- Sayuri Koneko
Faisant un peu de tourisme, ses pas l’amenèrent vers les Ruines d’Elryon. Ce voyage, rempli de sens pour elle, lui permettait d’apaiser son esprit et sa mélancolie. Accompagnée de son Mélofée, elle put également apprendre à le connaître, le bougre n’était pas simple à vivre et adorait faire des farces ou encore à courir partout. Cela la rassurait cependant de voir que son pokémon était comme elle avide de nouveaux horizons. Voir ainsi les choses lui permettait de constater tout le chemin qu'elle avait traversé, et se demandait si il y avait encore des choses à faire, à voir, à explorer. La réponse était claire, bien évidemment !
C'est sur cette note positive qu'elle arriva dans les terres en ruine, par une nuit éclatante et remplie d’étoiles. Ce n'est qu'aux alentours de vingt-deux heures que notre jeune femme prit l'envie de se balader à travers ce havre de paix. La nature ayant commencé à reprendre ses droits, faisait de cet endroit un sublime lieu. Les édifices en pierre et la grandeur du terrain laisse penser que de grands combats s'y sont déroulés il y a longtemps de cela.
Se sentant un peu seule dans ce grand édifice en ruines, mais accompagnée d’un petit être espiègle, elle commença à se mettre à chanter d'une voix cristalline et mélodieuse avec son Mélofée. La pleine Lune brillait de mille feux et ce doux son apaisait la femme et son pokémon.
Alors qu'elle chantait assise sur un rocher, le Mélofée, qui chantait à côté, se mit à frémir et se leva. Pouvant entendre quelque chose même de loin, cela ne pouvait signifier qu’une chose, que du mouvement était dans les parages.
Une silhouette se fit apparaître au loin et petit à petit se fit de plus en plus lisible. C'était un homme qui approchait, au et à mesure de ses pas, la femme en kimono chantait de moins en moins fort. Alors qu'il se tenait face à elle, la jeune femme fut la première à prononcer quelques mots, tout en restant assise sur son Altaria.
Disait-elle en fixant la lune d'un air émerveillée. Puis se retournant vers le jeune garçon, elle continua de parler naturellement comme si il ne lui était pas étranger.
Elle avait posé cette question, fixant le garçon avec ses grands yeux, toujours assise sur son rocher. Le Mélofée n'était pas tranquille et était caché derrière sa dresseuse. Sayuri était assez surprise de trouver quelqu'un d'autre dans un lieu aussi peu fréquenté de nuit, peut-être était-ce un voyageur, comme elle, ce genre de rencontres l'amusait un peu quelque part. Et ne montra qu'un sourire réconfortant à ce baladeur nocturne.
- HRP:
- Demande de modération - Tentative de capture svp.
Merci d'avance
- Paul T. Ergeist
Je me sens un peu coupable sur le coup, d'avoir mis autant de temps et de ne pas encore suffisamment bien la connaître. Je croyais pouvoir me targuer d'être un relativement bon dresseur, mais reprendre les bases avec un Pokémon que je dois réapprendre à connaître est une leçon de modestie qui ne ferait de mal à personne.
Quoi qu'il en soit, si Jodie ne parvient pas à trouver le sommeil ce soir, c'est très certainement en raison de la plein lune qui trône dans le ciel nocturne.Les Osselait sont des Pokémon très facilement atteint par la tristesse, la nostalgie et la mélancolie. Ainsi, s'il vous est déjà arrivé de contempler le soleil des loups un soir où ça n'allait pas très fort, vous comprendrez aisément pourquoi ma petite partenaire peine à fermer l'oeil.
Tu sais quoi Jodie ? Allons nous balader. Ça te changera les idées et on te trouvera peut-être un copain !
Dans les deux cas, Jodie ne se fait pas prier et gambade de ses petites pattes vers la porte de la chambre du refuge tandis que j'enfile mon long trench. En sortant dans la nuit étoilée, j'en remonte le col sur ma nuque afin de me protéger du froid, achevant ainsi ma transformation en cosplayer de l'inspecteur Colombeau. Je ne sais d'ailleurs pas qui de l'homme ou du pokémon a donné son nom à l'autre. Peut-être que le pokémon n'existait pas avant que le policer ne devienne célèbre... improbable, mais l'idée me fait sourire tandis que nos pas nous éloignent de la petite habitation.
Je suis d'ailleurs bien content d'avoir trouvé ce modeste refuge, un chalet simple doté de trois ou quatre chambres tout au plus, durant notre exploration des Terres Perdues entourant Perlyc. J'avais d'abord pensé camper à divers endroits au fil de notre progression, mais avoir un point de chute stable et fixe est appréciable sans pour autant nous empêcher de planter notre tente ailleurs un soir ou deux. Au moins, nous sommes bien au chaud et avons un lit confortable.
Le seul petit bémol, c'est que c'est un peu cher, mais au moins la nourriture pour pokémon est comprise, ce qui me fait une chose de moins dont me soucier et me permet de garder Jodie hors de sa pokéball durant l'intégralité du séjour ou presque. C'est une excellente façon d'apprendre à la connaître et de mieux comprendre son comportement, au point que je regrette un peu de ne pas l'avoir fait plus souvent avec ma première équipe, à Galar.
Un rien perdu dans mes pensées, je mets un certain temps à me rendre que les pas de Jodie, que je suis tranquillement, m'emmènent tranquillement au coeur des ruines d'Elryon. J'espère qu'on ne se perdra pas, je n'ai pas le meilleur des sens de l'orientation dans le noir et je n'ai pris aucun équipement de camping avec pour que nous puissions nous reposer en attendant le lever du jour.
Soudain, Jodie change de direction sans raison apparente. Elle qui d'ordinaire est craintive et prudente semble d'un coup devenir curieuse, attirée par je ne sais quoi. Il me faut encore plusieurs secondes pour entendre ce qui a capté son attention : une voix, probablement féminine, en train de chanter. Comme ça, en pleine nuit et au milieu des ruines... j'avoue que ma curiosité s'en retrouve piquée à son tour. C'est donc sans me faire prier que je continue à suivre mon pokémon.
Bonsoir mademoiselle. Elle est magnifique en effet, tout comme peut l'être votre voix.
Moi de même ! Je me nomme Paul, et vous ? J'étais sorti pour changer les idées à mon pokémon, et pour peut-être lui attraper un nouvel ami, mais votre rencontre ne rend la soirée que plus plaisante. Et vous, êtes-vous simplement là pour chanter ?
Je ne m'attendais pas forcément à croiser âme qui vive en sortant ce soir, et encore moins une humaine. Je suis à deux doigts de lui proposer d'aller capturer un ou deux pokémon ensemble, mais je me retiens : nous ne nous connaissons que depuis quelques secondes à peine, après tout.
- Maître du Jeu
Vous n'étiez pas les seuls à observer la lune. Lui aussi était assis, non loin, la tête levée vers le ciel, se laissant bercer par ta douce voix. Il était presque triste de ne plus t'entendre chanter, suite à l'arrivée du nouveau venu.
Il était difficile de le remarquer, ce dernier se fondant dans les ombres. Seule les reflets de la lune vinrent éclairer son pelage quelques secondes avant qu'il ne se retrouve de nouveau camoufler par l'obscurité.
- Sayuri Koneko
- C’est un chant qui me vint de ma douce contrée à des lieues d’ici, peut-être aurez-vous l’occasion de l’écouter à nouveau si vous venez à passer par Jotho.
Le petit Osselait intrigua la Mélofée, qui, après avoir vu qu’il ne s’agissait pas d’ennemis, s’empressa d’aller devant l’autre pokémon pour le saluer d’un geste de la main et commencer à discuter d’un dialecte que seules ces créatures peuvent comprendre. Sayuri continua alors d’écouter ce que l’homme avait à dire. Elle put en comprendre qu’il s’appelait Paul, un nom pas vraiment courant dans Jotho, mais qu’importe. Même si elle ne jugeait pas une première impression, elle voyait une certaine sympathie dans cette personne.
- Je suis Sayuri, je suis une Sœur Kimono originaire de Jotho et en voyage depuis des jours. Mes pas m’ont amené ici-même, dans ces ruines. Je pensais à me reposer non loin de ces lieux en compagnie de mon partenaire, et reprendre ma route une fois le jour levé.
Descendant de son rocher, on pouvait entendre le bruit de ses okobos en bois agrémentés de petites clochettes très discrètes à chaque fois que ses pieds foulaient le sol. Avec une posture droite et parfaite, elle s’adressa à nouveau à l’homme qu’elle venait de rencontrer non sans un certain plaisir.
- Alors, je suppose que vous êtes un dresseur ? Vous avez beaucoup voyagé ou vous venez d’ici ?
Adorant taquiner ses pairs, elle avait décider d’embêter son visiteur nocturne en lui posant moult questions. Sayuri parlait sans même cligner des yeux et fixait sans bouger son interlocuteur, une manière de s’adresser aux gens reçue de son enseignement de Sœur Kimono.
Mais, tel le bon camarade qu’il était, Cosmos le Mélofée entendit alors quelque chose, qu’il ne manqua pas de faire partager à son dresseur. Se tournant lentement, Sayuri put voir alors un petit Riolu non loin du rocher où elle se trouvait, assis également. Se sentant comme conercnée, Cosmos se précipita sur le pokémon pour venir lui parler, abandonnant alors son premier camarade. Farceuse et surtout bonne actrice, le Cosmos ne manqua pas d’essayer d’intimider le Riolu en prenant un air de bandit de grand chemin. Laissant faire son pokémon, Sayuri allait reprendre la discussion quand elle vit un espèce de loup blanc derrière son comparse humain. Toujours souriante, même dans une situation comme celle-ci, elle proposa alors une marche à suivre :
- Monsieur Paul, j’ai cru apercevoir une ombre blanche reflétée par la lumière derrière vous, si vous me le permettez, je vais m’occuper de mon chenapan de pokémon pendant que vous réglez cela ? Si cela est un pokémon hostile, je compte sur votre habilité pour résoudre la situation. Bon courage !
Et elle se retourna, esquintant un petit rire rempli d’innocence, si il y avait deux pokémons qui tournaient autour d’eux, il fallait s’en occuper, en les éloignant ou en se familiarisant avec. Sayuri se souvient encore d’une mésaventure qu’elle a eu avec des pokémons quand elle était encore une jeune dresseuse…
Arrivant à portée du petit Riolu, la femme en kimono lui adressa la parole avec un ton des plus chaleureux, le Mélofée, voyant sa dresseuse arriver, recula et montra un air satisfait, tel un enfant qui voit ses parents arriver après une dispute avec son frère ou sa sœur :
- Bien le bonjour petit être. Que fais-tu assis par ici ?
Evidemment, le Mélofée fut surpris. Argumenta a sa manière pour montrer qu’il ne voulait pas que le Riolu reste pendant qu’il chantait. Comprenant tout de travers, Sayuri esquissa un sourire avec un éclair de compréhension.
- Aaah ! J’ai compris, tu veux que je chante pour lui ? Qu’est-ce que tu es adorable Cosmos.
Et la fille chanta alors un petit air, tapant du pied sur le sol, le Mélofée soupirait d’agacement mais laissa faire sa dresseuse. Le visage du pokémon Emanation s’illumina alors. Ravie d’avoir pu faire plaisir, Sayuri salua le pokémon et reprit alors son chemin pour voir où son homologue humain en était. Mais elle fut attrapée à la cheville par le petit pokémon bleu. Ne lâchant pas son visage radieux, Sayuri prit le temps de s’abaisser pour parler au pokémon sauvage.
- Tu veux me suivre cher enfant ?
Le Riolu sourit alors et fit un oui de la tête. Rongée par l’amertume, Sayuri ferma les yeux un instant pour réfléchir, et se releva finalement, son sourire avait changé, montrant une allure plus déterminée.
- Très bien, si tu veux me rejoindre, sache que je n’accepte pas les pokémons qui n’ont aucune volonté pour devenir meilleurs. Et toi mon enfant, veux-tu devenir meilleur ? Si oui, essaie de vaincre mon Pokémon ci-présent.
Ne souhaitant pas avoir un pokémon qui ne possède pas un mental d’acier, cela brisait le cœur de la jeune femme de devoir tester ainsi un adorable pokémon qui n’avait pour le coup rien demandé d’autre que de suivre quelqu’un qui lui plaisait. Mais elle ne voulait pas vivre le traumatisme de perdre quelqu’un à nouveau à cause d’un pokémon trop violent. Et la réponse qu’elle avait trouvé à ça était tout simplement de renforcer le mental de son équipe.
Espérant alors un combat digne de ce nom, elle oublia vite qu’elle possédait un Mélofée qui, si on ne lui disait pas ce qu’il fallait faire, en faisait qu’à sa tête. On put voir une bagarre aussi épique que deux enfants de maternelle se trainant dans la boue mutuellement. Ne pouvant s’empêcher de rire face à ce spectacle pour le moins inattendu, les deux pokémons s’arrêtèrent, pour regarder l’humaine plonger en dérision. Sayuri rappela son Mélofée sans crier gare.
- Cher petit pokémon, je vais maintenant essayer de te capturer, si tu souhaites vraiment me suivre à travers toute la région dans ma quête et que tu es prêt à faire les efforts nécessaires pour survivre, alors tu seras le bienvenu et je te traiterai comme mon enfant, si tu souhaite attendre encore un peu, n’hésite pas à sortir de la pokéball. Le choix est tien désormais.
Ainsi, elle lança la pokéball sur le pokémon. Ayant de la sympathie pour lui, elle espérait quand même le capturer, au vu de leur bagarre absolument pas dangereuse, la femme en soie pensa alors que le Riolu ferait un excellent camarade de jeu pour le Mélofée.
- HRP:
- Demande de modération - Tentative de capture svp
Pokéball restantes : 5
Merci d'avance
- Paul T. Ergeist
Quelques pas plus loin, les compagnes pokémon des deux humains faisaient eux aussi tranquillement connaissance. Tandis que le Mélofée de la jeune femme faisait des signes avec ses petites patounes, Jodie répondait en agitant parfois quelque peu son Os fétiche. Nos deux compagnons discutent entre eux à leur façon, de la même manière que le faisons nous autres dresseurs.
Les deux petites créatures semblant bien s'entendre, je reporte de nouveau mon attention sur Sayuri, afin de lui répondre. Maintenant qu'elle se tient debout face à moi, je remarque et regarde avec plus d'attention son accoutrement, probablement traditionnel de sa région. Je ne sais pas vraiment qui sont les Sœurs Kimono de Johto, mais j'esquisse un bref sourire en me rendant qu'elle continue vraisemblablement à porter leur tenue même à l'autre bout du monde.
Je suis un dresseur en effet ! Vous venez de Johto, donc ? Je n'ai malheureusement pas encore eu la chance d'y mettre les pieds. Peut-être un jour, qui sait ! C'est avec plaisir que j'aimerais découvrir vos traditions et celles de votre région, j'aime voyager et rencontrer de nouvelles personnes et cultures.
D'un air taquin, Sayuri décide de me confier la tâche de m'occuper de l'un des deux pendant qu'elle tente visiblement de devenir amie avec le second. Je fais signe à Jodie de se rapprocher et, ensemble, nous faisons quelques pas en direction du pokémon quadrupède caché dans les ombres de la nuit quelques mètres plus loin. Visiblement de nature discrète, le pokémon recule d'autant de pas, probablement désireux que nous ne l'approchions pas trop.
Alors que le pokémon au pelage blanc sort quelques secondes de l'ombre des ruines et se retrouve illuminé un court instant par les rayons argentés de la lune, je peux enfin constater son espèce et de me rendre compte qu'il s'agit d'un Absol. Plusieurs régions du monde le considèrent comme annonciateur de catastrophes, mais que pourrait-il bien arriver ?
Pourquoi te caches-tu ? Es-tu toi aussi venu écouter la jeune demoiselle chanter ? Il n'y a aucune honte à cela. Ou peut-être es-tu venu nous avertir d'un quelconque danger ?
Un combat, pas forcément très glorieux, s'engage alors entre les deux pokémon. Jodie n'est pas encore une combattante émérite aux dizaines de possibilités offensives, mais entre les Massd'Os assénés avec son Os fétiche et les Coup d'Boule renforcés par le crâne qu'elle porte sur sa tête, Jodie semblait réussir à rendre cet affrontement équitable.
Mais elle se fatigue vite, et l'Absol auparavant sur la défensive montre enfin son répondant. Il est temps que j'intervienne en faveur de Jodie, mais pas pour calmer le jeu. Je ne dois pas la laisser hésitante, il me faut lui permettre de reprendre le dessus en lui indiquant comment agir et coordonner ses actions.
Jodie, écoute moi ! Ne te fatigue pas trop à l'attaquer sans relâche. Utilise plutôt sa propre force et surtout sa carrure contre lui ! C'est lorsqu'il attaque que tu dois riposter avec ton Os, en utilisant poids et sa propre vitesse pour chasser ses pattes et le mettre au sol.
Un sourire de fierté se dessine sur mon visage tandis que je farfouille dans mon sac. Je savais que Jodie avait du potentiel en elle et qu'elle irait loin. Elle est plus que capable d'apprendre toujours plus et de devenir meilleure.
Je sors une pokéball de mon bric-à-brac que je lance en direction d'Absol, espérant le capturer. Lui aussi s'est admirablement battu et mérite que l'on croit en son potentiel. Il fera de plus un excellent partenaire de jeu et d'entraînement pour Jodie.
JODIE FEMELLE // TÊTE DE ROC // RANG D Utilise Massd'Os |
- Maître du Jeu
Peut-être avait-il été confus. Peut-être aussi n'avait-il pas envie d'aller de suite dans cette pokéball. Il semblait vouloir t'entendre chanter encore un peu et se laisser bercer par ta voix, maintenant qu'il était épuisé par le précédent combat, avant de prendre sa décision.
Tu perds une pokéball et cette capture est gratuite. N'oublie pas de lui donner un surnom, un genre ainsi qu'un talent (non caché).
- Paul T. Ergeist
Je souris, heureux et fier de Jodie. Je savais bien qu'elle en serait capable ! Après tout, elle a toujours été très efficace dès lors qu'elle est motivée. Il suffit qu'elle ait envie de quelque chose et elle est capable de surpasser ses craintes et sa timidité. Je me penche vers elle, pour caresser son p'tit crâne et la féliciter.
Bravo ma belle, t'es vraiment la meilleure.
Je me retourne ensuite vers Sayuri, pour regarder où elle en est. On dirait qu'elle a eu moins de chance que moi, et que le Riolu n'a finalement pas encore accepté de la suivre et de rentrer sagement dans la pokéball qu'elle a tenté d'utiliser. Il faut juste qu'elle persévère !
Allez, encore une fois et c'est la bonne !
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