- Victoire Amaryllis
Miraculée
Argent : 180
Expérience : 160
Région d'origine : Nérova
Âge : 22 ans
Avatar : Emilia - Re:Zero
Il faut qu'on parle.
Victoire & Maluma
Victoire se retira des bras de son amant, l'observant du coin de l’œil en jouant avec ses jambes. Elle l'aimait vraiment beaucoup. Cette réflexion la fit soupirer. Cela ne pouvait vouloir dire qu'une chose. « Il faut qu'on parle. » Avec la plus grande élégance du monde, la belle se redressa, glissant ses jambes hors des couvertures. Elle enfila rapidement un peignoir en soie bleu pastel, à moitié transparent au niveau des bras et des jambes. Elle renvoya ses cheveux par-dessus le tissu, tournant son regard vers l'homme qui partageait sa maison.
La grande maison de Caelum, qu'elle avait acheté après trois ans passés à faire s'envoler son business. Elle adorait Ilmerny de tout son coeur, mais elle ne pouvait pas toujours mener ses affaires de là-bas. Il avait bien fallu qu'elle se trouve un lieu de vie. Composée de pas moins de 64 pièces différentes - avec dix chambres, sept salons et huit salles de bains - on pouvait assurément dire que Victoire ne faisait pas dans la dentelle. Son job c'était le luxe, sa vie privée également. Elle s'approcha de la fenêtre, contemplant la ville silencieuse et endormie. Puis, ses yeux violacés se tournèrent vers Maluma.
« Je t'apprécie vraiment, et je pense que tu mérites de savoir dans quoi tu t'engages si tu restes avec moi. » Des mots lourds, pesants, excessifs. Du Victoire tout craché. « Je suis originaire d'Ilmerny - mais cela tu le savais déjà. Lorsque j'étais enfant, avant de devenir l'héritière de mes grands-parents paternels, j'ai été recueillie par le champion d'Ilmerny. Alfred. » Elle marqua une pause, puis ajouta plus sérieusement encore : « Le soir où il m'a recueillie, c'est ma mère qui m'a déposée là. Le même soir où mon père a tué ma mère, avant d'être emprisonné à vie. » Et maintenant, elle observa Maluma réagir à sa petite bombe personnelle.
Toujours dans la délicatesse.
La grande maison de Caelum, qu'elle avait acheté après trois ans passés à faire s'envoler son business. Elle adorait Ilmerny de tout son coeur, mais elle ne pouvait pas toujours mener ses affaires de là-bas. Il avait bien fallu qu'elle se trouve un lieu de vie. Composée de pas moins de 64 pièces différentes - avec dix chambres, sept salons et huit salles de bains - on pouvait assurément dire que Victoire ne faisait pas dans la dentelle. Son job c'était le luxe, sa vie privée également. Elle s'approcha de la fenêtre, contemplant la ville silencieuse et endormie. Puis, ses yeux violacés se tournèrent vers Maluma.
« Je t'apprécie vraiment, et je pense que tu mérites de savoir dans quoi tu t'engages si tu restes avec moi. » Des mots lourds, pesants, excessifs. Du Victoire tout craché. « Je suis originaire d'Ilmerny - mais cela tu le savais déjà. Lorsque j'étais enfant, avant de devenir l'héritière de mes grands-parents paternels, j'ai été recueillie par le champion d'Ilmerny. Alfred. » Elle marqua une pause, puis ajouta plus sérieusement encore : « Le soir où il m'a recueillie, c'est ma mère qui m'a déposée là. Le même soir où mon père a tué ma mère, avant d'être emprisonné à vie. » Et maintenant, elle observa Maluma réagir à sa petite bombe personnelle.
Toujours dans la délicatesse.
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
Lumière tamisée et ambiance des plus douces, le comportement changeant de Victoire se montrait des plus inhabituels. “Il faut qu’on parle”, disait-elle. Dans son plus simple appareil, Maluma observait la jeune femme se remettre brièvement en forme. Si son regard s’attarde bien plus en premier lieu sur le corps de sa moitiée, le ton de la conversation le faisait remonter sur le visage de cette dernière. Les paroles commençaient à sortir, le basané restait silencieux. Il y avait un temps pour la blague, un autre pour l’écoute active.
Durant la première moitié de son discours, Maluma enfila un bas. De quoi avoir l’air un minimum crédible, en fait. Et après s’être dirigé dans sa direction, il se tenait juste devant elle lorsqu’elle finissait de s’exprimer. En soi, que son éducation ait pu être gérée par Alfred n’était vraiment pas un détail sur lequel il s’attarderait vraiment. Enfin, sauf s’il se décidait à aller conquérir son arène. Pour ce qui était de la suite…
▬ Eh bien. - sa main se pose sur la tête de Victoire puis ses doigts glissent sur sa joue - Décidément, tu es pleine de surprise.
C’était peu de le dire mais c’en n’était pas un mal pour autant, son intonation le prouvait bien. Puis, il sourit doucement.
▬ Le bateau dans lequel je m’embarque n’a pas l’air d’être si terrible que ça. J’ai, pour moi tout seul, une des plus belles et riches femmes de Nérova. Bon, c’est aussi sans doute la plus folle. - il lui pince tendrement la joue - De quoi as-tu peur ? Que je prenne la fuite en me demandant si tu pourrais devenir quelqu’un de mauvais à ton tour ?
Le Cervantes souffla du nez et souriait un peu nerveusement. Même pour un aveugle, ce serait criant : il tenait vraiment à elle, peut-être trop d’ailleurs. Ses mains attrapèrent celles de la belle et il recula en direction du lit, l’emmenant avec elle. Il s’asseya et la laissa debout, lui laissant dès lors l’entière liberté de le rejoindre ou non. Tenant toujours ses mains, il poursuivait.
▬ Tu ne m’as jamais parlé de ton enfance et… je pense que l’on peut aborder ce sujet sans problème. Dis moi plus, dévoiles moi tout ce que tu jugeras nécessaire pour moi à savoir. - un baiser se perd sur les mains de la peau blanchâtre ; ses yeux se relèvent pour faire face au regard améthyste - Il faut qu’on parle ? Alors parlons.
Aucune bombe ne saurait faire vaciller sa passion à son égard, le navire avait déjà chaviré il y a bien longtemps. Et à raison : elle avait réussi son abordage.
Durant la première moitié de son discours, Maluma enfila un bas. De quoi avoir l’air un minimum crédible, en fait. Et après s’être dirigé dans sa direction, il se tenait juste devant elle lorsqu’elle finissait de s’exprimer. En soi, que son éducation ait pu être gérée par Alfred n’était vraiment pas un détail sur lequel il s’attarderait vraiment. Enfin, sauf s’il se décidait à aller conquérir son arène. Pour ce qui était de la suite…
▬ Eh bien. - sa main se pose sur la tête de Victoire puis ses doigts glissent sur sa joue - Décidément, tu es pleine de surprise.
C’était peu de le dire mais c’en n’était pas un mal pour autant, son intonation le prouvait bien. Puis, il sourit doucement.
▬ Le bateau dans lequel je m’embarque n’a pas l’air d’être si terrible que ça. J’ai, pour moi tout seul, une des plus belles et riches femmes de Nérova. Bon, c’est aussi sans doute la plus folle. - il lui pince tendrement la joue - De quoi as-tu peur ? Que je prenne la fuite en me demandant si tu pourrais devenir quelqu’un de mauvais à ton tour ?
Le Cervantes souffla du nez et souriait un peu nerveusement. Même pour un aveugle, ce serait criant : il tenait vraiment à elle, peut-être trop d’ailleurs. Ses mains attrapèrent celles de la belle et il recula en direction du lit, l’emmenant avec elle. Il s’asseya et la laissa debout, lui laissant dès lors l’entière liberté de le rejoindre ou non. Tenant toujours ses mains, il poursuivait.
▬ Tu ne m’as jamais parlé de ton enfance et… je pense que l’on peut aborder ce sujet sans problème. Dis moi plus, dévoiles moi tout ce que tu jugeras nécessaire pour moi à savoir. - un baiser se perd sur les mains de la peau blanchâtre ; ses yeux se relèvent pour faire face au regard améthyste - Il faut qu’on parle ? Alors parlons.
Aucune bombe ne saurait faire vaciller sa passion à son égard, le navire avait déjà chaviré il y a bien longtemps. Et à raison : elle avait réussi son abordage.
by Lyxiae
- Victoire Amaryllis
Miraculée
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Il faut qu'on parle.
Victoire & Maluma
La plus grande des tendresses dans les yeux, et plus encore dans le cœur, elle l'observait sans mot dire. Victoire se laissait guider par son aimé, laissant sa main effleurer sa joue, son bras, ses doigts. Elle inspira, s'asseyant à côté de lui. Ce n'est pas que j'ai peur de devenir comme lui, c'est que j'ai déjà failli l'être, eut-elle envie de lui dire. Mais même pour elle, cette approche était trop directe. Alors, elle dévoila son histoire, le remerciant en un murmure pour ses paroles rassurantes. Elle lui offrit un vrai sourire, rare et éphémère.
« Petite, j'ai vécu un moment avec Alfred. J'étais constamment en colère. Après-coup, c'était sans doute légitime. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi c'était arrivé, et la simple pensée que mon propre père aurait pu me tuer... C'était insoutenable. » Elle cherchait la force dans son regard. « Et je suis restée en colère. Très longtemps. J'ai fais tous les mauvais coups ; je traînais avec de mauvais garçons, je jouais avec le cœur des plus fragiles, je me réjouissais du malheur des autres et je prenais plaisir à le causer. » Elle retenait sa main, comme pour retenir son cœur. « Disons que je n'étais pas très fréquentable. Ce sont mes grands-parents qui m'ont remis dans le droit chemin. » Elle ne pouvait se résoudre à lui avouer qu'elle ne serait pas hésitante à faire tout ce qui devait être fait, qu'importe à quel point elle pourrait paraître cruelle.
« Mon grand-père m'a tiré de tout cela, affirmant que si l'erreur de mon père ne pouvait être réparée, il serait impardonnable de me laisser suivre le même chemin. La vérité, c'est que j'étais en colère contre moi-même. Une partie de moi ne pouvait pas oublier qu'il restait mon père. » Ses doigts effleuraient le dos de la main de sa moitié, la caressant pour se rassurer. « Je n'ai pas toujours été quelqu'un de fiable. J'ai déjà été quelqu'un de foncièrement mauvais. » Et ses yeux violacés plongent dans les siens. « Il vaut mieux que tu saches quel genre de personne je suis capable d'être. »
« Petite, j'ai vécu un moment avec Alfred. J'étais constamment en colère. Après-coup, c'était sans doute légitime. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi c'était arrivé, et la simple pensée que mon propre père aurait pu me tuer... C'était insoutenable. » Elle cherchait la force dans son regard. « Et je suis restée en colère. Très longtemps. J'ai fais tous les mauvais coups ; je traînais avec de mauvais garçons, je jouais avec le cœur des plus fragiles, je me réjouissais du malheur des autres et je prenais plaisir à le causer. » Elle retenait sa main, comme pour retenir son cœur. « Disons que je n'étais pas très fréquentable. Ce sont mes grands-parents qui m'ont remis dans le droit chemin. » Elle ne pouvait se résoudre à lui avouer qu'elle ne serait pas hésitante à faire tout ce qui devait être fait, qu'importe à quel point elle pourrait paraître cruelle.
« Mon grand-père m'a tiré de tout cela, affirmant que si l'erreur de mon père ne pouvait être réparée, il serait impardonnable de me laisser suivre le même chemin. La vérité, c'est que j'étais en colère contre moi-même. Une partie de moi ne pouvait pas oublier qu'il restait mon père. » Ses doigts effleuraient le dos de la main de sa moitié, la caressant pour se rassurer. « Je n'ai pas toujours été quelqu'un de fiable. J'ai déjà été quelqu'un de foncièrement mauvais. » Et ses yeux violacés plongent dans les siens. « Il vaut mieux que tu saches quel genre de personne je suis capable d'être. »
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
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Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
La place à ses côtés était prise et se voulait accueillante. Le remerciement était suivi de quelques caresses qui incarnaient la confiance qu’il portait en elle. Elle était passée par bien des étapes au cours de sa vie et certainement pas les plus faciles. Mais si une chose dont était certain Maluma, c’était qu’elle ne pouvait dès lors qu’emprunter un chemin plus éclairé, plus lumineux. Cette jeune femme semblait poursuivre, depuis un bon moment déjà, dans l’obscurité, tendant la main par crainte et cachant cela avec de la fierté. Mais aujourd’hui n’était pas un énième moment de solitude à passer mais bel et bien un dévoilement à nu de faiblesses et de doutes en tout genre.
Alors, quand elle parlait, il daignait se taire en préférant laisser parler les gestes afin, d’appuyer la compréhension et la bonne volonté qui l’animait. Puis, quand elle eut fini, il laissa planer un léger moment de silence avant de lui sourire.
▬ Il semblerait donc que ton père ait tout simplement fait une erreur et pas des moindres.
Qu’était le plus affreux : Avoir ôté la vie de sa femme ou bien avoir privé sa fille de ses deux parents ? Le basané n’avait pas la réponse et n’avait pas nécessairement besoin de l’avoir pour continuer.
▬ Une erreur que tu ne veux pas approcher et que tu n’approcheras jamais. - les paroles sonnent comme une affirmation, il ne laissera pas ce genre de choses se produire ; il pose une main sur le lit et l’autre sur les jambes de sa moitié - De quel genre de personne parles-tu ? - son souffle vient se nicher dans le cou de la jeune femme et sa main remonte au niveau de son buste - Une égoïste qui sacrifierait tout pour son petit plaisir ?
Son front remontait afin de se coller à celui de son interlocutrice tandis que sa main libre venait occuper une place prédominante sur la gorge de celle qu’il aimait.
▬ Ou bien un électron libre qui ne ferait que souffrir ses proches ?
Cela n’avait rien d’une menace mais avait plutôt des airs d’engagement. Si elle se perdait une nouvelle fois et devenait quelqu’un de dangereux, il l’a dompterait. Il faut croire que le Cervantes n’était pas tout blanc non plus, on arrive pas à la tête de l’industrie agroalimentaire en souriant. Certains se montraient récalcitrant et il fallait souvent se montrer persuasif, tout le monde avait sa part de ténèbres, le tout était de savoir quelle place prenait-elle dans sa propre vie.
Maluma venait alors voler un baiser à Victoire en retirant petit à petit sa main.
▬ Écoutes moi bien car c’est une promesse que je te fais là. - il la plaque sur le lit et se place au-dessus d’elle - Moi vivant, tu ne feras rien jamais plus rien de vraiment mauvais. - une de ses mains se glisse sous le peignoir afin d’envahir les courbes qu’il cache - Sauf peut-être quelques bêtises, évidemment. dit-il avant de l’embrasser.
Un peu de marque d’autorité ne faisait jamais de mal. Si elle s’en formaliser, elle pouvait le prendre comme un défi, ce qui n’arrangerait que très peu le brun de peau. Dans le pire des cas et si vraiment elle se révélait être plus compliquée que ça à gérer, l’union d’une vie serait envisagée. Son vieux avait l’habitude de lui rabâcher qu’une femme changeait après s’être mariée et qu’elle cessait de faire dans l’illogisme. Mais bon, son père était aussi l’heureux détenteur d’un quotient intellectuel à deux chiffres et n’avait que comme accomplissement personnel d’avoir gagné à une loterie de quartier donc c’était à prendre avec des pincettes.
▬ Et puis… - en caressant sa cuisse - … Si tu te retrouves à devenir la personne que tu es capable d’être malgré tout, - une petite tape sur sa peau en souriant - tu seras évidemment punie en conséquence.
Un peu d’humour et de tension charnelle pour redescendre sur Terre mais il ne se doutait pas que le problème pouvait être plus compliqué que cela à résoudre, du moins sur le long terme. Mais selon lui, Victoire n’avait pas besoin d’un solution pour la vie mais au moins pour les temps qui suivront cet instants. Tous les problèmes ne se règlent pas en un éclair et trouver comment les résoudre prenait du temps. En attendant, il avait une oreille attentive et des belles paroles à distribuer. Que demander de plus ?
Alors, quand elle parlait, il daignait se taire en préférant laisser parler les gestes afin, d’appuyer la compréhension et la bonne volonté qui l’animait. Puis, quand elle eut fini, il laissa planer un léger moment de silence avant de lui sourire.
▬ Il semblerait donc que ton père ait tout simplement fait une erreur et pas des moindres.
Qu’était le plus affreux : Avoir ôté la vie de sa femme ou bien avoir privé sa fille de ses deux parents ? Le basané n’avait pas la réponse et n’avait pas nécessairement besoin de l’avoir pour continuer.
▬ Une erreur que tu ne veux pas approcher et que tu n’approcheras jamais. - les paroles sonnent comme une affirmation, il ne laissera pas ce genre de choses se produire ; il pose une main sur le lit et l’autre sur les jambes de sa moitié - De quel genre de personne parles-tu ? - son souffle vient se nicher dans le cou de la jeune femme et sa main remonte au niveau de son buste - Une égoïste qui sacrifierait tout pour son petit plaisir ?
Son front remontait afin de se coller à celui de son interlocutrice tandis que sa main libre venait occuper une place prédominante sur la gorge de celle qu’il aimait.
▬ Ou bien un électron libre qui ne ferait que souffrir ses proches ?
Cela n’avait rien d’une menace mais avait plutôt des airs d’engagement. Si elle se perdait une nouvelle fois et devenait quelqu’un de dangereux, il l’a dompterait. Il faut croire que le Cervantes n’était pas tout blanc non plus, on arrive pas à la tête de l’industrie agroalimentaire en souriant. Certains se montraient récalcitrant et il fallait souvent se montrer persuasif, tout le monde avait sa part de ténèbres, le tout était de savoir quelle place prenait-elle dans sa propre vie.
Maluma venait alors voler un baiser à Victoire en retirant petit à petit sa main.
▬ Écoutes moi bien car c’est une promesse que je te fais là. - il la plaque sur le lit et se place au-dessus d’elle - Moi vivant, tu ne feras rien jamais plus rien de vraiment mauvais. - une de ses mains se glisse sous le peignoir afin d’envahir les courbes qu’il cache - Sauf peut-être quelques bêtises, évidemment. dit-il avant de l’embrasser.
Un peu de marque d’autorité ne faisait jamais de mal. Si elle s’en formaliser, elle pouvait le prendre comme un défi, ce qui n’arrangerait que très peu le brun de peau. Dans le pire des cas et si vraiment elle se révélait être plus compliquée que ça à gérer, l’union d’une vie serait envisagée. Son vieux avait l’habitude de lui rabâcher qu’une femme changeait après s’être mariée et qu’elle cessait de faire dans l’illogisme. Mais bon, son père était aussi l’heureux détenteur d’un quotient intellectuel à deux chiffres et n’avait que comme accomplissement personnel d’avoir gagné à une loterie de quartier donc c’était à prendre avec des pincettes.
▬ Et puis… - en caressant sa cuisse - … Si tu te retrouves à devenir la personne que tu es capable d’être malgré tout, - une petite tape sur sa peau en souriant - tu seras évidemment punie en conséquence.
Un peu d’humour et de tension charnelle pour redescendre sur Terre mais il ne se doutait pas que le problème pouvait être plus compliqué que cela à résoudre, du moins sur le long terme. Mais selon lui, Victoire n’avait pas besoin d’un solution pour la vie mais au moins pour les temps qui suivront cet instants. Tous les problèmes ne se règlent pas en un éclair et trouver comment les résoudre prenait du temps. En attendant, il avait une oreille attentive et des belles paroles à distribuer. Que demander de plus ?
by Lyxiae
- Victoire Amaryllis
Miraculée
Argent : 180
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Âge : 22 ans
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Il faut qu'on parle.
Victoire & Maluma
Elle l'observait prendre ses aises, le regard défiant. Mmh. Possessif. Et avec une volonté de domination. Trop, à son goût. Elle le dresserait. Éventuellement. Victoire lui offrit un regard blasé lors de sa dernière remarque. Vraiment, il n'avait aucun scrupule. A l'amour comme à la guerre, disait-on. « Je me demande pourquoi je me suis pris la tête, j'aurais dû me douter que tu réagirais ainsi. » Au-dessus d'elle, il semblait presque narquois. Non merci. Victoire le poussa sur le côté, passant au dessus. Elle replaça ses mains un peu trop baladeuses avant de se redresser, le toisant de haut. Beaucoup mieux. « Tu prends bien trop tes aises, Cervantes. Et moi qui pensait que la connaissance d'Alfred te serait précieuse, voilà que je crois devoir la renégocier. » Malicieuse, elle lui vola un baiser sans lui laisser le temps de réagir. Ses mains attrapèrent son visage, alors que ses prunelles lavandes tentaient d'enchanter son homme. Puis, son ton se fit diablement sérieux. « Blague à part, l'arène d'Ilmerny est à moi. Pas touche. »
Les ambitions du basané étaient cela étant bien plus élevées que les siennes. Victoire avait envisagé de tenter sa chance au Conseil 4, une fois qu'elle aurait disposé d'une équipe forte. Mais son patrimoine lui tenait à cœur, la ramenant sans cesse vers ceux qui l'attendaient. Et puis l'argenté se releva, quittant définitivement le lit. Hmmm... « J'ai faim. Et j'ai envie de sortir. Ça te dit une pizza ? » Il ne lui dirait pas non. Déjà pleinement consciente du pouvoir qu'elle exerçait sur lui - même si l'inverse était vrai, mais elle ne l'admettrait pas - elle lui souriait en coin, suivant son regard. Capricieuse. Elle le devenait de plus en plus avec le temps, aucun doute là-dessus. Victoire ouvrit son immense placard, observant les vêtements rangés par couleur. Une nouvelle fois, sa pensée s'attarda sur le choix des formes, de la coupe et de ce qu'elle avait envie de mettre. « Tiens, tu ne m'as jamais dit si tu comptais tenter de devenir Maître de la Ligue. Je sais que tu veux faire le tour des arènes avec tes magnifiques dragons... Mais pour aller où ? » Elle se saisit d'une robe à volants bleu foncé et blanche. Oui, cela lui ressemblait.
Elle revenait vers lui, robe en main. Victoire sauta presque sur le lit, l'observant quelques secondes en s'étalant. Ses bras croisés sous son menton, elle lâche sa petite dernière bombe, histoire d'être bien sûre qu'il est là jusqu'au bout. « Au fait, mes grands-parents paternels veulent te rencontrer. Je planifie un rendez-vous ? » Et son sourire, toujours diablement angélique.
Les ambitions du basané étaient cela étant bien plus élevées que les siennes. Victoire avait envisagé de tenter sa chance au Conseil 4, une fois qu'elle aurait disposé d'une équipe forte. Mais son patrimoine lui tenait à cœur, la ramenant sans cesse vers ceux qui l'attendaient. Et puis l'argenté se releva, quittant définitivement le lit. Hmmm... « J'ai faim. Et j'ai envie de sortir. Ça te dit une pizza ? » Il ne lui dirait pas non. Déjà pleinement consciente du pouvoir qu'elle exerçait sur lui - même si l'inverse était vrai, mais elle ne l'admettrait pas - elle lui souriait en coin, suivant son regard. Capricieuse. Elle le devenait de plus en plus avec le temps, aucun doute là-dessus. Victoire ouvrit son immense placard, observant les vêtements rangés par couleur. Une nouvelle fois, sa pensée s'attarda sur le choix des formes, de la coupe et de ce qu'elle avait envie de mettre. « Tiens, tu ne m'as jamais dit si tu comptais tenter de devenir Maître de la Ligue. Je sais que tu veux faire le tour des arènes avec tes magnifiques dragons... Mais pour aller où ? » Elle se saisit d'une robe à volants bleu foncé et blanche. Oui, cela lui ressemblait.
Elle revenait vers lui, robe en main. Victoire sauta presque sur le lit, l'observant quelques secondes en s'étalant. Ses bras croisés sous son menton, elle lâche sa petite dernière bombe, histoire d'être bien sûre qu'il est là jusqu'au bout. « Au fait, mes grands-parents paternels veulent te rencontrer. Je planifie un rendez-vous ? » Et son sourire, toujours diablement angélique.
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
Un sourire évident dessiné sur les lèvres, il la regardait faire. Evidemment, pourquoi s’était-elle prise la tête ? S’il avait désiré en savoir plus sur son passé ou si elle était véritablement mauvaise, il aurait fait en sorte que le sujet tombe. Mais ce n’était pas le cas. Non pas car il n’avait que faire de ce genre de détails mais plutôt car il se sentait bien avec elle. Pourquoi creuser plus profondément quand la mine d’or a déjà été découverte ? Parfois, il fallait laisser la vie faire son oeuvre. Selon lui, du moins.
▬ Pour ce qui est d’Alfred, en effet c’est une information très précieuse. Mais je ne serais qu’un moins que rien si je m’en prenais à un homme en connaissant ses faiblesses à l’avance. - il rit un peu - Si ce n’est que l’arène que tu désires, fais toi plaisir.
Un bâtiment ne l’intéressait pas, loin de là. Étalé sur le lit, il répondait à la suite en observant le plafond.
▬ Alors, ok pour la pizza mais on ne retourne pas chez le même gars que la dernière fois. Ça va deux minutes les morceaux d’ananas mélangé au miel.
La jeune femme profitait de son pouvoir mais il ne fallait pas se méprendre pour autant. Elle était adorable (quelque part) lorsqu’elle se prenait pour une princesse, alors pourquoi lui priver de ce plaisir ?
▬ Maître de la Ligue ? - il se gratte les cheveux en sortant du lit à son tour - Oui, bien sûr. Peut-être irais-je chercher bien plus par la suite si j’en ai la possibilité, seul l’avenir me le dira.
En se rhabillant, il laissait sans doute planer une incompréhension. Que pouvait-il y avoir après l’illustre titre de meilleur dresseur pokémon ? Sachant que pour lui, ils n’étaient ni plus ni moins que des armes et que son ambition ne connaissait nulle limite, tout pouvait se révéler pertinent comme conjecture. Son ambition n’avait d’égale que son arrogance, très peu de chances que ça se termine bien pour lui.
▬ Tes grands-parents ? - en se retournant, eh bien ça devient sérieux de chez sérieux là - Euh… Si tu le souhaites oui. Que veulent-ils savoir exactement ? Ce ne sont pas les articles qui manquent s’il veulent se renseigner.
Oui, le Cervantes était aussi un peu idiot. Mais bon, ça faisait partie de son charme.
▬ D’ailleurs, ça me vient là d’un coup mais, - en refermant sa chemise - imaginons que je ne leur convienne pas. - il se met à rire - Ce qui, très honnêtement, très très peu probable vu que je suis sans doute l’homme se rapprochant le plus de la perfection sur Terre. - toujours plus Maluma - Que se passera t-il ?
Non pas qu’il était inquiet, non. Mais bon, il préférait en savoir plus de ce côté avant de (peut-être) tomber des nues.
▬ Pour ce qui est d’Alfred, en effet c’est une information très précieuse. Mais je ne serais qu’un moins que rien si je m’en prenais à un homme en connaissant ses faiblesses à l’avance. - il rit un peu - Si ce n’est que l’arène que tu désires, fais toi plaisir.
Un bâtiment ne l’intéressait pas, loin de là. Étalé sur le lit, il répondait à la suite en observant le plafond.
▬ Alors, ok pour la pizza mais on ne retourne pas chez le même gars que la dernière fois. Ça va deux minutes les morceaux d’ananas mélangé au miel.
La jeune femme profitait de son pouvoir mais il ne fallait pas se méprendre pour autant. Elle était adorable (quelque part) lorsqu’elle se prenait pour une princesse, alors pourquoi lui priver de ce plaisir ?
▬ Maître de la Ligue ? - il se gratte les cheveux en sortant du lit à son tour - Oui, bien sûr. Peut-être irais-je chercher bien plus par la suite si j’en ai la possibilité, seul l’avenir me le dira.
En se rhabillant, il laissait sans doute planer une incompréhension. Que pouvait-il y avoir après l’illustre titre de meilleur dresseur pokémon ? Sachant que pour lui, ils n’étaient ni plus ni moins que des armes et que son ambition ne connaissait nulle limite, tout pouvait se révéler pertinent comme conjecture. Son ambition n’avait d’égale que son arrogance, très peu de chances que ça se termine bien pour lui.
▬ Tes grands-parents ? - en se retournant, eh bien ça devient sérieux de chez sérieux là - Euh… Si tu le souhaites oui. Que veulent-ils savoir exactement ? Ce ne sont pas les articles qui manquent s’il veulent se renseigner.
Oui, le Cervantes était aussi un peu idiot. Mais bon, ça faisait partie de son charme.
▬ D’ailleurs, ça me vient là d’un coup mais, - en refermant sa chemise - imaginons que je ne leur convienne pas. - il se met à rire - Ce qui, très honnêtement, très très peu probable vu que je suis sans doute l’homme se rapprochant le plus de la perfection sur Terre. - toujours plus Maluma - Que se passera t-il ?
Non pas qu’il était inquiet, non. Mais bon, il préférait en savoir plus de ce côté avant de (peut-être) tomber des nues.
by Lyxiae
- Victoire Amaryllis
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Âge : 22 ans
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Il faut qu'on parle.
Victoire & Maluma
Victoire ne le quitta pas des yeux. Ses yeux qui riaient, dévisageant le malaise du basané qui montrait enfin ses vraies couleurs. C'était adorable, et elle sentait son cœur fondre à l'intérieur. Elle roula sur le côté, enfilant sa robe en lui répondant. « Oh ne t'inquiètes pas, des articles ils en ont lu. C'es justement pour ça qu'ils aimeraient avoir l'occasion de discuter avec toi de manière plus... privée. » Victoire se releva, faisant tomber son peignoir avant de tourner sur elle-même. Les volants de la robe suivirent son mouvement. Parfait. « Amaryllis leur appartient, après tout. J'en suis l'héritière et mes choix, peu importe lesquels, ont un impact. Je crois qu'ils veulent s'assurer du genre d'homme que tu es vraiment. Pas celui qu'on trouve dans les journaux. » Elle se rapprocha, scrutant la chemise qu'il avait enfilé. Mmh.. Elle rouvrit le bouton qu'il venait de fermer. Il n'avait définitivement pas son sens du style. Et puis, il posa cette drôle de question. Et s'il ne leur plaisait pas ? L'homme le plus parfait du monde ? Les lèvres de Victoire s'étirèrent en un sourire franc, au bord du rire.
« Si tu ne leur plaisais pas, j'imagine que mon grand-père engagerait plusieurs détectives privés pour vérifier tes affaires. Il irait également interroger tes employés, afin de s'assurer de comment se porte ton entreprise. » Joueuse, elle passa derrière son dos, laissant ses doigts se promener sur ses épaules. « Jusqu'à ce qu'il trouve une faille. Il te traînerait en justice, tenterait de te faire couler, toi et ton entreprise. Jusqu'à ce que tu n'aies plus le moindre centime à épargner. » Elle lui souffla dans le cou. « Idiot. Si tu ne lui plais pas, il râlera quelques années mais sera bien obligé d'accepter que ma vie amoureuse ne le regarde pas. » La belle s'éloigna, ouvrant la marche vers la sortie. Le bonheur marqué sur chaque trait de son visage, elle se permit de le taquiner davantage. « Mais tu n'as pas à t'inquiéter, car tu es l'homme le plus proche de la perfection sur Terre. N'est-ce pas ? »
Enfin, elle sortit de la chambre, se dirigeant dans son immense villa vers l'un de ses placards à chaussures. Paire de talons en main, elle revint vers son aimé, observant cet homme qui aurait presque été inquiet. Presque.
« Si tu ne leur plaisais pas, j'imagine que mon grand-père engagerait plusieurs détectives privés pour vérifier tes affaires. Il irait également interroger tes employés, afin de s'assurer de comment se porte ton entreprise. » Joueuse, elle passa derrière son dos, laissant ses doigts se promener sur ses épaules. « Jusqu'à ce qu'il trouve une faille. Il te traînerait en justice, tenterait de te faire couler, toi et ton entreprise. Jusqu'à ce que tu n'aies plus le moindre centime à épargner. » Elle lui souffla dans le cou. « Idiot. Si tu ne lui plais pas, il râlera quelques années mais sera bien obligé d'accepter que ma vie amoureuse ne le regarde pas. » La belle s'éloigna, ouvrant la marche vers la sortie. Le bonheur marqué sur chaque trait de son visage, elle se permit de le taquiner davantage. « Mais tu n'as pas à t'inquiéter, car tu es l'homme le plus proche de la perfection sur Terre. N'est-ce pas ? »
Enfin, elle sortit de la chambre, se dirigeant dans son immense villa vers l'un de ses placards à chaussures. Paire de talons en main, elle revint vers son aimé, observant cet homme qui aurait presque été inquiet. Presque.
Lyxiae
- Maluma Cervantes
Berserker
Argent : 460
Expérience : 75
Région d'origine : Nérova
Âge : 28 ans
Avatar : Okurikara (Katsugeki/Touken Ranbou)
En contemplant la préparation de la jeune femme, la réponse de cette dernière ne manquait pas d’arriver. Evidemment, elle jouait d’humour et de taquinerie pour cela sinon elle ne serait pas ce qu’elle était.
▬ Je vois. - il n’attendait pas vraiment une autre réponse à vrai dire ; homme parfait ? oui oui - Évidemment, sinon pourquoi te serais-tu intéressé à moi ?
Ah quel homme. Il était fort, très fort. Tandis que Victoire venait, Maluma lui, était déjà presque paré pour la sortie nocturne. Madame n’avait pas voulu que le dernier bouton soit fermé, soit, il l’avait laissé ainsi. C’est pas comme si il avait quelqu’un d’autre à qui plaire de toutes manières.
▬ Tu es magnifique. - comme d’habitude - On est d’accord hein, pas de miel dans les pizzas !
Il tenait à le rappeler, c’était un véritable sacrilège à ses yeux.
▬ Prête ? demande t-il en ajustant une dernière fois sa veste.
▬ Je vois. - il n’attendait pas vraiment une autre réponse à vrai dire ; homme parfait ? oui oui - Évidemment, sinon pourquoi te serais-tu intéressé à moi ?
Ah quel homme. Il était fort, très fort. Tandis que Victoire venait, Maluma lui, était déjà presque paré pour la sortie nocturne. Madame n’avait pas voulu que le dernier bouton soit fermé, soit, il l’avait laissé ainsi. C’est pas comme si il avait quelqu’un d’autre à qui plaire de toutes manières.
▬ Tu es magnifique. - comme d’habitude - On est d’accord hein, pas de miel dans les pizzas !
Il tenait à le rappeler, c’était un véritable sacrilège à ses yeux.
▬ Prête ? demande t-il en ajustant une dernière fois sa veste.
by Lyxiae
- Victoire Amaryllis
Miraculée
Argent : 180
Expérience : 160
Région d'origine : Nérova
Âge : 22 ans
Avatar : Emilia - Re:Zero
Il faut qu'on parle.
Victoire & Maluma
La belle papillonna des yeux, l'air innocent. A moitié sérieuse, elle lui murmura : « Peut être bien pour ta tendresse inégalable. » Un baiser sur la joue, elle lui tourne le dos en lui envoyant ses cheveux dans la figure. Les talons qui claquaient sur le sol vernis, provoquant un boucan sans non. Ah, cette fameuse histoire de pizza au miel. « Tu avais vraiment besoin de ce miel, chéri. C'était pour adoucir un peu ta langue. » C'est qu'il avait tendance à ne pas mâcher ses mots. Et elle avait juste la bonne idée en tête. Elle informa son majordome - encore levé à cette heure tardive - qu'ils sortaient et qu'ils reviendraient tard dans la nuit.
« Je suis sûre que tu vas adorer cette pizza chocolat-guimauve. »
Lyxiae
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