dans les différents plats pour goûter un peu à tout. Finalement, la discussion allait de bon train, assez légère, autour de nombreuses assiettes, d’un bon vin et d’une douce musique jouant à l’arrière. Si tu en voulais encore à ton père pour ce plan foireux qui manquait clairement de respect à ton égard, au final, tu ne pouvais pas dire qu’il s’agissait d’une mauvaise soirée. Et puis, ça te permettait d’en apprendre un peu plus sur l’un des proches amis de Nathan, chose que tu n’avais pas souvent l’occasion de faire. Et pourtant, ce n’était pas faute de t’intéresser à lui et son entourage.
Déposant ta coupe vide sur la table, tes ustensils rangés sur le côté, tu fis signe au violoniste qu’il pouvait cesser. Le repas semblait toucher à sa fin, ou, tout du moins, tu n’avais plus faim et puis, il commençait à se faire tard.
- Encore sincèrement désolée de l’arrogance de mon père.
Et tu le pensais, ce que tu disais, car tu savais que jamais ton père serait celui à s’excuser, et ce, même s’il venait de faire prendre un temps précieux à l’homme occupé qu’était le Cervantes.
- Et merci de m’avoir tenu compagnie. Oh, et de m’avoir aidé à faire monter la facture.
Tu doutais que ton père ait remarqué quoi que ce soit, toutefois, c’était l’une des seules façons dont tu pouvais répondre et espérer te venger un minimum.
- Je vais donc te souhaiter une excellente soirée et ehh, à sans doute une prochaine, si tu passes à la maison voir Nathan.
Te levant de ton siège en le saluant, tu attrapas ton manteau, ton chauffeur ayant déjà été contacté. Toi qui t’étais imaginé passer ce repas en compagnie de ton père, tu te retrouvas alors à devoir passer quelques heures sur la route pour rentrer à la capitale, trop fière pour passer la nuit chez ton père, préférant de loin retrouver les bras de l’homme qui partageait ta vie.
Or, semblerait-il que parler de lui-même et de ses ambitions assez énigmatique, le sujet de conversation venait d’être redirigé vers toi et ce à quoi tu aspirais. Tu esquissas un sourire, hochant doucement de la tête, ne cherchant pas non plus à l’amener à s’étendre un peu plus sur ce désir de liberté qu’il évoquait. Ne pas être restreint par les lois de ce monde ? Parlait-il simplement de la société dans laquelle vous viviez ou est-ce que cette arrogance s’étendait au-delà de ça ? Ça aurait pu t’intéresser si ce n’était que tu doutais obtenir de réponse de sa part, ces dernières se voulant presque secrètes, n’en dévoilant que très peu, au final, de ce qui pouvait bien traverser son esprit.
- Dame Shelby, c’est très bien.
Car, en épousant le jeune homme, tu avais pris la décision de prendre son nom et si tu l’avais marié par amour, cette décision là tenait plus de la provocation pour l’homme qui t’avait élevé. Désormais River Shelby, tu n’utilisais Collingwood que lorsque tu avais quelque chose à en tirer. Après tout, tu n’étais pas celle qui cracherait sur les quelques avantages que tu pouvais avoir compte tenu de ta position au sein de la société.
- Ne t’en fais pas, du côté financier, je ne manque de rien. Cela fait plusieurs générations que les Collingwood s’assoient sur leur fortune.
Si tu ne te doutais pas des moyens que possédait Maluma, il n’en restait pas moins que cette fortune se voulait assez récente, venant de cette compagnie qu’il avait fait fructifier.
- Mais je note, pour si jamais j’ai besoin d’aide.
Un sourire agréable, voir presque entendu, car tu savais que toute aide de sa part ne serait pas gratuite. Cependant, si vous aviez la possibilité de faire un échange de bons procédés, sans doute en seriez-vous deux à vous en sortir gagnant. C’était, du moins, ce que tu aimais croire, bien que ça, seule l’avenir pourrait vous le dire.
Laissant entendre un léger rire face au désastre que tu pouvais être dans une cuisine, chose que Nathan ne semblait pas hésiter à souligner, tu piquas ta fourchette ici et là dans les différents plats pour goûter un peu à tout. Finalement, la discussion allait de bon train, assez légère, autour de nombreuses assiettes, d’un bon vin et d’une douce musique jouant à l’arrière. Si tu en voulais encore à ton père pour ce plan foireux qui manquait clairement de respect à ton égard, au final, tu ne pouvais pas dire qu’il s’agissait d’une mauvaise soirée. Et puis, ça te permettait d’en apprendre un peu plus sur l’un des proches amis de Nathan, chose que tu n’avais pas souvent l’occasion de faire. Et pourtant, ce n’était pas faute de t’intéresser à lui et son entourage.
Déposant ta coupe vide sur la table, tes ustensils rangés sur le côté, tu fis signe au violoniste qu’il pouvait cesser. Le repas semblait toucher à sa fin, ou, tout du moins, tu n’avais plus faim et puis, il commençait à se faire tard.
- Encore sincèrement désolée de l’arrogance de mon père.
Et tu le pensais, ce que tu disais, car tu savais que jamais ton père serait celui à s’excuser, et ce, même s’il venait de faire prendre un temps précieux à l’homme occupé qu’était le Cervantes.
- Et merci de m’avoir tenu compagnie. Oh, et de m’avoir aidé à faire monter la facture.
Tu doutais que ton père ait remarqué quoi que ce soit, toutefois, c’était l’une des seules façons dont tu pouvais répondre et espérer te venger un minimum.
- Je vais donc te souhaiter une excellente soirée et ehh, à sans doute une prochaine, si tu passes à la maison voir Nathan.
Te levant de ton siège en le saluant, tu attrapas ton manteau, ton chauffeur ayant déjà été contacté. Toi qui t’étais imaginé passer ce repas en compagnie de ton père, tu te retrouvas alors à devoir passer quelques heures sur la route pour rentrer à la capitale, trop fière pour passer la nuit chez ton père, préférant de loin retrouver les bras de l’homme qui partageait ta vie.
HRP :
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
L’aide serait acceptée et son appartenance montrée en évidence à sa moitié était de mise. Ainsi allaient les choses et c’était sans doute pas plus mal comme cela. Il était évident que sa seule façon d’aider serait de nature financière, bien qu’il essayait de commencer à se diversifier. Encore fallait-il faire en sorte de rendre cela un peu plus… eh bien… voyant.
▬ Un enfant n’a pas à porter le fardeau de ses géniteurs, nul besoin d’excuse ici.
Cela était bien vrai, pour lui en tout cas. Et il faut avouer qu’il n’avait pas besoin d’entendre des excuses, même venant de son père. De bien belles paroles mais qui n’étaient que poudre au yeux, débit vide de sens d’air, fragment faussé de culpabilité ; le superflu régnait en maître durant ces moments.
▬ Je veillerais à passer si jamais je ne suis pas loin, bonne soirée à toi River.
Salutation rendue, chacun retournait donc vaquer à ses occupations, la vie reprenait son cours. Et bien que le Cervantes était bien loin d’être submergé par de sombres motivations et de bien noirs désirs, l’amertume d’avoir à faire avec le vieux singe allait rester. Se jouer de lui à ses propres fins n’était jamais bon et ce, pour tout le monde.
▬ Un enfant n’a pas à porter le fardeau de ses géniteurs, nul besoin d’excuse ici.
Cela était bien vrai, pour lui en tout cas. Et il faut avouer qu’il n’avait pas besoin d’entendre des excuses, même venant de son père. De bien belles paroles mais qui n’étaient que poudre au yeux, débit vide de sens d’air, fragment faussé de culpabilité ; le superflu régnait en maître durant ces moments.
▬ Je veillerais à passer si jamais je ne suis pas loin, bonne soirée à toi River.
Salutation rendue, chacun retournait donc vaquer à ses occupations, la vie reprenait son cours. Et bien que le Cervantes était bien loin d’être submergé par de sombres motivations et de bien noirs désirs, l’amertume d’avoir à faire avec le vieux singe allait rester. Se jouer de lui à ses propres fins n’était jamais bon et ce, pour tout le monde.
by Lyxiae
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