- Brigitta Thorne
Héroïne aux poings
Argent : 300
Expérience : 90
Région d'origine : Johto
Âge : Originalement 20 ans, physiquement 18 ans.
Avatar : OC - Pheberoni
Roux la la.
Selon les nouvelles qui passent à la télévision, la température de Perlyc s'annonçait très agréable avec un soleil tout au long de la journée. Brigitte jette un coup d'œil à Sonia et Bria qui s'amuse sur le grand balcon. Les portes de la large baie vitrée étaient ouvertes, laissant l'air chaud pénétrer à l'intérieur. Sa mère Florenzia est confortablement installée dans sa chaise berçante, ne prononçant aucun mot, comme à son habitude. Devant cette vision désolante, Brigit soupire avant de soulever sa carcasse paresseuse du sofa. Elle va jusqu'à l'extérieur, passant proche de sa mère pour doucement la caresser avant de descendre sur le terrain. Sonia et Bria avant maintenant laisser tomber les jeux d'enfants pour s'entraîner un peu. Depuis l'arrivée de la Laporeille, le Germignon avait démontré une nouvelle volonté de vivre. C'était rassurant et rafraîchissant de le voir comme ceci. Même si la lapine respectait le côté, plus diplomate du Germignon, elle s'était tout de même, montrer ferme avec lui sur le fait qu'il fallait qu'il s'améliore, pour le bien de l'équipe et celui de leur maîtresse.
Brigitta observe un instant le terrain vallonné qui s'étire devant elle, glissant ses yeux sur les plans de fleurs et le jardin qu'elle a fabriqué la première année qu'elle est arrivée ici. Même si elle avait vendu la fermette, elle n'avait pas décidé d'abandonner son hobby et comme ceci, l'été elle sauvait plus sur la nourriture et c'était plus sain. Il faudrait d'ailleurs qu'elle récupère les fruits et les légumes qui étaient prêts. Elle pourrait également profiter de la journée pour aller au marché et récupérer ce qui lui manque pour faire de la nourriture plus biologique pour Sinja et Bria. Brigit était habituée à cuisiner et avait même pris l'habitude d'en faire plus pour des repas pour le courant de la semaine. Il faudrait juste, qu'elle fasse une liste de ce qu'il lui manque et… Trop distraite pour réaliser ce qui se passe, elle perd brusquement l'équilibre et tombe à genoux. Elle a tout juste le temps de mettre ses mains devant elle et d'éviter de se planter la tête première.
Tandis qu'elle tourne la tête, elle voit la petite Laporeille qui a les deux mains sur sa bouche, une expression de surprise au visage. Elle baisse les yeux, pour voir le Germignon cul tète sur ses mollets qui dégagent la même surprise que sa compagne de combat. « Bria… Qu'est-ce que j'ai dit à propos de la puissance ? » Grogne un peu Brigit. La lapine fait la moue, savant très bien ce qu'elle a fait. Sinja se relève enfin, laissant l'humaine se lever à son tour. La rouquine les menace ensuite de son doigt peu menaçant, avant d'abandonner la réprimande. « Faites simplement attention, je ne veux pas de blessures graves entre vous. » Souffle-t-elle avant de retourner vers la maison. Aller, on va enfiler les souliers, on ramasse le panier et… Tandis qu'elle lève son pied, elle écrase ses orteils sur le rebord du balcon et elle se plante une deuxième fois vers l'avant. Elle laisse échapper un gros juron en se tenant le pied. Elle commence à croire que la journée ne s'annoncera pas aussi merveilleuse qu'elle le croyait.
Quelques minutes, plus tard, elle quitte vers le marché central. Pour essayer de prendre un peu de soleil, elle avait enfilé un short en jean et une camisole noire avec un logo de Kiss sur le-devant. Il était plutôt rare qu'elle dévoile autant son corps, mais elle s'était dit que prendre un peu de couleur ne lui ferait pas de mal et la journée était tout simplement parfaite pour ceci. Faire les courses, ne fut pas long, elle connaissait déjà toutes les étales et savait très bien où aller. Tout en tenant le large panier en osier qui est rempli de bouffe, elle sifflote un peu en observant le décore naturelle qui s'étire sur sa gauche. Elle joue de manière nonchalante avec un cure-dent qui est à demi-gruger par ses dents. Tandis qu'elle descend quelque peu la pente descendante, elle remarque que trop tard l'énorme homme qui se trouve devant elle et le percute un peu. « Seigneur, j'suis tellement désolée. » Grogne un peu Brigit dans une excuse tout en essayant d'éviter que tout le contenu de son panier tombe à terre. Cependant, elle peut voir une pomme tomber et descendre très rapidement la pente.
Elle rejette le cure-dent de sa bouche et retrouve enfin l'équilibre. « Encore désolée, j'étais un peu trop distraite par le paysage… » Termine Brigitte qui lève enfin la tête vers son futur interlocuteur. C'était que l'homme… Qui est très impressionnant et… Très grand. Brigitta avait jamais rencontré quelqu'un d'aussi grand de toute sa vie et… « Hey ! Heureuse de voir, que je ne suis pas la seule rousse du coin ! En fait, vous venez du coin où vous êtes de passage ? Je ne vous ai jamais vus avant, maintenant. »
Brigitta observe un instant le terrain vallonné qui s'étire devant elle, glissant ses yeux sur les plans de fleurs et le jardin qu'elle a fabriqué la première année qu'elle est arrivée ici. Même si elle avait vendu la fermette, elle n'avait pas décidé d'abandonner son hobby et comme ceci, l'été elle sauvait plus sur la nourriture et c'était plus sain. Il faudrait d'ailleurs qu'elle récupère les fruits et les légumes qui étaient prêts. Elle pourrait également profiter de la journée pour aller au marché et récupérer ce qui lui manque pour faire de la nourriture plus biologique pour Sinja et Bria. Brigit était habituée à cuisiner et avait même pris l'habitude d'en faire plus pour des repas pour le courant de la semaine. Il faudrait juste, qu'elle fasse une liste de ce qu'il lui manque et… Trop distraite pour réaliser ce qui se passe, elle perd brusquement l'équilibre et tombe à genoux. Elle a tout juste le temps de mettre ses mains devant elle et d'éviter de se planter la tête première.
Tandis qu'elle tourne la tête, elle voit la petite Laporeille qui a les deux mains sur sa bouche, une expression de surprise au visage. Elle baisse les yeux, pour voir le Germignon cul tète sur ses mollets qui dégagent la même surprise que sa compagne de combat. « Bria… Qu'est-ce que j'ai dit à propos de la puissance ? » Grogne un peu Brigit. La lapine fait la moue, savant très bien ce qu'elle a fait. Sinja se relève enfin, laissant l'humaine se lever à son tour. La rouquine les menace ensuite de son doigt peu menaçant, avant d'abandonner la réprimande. « Faites simplement attention, je ne veux pas de blessures graves entre vous. » Souffle-t-elle avant de retourner vers la maison. Aller, on va enfiler les souliers, on ramasse le panier et… Tandis qu'elle lève son pied, elle écrase ses orteils sur le rebord du balcon et elle se plante une deuxième fois vers l'avant. Elle laisse échapper un gros juron en se tenant le pied. Elle commence à croire que la journée ne s'annoncera pas aussi merveilleuse qu'elle le croyait.
Quelques minutes, plus tard, elle quitte vers le marché central. Pour essayer de prendre un peu de soleil, elle avait enfilé un short en jean et une camisole noire avec un logo de Kiss sur le-devant. Il était plutôt rare qu'elle dévoile autant son corps, mais elle s'était dit que prendre un peu de couleur ne lui ferait pas de mal et la journée était tout simplement parfaite pour ceci. Faire les courses, ne fut pas long, elle connaissait déjà toutes les étales et savait très bien où aller. Tout en tenant le large panier en osier qui est rempli de bouffe, elle sifflote un peu en observant le décore naturelle qui s'étire sur sa gauche. Elle joue de manière nonchalante avec un cure-dent qui est à demi-gruger par ses dents. Tandis qu'elle descend quelque peu la pente descendante, elle remarque que trop tard l'énorme homme qui se trouve devant elle et le percute un peu. « Seigneur, j'suis tellement désolée. » Grogne un peu Brigit dans une excuse tout en essayant d'éviter que tout le contenu de son panier tombe à terre. Cependant, elle peut voir une pomme tomber et descendre très rapidement la pente.
Elle rejette le cure-dent de sa bouche et retrouve enfin l'équilibre. « Encore désolée, j'étais un peu trop distraite par le paysage… » Termine Brigitte qui lève enfin la tête vers son futur interlocuteur. C'était que l'homme… Qui est très impressionnant et… Très grand. Brigitta avait jamais rencontré quelqu'un d'aussi grand de toute sa vie et… « Hey ! Heureuse de voir, que je ne suis pas la seule rousse du coin ! En fait, vous venez du coin où vous êtes de passage ? Je ne vous ai jamais vus avant, maintenant. »
Codage par Libella sur Graphiorum
- Yvon Tremblay
Iron Man
Argent : 195
Expérience : 60
Région d'origine : Unys
Âge : 30 ans
Avatar : Iskandar (Fate/Zero)
Roux la la ~
Yvon TREMBLAY & Brigitta THORNE
Un énième soupir filtra d’entre mes lèvres alors que je bottais le sol devant moi, tel un enfant en proie à un mélange de déception et de frustration. Encore une fois, mes recherches s’étaient avérées sans succès, et je quittais bredouille le confort de l’établissement restauratif pour retrouver la douce caresse de la brise dans ma barbe et ma tignasse. Ce coin de pays me rappelait un peu la maison, en fait. Le paysage avait quelque chose de sauvage, mais de serein, en même temps. Puis, au loin, il y avait ce que les Néroviens appelaient les Terres Perdues. Hmm… Ça sonnait presque comme un endroit tout trouvé pour moi, ça, en fait. DU moins, si l’on se fiait à mes dernières aventures, en tous cas…
Un bruit semblable à un rugissement féral se fit entendre, comme une bête hurlant sa dominance pour que le monde entier puisse se prosterner devant elle. Quelques regards changèrent de cible, et j’affichai un sourire moqueur alors que je posais une main contre mon ventre. La faim me tenaillait, et pas moyen de trouver de quoi me plaire pour l’instant. C’était toujours pareil, ou presque. À part à quelques rares endroits de Cormenun, c’était tout simplement impossible de trouver un restaurant pour me servir un bon steak bien juteux. Au moins, la bière se vendait encore...
- Maudit pays d’fous…
Cette fois, je sentis les regards s’assombrir, et j’éclatai de rire. Allons, il ne fallait pas toujours me prendre au sérieux, non plus. Si je prenais la peine de chercher, sûrement trouverais-je de quoi me renseigner sur le pourquoi de cette pénurie de protéines animales partout dans la région. Mais voilà, la paresse et la faim m’en empêchaient. Donc je fis comme à l’accoutumée: je finis par flancher et m’acheter quelques fruits. Deux ou trois pommes, que l’on m’offrit dans un petit sac. Une pour moi, et une pour les deux autres. Car si je savais Burger plus sage, Oak, lui, ce serait la crise, s’il découvrait que je ne lui avais rien pris. Un vrai bébé, des fois, je vous jure…
Bref. Tout à ma contemplation de cette pensée, c’est un coup dans mon dos qui me ramena dans le présent. Loin des caprices de la souche ambulante. Loin du mal de crâne. Hum. un mouvement à mes pieds me fit suivre cette pomme fuyarde du regard, et j’allai distraitement m’assurer qu’il ne s’agissait pas d’une des miennes. Non? Parfait. Je pus donc me tourner, entendant la voix d’une jeune femme se confondre en excuses. Ça me fit rigoler.
- Fa’ toué-z’en pas, cé pas grave. Cé des choses qui arrivent.①
Que je dis en agitant nonchalamment la main, pour rassurer la demoiselle. Puis, elle me bombarda de questions, et je hochai la tête en réprimant un nouveau rire. J’avais l’air si touriste que ça, moi?
- Nan, ch’uis pas d’icitte. J’tais curieux par rapport à ‘a place, faque ch’uis v’nu j’ter un oeil. Ça m'rappelle un peu chez nous, dans l'nord d'Unys. Pis y parra’ qu’y a un gym icitte?②
Encore, le monstre habitant mes tripes se fit entendre, et cette fois, c’est un peu de gêne qui vint tacher mes joues. Je marmonnai un faible “S’cusez”, puis je finis par attraper un de mes fruits pour le croquer.
- Pas pire, ton t-shirt. T’es fan?
C’était vraiment le premier truc que j’avais trouvé pour ne pas que l’on s’attarde à mon ventre. Que ce soit purement par esthétique ou par soutien pour le band, ça valait un pouce en l’air de ma part, si elle connaissait ses classiques du rock. Enfin quelqu’un avec un peu de bon jugement, hors de la grande ville? Ou était-elle simplement une rebelle anticonformiste envers les us et coutumes locales?
Un bruit semblable à un rugissement féral se fit entendre, comme une bête hurlant sa dominance pour que le monde entier puisse se prosterner devant elle. Quelques regards changèrent de cible, et j’affichai un sourire moqueur alors que je posais une main contre mon ventre. La faim me tenaillait, et pas moyen de trouver de quoi me plaire pour l’instant. C’était toujours pareil, ou presque. À part à quelques rares endroits de Cormenun, c’était tout simplement impossible de trouver un restaurant pour me servir un bon steak bien juteux. Au moins, la bière se vendait encore...
- Maudit pays d’fous…
Cette fois, je sentis les regards s’assombrir, et j’éclatai de rire. Allons, il ne fallait pas toujours me prendre au sérieux, non plus. Si je prenais la peine de chercher, sûrement trouverais-je de quoi me renseigner sur le pourquoi de cette pénurie de protéines animales partout dans la région. Mais voilà, la paresse et la faim m’en empêchaient. Donc je fis comme à l’accoutumée: je finis par flancher et m’acheter quelques fruits. Deux ou trois pommes, que l’on m’offrit dans un petit sac. Une pour moi, et une pour les deux autres. Car si je savais Burger plus sage, Oak, lui, ce serait la crise, s’il découvrait que je ne lui avais rien pris. Un vrai bébé, des fois, je vous jure…
Bref. Tout à ma contemplation de cette pensée, c’est un coup dans mon dos qui me ramena dans le présent. Loin des caprices de la souche ambulante. Loin du mal de crâne. Hum. un mouvement à mes pieds me fit suivre cette pomme fuyarde du regard, et j’allai distraitement m’assurer qu’il ne s’agissait pas d’une des miennes. Non? Parfait. Je pus donc me tourner, entendant la voix d’une jeune femme se confondre en excuses. Ça me fit rigoler.
- Fa’ toué-z’en pas, cé pas grave. Cé des choses qui arrivent.①
Que je dis en agitant nonchalamment la main, pour rassurer la demoiselle. Puis, elle me bombarda de questions, et je hochai la tête en réprimant un nouveau rire. J’avais l’air si touriste que ça, moi?
- Nan, ch’uis pas d’icitte. J’tais curieux par rapport à ‘a place, faque ch’uis v’nu j’ter un oeil. Ça m'rappelle un peu chez nous, dans l'nord d'Unys. Pis y parra’ qu’y a un gym icitte?②
Encore, le monstre habitant mes tripes se fit entendre, et cette fois, c’est un peu de gêne qui vint tacher mes joues. Je marmonnai un faible “S’cusez”, puis je finis par attraper un de mes fruits pour le croquer.
- Pas pire, ton t-shirt. T’es fan?
C’était vraiment le premier truc que j’avais trouvé pour ne pas que l’on s’attarde à mon ventre. Que ce soit purement par esthétique ou par soutien pour le band, ça valait un pouce en l’air de ma part, si elle connaissait ses classiques du rock. Enfin quelqu’un avec un peu de bon jugement, hors de la grande ville? Ou était-elle simplement une rebelle anticonformiste envers les us et coutumes locales?
HRP : Note note note ^^
Lyxiae
- Dialogues:
- 1- Ne t'en fais pas, Il n'y a pas de mal. Ce sont des choses qui arrivent
2- Non, je ne suis point d'ici. J'étais simplement curieux de voir autre chose que la grande ville. Ça me rappelle mon chez moi, dasn les grandes plaines bien au nord d'Unys. Il paraît qu'il y a aussi une arène, ici, qui m'intrigue?
- Brigitta Thorne
Héroïne aux poings
Argent : 300
Expérience : 90
Région d'origine : Johto
Âge : Originalement 20 ans, physiquement 18 ans.
Avatar : OC - Pheberoni
Roux la la.
Après une phrase purement atypique, mais que la demoiselle comprend très bien, malgré l'accent très prononcé de l'homme. Elle sourit tranquillement, les yeux remplissent de curiosité en observant le touriste roux qui se trouve devant elle. « Essayons quand même d'éviter que je recommence, je n'ai pas envie de courir après ma nourriture. » Dit-elle comme dans une nouvelle excuse qui ne voulait pas en être une, directement. Elle écoute ensuite ses paroles, comme hypnotisée par sa manière de parler. Il lui rappelle un peu son père, quoique son défunt père fût loin d'être aussi impressionnant physiquement, il avait le même genre d'accent prononcé. À vrai dire, elle ne connaissait pas réellement les origines de son père, tout ce qu'elle savait, c'était que ses parents s'étaient rencontrés durant une foire spéciale pour fermier, ou quelque chose du genre. À l'époque, ils n'en parlaient pas beaucoup et la famille de son père c'était toujours montré très distraite ou absente, elle se souvent vaguement de quelques coups de téléphone par année pour les occasions spéciales, mais rien de plus. De toute façon, tout ceci datait maintenant de la passée, ce n'est pas comme-ci sa mère allait subitement en parler maintenant… Surtout dans son état actuel.
La question de l'homme ramène immédiatement Brigit sur le moment présent et tandis qu'elle chasse de son esprit ces questions interrogations inutiles, elle se retourne pour faire face vers l'intérieur de la ville. « Humm, c'est un bel endroit pour faire du touriste, les gens sont assez hospitaliers et il y a une ambiance familiale qui règne et leur steak pas trop mal… Mais entre toi et moi, ce n'est pas leur spécialité, je préfère le faire cuire moi-même… Tous les restaurants que j'ai faits ici, le font trop cuire… Même quand je demande un steak médium saignant. » Dit-elle en pointant enfin dans une direction. « Tu vois l'énorme bâtiment qui dépasse tous les autres ? Le gym a été installée à l'intérieur. J'ai entendu dire, aussi que Loïc le champion aime bien dévisager les gens qui ont l'audace d'y monter, il les attend tout en haut de l'escalier dans une manœuvre d'intimidation. Je trouve ça plutôt marrant en fait. Ça décourage les plus faibles. » Termine-t-elle en lui faisant face à nouveau.
C'est à cet instant que l'inattendu se produit. Un grondement digne d'un prédateur affamé. Surprise et hilare à la fois, Brigit penche la tête vers l'estomac de l'homme où elle a l'impression de l'entendre encore gronder de faim malgré la faible excuse de son compagnon. Tout en rougissant sous ses yeux pâles, il mord dans sa pomme. Ce n'était certainement pas avec ceci qu'il allait clamer la bête. « Ça va. » Dit-elle à son tour pour éviter d'éclater dans un grand rire. Décidément, cette journée n'était peut-être pas si pire. La distraction d'Yvon semble parfaitement fonctionner et son attention est maintenant détournée vers son visage. Brigitta hoche doucement la tête, un peu rêveuse simplement sous sa question. « Petite fane nostalgie du bon vieux temps ? J'écoute plusieurs styles de band dans le hard rock ou l'heavy Metal, comme Led Zeppelin, Aerosmith, Queen, AC/DC, un peu de Metallica ou de Black Sabbath et quelques autres encore, mais disons que mon paternel m'a transmit son amour pour Kiss. Il y a quelque chose de magique. » Termine-t-elle dans un souffle. « Et toi ? C'est également ton style Oh, en passant, je m'appelle Brigitta et toi ? » Glisse-t-elle en lui tendant sa main calleuse, signe qu'elle avait fait quand même beaucoup de travail manuel.
La question de l'homme ramène immédiatement Brigit sur le moment présent et tandis qu'elle chasse de son esprit ces questions interrogations inutiles, elle se retourne pour faire face vers l'intérieur de la ville. « Humm, c'est un bel endroit pour faire du touriste, les gens sont assez hospitaliers et il y a une ambiance familiale qui règne et leur steak pas trop mal… Mais entre toi et moi, ce n'est pas leur spécialité, je préfère le faire cuire moi-même… Tous les restaurants que j'ai faits ici, le font trop cuire… Même quand je demande un steak médium saignant. » Dit-elle en pointant enfin dans une direction. « Tu vois l'énorme bâtiment qui dépasse tous les autres ? Le gym a été installée à l'intérieur. J'ai entendu dire, aussi que Loïc le champion aime bien dévisager les gens qui ont l'audace d'y monter, il les attend tout en haut de l'escalier dans une manœuvre d'intimidation. Je trouve ça plutôt marrant en fait. Ça décourage les plus faibles. » Termine-t-elle en lui faisant face à nouveau.
C'est à cet instant que l'inattendu se produit. Un grondement digne d'un prédateur affamé. Surprise et hilare à la fois, Brigit penche la tête vers l'estomac de l'homme où elle a l'impression de l'entendre encore gronder de faim malgré la faible excuse de son compagnon. Tout en rougissant sous ses yeux pâles, il mord dans sa pomme. Ce n'était certainement pas avec ceci qu'il allait clamer la bête. « Ça va. » Dit-elle à son tour pour éviter d'éclater dans un grand rire. Décidément, cette journée n'était peut-être pas si pire. La distraction d'Yvon semble parfaitement fonctionner et son attention est maintenant détournée vers son visage. Brigitta hoche doucement la tête, un peu rêveuse simplement sous sa question. « Petite fane nostalgie du bon vieux temps ? J'écoute plusieurs styles de band dans le hard rock ou l'heavy Metal, comme Led Zeppelin, Aerosmith, Queen, AC/DC, un peu de Metallica ou de Black Sabbath et quelques autres encore, mais disons que mon paternel m'a transmit son amour pour Kiss. Il y a quelque chose de magique. » Termine-t-elle dans un souffle. « Et toi ? C'est également ton style Oh, en passant, je m'appelle Brigitta et toi ? » Glisse-t-elle en lui tendant sa main calleuse, signe qu'elle avait fait quand même beaucoup de travail manuel.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Yvon Tremblay
Iron Man
Argent : 195
Expérience : 60
Région d'origine : Unys
Âge : 30 ans
Avatar : Iskandar (Fate/Zero)
Roux la la ~
Yvon TREMBLAY & Brigitta THORNE
Ça avait un petit côté comique, que de voir la réaction des gens quand ils m'entendaient jacasser. La confusion qui se dessinait sur leurs traits valait son pesant d'or. Puis, quand on se remettait de cela, j'avais droit à deux sortes de suites: soit on me regardait comme si je venais de m'échapper d'un cirque, soit on me demandait de répéter dans un langage supposément plus "correct". Tss. Comme si leur accent était meilleur que le mien, hmm?
Et pourtant, là, c'était mon tour d'avoir l'air un peu confus. La demoiselle me prenait de court, en fait, puisqu'elle semblait ne pas en faire de cas, de mon parlé. Ma foi, ça devait bien être la première fois depuis mon départ de la maison, à Unys. Serait-elle donc originaire de mon coin, celle-là? Peu probable, puisqu’elle ne parlait pas de la même façon.
- J’imagine, ouin. Surtout qu’ça creuse encore plus de même, eh?
Un grand sourire ornait mes lippes alors que je dégustais ce qui fut jadis considéré comme le fruit défendu. J’eus l’impression de sentir mes oreilles frissonner à la mention d’un bon steak, mes yeux allant se fixer sur la demoiselle aussitôt. Pouvait-elle donc lire les pensées des gens, celle-là? Était-elle donc une espèce de sorcière? Ou alors un don du ciel?
- Nan, bleu-saignant, ça, c’est bon. Mais j’ai pô dû aller à’a bonne place, debord… Toute c’que j’ai trouvé, c’tait des fruits pis des légumes… Si y faut, j’leu’ montrerai comment faire, moé, oubedon j’irai me’l faire moé-même! Y pourront apprendre, là, là!
Et c’est un bon rire gras qui m’échappa, cette fois, comme la cerise sur le sundae qu’était cette petite blague. Non, je n’oserais jamais simplement faire irruption dans une cuisine et prétendre savoir mieux faire que quiconque. Juste, si l’on me le demandait, je ne dirais pas non à les instruire un peu sur les arts de la viande. Quelle idée, que de faire virer la région entière vers le végétarisme. Toutes ces saveurs qu’ils délaissaient, au prix de quelques fèves fades…
Comme captivé, je suivis du regard son doigt alors que la rouquine me pointait une construction plus loin. Ah? Elle était dans ma face depuis le début et je ne m’en étais pas rendu compte? Non, non, c’était tout moi, ça, en fait. Bien aimable, la miss eût même la gentillesse de me donner un petit tuyau quant à l’habitant des lieux. Mené par un impoli qui regarde les gens de haut, hmm? Ma foi, j’espérais bien qu’il ait assez de marches dans sa volée d’escaliers pour ne pas se prendre un torticolis. C’est que ça pouvait faire mal pendant des jours, cette merde…
Elle me faisait bien rigoler, celle-là. Comme quoi le rire était une chose contagieuse, qu’elle le fasse en entendant mon estomac enlevait toute la gêne de l’atmosphère. Ça avait presque quelque chose d’apaisant, en fait. Puis, comment elle sauta à pieds joints dans ma petite diversion… Au moins, elle était sympathique, elle. Pas comme une autre qui voulait juste que l’on se batte. Que je sache, elle ne m’avait toujours pas arraché la victoire. Était-elle donc mauvaise perdante, la catcheuse, ou alors voulait-elle vraiment, un jour, me mettre au tapis? Seul le temps le dira.
J’étais un peu pris de court, par contre, lorsque la rousse devant moi -nommée Brigitta, apparemment- me relança la balle quant à mes goûts musicaux. Oups, je n’étais pas préparé à un tel revirement!
- Euh… Hmm. Ben j’aime ben ceux-là, ouin, mais mon propre père y’était comme fanatique d’un band en particulier. Rush, tu connais? J’te jure, y’a toute d’eux-aut’es, des cassettes quat’e tracks aux t-shirts, en passant par les vinyles et aut’es patentes à gosses. Y’a même un mur au complet chez eux rempli de posters et autres. P’t-êt’e ben que s’pour ça qu’j’aime pô vraiment aut’e chose, comme style de musique. Si c’est du rock ou du métal, je finirai probablement par l’écouter un moment donné, si c’est pô déjà faite.
Poli, j’allai lui serrer la pince de ma main libre, lui offrant mon plus beau sourire.
- Enchanté. Moé, cé Yvon. Ah, tiens. J’en ai une d’over, dans mes affaire, pis vu comment qu’t’en as pardu une…
Je fouillai rapidement dans mon petit sac en plastique et en sortis une pomme jaune, que je lui tendis.
- Tiens. Cadeau.
C’est là que je sentis quelque chose gigoter à ma ceinture. Comme si la boule qui y était attachée voulait se libérer. Aïe, je ne savais que trop bien ce que ça voulait dire, tout ça. J’allais en baver parce que j’avais donné son fruit préféré à quelqu’un d’autre…
Et comme de fait, le petit fantôme masqué finit par apparaître et se mettre à piailler en me pointant. Il avait l’air en pétard. Il ignorait tout bonnement Brigit, préférant me tourner autour de la tête en continuant ses enfantillages.
- Ignores-lé, y va finir par finir un m’ment d’nné. Yé capricieux, mais cé pô mal toute…
Et voilà qu’il me tapait avec les “cornes” de son masque pour chercher à m’énerver. Pas de chance, mon vieux, je ne flancherai pas, cette fois. Pas devant elle, en tous cas.
Et pourtant, là, c'était mon tour d'avoir l'air un peu confus. La demoiselle me prenait de court, en fait, puisqu'elle semblait ne pas en faire de cas, de mon parlé. Ma foi, ça devait bien être la première fois depuis mon départ de la maison, à Unys. Serait-elle donc originaire de mon coin, celle-là? Peu probable, puisqu’elle ne parlait pas de la même façon.
- J’imagine, ouin. Surtout qu’ça creuse encore plus de même, eh?
Un grand sourire ornait mes lippes alors que je dégustais ce qui fut jadis considéré comme le fruit défendu. J’eus l’impression de sentir mes oreilles frissonner à la mention d’un bon steak, mes yeux allant se fixer sur la demoiselle aussitôt. Pouvait-elle donc lire les pensées des gens, celle-là? Était-elle donc une espèce de sorcière? Ou alors un don du ciel?
- Nan, bleu-saignant, ça, c’est bon. Mais j’ai pô dû aller à’a bonne place, debord… Toute c’que j’ai trouvé, c’tait des fruits pis des légumes… Si y faut, j’leu’ montrerai comment faire, moé, oubedon j’irai me’l faire moé-même! Y pourront apprendre, là, là!
Et c’est un bon rire gras qui m’échappa, cette fois, comme la cerise sur le sundae qu’était cette petite blague. Non, je n’oserais jamais simplement faire irruption dans une cuisine et prétendre savoir mieux faire que quiconque. Juste, si l’on me le demandait, je ne dirais pas non à les instruire un peu sur les arts de la viande. Quelle idée, que de faire virer la région entière vers le végétarisme. Toutes ces saveurs qu’ils délaissaient, au prix de quelques fèves fades…
Comme captivé, je suivis du regard son doigt alors que la rouquine me pointait une construction plus loin. Ah? Elle était dans ma face depuis le début et je ne m’en étais pas rendu compte? Non, non, c’était tout moi, ça, en fait. Bien aimable, la miss eût même la gentillesse de me donner un petit tuyau quant à l’habitant des lieux. Mené par un impoli qui regarde les gens de haut, hmm? Ma foi, j’espérais bien qu’il ait assez de marches dans sa volée d’escaliers pour ne pas se prendre un torticolis. C’est que ça pouvait faire mal pendant des jours, cette merde…
Elle me faisait bien rigoler, celle-là. Comme quoi le rire était une chose contagieuse, qu’elle le fasse en entendant mon estomac enlevait toute la gêne de l’atmosphère. Ça avait presque quelque chose d’apaisant, en fait. Puis, comment elle sauta à pieds joints dans ma petite diversion… Au moins, elle était sympathique, elle. Pas comme une autre qui voulait juste que l’on se batte. Que je sache, elle ne m’avait toujours pas arraché la victoire. Était-elle donc mauvaise perdante, la catcheuse, ou alors voulait-elle vraiment, un jour, me mettre au tapis? Seul le temps le dira.
J’étais un peu pris de court, par contre, lorsque la rousse devant moi -nommée Brigitta, apparemment- me relança la balle quant à mes goûts musicaux. Oups, je n’étais pas préparé à un tel revirement!
- Euh… Hmm. Ben j’aime ben ceux-là, ouin, mais mon propre père y’était comme fanatique d’un band en particulier. Rush, tu connais? J’te jure, y’a toute d’eux-aut’es, des cassettes quat’e tracks aux t-shirts, en passant par les vinyles et aut’es patentes à gosses. Y’a même un mur au complet chez eux rempli de posters et autres. P’t-êt’e ben que s’pour ça qu’j’aime pô vraiment aut’e chose, comme style de musique. Si c’est du rock ou du métal, je finirai probablement par l’écouter un moment donné, si c’est pô déjà faite.
Poli, j’allai lui serrer la pince de ma main libre, lui offrant mon plus beau sourire.
- Enchanté. Moé, cé Yvon. Ah, tiens. J’en ai une d’over, dans mes affaire, pis vu comment qu’t’en as pardu une…
Je fouillai rapidement dans mon petit sac en plastique et en sortis une pomme jaune, que je lui tendis.
- Tiens. Cadeau.
C’est là que je sentis quelque chose gigoter à ma ceinture. Comme si la boule qui y était attachée voulait se libérer. Aïe, je ne savais que trop bien ce que ça voulait dire, tout ça. J’allais en baver parce que j’avais donné son fruit préféré à quelqu’un d’autre…
Et comme de fait, le petit fantôme masqué finit par apparaître et se mettre à piailler en me pointant. Il avait l’air en pétard. Il ignorait tout bonnement Brigit, préférant me tourner autour de la tête en continuant ses enfantillages.
- Ignores-lé, y va finir par finir un m’ment d’nné. Yé capricieux, mais cé pô mal toute…
Et voilà qu’il me tapait avec les “cornes” de son masque pour chercher à m’énerver. Pas de chance, mon vieux, je ne flancherai pas, cette fois. Pas devant elle, en tous cas.
HRP : Note note note ^^
Lyxiae
- Brigitta Thorne
Héroïne aux poings
Argent : 300
Expérience : 90
Région d'origine : Johto
Âge : Originalement 20 ans, physiquement 18 ans.
Avatar : OC - Pheberoni
Roux la la.
Elle ose un peu les épauler devant sa réplique, mais ne rajoute rien. Elle n'avait rien à rajouter de toute façon. Elle éclate d'un grand rire franc devant l'enthousiasme d'Yvon devant la mention du steak. Elle hoche doucement la tête avant d'expliquer un peu. « En fait, l'avant-poste est un peu spécial, ils ont voulu le faire accueillant, alors, ils ont fait en sorte que l'endroit soit un côté plus rustique et charmant ce qui fait en sorte que l'extérieur des restaurants ou des boutiques soient plus l'air de ‘'maison" d'autre chose. C'est un style que j'apprécie, mais qui est trompeur pour ceux qui n'ont pas le livret tourisme. » Termine-t-elle. Il avait bien raison sur un point, l'apprentissage ne leur ferait pas de mal, mais en même temps, elle était prête à payer cher pour voir la réaction du cuistot qui se retrouverait devant Yvon pour un cours 101 sûrs comment faire cuire un bon steak médium-saignant. « Je ne suis pas sûre que le cuisinier aimerait. »
Ensuite, vient la rapide explication pour la Gym leader et de son lieu de prédilection. C'était probablement l'une des attractions qui attirait les plus les gens ici. Surtout des dresseurs désireux d'augmenter leur statut et leurs badges. Il y avait bien aussi les tourismes désireux de relaxer un peu loin des villes qui venaient ici, mais c’étaient surtout des personnes âgées. Le changement de sujet brusque ne dérange pas Brigit, elle ne semble même pas remarquer tellement elle devient existée à l'idée de parler d'un peu de musique. Tout en partageant ses groupes préférés, il finit par confirmer qu'il écoute lui-même quelques groupes qu'elle a prononcés, mais elle tique un peu sur le nom que lui dit Yvon. « Rush ? Me dit vaguement quelque chose, mais aucun titre me vient en tête. » Souffle-t-elle toujours avec un petit air pensif. Tout en lui rendant la poignée de main, une idée lui traverse l'esprit. Toutefois, le géant roux la devance un peu. Il tire rapidement une autre pomme, de couleurs différentes et lui tend.
Elle observe la pomme, elle avait une belle couleur, mais elle comprend la pensée quand il la partage. De manière machinale, elle tend sa propre main et la récupère. Elle l'observe encore quelques secondes avant d'être surprise par la nouvelle apparition d'un Phantump. Le Pokémon, fait alors quelque chose de surprenant. Pendant qu'elle ne le quitte pas des yeux, elle semble le voir chicaner à propos de quelque chose. Elle allait mettre la pomme dans son panier quand elle voit la créature s'époumoner encore un peu plus et tout devient clair. Quand Yvon souffle des excuses pour son compagnon, c'est à son tour d'éclater d'un grand rire avant de tendre la paume vers le Phantump. « Tiens, tu peux la prendre. J'en ai d'autres dans mon panier. » Elle tourne son attention d'Yvon et lui offre ; « si tu, ou vous, avez un peu de temps libre, je peux vous offrir un bon repas. J'ai deux steaks qui m'attende à la maison et des pokémons qui seront ravies de tenir compagnie au tien, s'il en a envie bien sûre. » Termine-t-elle.
Ensuite, vient la rapide explication pour la Gym leader et de son lieu de prédilection. C'était probablement l'une des attractions qui attirait les plus les gens ici. Surtout des dresseurs désireux d'augmenter leur statut et leurs badges. Il y avait bien aussi les tourismes désireux de relaxer un peu loin des villes qui venaient ici, mais c’étaient surtout des personnes âgées. Le changement de sujet brusque ne dérange pas Brigit, elle ne semble même pas remarquer tellement elle devient existée à l'idée de parler d'un peu de musique. Tout en partageant ses groupes préférés, il finit par confirmer qu'il écoute lui-même quelques groupes qu'elle a prononcés, mais elle tique un peu sur le nom que lui dit Yvon. « Rush ? Me dit vaguement quelque chose, mais aucun titre me vient en tête. » Souffle-t-elle toujours avec un petit air pensif. Tout en lui rendant la poignée de main, une idée lui traverse l'esprit. Toutefois, le géant roux la devance un peu. Il tire rapidement une autre pomme, de couleurs différentes et lui tend.
Elle observe la pomme, elle avait une belle couleur, mais elle comprend la pensée quand il la partage. De manière machinale, elle tend sa propre main et la récupère. Elle l'observe encore quelques secondes avant d'être surprise par la nouvelle apparition d'un Phantump. Le Pokémon, fait alors quelque chose de surprenant. Pendant qu'elle ne le quitte pas des yeux, elle semble le voir chicaner à propos de quelque chose. Elle allait mettre la pomme dans son panier quand elle voit la créature s'époumoner encore un peu plus et tout devient clair. Quand Yvon souffle des excuses pour son compagnon, c'est à son tour d'éclater d'un grand rire avant de tendre la paume vers le Phantump. « Tiens, tu peux la prendre. J'en ai d'autres dans mon panier. » Elle tourne son attention d'Yvon et lui offre ; « si tu, ou vous, avez un peu de temps libre, je peux vous offrir un bon repas. J'ai deux steaks qui m'attende à la maison et des pokémons qui seront ravies de tenir compagnie au tien, s'il en a envie bien sûre. » Termine-t-elle.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Yvon Tremblay
Iron Man
Argent : 195
Expérience : 60
Région d'origine : Unys
Âge : 30 ans
Avatar : Iskandar (Fate/Zero)
Roux la la ~
Yvon TREMBLAY & Brigitta THORNE
Ma foi, elle était fort sympathique, celle-là. À la voir sourire, rigoler, même, ça me faisait presque bizarre. Comme si, pour la première fois depuis longtemps, on me comprenait du premier coup, sans que je n’aie besoin de me répéter cinq ou six fois. Oui, ça avait une impression de soulagement, comme si l’on venait de me retirer un poids, en fait. Puis, qu’elle parle de steak et de rock en plus… Ma foi, si elle m’annonçait là, tout de suite, qu’elle était amatrice de bière en plus, je crois que je ne quitterais plus jamais Perlyc de ma vie. Une perle rare, cette Brigitta, c’est moi qui vous le dis!
Elle enchaîna avec une petite description des lieux, qu’elle dit trompeur pour ceux n’ayant pas le livret avec eux. Pour sur! En arrivant dans le coin, je n’osais pas trop aller cogner nulle part en quête d’un repas, de peur de tomber sur la maison d’un habitant. Une question d’habitude, sans doute. Mais bon, quand on connaissait en plus mon don pour me perdre en pleine ville… Des plans pour que l’on me retrouve à errer pendant des lustres juste parce que je serais à la recherche du dépanneur le plus proche!
- Tu connais pas Rush? Héhé, une chance qu’mon père yé pas là, y’aurait essayé de t’convertir!
Il y avait des gens maniaques de certains Pokémons en particulier, puis il y en avait que leur passion résidait ailleurs, et ils voulaient la montrer au monde le plus possible, pour tenter de rallier des gens avec eux. Mon vieux faisait évidemment partie de ce groupe. Je me rappelais encore, quand j’invitais des amis à la maison, des fois. À chaque fois, il mettait un disque, l’air de rien, puis il guettait les réactions des gens.
Mais bon, revenons à nos Wattouats. Parce qu’à force de coups et de cris, j’en connaissais un qui allait finir par me rendre sourd et couvert de bleus. Autant aurais-je bien l’ignorer, ça restait difficile, considérant qu’il flottait juste devant mes yeux, suivant mon regard. Hmm. Oui, j’allais avoir besoin d’aspirine, après tout ça, moi. Mais encore une fois, c’est ma nouvelle amie qui vint à notre rescousse, en offrant le fruit à Oak. Lui, il se tut direct, fixant la pomme, puis Brigit, comme s’il cherchait à trouver le piège derrière tout ça. Avare et gourmand, il finit par attraper son bien et se mettre à le grignoter en couinant de joie.
- Maudit fatiguant…
Il m’ignora, faisant comme si nous n’existions plus. Après tout, il avait ce qu’il convoitait depuis le début, alors il n’en avait que faire, de nous autres. Enfin, notre bonne samaritaine ajouta une offre de plus sur la table, qui me mit un peu mal-à-l’aise, cette fois.
- Ben voyons, on voudrait pas abuser non plus, eh? Cé ben gentil d’ta part - Brrrrraouarrrrrrrgh! ...ok, debord… Mais à condition qu’tu m’laisse te rendre la faveur un m’mend’né, ok?
Une main sur le ventre, je tournai la tête pour camoufler tant bien que mal mon visage qui venait de tourner au pourpre. Bon, bon, elle gagnait, pour cette fois, puisque mon ventre ne pouvait plus tenir bien longtemps encore. Quand elle mentionna qu’elle aussi avait des Pokémons qui seraient ravis de rencontrer le mien, je dus cette fois demander si elle avait une cour. Car Burger voudrait sûrement courir un peu, se dégourdir les pattes après la journée passée dans sa balle. Puis, je me doutais bien que personne n’aimerait avoir un Frison-surprise dans son salon ou sa cuisine pendant que le repas se prépare, n’est-ce pas?
- J’en profit’rai pour t’faire écouter une coup’e de tounes, si tu veux. Et j’paye la bière, aussi! Pour te r’mercier!
Oui, parce que bon, je n’allais pas abuser jusqu’à tout prendre sans rien donner en retour, non plus. Mes parents n’ont pas élevé un sauvage, nom de nom!
Elle enchaîna avec une petite description des lieux, qu’elle dit trompeur pour ceux n’ayant pas le livret avec eux. Pour sur! En arrivant dans le coin, je n’osais pas trop aller cogner nulle part en quête d’un repas, de peur de tomber sur la maison d’un habitant. Une question d’habitude, sans doute. Mais bon, quand on connaissait en plus mon don pour me perdre en pleine ville… Des plans pour que l’on me retrouve à errer pendant des lustres juste parce que je serais à la recherche du dépanneur le plus proche!
- Tu connais pas Rush? Héhé, une chance qu’mon père yé pas là, y’aurait essayé de t’convertir!
Il y avait des gens maniaques de certains Pokémons en particulier, puis il y en avait que leur passion résidait ailleurs, et ils voulaient la montrer au monde le plus possible, pour tenter de rallier des gens avec eux. Mon vieux faisait évidemment partie de ce groupe. Je me rappelais encore, quand j’invitais des amis à la maison, des fois. À chaque fois, il mettait un disque, l’air de rien, puis il guettait les réactions des gens.
Mais bon, revenons à nos Wattouats. Parce qu’à force de coups et de cris, j’en connaissais un qui allait finir par me rendre sourd et couvert de bleus. Autant aurais-je bien l’ignorer, ça restait difficile, considérant qu’il flottait juste devant mes yeux, suivant mon regard. Hmm. Oui, j’allais avoir besoin d’aspirine, après tout ça, moi. Mais encore une fois, c’est ma nouvelle amie qui vint à notre rescousse, en offrant le fruit à Oak. Lui, il se tut direct, fixant la pomme, puis Brigit, comme s’il cherchait à trouver le piège derrière tout ça. Avare et gourmand, il finit par attraper son bien et se mettre à le grignoter en couinant de joie.
- Maudit fatiguant…
Il m’ignora, faisant comme si nous n’existions plus. Après tout, il avait ce qu’il convoitait depuis le début, alors il n’en avait que faire, de nous autres. Enfin, notre bonne samaritaine ajouta une offre de plus sur la table, qui me mit un peu mal-à-l’aise, cette fois.
- Ben voyons, on voudrait pas abuser non plus, eh? Cé ben gentil d’ta part - Brrrrraouarrrrrrrgh! ...ok, debord… Mais à condition qu’tu m’laisse te rendre la faveur un m’mend’né, ok?
Une main sur le ventre, je tournai la tête pour camoufler tant bien que mal mon visage qui venait de tourner au pourpre. Bon, bon, elle gagnait, pour cette fois, puisque mon ventre ne pouvait plus tenir bien longtemps encore. Quand elle mentionna qu’elle aussi avait des Pokémons qui seraient ravis de rencontrer le mien, je dus cette fois demander si elle avait une cour. Car Burger voudrait sûrement courir un peu, se dégourdir les pattes après la journée passée dans sa balle. Puis, je me doutais bien que personne n’aimerait avoir un Frison-surprise dans son salon ou sa cuisine pendant que le repas se prépare, n’est-ce pas?
- J’en profit’rai pour t’faire écouter une coup’e de tounes, si tu veux. Et j’paye la bière, aussi! Pour te r’mercier!
Oui, parce que bon, je n’allais pas abuser jusqu’à tout prendre sans rien donner en retour, non plus. Mes parents n’ont pas élevé un sauvage, nom de nom!
HRP : Note note note ^^
Lyxiae
- Brigitta Thorne
Héroïne aux poings
Argent : 300
Expérience : 90
Région d'origine : Johto
Âge : Originalement 20 ans, physiquement 18 ans.
Avatar : OC - Pheberoni
Roux la la.
« J’aimerais bien voir ça ! Je suis assez dure à convertir, surtout quand je tiens à mes classiques. » Déclare la rouquine en riant un peu. Elle se souvient encore de la journée ou elle est tombée sur les vieilles boîtes de musique de son défunt père. Avant sa mort, jamais il n’avait parlé de ce pêcher-mignon qu’il possédait. Elle aurait bien aimé poser des questions à sa mère, mais le mal avait déjà été fait. Toutefois, du plus loin qu’elle se rappelle, jamais son père n’avait sorti le tourne-disque ou encore les vieux vinyles en parfait état. Elle avait donc pris pour acquis qu’il avait tout serré quand il avait déménagé à Johto avec sa mère. Aux yeux de la rouquine, il avait toujours été un ranger normal qui ne c’était jamais démasqué. Toutefois, avec cette même boite, il en avait eu une autre boite, remplit de vieux albums photos. Elle avait fini par reconnaître son père, accompagné d'autres personnes inconnues, même les décors sauvages ne lui avaient pas invoqué ceux de Johto. Sans savoir quoi faire avec, elle les avait gardés en sécurité dans leurs enveloppes et les avait entreposés dans sa garde-robe. Elle avait la vague impression qu’ils étaient précieux.
Brigitta rit un peu face à la réaction du pokémon. Ainsi donc, son pokémon avait du caractère, assez pour taper sur les nerfs du grand roux. Cependant, Brigit se doute que le Brocélôme a un côté positif. « Assez énergétique ton pokémon, il sait très bien ce qu’il veut en tous cas. » Termine-t-elle en souriant loin d’être intimidée où déranger par son comportement. Elle-même avait quelques petites difficultés avec son Rocabot. Le chiot avait beaucoup trop d’énergie à revendre. Même quand elle l’envoyait courir dans la cour, le chiot revenait toujours aussi énergétique. Tandis qu’elle ne lui laisse pas la chance de refuser son invitation à manger, elle reprend la route, l’invitant à la suivre. « Ne t'en fait pas avec ça, ça me fait plaisir de l’offrir. Et puis, je ne vais quand même pas laisser un grand galet comme toi reprendre la route le ventre vide, tu ne vas pas de rendre loin et ma famille serait bien triste de me savoir sans sens de l’hospitalité. » Termine-t-elle simplement.
« Oh, pour avoir une grande cour, j’en ai une. Il faudra juste les envoyer un peu plus vers l’arrière, sur le côté de la maison, j’ai un grand jardin. Je cultive le trois-quarts de ma nourriture. Sinon, y'a forêt aussi, si certains de tes pokémon en envie. En fait, il y a quelques acres de terrain et forêt qui venaient la maison quand je l’ai achetée. Alors y'a en masse de place pour courir et se dégourdir les jambes. » Quelques minutes, plus tard, ils arrivaient au coin d’un large terrain clôturés. Ils arrivaient du côté jardin, où plusieurs plantes se confondaient en longues rangées végétales. Tout comme la moitié des maisons de Perlyc, de l’extérieur, elle possède une maison de campagne de style japonais avec un grand terrain. Non loin du large porche qui entoure le devant et le côté jardin de la maison, une grande porte vitrée est ouverte. Trois taches colorées sont visibles. La verte, paresse sur le porche, profitant du soleil. Les deux autres, un brun foncé qui saute sur deux pattes se bat avec vigueur avec une plus crème qui se promène sur quatre pattes. La rouquine soupire un peu. « Je ne peux même pas les laisser dix minutes seul qu’ils se battent… Qu’est-ce que je vais faire avec ces deux-là. Dans tous les cas, si tu veux libérer les tiens, y’a pas de problème. »
Sans plus attendre, elle ouvre la porte de la clôture et invite Yvon à entrer dans la cour. Les deux silhouettes qui combattaient s’arrêtent, avant de s’élancer dans sa direction, dévoilant la Laporeille et le Rocabot. Tandis que la lapine se met à sauter autour d’elle heureuse de la revoir, le chiot lui décide de lui sauter dans les bras. Il lui faut tout son petit change pour ne pas être renversé et garder son équilibre. « Oui, moi aussi, je suis contente de vous voir. Seigneur Sören… Pas quand j’ai les bras pleins… » Toutefois, le chiot semble faire à sa tête et continue de venir frotter sa tête contre son visage. Tout en se rendant à la maison, Bria la lapine est la première à aller faire connaissance avec les nouveaux pokémon. Brigit finit par déposer son panier sur le porche ainsi que le chiot. Elle le caresse encore un peu avant de le laisser à son tour vers les nouveaux pokémon. Le dernier pokémon qui lui reste est Sinja son Germignon qui avait sagement attendu son tour sur le porche. « Bonjour toi… » Elle lui caresse un peu la tête avant de monter sur le balcon et de reprendre son panier.
Elle monte ensuite sur le balcon en récupérant son panier et fait signe à Yvon de suivre. Elle le fait entrer par le salon. Dans le salon, se trouvent deux grandes bibliothèques remplir de CD de musique et de vieux vinyles. Une stéréo assez moderne est visible sous la télé ainsi que plusieurs petits haut-parleurs sont éparpillés dans le salon. Une platine tourne-disque de vinyle se trouve sur un meuble, assez vieux pour le temps actuel, mais il semble en parfait état. Quelques photos sont éparpillées dans les étagères, l'une représente une famille entière, deux adultes et deux enfants de sexe différent, mais qui se ressemble énormément. L'intérieur de la maison est fait comme sur un grand loft, à aire ouverte. D'où ils se trouvent, ils peuvent voir la cuisine sur la gauche, un petit couloir qui donne sur une salle de bain et une chambre. Près de ce même couloir un escalier qui monte au deuxième étage. Entre le salon qui se trouve sur la droite et la cuisine, se trouve une table qui peut accueillir jusqu'à quatre personnes. Pour une maison de femmes, la décoration est très simple, voir un peu absente. Seul un pot de fleurs avait été placé sur la table et des fleurs fraîches si trouve. « Fais comme chez-toi. » Termine-t-elle en se dirigeant vers la cuisine pour commencer à préparer le bouffe.
Brigitta rit un peu face à la réaction du pokémon. Ainsi donc, son pokémon avait du caractère, assez pour taper sur les nerfs du grand roux. Cependant, Brigit se doute que le Brocélôme a un côté positif. « Assez énergétique ton pokémon, il sait très bien ce qu’il veut en tous cas. » Termine-t-elle en souriant loin d’être intimidée où déranger par son comportement. Elle-même avait quelques petites difficultés avec son Rocabot. Le chiot avait beaucoup trop d’énergie à revendre. Même quand elle l’envoyait courir dans la cour, le chiot revenait toujours aussi énergétique. Tandis qu’elle ne lui laisse pas la chance de refuser son invitation à manger, elle reprend la route, l’invitant à la suivre. « Ne t'en fait pas avec ça, ça me fait plaisir de l’offrir. Et puis, je ne vais quand même pas laisser un grand galet comme toi reprendre la route le ventre vide, tu ne vas pas de rendre loin et ma famille serait bien triste de me savoir sans sens de l’hospitalité. » Termine-t-elle simplement.
« Oh, pour avoir une grande cour, j’en ai une. Il faudra juste les envoyer un peu plus vers l’arrière, sur le côté de la maison, j’ai un grand jardin. Je cultive le trois-quarts de ma nourriture. Sinon, y'a forêt aussi, si certains de tes pokémon en envie. En fait, il y a quelques acres de terrain et forêt qui venaient la maison quand je l’ai achetée. Alors y'a en masse de place pour courir et se dégourdir les jambes. » Quelques minutes, plus tard, ils arrivaient au coin d’un large terrain clôturés. Ils arrivaient du côté jardin, où plusieurs plantes se confondaient en longues rangées végétales. Tout comme la moitié des maisons de Perlyc, de l’extérieur, elle possède une maison de campagne de style japonais avec un grand terrain. Non loin du large porche qui entoure le devant et le côté jardin de la maison, une grande porte vitrée est ouverte. Trois taches colorées sont visibles. La verte, paresse sur le porche, profitant du soleil. Les deux autres, un brun foncé qui saute sur deux pattes se bat avec vigueur avec une plus crème qui se promène sur quatre pattes. La rouquine soupire un peu. « Je ne peux même pas les laisser dix minutes seul qu’ils se battent… Qu’est-ce que je vais faire avec ces deux-là. Dans tous les cas, si tu veux libérer les tiens, y’a pas de problème. »
Sans plus attendre, elle ouvre la porte de la clôture et invite Yvon à entrer dans la cour. Les deux silhouettes qui combattaient s’arrêtent, avant de s’élancer dans sa direction, dévoilant la Laporeille et le Rocabot. Tandis que la lapine se met à sauter autour d’elle heureuse de la revoir, le chiot lui décide de lui sauter dans les bras. Il lui faut tout son petit change pour ne pas être renversé et garder son équilibre. « Oui, moi aussi, je suis contente de vous voir. Seigneur Sören… Pas quand j’ai les bras pleins… » Toutefois, le chiot semble faire à sa tête et continue de venir frotter sa tête contre son visage. Tout en se rendant à la maison, Bria la lapine est la première à aller faire connaissance avec les nouveaux pokémon. Brigit finit par déposer son panier sur le porche ainsi que le chiot. Elle le caresse encore un peu avant de le laisser à son tour vers les nouveaux pokémon. Le dernier pokémon qui lui reste est Sinja son Germignon qui avait sagement attendu son tour sur le porche. « Bonjour toi… » Elle lui caresse un peu la tête avant de monter sur le balcon et de reprendre son panier.
Elle monte ensuite sur le balcon en récupérant son panier et fait signe à Yvon de suivre. Elle le fait entrer par le salon. Dans le salon, se trouvent deux grandes bibliothèques remplir de CD de musique et de vieux vinyles. Une stéréo assez moderne est visible sous la télé ainsi que plusieurs petits haut-parleurs sont éparpillés dans le salon. Une platine tourne-disque de vinyle se trouve sur un meuble, assez vieux pour le temps actuel, mais il semble en parfait état. Quelques photos sont éparpillées dans les étagères, l'une représente une famille entière, deux adultes et deux enfants de sexe différent, mais qui se ressemble énormément. L'intérieur de la maison est fait comme sur un grand loft, à aire ouverte. D'où ils se trouvent, ils peuvent voir la cuisine sur la gauche, un petit couloir qui donne sur une salle de bain et une chambre. Près de ce même couloir un escalier qui monte au deuxième étage. Entre le salon qui se trouve sur la droite et la cuisine, se trouve une table qui peut accueillir jusqu'à quatre personnes. Pour une maison de femmes, la décoration est très simple, voir un peu absente. Seul un pot de fleurs avait été placé sur la table et des fleurs fraîches si trouve. « Fais comme chez-toi. » Termine-t-elle en se dirigeant vers la cuisine pour commencer à préparer le bouffe.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Yvon Tremblay
Iron Man
Argent : 195
Expérience : 60
Région d'origine : Unys
Âge : 30 ans
Avatar : Iskandar (Fate/Zero)
Roux la la ~
Yvon TREMBLAY & Brigitta THORNE
- Moi, un grand galet?!
Cette déclaration me fit éclater d’un rire franc et bien gras. Je n’étais pas certain de ce qu’elle avait voulu dire par là, la petite rouquine, mais je mettrais ma main au feu qu’elle ne pensait pas à mal. Tout le contraire, même. Mais le choix de mot, je le trouvais bien drôle.
La suite, par contre, me fit me poser quelques questions. Tiens? Ne l’avais-je pas pensé, le sujet de la cour arrière? Car je n’avais pas souvenir d’en avoir parlé à voix haute… Brigitta possédait-elle donc des dons pour lire dans les esprits! Non, cours, ne vas pas là! C’est dangereux! Même moi, je m’y perds souvent, et j’y vois des choses! Autant avouer, ça ne changeait en rien le sourire niais que je portais déjà.
Mais au moins, ça me rassurait pour mes deux monstres de muscles. Ils pourraient courir comme ils le souhaitaient, à condition qu’ils se tiennent loin des plants de notre hôtesse. Ça me semblait une bonne idée. Puis, dans le pire des cas, ils pourraient toujours s’amuser à abattre quelques arbres, comme ils avaient fait aux Champs Dorés.
Je suivis donc ma bienfaitrice jusque chez elle, puisqu’elle avait déjà pris de l’avance. Je ne voulais pas rester planté là comme un imbécile non plus! Mine de rien, ça me permit aussi de découvrir un petit bout de plus de cette région. Un côté plus porté vers la nature que les grandes villes urbanisées comme Cormenun, par exemple. Hum. Je commençais un peu de m’être installé là-bas, du coup. Avoir su qu’il y avait un tel coin de paradis dans les environs, j’aurais pu continuer à bûcher dur, peut-être, dans le coin. Quoique je n’aurais sûrement pas eu accès à des besoins essentiels tous les jours, comme des bonnes protéines animales, par exemple.
Grrrrraaaaaaoooooowwww!
- Ah, ta yeule, toé, sacrament!
Que je dis en me tapant le ventre de ma grande paluche. Le bruit d’une bataille attira alors mon attention, et je vis les petits Pokémons qui se chamaillaient tout bonnement arrêter et courir vers leur dresseuse. Et un autre, un peu plus loin, qui semblait vouloir rester en retrait. Comme les enfants d’une famille, avec le plus vieux qui sait faire preuve de retenue alors que les autres sautent sur leur parent une fois qu’ils sont de retour du travail. Enfin, peu importe mon âge, je le ferais encore, moi, si je le pouvais! Mais vu ma taille, j’ai toujours peur de casser mes vieux… Ah, le bon vieux temps. Qu’est-ce que ça me manquait, parfois!
- Alright… Watch out, y prennent pas mal de place, mes deux miens!
Petit avertissement nécessaire, à mon avis, puisque je ne voulais pas que quiconque ne se fasse écraser par l’apparition des deux mastodonte que j’appelai à nous. Burger, le Frison, se mit directement à brouter de l’herbe, curieux qu’il devait être de découvrir si le goût différait dans les environs. Mac, par contre, il fit comme à son habitude: quand il sortit, il poussa un grand beuglement, tapant la terre de son sabot en jaugeant les petits de Brigit. Ni une, ni deux, je lui mis une taloche derrière la tête pour le rappeler à l’ordre. Après, je fis signe à Oak de garder un oeil sur eux, pour ne pas qu’il ne rasent le village en décidant de faire la course, ou pire encore. J’avais encore en mémoire le raz-de-marée de Burger quand j’ai capturé Mac…
Un peu gêné, je m’empressai de suivre la rousse à l’intérieur, réalisant une fois passé le porche que j’avais donné une responsabilité à mon Brocélôme… Aïe. Je croisais vraiment les doigts pour ne pas regretter cette décision, moi. Mais bon, pour une fois, j’allais devoir lui donner le bénéfice du doute.
Dans la maisonnée, je fus surpris de voir à quel point la décoration jurait avec le reste de l’ambiance que j’avais pu constater jusqu’alors. Du moins, dans le salon, surtout. Il y avait tellement de disques et d’amplis, c’était à se demander si je n’avais pas mis les pieds dans un véritable studio, en fait. C’est donc un sifflement émerveillé qui filtra d’entre mes lèvres, jusqu’à ce que mon regard ne s’attarde sur une photo, au milieu de l’étagère. Quoi? Non… Impossible!
Rapidement, je franchis la distance entre mon objectif et moi-même, et je me saisis du cadre présentant une famille. Mais il y avait deux énormes détails qui me sautaient aux yeux, et toute ma tête cherchait à se demander qu’est-ce que ça faisait là.
- Brigiiiiiit? Cé quoi ça?
Encore incrédule, le montrai la photographie à mon hôtesse, pointant un homme qui tenait un gamin dans ses bras. En vrai, j’en tremblais un peu, moi.
- Comment ça qu’t’as une photo d’mon vieux pis moé quand que j’tais ti-cul? Kosséça, baozwelle?
Moi, énervé? À peine. En vérité, c’était plus que je cherchais à comprendre comment elle pouvait avoir en sa possession la même photo que je savais était sur l’âtre chez mes propres parents. Et avec mon propre père dessus, en plus! Nerveusement, de ma main libre, j’attrapai mon nerovid et commençai à taper pour appeler à la maison. Ça devenait plus louche à chaque fois que j’y pensais. Puis, je regardai Brigitta. Le doute commençait à me prendre. Devais-je donc commencer à courir et sauter sur le dos du taureau le plus proche pour sonner l’alerte? Une dangereuse psychopathe vivrait donc à Perlyc? Et, bon sang de bois, pourquoi que ça ne répond pas, à la maison? Vite, y’a urgence!
Cette déclaration me fit éclater d’un rire franc et bien gras. Je n’étais pas certain de ce qu’elle avait voulu dire par là, la petite rouquine, mais je mettrais ma main au feu qu’elle ne pensait pas à mal. Tout le contraire, même. Mais le choix de mot, je le trouvais bien drôle.
La suite, par contre, me fit me poser quelques questions. Tiens? Ne l’avais-je pas pensé, le sujet de la cour arrière? Car je n’avais pas souvenir d’en avoir parlé à voix haute… Brigitta possédait-elle donc des dons pour lire dans les esprits! Non, cours, ne vas pas là! C’est dangereux! Même moi, je m’y perds souvent, et j’y vois des choses! Autant avouer, ça ne changeait en rien le sourire niais que je portais déjà.
Mais au moins, ça me rassurait pour mes deux monstres de muscles. Ils pourraient courir comme ils le souhaitaient, à condition qu’ils se tiennent loin des plants de notre hôtesse. Ça me semblait une bonne idée. Puis, dans le pire des cas, ils pourraient toujours s’amuser à abattre quelques arbres, comme ils avaient fait aux Champs Dorés.
Je suivis donc ma bienfaitrice jusque chez elle, puisqu’elle avait déjà pris de l’avance. Je ne voulais pas rester planté là comme un imbécile non plus! Mine de rien, ça me permit aussi de découvrir un petit bout de plus de cette région. Un côté plus porté vers la nature que les grandes villes urbanisées comme Cormenun, par exemple. Hum. Je commençais un peu de m’être installé là-bas, du coup. Avoir su qu’il y avait un tel coin de paradis dans les environs, j’aurais pu continuer à bûcher dur, peut-être, dans le coin. Quoique je n’aurais sûrement pas eu accès à des besoins essentiels tous les jours, comme des bonnes protéines animales, par exemple.
Grrrrraaaaaaoooooowwww!
- Ah, ta yeule, toé, sacrament!
Que je dis en me tapant le ventre de ma grande paluche. Le bruit d’une bataille attira alors mon attention, et je vis les petits Pokémons qui se chamaillaient tout bonnement arrêter et courir vers leur dresseuse. Et un autre, un peu plus loin, qui semblait vouloir rester en retrait. Comme les enfants d’une famille, avec le plus vieux qui sait faire preuve de retenue alors que les autres sautent sur leur parent une fois qu’ils sont de retour du travail. Enfin, peu importe mon âge, je le ferais encore, moi, si je le pouvais! Mais vu ma taille, j’ai toujours peur de casser mes vieux… Ah, le bon vieux temps. Qu’est-ce que ça me manquait, parfois!
- Alright… Watch out, y prennent pas mal de place, mes deux miens!
Petit avertissement nécessaire, à mon avis, puisque je ne voulais pas que quiconque ne se fasse écraser par l’apparition des deux mastodonte que j’appelai à nous. Burger, le Frison, se mit directement à brouter de l’herbe, curieux qu’il devait être de découvrir si le goût différait dans les environs. Mac, par contre, il fit comme à son habitude: quand il sortit, il poussa un grand beuglement, tapant la terre de son sabot en jaugeant les petits de Brigit. Ni une, ni deux, je lui mis une taloche derrière la tête pour le rappeler à l’ordre. Après, je fis signe à Oak de garder un oeil sur eux, pour ne pas qu’il ne rasent le village en décidant de faire la course, ou pire encore. J’avais encore en mémoire le raz-de-marée de Burger quand j’ai capturé Mac…
Un peu gêné, je m’empressai de suivre la rousse à l’intérieur, réalisant une fois passé le porche que j’avais donné une responsabilité à mon Brocélôme… Aïe. Je croisais vraiment les doigts pour ne pas regretter cette décision, moi. Mais bon, pour une fois, j’allais devoir lui donner le bénéfice du doute.
Dans la maisonnée, je fus surpris de voir à quel point la décoration jurait avec le reste de l’ambiance que j’avais pu constater jusqu’alors. Du moins, dans le salon, surtout. Il y avait tellement de disques et d’amplis, c’était à se demander si je n’avais pas mis les pieds dans un véritable studio, en fait. C’est donc un sifflement émerveillé qui filtra d’entre mes lèvres, jusqu’à ce que mon regard ne s’attarde sur une photo, au milieu de l’étagère. Quoi? Non… Impossible!
Rapidement, je franchis la distance entre mon objectif et moi-même, et je me saisis du cadre présentant une famille. Mais il y avait deux énormes détails qui me sautaient aux yeux, et toute ma tête cherchait à se demander qu’est-ce que ça faisait là.
- Brigiiiiiit? Cé quoi ça?
Encore incrédule, le montrai la photographie à mon hôtesse, pointant un homme qui tenait un gamin dans ses bras. En vrai, j’en tremblais un peu, moi.
- Comment ça qu’t’as une photo d’mon vieux pis moé quand que j’tais ti-cul? Kosséça, baozwelle?
Moi, énervé? À peine. En vérité, c’était plus que je cherchais à comprendre comment elle pouvait avoir en sa possession la même photo que je savais était sur l’âtre chez mes propres parents. Et avec mon propre père dessus, en plus! Nerveusement, de ma main libre, j’attrapai mon nerovid et commençai à taper pour appeler à la maison. Ça devenait plus louche à chaque fois que j’y pensais. Puis, je regardai Brigitta. Le doute commençait à me prendre. Devais-je donc commencer à courir et sauter sur le dos du taureau le plus proche pour sonner l’alerte? Une dangereuse psychopathe vivrait donc à Perlyc? Et, bon sang de bois, pourquoi que ça ne répond pas, à la maison? Vite, y’a urgence!
HRP : Note note note ^^
Lyxiae
- Brigitta Thorne
Héroïne aux poings
Argent : 300
Expérience : 90
Région d'origine : Johto
Âge : Originalement 20 ans, physiquement 18 ans.
Avatar : OC - Pheberoni
Roux la la.
En voyant la stature d’Yvon, elle avait un doute que s’il avait d’autres pokémon, qu’ils seraient d’apparences aussi impressionnantes. Toutefois, elle ne s’était certainement pas attendue à deux espèces différentes de bœufs. Le frisson semble plus calme que son compagnon Taurus qui s’échauffe déjà. Brigitta sourit un peu devant l’air impressionner de deux de ses compagnons. Sinja, son germignon semble plus intéresser par elle que par les quatre nouveaux venus. La Laporeille est celle qui démontre le plus de curiosité face aux deux énormes mastodontes et le Robacot semble un peu plus méfiant, mais ne démontre aucune agressivité. Une fois les caresses offerte, Brigit avait pris le chemin de l’intérieur pour se débarrasser des bras de son panier. « Ce ne sera pas long, je serre mon épicerie et je suis à toi… » Annonce-t-elle au grand roux en vidant le contenu du panier pour les placer à leurs endroits respectifs. Durant son passage dans le frigidaire, elle en profite pour prendre le steak, trop énorme qu’elle avait eu la chance de récupérer au marcher. Des plantes-épices qui descendent du plafond grâce à des supports à plante suspendue, elle tire plusieurs feuilles qu’elle place dans un bol, juste à côté de l’huile d’olive.
Cependant, tandis qu’elle sort quelques patates, un gros oignon, une courgette, quelques petites tomates cerises et une canne de maïs en grains, Yvon l’interpelle brusquement. Un peu surprise, elle ne comprend pas immédiatement l’agitation qui s’en prend au roux. Elle se rapproche rapidement pour le rejoindre au salon où il se trouve devant une étagère remplit de CD et de quelques photos familiales. Malgré l’agitation très visible, il finit par lui montrer la photo de son père et de son neveu ? Elle-même n’était pas à cent pour-cent. Durant le déménagement, elle était tombée sur une boîte remplie de dessins et de vieilles photos de famille qui appartenait à son défunt père. En feuilletant, elle y avait trouvé quelques photos étranges d’hommes, de femmes et d’enfants qu’elle n’avait jamais vu, mais qui avait tout un air de ressemblance avec son père, elle en avait donc conclu qu’ils devaient être sa famille. Malheureusement, elle n’avait trouvé aucun numéro de téléphone qui lui aurait permis de rencontrer en contact avec eux pour leur annoncer la mauvaise nouvelle. « Humm… Je crois que tu te trompes… C’est mon père avec… Je crois que c’est son neveu… » Tandis qu’elle dit ceci, elle observe à son tour la photo puis Yvon. Même s’il avait beaucoup vieilli, il y avait certains trait qui ne pouvait pas mentir sur l’identité du jeune homme. Puis elle se souvient de quelque chose de bizarre. « Dit… Ton père… N’aurait pas un frère jumeau à tout hasard ? » Demande-t-elle pendant qu’elle se penche et qu’elle tire un vieil album à photos dans l’armoire du bas.
Elle l’époussette un peu avant de le feuilleter rapidement pour trouver une autre photo. Il n’y avait pas énormément de photo dans l’album-photo, ce qui était plutôt désolant. Elle avait cru reconnaître les parents de son père, quelques nièces et neveux, du moins croyait-elle en découvrant plusieurs enfants. Toutefois, même s’il semble avoir plusieurs photos de lui, certaines sonnaient, étrangement fausse face à la caméra. Il revêtait toujours un chandail avec un logo de musique rock and roll, mais sur certaines ce n’était pas le cas, et même l'expression faciale semblait différente malgré le même visage. Il y a longtemps, elle avait eu la vague impression qu’ils étaient deux, mais elle n’avait jamais trouvé de photo qui aurait pu démontrer les deux frères l’un à côté de l’autre et un jour elle avait abandonné de chercher. Elle sort une autre photo, sur celle-ci, son père revête un chandail de Kiss, l’un de ses groupes préférer. « Malheureusement, je n’ai pas connu la famille de mon père Derek et il n’en a jamais vraiment parlé… Je sais que cet homme ici est mon père, mais j’ai toujours eu un doute envers celle que tu as entre les mains… Comme si physiquement, c’était lui, mais que mentalement non… C’est plutôt ce qu’il dégage tous les deux qui m’a toujours donné un doute sur la théorie du jumeau… Ce qui pourrait expliquer que j’ai aussi eu un jumeau… Du côté de ma mère, il y a aucune trace de ce gêne. » Termine-t-elle.
Elle laisse ensuite le silence tombé… Observant la réaction d’Yvon face à ce qu’elle venait de lui annoncer. Si vraiment son père avait un frère jumeau et que l’autre homme sur la photo avec le jeune homme – qui est Yvon lui-même – ceci voulait dire, qu’elle avait devant elle un cousin… Une lueur d’espoir apparaît dans son regard, avant qu’elle tombe un peu sur ses gardes. Il y avait aussi la possibilité qu’elle se fasse complètement des idées et que son père est eu une autre vie avant sa mère… À bien regarder Yvon, il devait bien avoir plusieurs années de plus qu’elle. Est-ce que son père avait fui sa famille d’avants pour en fonder une nouvelle avec sa mère ? Face à une telle idée, Brigitta devient craintive, elle n’était plus sûre si elle voulait vraiment savoir la vérité… Encore moins si elle devait annoncer à son fils caché que Derek était mort il y a plusieurs années.
Cependant, tandis qu’elle sort quelques patates, un gros oignon, une courgette, quelques petites tomates cerises et une canne de maïs en grains, Yvon l’interpelle brusquement. Un peu surprise, elle ne comprend pas immédiatement l’agitation qui s’en prend au roux. Elle se rapproche rapidement pour le rejoindre au salon où il se trouve devant une étagère remplit de CD et de quelques photos familiales. Malgré l’agitation très visible, il finit par lui montrer la photo de son père et de son neveu ? Elle-même n’était pas à cent pour-cent. Durant le déménagement, elle était tombée sur une boîte remplie de dessins et de vieilles photos de famille qui appartenait à son défunt père. En feuilletant, elle y avait trouvé quelques photos étranges d’hommes, de femmes et d’enfants qu’elle n’avait jamais vu, mais qui avait tout un air de ressemblance avec son père, elle en avait donc conclu qu’ils devaient être sa famille. Malheureusement, elle n’avait trouvé aucun numéro de téléphone qui lui aurait permis de rencontrer en contact avec eux pour leur annoncer la mauvaise nouvelle. « Humm… Je crois que tu te trompes… C’est mon père avec… Je crois que c’est son neveu… » Tandis qu’elle dit ceci, elle observe à son tour la photo puis Yvon. Même s’il avait beaucoup vieilli, il y avait certains trait qui ne pouvait pas mentir sur l’identité du jeune homme. Puis elle se souvient de quelque chose de bizarre. « Dit… Ton père… N’aurait pas un frère jumeau à tout hasard ? » Demande-t-elle pendant qu’elle se penche et qu’elle tire un vieil album à photos dans l’armoire du bas.
Elle l’époussette un peu avant de le feuilleter rapidement pour trouver une autre photo. Il n’y avait pas énormément de photo dans l’album-photo, ce qui était plutôt désolant. Elle avait cru reconnaître les parents de son père, quelques nièces et neveux, du moins croyait-elle en découvrant plusieurs enfants. Toutefois, même s’il semble avoir plusieurs photos de lui, certaines sonnaient, étrangement fausse face à la caméra. Il revêtait toujours un chandail avec un logo de musique rock and roll, mais sur certaines ce n’était pas le cas, et même l'expression faciale semblait différente malgré le même visage. Il y a longtemps, elle avait eu la vague impression qu’ils étaient deux, mais elle n’avait jamais trouvé de photo qui aurait pu démontrer les deux frères l’un à côté de l’autre et un jour elle avait abandonné de chercher. Elle sort une autre photo, sur celle-ci, son père revête un chandail de Kiss, l’un de ses groupes préférer. « Malheureusement, je n’ai pas connu la famille de mon père Derek et il n’en a jamais vraiment parlé… Je sais que cet homme ici est mon père, mais j’ai toujours eu un doute envers celle que tu as entre les mains… Comme si physiquement, c’était lui, mais que mentalement non… C’est plutôt ce qu’il dégage tous les deux qui m’a toujours donné un doute sur la théorie du jumeau… Ce qui pourrait expliquer que j’ai aussi eu un jumeau… Du côté de ma mère, il y a aucune trace de ce gêne. » Termine-t-elle.
Elle laisse ensuite le silence tombé… Observant la réaction d’Yvon face à ce qu’elle venait de lui annoncer. Si vraiment son père avait un frère jumeau et que l’autre homme sur la photo avec le jeune homme – qui est Yvon lui-même – ceci voulait dire, qu’elle avait devant elle un cousin… Une lueur d’espoir apparaît dans son regard, avant qu’elle tombe un peu sur ses gardes. Il y avait aussi la possibilité qu’elle se fasse complètement des idées et que son père est eu une autre vie avant sa mère… À bien regarder Yvon, il devait bien avoir plusieurs années de plus qu’elle. Est-ce que son père avait fui sa famille d’avants pour en fonder une nouvelle avec sa mère ? Face à une telle idée, Brigitta devient craintive, elle n’était plus sûre si elle voulait vraiment savoir la vérité… Encore moins si elle devait annoncer à son fils caché que Derek était mort il y a plusieurs années.
Codage par Libella sur Graphiorum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|